Les 12 servitudes d'Hélène (épisode 35)

- Par l'auteur HDS MAITREDOMINO -
Auteur homme.
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Récit libertin : Les 12 servitudes d'Hélène (épisode 35) Histoire érotique Publiée sur HDS le 31-07-2014 dans la catégorie Dominants et dominés
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Les 12 servitudes d'Hélène (épisode 35)
Les 12 servitudes d'Hélène : La métamorphose d'êta...

Aux yeux de tous, c'est donc sous l'allure d'une vieille et laide femme édentée, aux chairs flasques, que la belle êta fut menée avec le troupeau des esclaves destinées aux Plaisirs du Grand Prince Hésiode Mircea et de ses proches... Les hommes avaient pris place dans une vaste salle à colonnes, au sol entièrement dallé d’un marbre luxueux, et au centre de laquelle un très large et somptueux bassin recevait les eaux claires d'une majestueuse fontaine aux formes de Poséidon se dressant glorieux au-dessus d'une statue grandeur nature d’une femme nue et agenouillée au trois quart immergée, l'eau s'écoulant à flots de la verge du Dieu pour arroser la femme prosternée avant de gagner le vaste bassin assez profond. On pouvait apercevoir au fond de celui-ci, des centaines de pièces d’or laissées en offrande à ce Dieu Poséidon. La peine de mort était requise à celui ou celle qui s’aventurerait à voler, ne serait-ce qu’une seule pièce, car cela serait considéré comme un véritable sacrilège, une offense à la Divinité représentée.

Les douze femelles esclaves étaient menées par des gardes maniant de fines baguettes souples dont le sifflement dans l'air suffisait à faire frémir les jeunes femmes totalement nues qui allaient être livrées aux convives... Et si l'une d'elles semblait ralentir le pas ou se montrer hésitante, la verge flexible s'abattait inévitablement sur sa croupe, la zébrant sans pitié, le Grand Prince appréciant en connaisseur les traces qui marquent les corps serviles de l'empreinte de leurs tourmenteurs... Au fil de la soirée, les femmes seraient de toute façon punies et avilies, ce n'était pas une marque de plus ou de moins qui allait gâcher les plaisirs des invités. êta, quant à elle, n'avait ni doute ni hésitation... de son pas de vieillarde, elle s'avançait vers cette nouvelle épreuve avec détermination. Peu à peu, l'esprit revenait à la blonde et sublime esclave... si elle demeurait amnésique et ne se souvenait pas de sa réelle identité (pour rappel, elle était la Belle Hélène, frappée par une divine malédiction la condamnant à errer sans nom et à subir tous les outrages), ses pensées avaient fini d'errer. Elle n'était plus seulement un objet servile, voué à satisfaire les plus lubriques désirs de tous Ceux et Celles dont elle croisait le destin. Par le plaisir qu'elle avait appris à ressentir et à apprécier, par ses jouissances, elle n'ouvrait plus seulement les cuisses au premier claquement de doigts, elle ouvrait aussi son esprit et ressentait en elle une force nouvelle, une chance de faire basculer sa destinée...

C'est ainsi, mue par une volonté farouche, bien que perçue par toutes et tous comme une vieille et horrible femme tremblante, êta parvint au centre de la vaste pièce du palais où le Grand Prince et ses amis, déjà nus et largement imbibés de vin guettaient l'arrivée de celles qui allaient subir leurs vicieux assauts et assouvir tous leurs pervers désirs. L'arrivée des onze jeunes femmes et de la vieille fut accueillie par des hourrahs et des applaudissements... Tous s’étonnaient de la présence de cette hideuse vieille femme mais aucun n’avaient osé contredire la volonté de leur souverain. Chacune des esclaves vint d'abord se présenter devant le Grand Prince Hésiode, se prosternant à Ses Augustes Pieds et attendant qu'il claque des doigts pour se redresser et subir un examen détaillé et impudique. Satisfait de ses investigations charnelles, le Grand Prince envoyait ensuite l'esclave vers ses amis où elle était promptement saisie par des mains perverses aussi caressantes qu'inquisitrices. Parmi les onze très belles jeunes femmes, une seule ne sembla pas tout à fait satisfaire aux exigences aussi lubriques que précis d'Hésiode Mircea. Il se leva alors de son trône et saisit la pauvre femelle par les cheveux, la forçant à se redresser, afin de lui cingler la croupe d'une lanière cousue d'or qu'il abattit à plusieurs reprises, avant de jeter l'esclave au sol. Sur un claquement de mains, deux gardes vinrent s'emparer de la femelle sanglotant.

