Laura 1

- Par l'auteur HDS DXD -
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Auteur homme.
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Récit libertin : Laura 1 Histoire érotique Publiée sur HDS le 12-08-2014 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Laura 1
Les vacances d'été qui suivirent mon année de terminale, furent pour moi les meilleures vacances de ma vie. Encore aujourd'hui, lorsque je me les remémorre, je me sens tout excité. En effet, tout au long de ce magnifique été, j'enchaînais les aventures érotiques, .

Je me souviens, qu'elles commencèrent pourtant assez mal. 4 jours avant notre départ pour le sud, ma mère découvrit qu'il avait eu confusion avec son travail pour ses jours de congé, et qu'elle devrait rester. Deux jours après cette mauvaise nouvelle, mon père se foula la cheville, et fut cloué au lit. Mes deux parents étaient donc dans l'incapacité de partir. Nous avions pourtant réservé un bungalow, au "Camping du Soleil", un ravissant camping dans le sud, près de la Méditerrannée. Comme les réservations étaient très chères, et non remboursables, il fut décidé que j'irai seul.

Bien qu'à première vue, partir seul en vacance n'ait rien de réjouissant, je suis obligé de reconnaître qu'à la fin des 10 jours que je passai au "Camping du soleil", j'étais finalement très content que mes parents n'aient pas pu venir, aussi vache que cela puisse paraître. Car il est évident, que si mes parents avaient été là, j'aurais passé de toute autre vacances que celles que j'avais passées cette année là...

Voici comment les choses se passèrent.

Le premier jour, nous étions le lundi de la dernière semaine de Juin, j'arrivais donc en train, au "Camping du Soleil". Nous étions encore en fin de matinée, par conséquent, je me fis enregistrer à l'accueil du camping, je m'installai dans le mobil-home que nous avions réservé, puis je décidai d'aller à la mer. Une fois arrivée à la plage, je m'installai tranquillement et commença à bronzer.

J'y étais depuis moins d'un quart d'heure, lorsqu'une jeune fille vint vers moi. Elle était relativement grande, dans les 1m 70, vêtue d'un bikini rouge, qui mettait parfaitement en valeur son corps de rêve, fin et agrémenté de formes généreuses, à la poitine et aux fesses. Elle était probablement d'origine magrhébine, à en juger par son magnifique teint métisse. Elle me sourit et vint s'asseoir à côté de moi.

"Salut me dit elle, t'es nouveaux ici, non ?"
"Oui, répondis je, comment tu le sais ?"
"Parce depuis le temps que je suis là, j'ai eu le temps de faire connaissance avec tous les mecs du camping, mais toi je t'ai pas encore vu. Comment tu t'appelles ?"
Je lui dis mon nom, puis lui demandai le sien, et elle me répondit qu'elle s'appelait Laura. Nous parlâmes de choses et d'autres pendant quelques minutes, puis elle me dit :
"Je me suis pas mis de crème solaire dans le dos, tu peux m'en mettre ? Après je t'en mettrai à toi."
Cette proposition me mit dans l'embarras : en fait, à cause du bac, j'avais décidé de mettre le sexe de côté, et de me concentrer uniquement sur mon travail. Cela faisait donc presque deux mois que je n'avais pas baisé. Autant dire, que j'étais quasi "mort de faim", et que rien qu'à la vue de cette belle sirène magrhébine, j'avais le plus grand mal à ne pas bander comme un âne. A la seule pensée de mes mains effleurant sa peau, je n'en pouvais plus de désir, alors je n'osais imaginer ce qu'il se passerait si je la tartinais de crème solaire, ou pire si c'était elle qui m'en tartinait !

Ne pouvant refuser, j'entrepris néanmoins de lui étaler de la crème dans tout le dos. Je tâchai d'aller rapidement, afin de ne pas trop bander, et parce que j'avais les mains qui commençaient à trembler sous l'effet du désir. Je ne sus si elle se rendit compte de mon trouble, mais toujours est il qu'elle me demanda de repasser sur les zones où je passais trop vite. Lorsque j'eus fini ma besogne, j'avais une légère érection, mais rien de trop visible. Je m'en étais bien sorti !

