Oh meu Brasil...

- Par l'auteur HDS Akileditu -
Récit érotique écrit par Akileditu [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Oh meu Brasil... Histoire érotique Publiée sur HDS le 24-06-2014 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Note attribuée à cette histoire érotique par HDS :
(9.0 / 10)

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Oh meu Brasil...
Faut que je vous raconte ce qui m’est arrivé, il y a deux semaines environ.
J’étais en vacances sur la côte depuis trois jours. Je reçois un coup de fil d’un ami photographe professionnel qui me demande de lui rendre un service. Aller chercher à l’aéroport de Nice un top model brésilien pour une séance de shooting et le ramener à dans une villa louée par la production pour y faire les photos.
« -Tu verras, tu seras pas déçu… !? »
Comme je n’ai rien à lui refuser, j’y suis allé. En route, il me met un SMS avec son nom. Surprise ! C’est un mec. Appelons le …Paulo. Finalement, j’aurai pu m’en passer de ma pancarte. Dans la foule de ceux qui sortaient, il détonnait carrément.
Le flash ! Dans les 22 23 ans , 1,80 mètre, la peau café au lait, une masse de cheveux noirs ondulés, une barbe de trois jours soigneusement taillée, tee shirt de marque et jean déchiré de marque aussi. Mais ce qu’on remarquait tout de suite c’était son superbe cul et ses magnifiques yeux verts. Pas moyen de le rater.
« -Hello ! I am Jo. I have to drive you to your job
-I. No problem ! Okay ! » sourit-il de toutes ses dents éclatantes en me donnant l’accolade !
Déjà, je vois se tourner quelques têtes…féminines mais un peu âgées quand même. La Côte, quoi. Il est super sympa, ouvert, curieux, super décontracté, toujours souriant. Je suis déjà complètement sous le charme. Il vient de Londres où il a enquillé une autre séance de shoot. Comme top model, il a déjà une certaine côte à l’international. Par contre, il n’a pas du tout la grosse tête, ni blasé, encore frais. On se parle en anglais, parce que mon portugais…Avec un peu de mal – la circulation, déjà-, on arrive à la villa. Max, mon ami photographe, l’accueille avec chaleur. Ils ont déjà travaillé ensembles.
« -Ca t’embêterait de me donner un coup de main pour les éclairages ?
-Pas de problème ! C’est quoi les photos, cette fois ?
-Underwear et swimwear
-Wouah !
-Je savais que ça allait te plaire. »
Le coiffeur maquilleur est parti préparer Paulo dans la salle de bain. La collection de slips et de maillots de bain – haut de gamme-, est impressionnante.
« -On n’aura jamais fini aujourd’hui !
-Non, c’est prévu demain aussi. »
Paulo arrive, déjà en boxer. Sur le petit groupe – Max, le coiffeur, le gars de la marque et moi-, il fait son effet. C’est impossible de ne pas être troublé par tant de beauté… Comme tous les tops, il a de beaux abdos, des jambes interminables, il est super bien découplé. Une épaisse ligne de poils file vers son slip. Max le met à l’aise par deux ou trois plaisanteries. Mais, Paulo, très pro, est très à l’aise.
Entre chaque prise de vues, Paulo change de slip dans un coin du salon, un peu à l’écart, derrière le canapé. C’est le gars de la marque qui lui passe les vêtements. Paulo, en grand pro, se plie avec aisance à toutes les demandes de Max qui rafale à outrance. A un moment, il vient vers moi et me demande si je ne peux pas lui passer les vêtements…Je suis un peu surpris et gêné pour le gars mais je ne demande pas mieux ! Vexé, le gars me file le prochain slip à photographier. On se dirige vers le canapé et je le file à Paulo. Il se tourne légèrement et fait glisser le boxer au bas de ses jambes pour enfiler le suivant. Ca me permet d’admirer ses magnifiques fesses incroyablement rebondies. Je n’ai jamais vu une telle chute de reins avant. Il se tourne légèrement de trois quarts et tend la main pour que je lui donne le slip suivant, dans un grand sourire. J’ai juste le temps d’apercevoir le bout de sa bite qui dépasse de sa cuisse…En me regardant droit dans les yeux, de ses yeux rieurs, il se rajuste longuement la bite dans le slip.