- Elle est indigne de figurer au menu de nos plaisirs, s'emporta le Grand Prince. Je vous la donne, menez-là jusqu'au poste de garde et qu'elle donne du plaisir à tous ceux qui viendront y prendre repos, cette nuit et toutes celles qui suivront. Je ne veux plus jamais entendre parler d'elle, qu'elle demeure le jouet des gardes jusqu'à ce que la limite d'âge la fasse rejeter hors de l'enceinte du palais, ordonna-t-il.

Alors que les gardes, échangeant un regard égrillard, ils emmenaient vers son destin la femme qui criait à tout va, par des suppliques et pleurs incessants. Il ne restait plus que êta aux pieds du Grand Prince... Tandis que tout autour, l'orgie avait déjà débuté, les femelles passant de mains en mains et de queues en queues, Hesiode Mircea demeurait interloqué en contemplant cette vile créature à Ses Pieds. Dès le premier regard, cette vieille l'avait purement fasciné sans qu'il put en donner la moindre raison. Pour elle, il avait même transgressé son immuable loi, interdisant à toute femelle de demeurer entre les murs de Son Palais une fois parvenue à 30 ans... Ainsi donc, elle était là, nue et si abjecte après les chairs fraîches et douces des esclaves qu'il avait livré aux insatiables appétits de ses invités. Face à l'immobilité du Grand Prince qui en silence la fixa longuement droit dans les yeux, comme subjugué, êta décida que le moment était venu de prendre quelque initiative... lentement, elle se rapprocha, saisit la jambe nue du Seigneur, commença à le caresser. Un peu tendu, il se laissait cependant faire. Lentement, la vieille progressait, posant sa tête sur la cuisse de son Maître, le caressant de façon à chaque instant un peu plus appuyée... d'abord effarouché par l'aspect si peu désirable de l'esclave, le Grand Prince se laissait aller peu à peu et il ne savait même pas lui-même ce qui le poussait à accepter les attouchements d’êta. C’était comme une sorte de pulsion inconnue qui lui intimait de la laisser s’approcher, de la laisser le caresser. La seule chose qu’il était certain, c’est que cette laide et vielle femme l’avait charmé sans en comprendre lui-même la raison… Qu’avait-il donc perçu dans le regard d’êta qui lui procurait ce désir incroyable de la posséder… Ce désir si puissant devint même obsessionnel et c’est pour cette unique raison que cette vieille femme était présente ici autour des autres beautés capturées…