Toutefois Laura n'en n'avait pas fini avec moi, et entreprit de m'étaler de la crème dans le dos. Dés que ces mains me touchèrent, je sentis le désir monter en moi, et mon érection grandit quelque peu. Elle continua son travail pendant de longues minutes, faisant traîner les choses en longueur exprès. Mon érection commençait à devenir visible, mais j'aurais pu encore m'en sortir, si elle n'avait pas entrepris de m'étaler de la crème sur le torse. Elle se mit à califourchon sur moi, et m'en étala sur les abdos, et les pectoraux. La voir me chevaucher ainsi m'excita grandement, et je me mis à bander carrément. Cette fois, impossible de cacher mon érection, un simple coup d'oeil aurait suffi à Laura pour savoir ce qu'il se passait sous mon maillot de bain, et de plus, comme elle était sur moi, elle devait bien sentir que j'étais dur. Elle ne dit rien cependant, et rien ne laissait deviner qu'elle avait remarqué quoique ce soit.

Après m'avoir tartiné de crème, elle se rassit à côté de moi, et nous reccomençâmes à discuter. Sauf que cette fois ci, je ne pouvais que difficilement me concentrer sur ce qu'elle disait : chacun de ses mouvements, même les plus anodins, me donnaient envie de la baiser. Même quand elle ne faisait que parler, le mouvement de ses lèvres pulpeuses, me donnaient des envies de sexe...

Au bout de quelques minutes, Laura me montra une petite île qui se trouvait à quelques dizaines de mètre de la plage, dans la mer. C'était une île très petite, deux minutes de marche seulement auraient été nécessaires pour en faire le tour. Un petit groupe d'arbres poussait dessus, ce qui faisait qu'on ne voyait qu'un côté de l'île.

"Ca te dit on va là bas ?"
J'acceptai avec joie, espérant que l'eau de la mer, calmerait mes ardeures. Il n'en fut rien néanmoins : c'était la méditerrannée, et l'eau frôlait les 30°. Ce qui fait qu'une fois arrivé sur l'île et une fois sorti de l'eau, je bandais toujours autant qu'avant, et même un peu plus, car la vision del Laura trempée, les cheveux mouillés, avait quelque chose d'excitant.

Une fois sur l'ile, Laura me proposa de la traverser (donc d'aller du côté invisible depuis la plage), pour dit elle "profiter de la vue". Je la suivis sans protester.

Une fois l'île traversée, nous nous assîmes, et regardâmes l'horizon. Puis Laura me regarda et dit en souriant :
"Tu bandes toujours comme un taureaux dis donc !"
Je rougis, très mal à l'aise, et lui dis :
"Excuse moi, mais j'ai rien fait depuis plus d'un mois alors un rien me fait triquer..."
"Je te fais de l'effet hein ?"
Je rougis de plus belle, et dis :
"Oui, désolé."
"T'excuse pas ! Tu me plais toi aussi, pourquoi tu crois que je t'ai amené ici, à l'abri des regards indiscrets ?"
A peine eut elle prononcé ces paroles, qu'une énorme tension sexuelle s'installa entre nous. Nous nous regardions tous les deux, elle arborait un léger sourire coquin, et je compris que nous allions passer à l'action dans quelques secondes...

Nous attendîmes que le désir montât en chacun de nous, puis, lorsqu'il devint insupportable pour nous deux, nous nous jetâmes l'un sur l'autre avec sauvagerie. Nous nous embrassâmes furieusement, puis elle me plaqua au sol. Elle m'embrassa le cou, puis le torse, puis le bassin, et m'arracha mon maillot de bain. Elle attrapa mon sexe à pleine main, puis l'avala goulument. Elle entreprit une superbe fellation, faisant des vas et viens, suçant, léchant, aspirant, me laissant tremblant de plaisir. Malgré son talent évident pour la chose, je compris bien vite qu'en manque comme j'étais, une simple fellation ne me suffirait pas.