« -It’s okay, like that ?
-I’m sure !! Wonderful !! ».
Le coiffeur vient lui vaporiser de l’eau sur le torse pour donner une impression de sueur. Et c’est reparti pour une nouvelle rafale de clichés. L’image de marque de cette gamme de vêtements joue sur l’érotisme à outrance et sur l’ambiguïté entre hétéro et homo, d’où des demandes bien précises de Max sur les poses à prendre pour Paulo. Ca ne lui pose aucun problème.
A chaque changement, maintenant, c’est moi qui le rejoins et lui passe le slip suivant. Je me rends tout de suite compte que Paulo se retourne de moins en moins pour se changer, qu’une fois nu, il traine pour enfiler le slip suivant, se laissant de plus en plus admirer par moi, rien que pour moi. Son corps n’a ainsi plus de secrets pour moi. Sa touffe de poils est très fournie, une belle bite en arc en émerge. Un tout petit tatouage au pli de l’aine. J’ai même l’impression qu’il bande légèrement Du coup, il me revient en tête ce que m’avait dit Max au téléphone comme quoi je ne serai pas déçu. Max connait mon penchant pour les hommes. J’ai comme l’impression qu’il est un peu homo sur les bords. Serait-il entrain de me draguer ? Est-ce que je lui ferai de l’effet ? En tous cas, pour moi, je sens au creux de mon ventre, un petit nœud que je connais bien…
Les slips deviennent de plus en plus minis, pour ne pas dire micro. Max décide de faire deux séries. L’une avec les poils qui dépassent de partout et l’autre sans. Ce qui suppose un rasage sur les côtés. Paulo est d’accord. Il demande donc au coiffeur de le raser dans la salle de bain. Il me demande de les accompagner !! Max m’encourage à y aller avec un clin d’œil complice et coquin. Paulo enfile le plus petit des slips et le coiffeur entreprend de le raser au rasoir mécanique, avec un peu de mousse. J’imagine qu’un nombre incalculable de femmes -et d’hommes- rêveraient de prendre sa place !! Pendant tout ce temps, il me regarde et me sourit. J’ai l’impression que son slip gonfle légèrement…
« -What a job ! No ?
-…Not so bad ! ».
L’après midi touche à sa fin et on finit la série des underwear. Max voudrait profiter de la chaude lumière du soleil qui baisse un peu pour commencer la série des maillots de bain dans la piscine. Du coup Paulo doit pratiquement toujours être mouillé, ce qui fait qu’à chaque changement de maillot il plonge, nu, dans la piscine pour se remouiller, car parfois le maillot doit être sec avec seulement quelques taches d’eau. Ce qui est sûr c’est que, dans la lumière du soir, avec les reflets du soleil sur sa peau, il est de plus en plus magnifique. Les photos seront sûrement superbes.
« - Bon. Je crois que ça suffira comme ça pour aujourd’hui. » lance Max.
-On a la villa à disposition. Ceux qui veulent peuvent dormir ici. On remet ça demain à neuf heures, okay ? ». On range le matériel à l’intérieur de la villa. Apparemment, ça n’intéresse personne sauf Paulo qui préfère ça à l’habituel hôtel. Passant près de moi dans le couloir, il me chuchote à l’oreille :
« -Can you stay here this night ? » en me jetant un clin d’œil coquin.
Plus de doute, cette fois, il me propose carrément de coucher avec lui !
« - I have to think about that !! » je lui réponds en riant, les yeux brillants.
Très vite les autres s’éclipsent. Max me souhaite une bonne soirée, en rigolant. Il a bien sûr tout compris. Je prétexte de boire un dernier verre pour rester un peu… au bout de combien de temps va-t-il me sauter dessus ? Je décide mentalement de faire durer le plaisir le plus longtemps possible. Paulo est resté en maillot. Il me propose d’en choisir un et de le rejoindre dans la piscine. Exprès, je choisis un string ficelle rose.
« -Too small for your…material ! » rigole-t-il.