êta progressait avec prudence mais avec toute l'ardeur et la subtilité que lui avaient enseigné les nombreuses épreuves déjà subies. Dans tous les recoins de la salle, l'orgie battait son plein... les invités du Grand Prince Hesiode étaient bien décidés à ne laisser aucun orifice inexploré et les esclaves avaient été dressées afin de ne jamais rien refuser, ce qui ne leur épargnait cependant pas de subir aussi quelques sadiques traitements. Plusieurs femelles portaient sur le dos et les fesses, les traces des jeux les plus cinglants... l'une d'elles avait reçu l'ordre de se plonger nue dans les eaux limpides du bassin et d'y danser tout en immergeant son corps jusqu’au nombril, ce qu'elle fit docilement, offrant aux yeux de tous les poses les plus obscènes auxquelles son corps ruisselant pouvait se livrer. Elle devait aussi s’adosser sur la statue de la femme agenouillée, lever la tête et accueillir l’eau dans sa bouche sortant du pénis de Poséidon. Quand soudain, elle poussa un petit cri, puis saisit ses seins et les massa comme en proie à une soudaine fébrilité et vive excitation... C'est qu'elle ignorait qu'elle n'était pas seule dans le bassin, le Grand Prince ayant acheté à un marchand venu d'une fort lointaine contrée, quelques dizaines de minuscules poissons habitués à venir chercher leur pitance dans les chairs intimes des femmes... Tandis qu'elle se livrait à sa danse érotico-aquatique adossée sur la statue, ayant juste le dessus de sa poitrine qui sortait de l’eau, elle n'avait pas senti plusieurs de ces petites créatures sortir d’entre les pièces d’or du fond du bassin où elles étaient cachées et venir s'immiscer entre ses cuisses, elle en ressentait maintenant les effets. Nul danger à cette pratique, les poissons ne se nourrissant que d'infimes lambeaux de chairs mortes. Mais l'effet de ces minuscules gueules plaçait celle qui en était la cible dans un état de délices orgasmiques extrêmes…

Plusieurs hommes profitaient du spectacle offert par la femelle ainsi tétanisée, qui de plus en plus passait dans un état second, l’excitation grandissante au fil des secondes, elle était désormais dans une ivresse jouissive qui l’a transportait. Les hommes appréciaient ce spectacle tout en se faisant sucer par d'autres femelles. Installés au bord du bassin, les esclaves agenouillées à l'intérieur de celui-ci... Elles s'appliquaient à offrir la plus douce et accueillante des bouches, tout en commençant à subir à leur tour les délicats assauts des poissons entre leurs cuisses largement ouvertes, mais nulle ne devait s'abandonner au plaisir avant d'avoir reçu au plus profond de leurs gorges le flot abondant du plaisir de Leurs Maîtres d'un soir. Partout dans la vaste salle, ce n'était plus que ahanements et gémissements, claquements de fouets et râles de plaisir... Nul ne portait attention au Grand Prince qui se laissait aller sur son trône, cédant lentement aux délices que Lui prodiguait la vieille femme dont il ne pouvait savoir qu'elle était en réalité la plus belle et la plus fascinante des femmes ! êta s'était saisie de son pénis, elle l'avait fait se tendre avec délicatesse entre ses mains ridées, avant d'en avaler le gland et de le faire durcir encore entre ses lèvres serrées, puis de l'absorber tout entier en lui offrant sa bouche, grotte chaude, humide et douce, écrin docile de l'érection princière...

Soudain, saisi d'un courant puissant qui lui traversait tout le corps, Hesiode Mircea dépassa d'un coup toutes les inhibitions qu'il avait ressenties devant le corps flétri qui lui donnait soudain tant de plaisir buccal. Poussant un cri de rage, ou plutôt un beuglement viril de mâle en rut, il se redressa et retira sa verge de la bouche d'êta, il se leva rapidement de son trône et se saisit brutalement d'elle, prit d’une subite envie de s’accoupler, de la posséder sauvagement... A son cri puissant, tous les convives avaient interrompu leurs ébats et s'étaient tournés vers le Prince. Abasourdis d’incompréhension, ils voyaient le si exigeant Seigneur qui se réservait toujours les plus désirables femelles, se jeter sur la vieille et hideuse femme capturée dans les marais ! Incroyable ! Dans sa si impressionnante érection, il avait la sensation de n’avoir jamais bandé ainsi aussi fort et prit de viriles pulsions subites à défoncer, à pénétrer son phallus dressé, Le Grand Prince, de toute sa puissance, venait de saisir la vieille aux hanches et de la soulever telle un fétu de paille, la plaçant devant lui, la maniant comme un jouet, il venait, pour la saillir bestialement, de l'enfiler poussant d'un coup sec son gros et long sexe dans le cul de la créature... Les mâles réunis n'en croyaient pas leurs yeux, voyant leur Grand Prince Vénéré besognant cette vieille femelle décrépite. Les femmes esclaves dardaient des regards haineux vers cette incroyable rivale qui était la seule à être ainsi honorée par Le Légendaire Pénis du Grand Prince...

