Maroc 6

- Par l'auteur HDS Calinchaud -
Récit érotique écrit par Calinchaud [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Maroc 6 Histoire érotique Publiée sur HDS le 28-06-2014 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Maroc 6
-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --

Rentré chez moi, j’ai savouré ce moment de solitude et repensé à ce moment si intense, moi français au Maroc, invité à prendre le thé Marocain avec mon mec dans sa famille…..

C’était vraiment magique…..

Même si pendant cet instant, je ne pouvais pas m’empêcher de le regarder, de reluquer son entrejambe pour deviner son sexe, qui me donnait tant de plaisir…. Ce membre créé par sa mère était devant moi, je le devinais sous son pantalon ample qui le masquait, et même en étant en face de lui, je sentais son odeur de mâle…..

Khaled a compris mon émotion et ne m’a pas appelé ce soir là….

Il m’a laissé savourer cet honneur de m’avoir permis de partager son intimité familiale, de me sentir encore lui appartenir davantage.

Message passé….

« Maintenant que tu as connu ma famille, tu es ma « femme » tu es à moi et je fais ce que je veux de toi… »

Message tacite, mais bien reçu quand il m’a appelé dès le lendemain pour passer la journée avec moi…

Dès le matin, il est venu me chercher chez moi, et de suite, comme un fou, il m’ renversé sur la table, a baissé mon pantalon et s’est enfoncé dans moi d’une traite…..

« Tu es ma femme et je te possède quand je veux et comme je veux… »

Quel contraste avec sa gentillesse de la veille et la violence de sa possession….

Pendant une semaine, il n’a eu de cesse d’être avec moi, de me posséder, mais aussi de sortir dans Rabat, dans des cafés où il me présentait à ses amis, comme un copain, même si avec certains, je le voyais échanger des clignements d’œil….

Un soir, il m’a annoncé qu’un de ses cousins était à Rabat pour quelques jours et qu’il aimerait que nous passions une soirée ensemble, tous les trois… Il voulait que je fasse sa connaissance.

Il m’a demandé de faire le marché, de préparer un bon repas, de prendre de la bière, et de les recevoir tous les deux, comme une fatma doit recevoir son mari et sa famille.

Le lendemain, Khaled est arrivé avec son cousin, mec pas mal et très sympa, et nous avons passé une soirée super sympa. J’avais évité tous les sujets me paraissant « sensibles », mais Khaled ne s’en était pas privé, à mots à peine couverts. Si son cousin n’avait pas compris que j’étais la « femelle » de Khaled, c’est qu’il était vraiment bouché…. Mais peu de réactions de sa part, si ce n’étaient clins d’œil et mots en arabe entre eux…

Comme il était assez tard, Khaled m’a demandé si lui et Brahim pouvaient dormir là, chez moi. Effectivement, les transports à cette heure étaient assez rares, et c’est avec plaisir que je lui ai donné mon accord, tout content de passer la nuit avec mon homme, trop envie qu’il me baise comme un malade selon son habitude.

Alors que j’allais préparer le canapé pour Brahim, Khaled s’est approché de moi et m’a dit que ce n’était pas la peine de me déranger, que mon lit était assez grand pour 3…

Ma foi, j’ai accepté, déçu du fait que je ne pourrais pas me prendre le merveilleux sexe de mon homme en moi cette nuit-là.

Nous voilà au lit tous les trois, moi entre ces deux hommes, près du mien, et je n’ai pu m’empêcher de lui glisser un baiser furtif sur ses lèvres. Sa main a aussitôt pris la mienne et l’a posée sur son membre, tendu comme un taureau…. Je ne pouvais pas résister… Il m’a fait tourner dans le lit, a baissé mon caleçon et sa tige, dure, s’est enfoncée en moi brutalement….
Ces coups étaient tellement forts que je n’ai pu m’empêcher de gémir et de gesticuler, en effleurant son cousin, que je croyais bien endormi….

Khaled, en me défonçant, me poussait vers son cousin et j’ai dû me raccrocher à Brahim, tellement les coups de Khaled en moi étaient forts et violents. Mes mains ont rencontré la barre de Brahim tendue à l’extrême….. Et la voix de Khaled…..

« Suce-le »….

Une voix impérative, dominante…

« Suce… !! »

Ma main a découvert cet autre membre de chair et je l’ai aussitôt enveloppé de ma bouche…

Brahim s’est levé, a enfoncé sa bite dans ma bouche, comme si il baisait une chatte…

J’étais rempli par tous les trous…… J’étais devenu une femelle à arabes et pendant toute la nuit, je me suis fait baiser par Khaled, par Brahim… Ca ne s’arrêtait jamais… J’avais toujours un sexe à dévorer ou à prendre en moi….. Même la double pénétration y est passée tellement j’avais été perforé, ouvert, défoncé, soumis à ces mâles si virils… Plus ils me prenaient, plus j’en voulais, encore et encore….

Le lendemain matin, rempli de leur sperme, de leur odeur de mâle, je me suis levé péniblement pour aller préparer un café aux deux hommes qui m’avaient si bien comblé pendant la nuit. J’ai posé ma main sur l’épaule de Khaled et lui ai fait sentir la tasse de café….
Ses yeux se sont ouverts, il a pris ma tasse et l’a bue en me regardant droit dans les yeux, sans rien dire…. J’ai avancé la deuxième tasse vers Brahim, et… même comportement… Aucun mot n’avait été échangés entre nous…. Mais j’apportais un café à mes mâles qui m’avaient si bien comblé toute la nuit….

Khaled m’a attiré vers lui, et a enfourné son membre dressé dans ma bouche, pendant que Brahim se positionnait derrière moi pour me posséder de tout son long…

Pendant deux heures, j’ai encore subi tous les désirs de ces deux mâles en rut…..

Une fois les deux hommes prêts à partir, Khaled s’est approché de moi…

« Je reviens demain… ok ? »

« Tu es ma femme… mais tu es une pute….. »

Interloqué par ces mots, je le regardais sans trop comprendre….. Sans trop réaliser…..

« Tu aimes les zebs, non ? Alors, autant que ça me rapporte… »

Pour la première fois, je voyais un regard très cynique et froid dans les yeux de Khaled….

« Ou tu es d’accord pour vendre ton cul pour moi, ou ce n’est pas la peine de me rappeler….. A toi de voir »

Après son départ sans le moindre regard, je suis retourné en boule dans mon lit, ce lit qui avait été le théâtre d’une si belle nuit, et j’ai commencé à m’endormir….

En pensant à Khaled, à ce qu’il voulait de moi, mais aussi à son corps, à son sexe dont je ne pouvais plus me priver….

Pute… pourquoi pas……

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Texte coquin : Maroc 6
Histoire sexe : Une rose rouge
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