Pendant un bon moment, on enchaine les longueurs. Ca le détend de son après midi de travail. Il nage un très beau crawl, puissant, rapide. A un moment, il sort, ruisselant d’eau du bassin : superbe ! Il plonge et essaie de faire toute la longueur sous l’eau. A cinq mètres près, il y arrive. Pour se reposer, il s’allonge sur le bord du bassin. Je nage vers lui et m’accroche au bord, tout près de lui. Il ne bouge pas et fait mine de dormir. Je l’asperge légèrement. Il pose sa main sur ma tête et m’enfonce sous l’eau.
« -Do you want to eat in a restaurant ?
-Why not ? ».
On se rhabille et on se dirige vers le port pour y trouver un restaurant. On trouve une table avec bougie en terrasse, tout près de l’eau. On se dévore des yeux, littéralement. Sous la longue nappe qui recouvre la table, je sens le frôlement de son pied nu contre le mien. C’est notre premier contact physique, bien que je connaisse tout de son anatomie ! Son pied nu me caresse longuement, savamment. On parle peu, on essaie plutôt de se deviner. On déguste nos crevettes, notre salade, notre dessert. Certaines tables aux alentours nous jettent parfois des regards de curiosité.
« -Vamos a la playa ? » Tiens, il est repassé à l’espagnol.
Cette fois, la nuit est tombée. On se balade côte à côte, à se frôler, mais sans se toucher. Mon désir pour lui n’en est que plus grand…On marche un bon moment, à la limite de l’eau. Soudain, il se déshabille complètement et se jette à l’eau. Il me fait signe. Je le rejoins. Et là, pour la première fois, il approche son visage, ouvre la bouche et attend la mienne. Nos lèvres s’effleurent, nos haleines se mélangent, nos langues se touchent…J’empoigne ses cheveux, me colle à lui et lui donne un long, très long et lent baiser. Je sens son sexe se dresser contre le mien, dans l’eau. On reste ainsi, collés l’un à l’autre, serrés par nos bras. Je descends mes mains le long de son dos. J’ai trop envie de toucher son fabuleux cul. Il durcit ses fesses sous mes mains. Je voudrais rester ainsi jusqu’au matin. Il a glissé ses mains vers nos bites dressées et collées l’une à l’autre et les caressent doucement. Je malaxe ses énormes globes, je lui parcours la raie de mon majeur, lui titille un peu sa rosette. Il ondule. Puis je passe derrière lui, me colle à lui, fait glisser ma bite le long de sa raie, tout en le branlant doucement. Il a basculé sa tête en arrière, au creux de mon épaule et me mord le cou. Puis on regagne la plage. Il s’assoit juste à la lisière de l’eau et du sable, appuyé sur ses coudes et semble attendre quelque chose. Je me mets à genoux entre ses jambes écartées et plonge vers son torse en le léchant. Je suis sa fabuleuse ligne de poils, descendant vers sa touffe. Sa bite se redresse, attendant la caresse. Je lui gobe le gland qui a le goût salé de l’eau de mer. Je le chatouille de ma langue. Il se soulève légèrement pour mieux s’offrir. Je glisse mes mains sous ses fesses et l’attire vers ma bouche qui l’avale de plus en plus. Il a basculé sa tête vers l’arrière, les yeux clos, la bouche légèrement ouverte. J’ai idée que c’est sa caresse préférée, je m’en souviendrai. Je me mets à le pomper à fond, avalant toute sa tige. Il a posé une main sur mes cheveux et accompagne mon mouvement. Il gémit doucement. J’accélère, je ralentis, je serre, je sors, je malaxe ses boules, je titille son trou. Bref, je l’excite à fond. Ca dure ainsi un bon moment.
« -Come ! Go to the villa to enjoy more and more ! » me souffle-t-il dans un râle.