Mais une étrange ambiance gagnait peu à peu la scène... Du poignet de la vieille s'échappaient par intermittence des éclairs bleutés. Tout en subissant la violente saillie princière par des coups de boutoirs incroyablement puissants et cadencés, la vieille semblait être celle qui menait la danse... Sa silhouette se brouillait par moments, les éclairs se multipliaient, s’amplifiaient plongeant l'assistance dans une sorte de frayeur paralysante. Une femelle effrayée tenta de s'enfuir, sortant dégoulinante du bassin, quelques petits poissons encore pendouillant de ses chairs intimes. Mais le Capitaine du Grand Prince, son plus fidèle compagnon, la saisit par le bras et l'attira à lui. Serrant ses doigts comme une serre autour du cou de l'esclave, il la força à s'agenouiller et força ses lèvres :

- Avale chienne ! Nul ne quittera ces lieux tant que Le Grand Prince n'en aura pas décidé ainsi !

Le Grand Prince et la vieille qu'il besognait avec tant d'ardeur étaient maintenant entièrement nimbés en permanence d'une lueur bleutée, parfois traversée par quelques éclairs aux teintes diverses. On avait la sensation que le couple si disparate était au coeur d'une véritable bataille qui dépassait largement leurs seules personnes. Ils étaient comme saisis dans un vortex inexplicable qui ne pouvait être que de Divine essence... La vieille avait, semblait-il, pris les choses en mains, se tournant tout en demeurant empalée sur la verge dressée du Grand Prince, elle s'agitait frénétiquement, poussant de puissants et nombreux cris de jouissance, tandis qu'à son poignet, un objet indéfinissable rougeoyait ardemment. Le couple si intimement collé par des vas-et-viens hors normes s'abandonnait à une folle danse incontrôlée, mêlant possession et jouissances, les orgasmes multiples secouant les deux corps en transe quand le souverain hurla son éjaculation comme une bête sauvage, à n’en plus finir... Et puis... il y eut soudain comme une incroyable lueur jaune or très lumineuse qui emplit toute la salle ! Comme si un immense rayon de soleil venait de frapper le cœur même du palais ! Et ce n'était pas loin de la vérité, puisque Apollon lui-même, fidèle à sa protégée qui avait peu de temps auparavant gagné le droit d'être pour un an son épouse, était intervenu dans une querelle Divine afin de libérer êta de la cruelle malédiction imposée par la Reine des Nymphes.

Cette lueur et les éclairs bleutés perçus par les humains présents à l'orgie princière n'étant que l'infime partie perceptible par des mortels du terrible combat qui venait d'agiter L'Olympe ! Quand soudain faisant suite à toute cette luminosité, une fumée épaisse de couleur orangée, venue d’où on ne sait, envahit rapidement le couple encore en plein coït et remplaça petit à petit, comme par enchantement la lueur Divine, masquant la vue aux invités du spectacle incroyable qu’ils avaient devant leur yeux. Et quand à son tour la fumée se dissipa doucement, il ne resta plus que la douce lumière du jour, et au centre de la salle toute de marbre étincelant, les corps du Grand Prince et d'êta gisaient, comme épuisés par les ébats intenses qu'ils venaient de vivre. Mais à la stupéfaction des Nobles et des esclaves, la vieille avait disparu et ne restait auprès du Grand Prince Hesiode Mircea qu'une splendide jeune femme nue, si belle à la beauté plastique hallucinante, aux courbes fascinantes, aux formes et corps parfait, coiffée d'une abondante chevelure en cascade blonde aux reflets d'or. Les plus observateurs auraient pu remarquer que le maléfique bracelet de cheville avait disparu. Elle ouvrir brusquement les yeux, d'une étrange nuance mêlant subtilement le vert et le bleu, et se tenant à quatre pattes, telle un fauve prêt à bondir, darda cet hypnotique regard sur l'assemblée d'hommes et de femmes nus qui l'entouraient. Les ignorant avec superbe, elle agita sa blonde crinière et se pencha sur le Grand Prince encore évanoui et c’est avec une soudaine assurance qu’elle lui sourit :