Je repris donc les choses en main, la repoussai et la plaquai sur le sable, avant de lui enlever son bas de maillot de bain. Puis, je la retournai, elle se mit à 4 pattes, et je vins la pénétrer d'un coup sec par derrière, en levrette. Elle lâcha un grand cri quand j'entrai en elle, et son cri s'amplifia, lorsque j'entrepris de rapides mouvements de vas et viens. La situation devenait torride : je la tenais fermement par les hanches, la baisant sauvagement, la pillonnant de coups de reins de plus en plus violents, et de plus en plus rapides, m'enfonçant toujours plus loin en elle, lui claquant les fesses de temps à autre, afin de la stimuler encore plus. Je n'avais pourtant pas besoin de la stimuler : ballottée par mes coups de rein, Laura gémissait si fort, sous mes assauts, que j'étais sur qu'on nous entendait depuis la plage. De temps à autres, elle se redressait, se mettant à genoux. Je continuais alors à la baiser, mais je l'embrassai également, sur la bouche, ou dans la nuque, ou encore sur l'épaule, tout en lui massant ses seins toujours retenus par son haut de bikini. Puis lorsque je l'avais assez embrassé, et massé, je l'attrapai par la nuque, et la remettait de force à 4 pattes. Le plaisir montait dangereusement en moi, et je compris que je devais changer de position, si je voulais que durent nos ébats.

Je la retournai donc, et l'étalait sur le dos. Puis je la baisai en missionnaire, faisant des vas et viens, tout en profitant de cette position pour lui embrasser le ventre le décolleté et le cou. J'augmentais progressivement la cadence de mes coups de reins, jusqu'à ce que le plaisir soit si intense pour nous deux, que Laura reprit ses gémissements. Très excitée, elle m'encourageait à aller plus vite, et plus fort, tout en se tortillant de plaisir, et en me griffant le dos, jusqu'à ce que je lui maintienne les mains, afin qu'elle soit plus tranquille. Mise ainsi à ma merci, je la pillonai encore plus fort, jusqu'à ce que ces gémissements deviennent des cris. Je la baisais si fort, qu'elle était littéralement ballotée par mes coups de reins dévastateurs. Puis, alors que je lui lâchai les mains, et elle en profita pour m'attraper le cou, et m'attirer contre elle pour m'embrasser. Puis, elle releva les jambes, ce qui me permit de la baiser encore plus profondément. Ses cris devinrent plus aigus, et plus saccadés, et elle eut rapidement un orgasme, qui la fit trembler de plaisir.

Laura n'était pas pour autant rassasiée, et elle reprit le dessus. Elle me renversa, et se mit à califourchon sur moi. Puis elle m'enfourcha, et entreprit de me baiser en andromaque. Elle se déancha sensuellement sur moi et des frissons de plaisir me parcoururent le corps. Je ne tardai pas à pousser des râles de plaisir, ce qui l'incita à augmenter encore le rythme de ses attaques me faisant littéralement fondre de plaisir. Elle se pencha, et m'embrassa langoureusement, très excité, je me redressai, et tentai de la débarasser de son haut de maillot de bain, mais elle m'arrêta : c'était elle qui se désahbillait. Elle défit lentement la lanière de son maillot de bain, puis l'enleva, libérant sa magnifique poitrine. Je me jetai sur ses seins, et les léchai, puis j'enfouis ma tête dans sa poitrine, la faisant haleter de plaisir. Puis, elle me repoussa, me plaquant au sol, et reprit ses vas et viens, plus rapides et plus forts que jamais. Tout en me baisant, elle suçait son doigt, et se massait les seins, vision qui avait de quoi m'exciter encore plus. C'en fut vite trop pour moi : j'eus un puissant orgasme, mon premier depuis 2 mois, qui me laissa écroulé sur le sable, ivre de plaisir.

Nous reprîmes nos esprits, puis nous nous rhabillâmes, avant de rentrer à la nage sur la plage. Les quelques baigneurs nous jetèrent des regards soupçonneux, mais nous n'y prétâmes pas attention. Après avoir salué Laura, je rentrai dans mon mobil-home, heureux de l'aventure que je venais de vivre.

Au cours des trois jours qui suivirent, Laura et moi baisâmes encore de nombreuses fois, jusqu'à ce qu'elle rentra chez elle. Elle m'apprit néanmoins, qu'elle n'habitait pas trop loin de chez moi, il était donc possible que nous nous retrouvions à l'occasion, après les vacances...

Et en effet, quelques mois plus tard, je la revis, mais je vous raconterai cette histoire une autre fois, car mes vacances au Camping du soleil n'étaient pas finies, et, malgré le départ de Laura, j'eus d'autres aventures, tout aussi excitantes. Je vous les raconterai la prochaine fois...

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Texte coquin : Laura 1
Histoire sexe : Une rose rouge
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