On se rhabille sommairement et on part vers la villa, plus excités que jamais. De ce côté, la plage est déserte à cette heure et, tous les dix mètres, on se dévore à pleine bouche. Arrivés à la villa, il balance son jean et son tee shirt et vient s’asseoir au bord de la piscine, jambes écartées, pieds dans l’eau. Son slip blanc se détache sur sa peau foncée dans l’obscurité. J’ai compris. Je me mets à poils, passe de l’autre côté, plonge, traverse sous l’eau et émerge juste entre ses jambes. J’enfouis ma tête mouillée dans son brief blanc, qui dessine un arc parfait, tendu qu’il est par sa bite. Je le frotte, le mordille, glisse mes mains sous le tissu sous ses fesses. Il entrebâille le haut, je plonge ma bouche. J’y vais de bon cœur, je sais qu’il adore. Sa bite a bon goût. Un goût de mâle, mêlé à un léger goût de sel. De la main, il m’invite à remonter sur le bord, s’allonge sur la margelle. Je me mets en position de 69, lui offrant ma bite à sucer aussi. On se fait ainsi un bien fou pendant un sacré bout de temps. Ses mains sont magiques, son imagination est sans limites. Je veux bien me mettre à croire que les Brésiliens sont doués pour l’amour !
« -Jo, fuck me, fuck me, please. Fuck me hard ! Moi de baise ! » souffle-t-il, en m’entraînant vers la villa.
Arrivé dans la chambre, il farfouille dans son sac de voyage et en sort un grand tube de gel. On se jette sur le grand lit de la chambre. Il me tend le tube. Il s’est mis en levrette. Avant de lui enduire le trou, j’ai envie de lui bouffer sa rondelle, de me perdre dans ses magnifiques fesses. J’écarte ses globes, il m’aide de ses mains, je lui lèche la raie et remonte vers son trou. Toute sa raie est rasée de près. Je salive, le titille du bout de ma langue, m’enfonce et recommence de plus en plus excité. Il râle de bonheur. J’ai attrapé ses boules et les malaxe doucement. Puis, je l’enduis copieusement de gel, m’enduis la bite et vient promener mon gland dans sa raie de plus en plus vite. Il glousse. Je le titille un peu avec un doigt qui passe à l’aise. Je présente mon gland et commence à pousser un peu. Il se retourne alors sur le dos, jambes écartées, offert. Il veut me voir. Je passe le gland sans aucun problème. Il pousse un petit cri et me bloque, voulant savourer l’instant. Ses yeux rieurs me vrillent. Puis, des ses mains sur mes fesses, il me tire en lui tout doucement. Je réalise alors que je suis entrain de baiser un mec que des milliers de personnes rêvent d’avoir dans leur lit ! Et c’est à moi que ça arrive ! Putain qu’il est beau ainsi offert, fou de désir contenu. Je le pénètre doucement. Je me sens m’enfoncer en lui, dans la chaleur de son ventre. Je fais mine de me retirer légèrement, il se crispe et me retient de toutes ses mains.
« -E bom, é bom !! Um mais !!» me crie-t-il.
Il s’arcboute sur ses jambes repliées pour mieux s’offrir encore. Mes mains s’affolent sur son ventre, son torse, ses tétons, sa touffe, sa bite tendue vers le ciel. Je m’enfonce de plus en plus facilement dans son fourreau. Maintenant, je suis totalement en lui. Je fais corps avec lui. Depuis le temps que j’attendais ce moment ! J’ai le sentiment de le posséder, de le dominer. Je commence à le limer doucement. Il balance doucement sa tête de gauche à droite, les yeux fermés. J’accélère un peu.
« -Mais rapidamente ! »
J’accélère encore un peu. C’est trop bon ! Mais, je veux l’épuiser dans toutes les positions possibles et imaginables. Je suis sûr qu’il n’a rien contre. Alors, je me retire et m’allonge sur le dos, ma bite dressée attend qu’il vienne s’empaler dessus. Ce n’est sûrement pas à lui que je vais apprendre le secret des positions amoureuses. Il pige tout de suite. A califourchon sur moi, il cherche mon pieu. Cela me permet de branler doucement sa bite. Je peux y mettre mes deux mains, signe de sa belle taille. Son gland dégouline de mouille. J’enduis la paume de ma main et je lui fais lécher. Ca y est, il est complètement descendu sur ma queue et il commence son va et vient en s’appuyant sur les mains. Il varie sa vitesse, resserre ou relâche son sphincter, décrit des cercles. Trop bon ! Maintenant, c’est moi qui le pistonne. Lui s’est légèrement relevé sur ses cuisses et attend mes coups de boutoir. La sueur commence a dégouliner sur nous, rendant nos corps luisants dans l’obscurité et glissants. J’aimerais encore le limer dans une position que j’adore. Je me retire, le relève et vient l’adosser contre le mur de la chambre, passe mes bras sous ses cuisses et le soulève le long du mur. Il s’accroche à mon cou et redescend lentement s’empaler sur ma bite. Il adore cette position.