- Toi tu as su percevoir celle qui se cachait sous ma si triste apparence... Ton Noble regard a su déceler ces charmes qui étaient cachés à tous... je vais t'offrir le plaisir que mérite ta perspicacité lui susurra-t-elle à l'oreille…

Suite à ces mots, elle entreprit de chevaucher le corps inerte, frottant son corps au sien, son sexe contre son sexe, unissant ses lèvres aux siennes... Tous admiraient la façon si impudique avec laquelle êta ramenait le Grand Prince à reprendre connaissance. Le pénis se dressait, sa poitrine se soulevait, ses yeux enfin s'ouvrirent sur le plus fin et beau visage qu'il eut jamais contemplé. Il ne dit rien, ne fit rien et se laissa ainsi mener sur les chemins du plaisir par ce corps exceptionnellement beau qui ne faisait qu'un avec le sien. êta faisait étalage de toute sa science (et nulle en ce monde n'en possédait autant qu'elle !) érotique pour offrir au Grand Prince sa profonde reconnaissance d'avoir su percevoir en elle la beauté sous l'affreux masque de la pire laideur. Rassurés sur l'état de santé du Grand Prince et le voyant en de si expertes et douces mains, tous reprirent leurs délicieuses activités, malgré les images fabuleuses qui leur brouillaient encore parfois la vue et les pensées. Et l'orgie dura des heures et des heures, la nuit tomba et jusqu’aux première heures du jour, les ébats se poursuivaient... les esclaves avaient été couvertes et emplies de foutre, les invités étaient repus de plaisir et de jouissances... Le Grand Prince, encore et toujours, s'abandonnait totalement entre les cuisses d'êta qui donnait libre cours à ses instincts les plus lubriques. Ayant déjà affronté tant d'épreuves, tant de servitudes, elle se sentait soudain portée par une sensation de liberté, par le désir, le besoin presque de prendre les devants et de choisir elle-même ce qu'elle allait offrir à Celui qui la désirait...

Insatiable, assise sur le Grand Prince, elle s'empalait encore et encore pour la énième fois avec extase sur Son Sexe dressé comme un mat. Car depuis sa jouissance, la verge du souverain était maintenue en érection permanente par une force Divine qu’il ne soupçonnait même pas et cela durant toute la nuit car à chaque fois qu’il avait éjaculé, sa bite re durcissait quasi instantanément. Elle dansait autour de ce Vit si dur qui s'enfonçait en elle et vrillait son ventre d'un énième plaisir aussi puissant que nouveau. Même si elle avait déjà connu de multiples plaisirs, êta jouissait maintenant comme elle pensait n'avoir jamais joui, ayant oublié dans les limbes de sa mémoire le plaisir que lui avait prodigué Le Prince troyen Pâris, puisque quand elle était encore La Belle Hélène c'est pour vivre encore et encore leurs si brûlants ébats qu'elle avait abandonné son époux le roi de Sparte pour suivre son amant, provoquant ainsi la plus terrible guerre jamais connue par le monde des humains. Totalement amnésique, c'était donc comme une première fois pour êta qui s'abandonnait encore et encore totalement et hurlait de plaisir tout en allant et venant autour du sexe du Grand Prince Hesiode Mircea sur lequel elle s'était volontairement et si délicieusement empalée. Les couloirs du palais, retentissaient de ces cris de jouissance déchaînée...

(A suivre…)

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Texte coquin : Les 12 servitudes d'Hélène (épisode 35)
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