« -E bom ! E bom !! » grogne-t-il.
Il s’empare de ma bouche, de mon visage, me mordille partout. Ma bite en feu le laboure de plus en plus sauvagement. Je suis excité par ses cris de plaisir. Il ruisselle de sueur. Je sens ses ongles qui s’enfoncent dans mon dos. Je me déchaîne de plus en plus. Il a compris que c’est ainsi que je voulais jouir, alors il se donne à fond, accompagnant mes coups de boutoir au maximum. Je suis hors d’haleine ? Sa bite bandée me laboure le ventre. Je sens une vague de chaleur monter dans tout mon corps.
« -Paulo ! Paulo !! »
J’ai joui en criant son nom. Une fois, deux fois, trois fois. Trois longs jets chauds de plaisir trop longtemps contenu. Il m’embrasse à pleine bouche. Il repose ses jambes au sol. On reste ainsi, imbriqués l’un dans l’autre contre le mur. J’essaie de récupérer mon souffle. Je lèche la sueur sur son front, ses joues.
« -I also enjoy doing ! » me supplie-t-il.
On ne peut pas résister à une telle demande de la part de quelqu’un comme lui. Bien sûr que je vais essayer de le faire jouir aussi, et du mieux que je peux en plus. Je crois deviner comment il voudrait ça. Ca ne manque pas. Il s’allonge à moitié sur le lit, les jambes repliées sur le sol, la bite offerte à ma bouche … Je vais le pomper, le branler et l’envoyer au ciel. Je lui dois bien ça. J’essaie de déployer tout mon savoir faire mais, en fait, je me laisse emporter par ses cris, son excitation qui monte de plus en plus, les mouvements de son bassin qui deviennent de plus en plus incontrôlés. J’alterne les mouvements de branle et de succion de plus en plus vite. Il a empoigné mes cheveux et m’enfonce la tête sur son pieu. De mes deux mains superposées j’empoigne sa bite et le branle de plus en plus vite…
« -Meu deu !!! » a –t-il le temps de crier en jouissant sur mon visage. Je le laisse un peu récupérer et je rampe vers lui pour coller mon visage plein de son sperme contre le sien. Il me lèche tendrement comme le ferait un chat.
« -Obrigado ! Thank you for the paradise !! ».
Exténués tous les deux, on ne va pas tarder à sombrer. Moi, collé à son dos, une main sur sa bite, dans une forte odeur de sperme.
Au milieu de la nuit, j’émerge de mon sommeil. Il est là, allongé à côté de moi, dormant sur le ventre, les jambes écartées, un bras replié sous lui. Sa bouche légèrement entrouverte laisse entrevoir ses deux incisives, sa chevelure encadre son visage d’ange tombé du ciel. Il est inouï de beauté. Je ne veux plus me rendormir. Je veux me gaver de ces instants fabuleux, les graver dans ma mémoire pour la vie. Son magnifique CUL, je ne peux m’en lasser. Je le regarde, le regarde. Bien sûr, le désir revient. Mais, je ne veux pas le violenter, je voudrais que ce soit très doux, presqu’à son insu…J’effleure du bout de mes doigts très très légèrement ses fesses. Il frémit à peine. Je continue en descendant un peu vers ses couilles. Il remue un peu plus mais je sens qu’il dort encore profondément. Peut-être est il entrain de commencer un rêve érotique. Voilà, c’est ça que je voudrais. Qu’il ne sache pas s’il est dans un rêve ou dans la réalité. Va falloir que j’y aille tout en douceur. Du bout de mon index, je parcours très lentement sa raie, soufflant très légèrement un peu d’air chaud sur son trou. Il grogne un peu, remue ses jambes et les écarte encore plus ! Merci ! J’enduis copieusement mon majeur de salive et commence à lui chatouiller la rondelle très très doucement. J’alterne avec de tous petits coups du bout de ma langue. Je regarde un peu sur le côté et je vois que sa bite est raide, mais peut être l’était elle déjà avant…Je récupère de la mouille sur mon gland et l’enduis très doucement toujours. J’essaie de passer mon petit doigt. Il pourrait passer mais je ne veux pas le réveiller trop vite. J’ai pourtant trop envie de le pénétrer ainsi. J’insiste encore un peu et tout à coup le voilà dedans ! Cette fois, il a encore remué. J’attends sans bouger. J’entends sa respiration qui s’accélère légèrement. Est- il encore endormi ? Je commence à le limer très très très lentement. Il remue un peu plus. On dirait que ses fesses se mettent à onduler très doucement ! En tous cas, s’il ne dort plus, il fait très bien semblant ! Maintenant, mon petit doigt coulisse parfaitement, alors je décide de changer de doigt. Encore un peu de mouille et hop, je passe un peu le majeur. Doucement, langoureusement, je le dilate. Ses fesses bougent très légèrement en cadence. Je vais tenter le grand coup…Doucement, je change de position pour venir présenter mon gland au contact de son trou. Il tressaille…Tant pis, j’en ai trop envie. Je pousse un tout petit peu. Encore, encore…J’y suis ! Je ne bouge plus et l’observe. Il remue un peu les fesses comme s’il en voulait encore plus. Encore un centimètre…Trop doux ! Trop cool ! Et c’est alors que je vois ses deux mains bouger d’un seul coup, m’empoigner les fesses dans un éclat de rire et me tirer vers lui ! Le salaud ! Il faisait semblant de dormir ! Mais depuis quand ? Du coup, j’empoigne le tube de gel et en verse copieusement sur ma tige et je le pénètre doucement. Il a relevé ses fesses pour mieux offrir son trou à ma bite. Il se cabre encore un peu plus, presqu’en levrette. Je suis à nouveau à fond en lui, dans la douce chaleur de son ventre. Je le sens qui contracte à plusieurs reprises son sphincter. Je commence mon va et vient, lentement. Il n’y a pas encore très longtemps, il dormait profondément, alors il est encore dans un état un peu comateux mais je sens qu’il s’anime petit à petit. D’ailleurs, il se retire, se retourne sur le dos et cherche mon dard. Il passe ses longues jambes sur mes épaules, puis vient enserrer ma taille. Je le lie ainsi pendant un bon moment. Soudain, il se redresse et vient se coller contre moi, toujours empalé sur ma bite. Il me sussure à l’oreille :
« -I want to fuck you…
-It’s my best wish ! »
Il s’éclipse un moment dans la pièce et bientôt on entend de la musique brésilienne. A l’oreille je crois reconnaitre Gilberto Gil ou Chico Buarque. Il me fait changer de position. J’ai l’impression que je vais avoir droit à un festival ! Il m’allonge sur le ventre, juste en bordure du lit et fait plonger ma tête vers le sol et m’écarte fortement les jambes. Puis il s’allonge entre mes jambes et commence à me lécher la raie. Du bout de sa langue, il m’agace de plus en plus ma rosette. Trop trop bon ! Je ne sais pas si c’est la position qui veut ça, mais j’ai l’impression d’avoir encore plus de sensations que d’habitude avec cette caresse. Il s’en donne à cœur joie et me donne des sensations incomparables. Il se redresse un peu sur ses genoux pliés, s’enduit copieusement de gel et vient me titiller du bout de son gland. Je vais bientôt sentir sa queue en moi, depuis le temps que j’en rêve…Je sens sa tendre poussée sur mon trou. C’est cool ! De temps en temps il s’écarte et me passe un doigt pour me dilater. J’ai senti son gland passer, c’est un des moments que je préfère avec le pilonnage à fond. Il progresse très doucement. Je la sens qui avance et je sais aussi que ça va être un sacré morceau ! En même temps, il s’est allongé sur mon dos et me couvre complètement. J’adore. Il progresse lentement, se recule et reprend sa progression. Je sens la chaleur de son membre, je le sens parfaitement bien. Qu’il est doux dans son approche ! Ca y est, je sens ses couilles, il est complètement en moi. J’ai l’impression que mon ventre est plein de lui. Doucement, lentement, il commence à me limer. Son va et vient est lent mais il s’accélère un peu plus à chaque aller retour. J’adore le sentir ainsi fouiller mes entrailles de plus en plus vite, sentir son souffle s’accélérer dans mon cou, sentir son corps se durcir contre le mien. Je suis à sa merci. A un moment, il s’arrête de me pilonner, reste complètement en moi et me serre à me broyer. Il n’a pas encore joui mais je pense qu’il a une autre idée en tête.
En effet, lentement on se décolle et il m’emmène vers le mur de la chambre. Il me fait mettre à un mètre du mur, me bascule en appui, à l’oblique sur le mur, bras et jambes écartées au maximum. Comme pour une fouille par la police américaine (une coutume de son pays aussi ?). Il me glisse sur les yeux un de ces trucs qu’on donne dans les avions pour dormir. Je n’y vois plus rien. Puis il s’approche par l’arrière et, sans crier gare, me transperce d’un seul coup d’un seul de sa longue bite. Il a agrippé mes épaules en passant sous mes bras et il commence à me pilonner ainsi le plus sauvagement qu’il peut. Le changement est radical avec avant, mais j’adore ça.. Il se déchaine ainsi de plus en plus férocement. Je ne le reconnais plus, lui que je pensais si doux ! Il a raison. Une fois encore, je trouve que la position dans laquelle il m’a mis me soumet encore plus à son désir, à son plaisir. Ca m’excite grave ! Du coup j’écarte encore un peu plus les jambes, offert totalement. Je l’entends perdre son souffle à mesure qu’il me pilonne de plus en plus fort. Comme j’aimerais voir son visage dans ces moments là !!
Mais, une fois encore, ce n’est pas ainsi qu’il a décidé d’exploser. Là encore, il s’arrête brutalement après s ‘être retiré de mon ventre. Il me prend la main et m’entraîne vers l’extérieur, vers la piscine je pense. Je l’entends qui déclenche la douche extérieure. Il me glisse dessous et vient se lover contre moi. Il m’embrasse longuement et me retire doucement le bandeau. On est revenu à une phase douce. Il me caresse. L’eau tiède nous apaise un peu. C’est trop trop bon d’être ainsi collé à à lui, sous la douche, dans la nuit, avec la musique de Chico Buarque en fond sonore… C’est sûr, ça restera un grand souvenir de ma vie. Je me mets à chantonner doucement :
« -Oh Brazil, tropical… » Il rigole de toutes ses dents.
Pendant tout ce temps, nous nous noyons dans les yeux l’un de l’autre, chavirés. Il m’entraîne alors vers la piscine. Je crois bien que c’est là qu’il a décidé de jouir. L’eau est très douce, pas du tout froide. Il me place le long du mur, de l’eau jusqu’aux tétons. Il m’écarte les jambes et sa bite cherche mon trou. Facilement, il entre. Cette fois, je vais voir son plaisir sur son visage. Il reprend son va et vient, lentement d’abord. La caresse de l’eau tiède rajoute encore à notre excitation. Je sens bien son membre chaud qui me laboure tendrement. Son dard qui me fouille, je resserre mon sphincter sur sa bite. Il aime. J’ai empoigné ses fabuleuses fesses et j’accompagne son mouvement. Il soulève mes jambes, je viens enserrer sa taille. L’eau nous porte, c’est vachement bon. Son visage est rayonnant. Il se lance dans un baiser fougueux tout en me trombonnant. Ma bite dressée frotte contre son ventre. Je l’empoigne et me branle en cadence. Il a encore accéléré les mouvements de son bassin. Il a pris ma main et me branle aussi. Il accentue encore son coup de bite. Il cherche son souffle. Ses yeux s’agrandissent, il est rayonnant. Je le sens pas loin du tout de l’explosion.
« -Oh ! Deu ! » cri-t-il.
Ca y est. Il se raidit. Je sens une décharge et son sperme chaud se déverse dans mon ventre. Je me déchaîne sur ma bite car je voudrais jouir en même temps que lui, ou presque. J’ai empoigné sa main et je m’astique comme un forcené…
« - Paulo ! Paulo meu !! ».
Un long jet jaune remonte à la surface. On met un certain temps à récupérer de nos ébats. Paulo a déjà commencé de crawler sur une ou deux longueurs. Puis, on regagne notre lit. Il n’est que quatre heures. Paulo s’endort presqu’instantanément, lové contre moi, sa main sur ma bite. Le rêve…

8h30, son portable se déclenche. Il faut se secouer, les autres arrivent à 9 heures. Vite, une douche câline à deux, un rapide petit déjeuner. Paulo a réenfilé son brief vermillon qui le moule à ravir. Il est superbe là dedans. Il décide de rester ainsi vu qu’il va passer sa journée en maillot de bain. Pour sauver les apparences, et sa réputation, j’enfile mon short long. Max arrive le premier. Quand il voit la tête de Paulo, il pousse un cri :
« -De deux choses l’une, ou il a passé une très mauvaise nuit, ou une excellente… ! » lance-t-il en me souriant, preuve qu’il ne m’en veut pas.
« - Va falloir que le maquilleur nous arrange ça ! Dommage, hier ça aurait pu le faire avec les underwear mais aujourd’hui, c’est plutôt l’image saine et sportive qu’il va falloir donner. »
« -What he say ? » me demande Paulo
« -No problem ! » j’ose lui répondre.
Et c’est reparti pour une longue séance de shoots. A plusieurs reprises, j’ai eu envie de rire car Max avait replacé Paulo pratiquement aux mêmes endroits que cette nuit, dans la même position. Paulo me souriait d’ailleurs, il devait penser la même chose que moi. Malgré tout, Paulo reste toujours aussi enjoué, attentif aux demandes de Max et disponible. A sa place, j’en aurai déjà eu marre depuis bien longtemps. Pas lui. Comme hier, je lui passe les différents maillots. A un moment, Max me dit :
« -Tu devrais peut-être enfiler un maillot toi aussi, ça serait plus pratique pour lui passer les vêtements…
-Okay, si tu veux. »
Vers 11h30, la séance se termine. C’est alors que Max a une idée.
« - J’ai envie d’essayer un truc. Ils en feront ce qu’ils en voudront. Mais ça pourrait être un angle intéressant. Tu vois, dit-il en s’adressant au gars de la prod, c’est un truc super ambigu au bord d’une piscine entre deux mecs. Ca pourrait coller avec l’image de vos underwear…
- Je saurai jamais faire ça, lui dis-je.
- On va essayer… »
Et me voilà à prendre des poses au bord de la piscine, pendant que Paulo me lance des œillades suggestives. Trop rigolo, vu la nuit qu’on vient de passer et que Max soupçonne aisément. Mais, c’est loin d’être évident, surtout pour moi qui n’ais pas l’habitude. En fait, il faut faire attention à tout, tout en paraissant le plus naturel possible !
« -Max, tu sais que Paulo a un avion à 13h30…
-Oui je sais, allez on arrête. »
En remballant le matériel, il me glisse à l’oreille.
« -Je t ’en ferai une série en double, ça te fera des souvenirs… » Sacré Max !
L’heure du départ approche. Mon cœur commence à se serrer. J’amène son sac d’affaires à Paulo que se rhabille dans la salle de bain. Lui aussi me regarde gravement. Tout à coup, il enlève son slip vermillon, emballe son parfum dedans et me tend le tout.
« -For you, my dear… ». Je sors avant d’éclater en sanglots.
Comme à l’aller, c’est moi qui le ramène en voiture à l’aéroport. On a du mal à se parler. Il pose sa main sur ma cuisse et la glisse lentement vers mon entrejambes. Je fais de même, conduisant d’une main. Je voudrais qu’il y ait des embouteillages d’enfer, qu’il rate son avion, qu’on ait un accident…Je ne sais quoi pour retarder la séparation. Juste avant de descendre de la voiture, il m’embrasse interminablement. Ses yeux se brouillent. Un dernier regard à travers la vitre de la salle d’embarquement. Nos doigts se touchent de part et d’autre de la vitre. Je me sauve dehors. Je m’écroule sur le volant, n’arrivant plus à arrêter mes larmes. Je veux encore respirer son odeur. Je déballe son slip et le respire. Sur son flacon de parfum, il a écrit au feutre son 06…

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Texte coquin : Oh meu Brasil...
Histoire sexe : Une rose rouge
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