Comment je suis devenu l'amant de ma belle soeur

- Par l'auteur HDS Bambyfou -
Récit érotique écrit par Bambyfou [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Comment je suis devenu l'amant de ma belle soeur Histoire érotique Publiée sur HDS le 18-08-2014 dans la catégorie Dominants et dominés
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(9.0 / 10)

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Comment je suis devenu l'amant de ma belle soeur
Je pensais que l'épisode de la piscine, avec ma belle sœur, n'aurait jamais de suite. Elle avait été très claire à ce sujet. Pourtant, je reçus deux mois plus tard, un mail sans équivoque ..et sans préambule :
« Tu vas peut être trouver ce mail déplacé mais tant pis. Je suis très perturbée depuis que nous avons fait l'amour au bord de la piscine. Je ne parle pas de la culpabilité que je pourrai ressentir par rapport à ma sœur, mais du trouble qui s'est installé en moi et qui me laisse peu de répit. Je suis directe, tu le sais, tu m'as toi même fait remarquer souvent que j'étais peut être un peu trop franche, alors je ne vais pas tourner autour du pot : accepterais-tu d'être mon amant ?..Enfin, si tu ne me trouves pas trop vieille.
Ne réponds pas à ce mail, ce serait inutile. Si tu acceptes, tu me le feras savoir dimanche quand vous viendrez déjeuner.
PS : détruis ce mail s'il te plait
Elianne »
je relus plusieurs fois, perplexe.
Au bord de la piscine, je m’étais laissé guidé par mes pulsions et l'atmosphère érotique. Mais avais- je envie d'une véritable relation extraconjugale ? Je fermai un instant les yeux pour un flash back au bord de la piscine, sous un magnifique soleil...et je la revis, nue, offerte. Les sensations de sa bouche se refermant autour de mon sexe dressé revinrent avec force, et, lâche, je savais déjà que j'allais accéder à sa demande. Qu'elle fut ma belle sœur, enleva même tout le poids de ma culpabilité, d'autant, qu'hypocritement, je me répétais que je ne l'aimais pas et que tout ce qui se passerait entre nous serait uniquement sexuel.
Je supprimais le message
Le dimanche matin, dès le réveil je me sentis excité mais je tâchais de ne le pas montrer.
Nous arrivâmes les derniers chez Elianne, que je trouvais radieuse. Elle portait une robe noire très échancrée qui laissait apparaître quelques centimètres d'un soutien gorge assorti.
Bien qu'aux aguets, je ne remarquais aucune attention de sa part. Aucun regard, aucun sourire et j'en vins à me demander si elle n'avait pas changé d'avis, lorsque, passant près de moi, elle me caressa le dos discrètement. Je saisis l'occasion et déclarai à l'assistance que j'allais faire le café. Je me rendis donc à la cuisine où se trouvait déjà Elianne
« tu as réfléchi ?
-Oui
-alors
-je suis d'accord »
Elianne sourit en poursuivant la découpe du gâteau, puis en passant à ma hauteur elle me toucha les fesses.
De retour à table, elle changea de place, et sous le prétexte qu'elle avait un conseil à me demander, elle vint s'asseoir à côté de moi et ne fut pas longue à poser sa main sur ma cuisse.
Nous regardions maintenant de vieilles diapositives de vacances projetées sur le mur blanc du salon dont il avait fallu fermer les persiennes. Dans l'obscurité propice, je sentis la main d'Elianne glisser lentement vers mon entrejambe. Mon sexe commença à durcir. S'aidant de son autre main elle descendit la fermeture éclair puis ses doigts passèrent dans mon slip. Elle saisit fermement ma queue et se pencha à mon oreille
« j'aime quand elle est dure comme ça »
Elle me caressa doucement mais ne parut pas satisfaite
« déboutonne ton pantalon, c'est trop serré, je ne peux pas toucher tes bourses »
Après m'être assuré qu'il n'y avait aucun danger, je descendis pantalon et slip jusqu'aux genoux et Elianne me sourit
« merci »
Elle me masturba longuement, s'arrêtant lorsqu'elle sentait que j'étais au bord de l’éjaculation, mais mon excitation arriva à son paroxysme et je la suppliais de me laisser jouir
« recule un peu ta chaise et fais attention que personne ne nous regarde. »
Compte-tenu de l'attention suscitée par les diapositives, il y avait peu de risque que quelqu'un s'intéressât à nous.
Après un dernier regard sur l'assemblée, Elianne se pencha sous la table pour prendre ma queue dans sa bouche. Elle me pompa délicieusement et je ne fus pas long à jouir....en silence...
Ma belle sœur se releva, l'air ravi
« c'était bon. J'adore te sucer et te faire jouir dans ma bouche
-ça tombe bien, j'adore quand tu me suces »
Et c'était on ne peut plus vrai , ce qui me laissait perplexe quand à sa soi-disant longue chasteté passée : sa technique était redoutable et bien peu de femmes m'avaient procuré de telles sensations.
« j'aimerais qu'on puisse se voir au moins une fois par semaine et je te promets que tu ne le regretteras pas. »
De cela j'étais convaincu.
Nous décidâmes, dès ce jour là, de nous retrouver chez elle tous les mercredis.
Je tins à lui préciser, avant notre première rencontre prévue donc trois jours plus tard, que je n'étais pas amoureux d'elle et qu'il y avait peu de chances que cela arrivât. Elle me répondit qu'il ne saurait être question d'autre chose que de sexe entre nous.
Les choses étant claires, nous allions pouvoir passer de savoureux moments.

Le premier mercredi arriva.
Je me présentais chez elle, comme convenu, peu avant midi. Toutefois une idée folle me vint, et je voulus savoir si j'allais pouvoir jouer avec elle. Je m’arrêtais donc à deux pas de sa maison et rédigeais un texto à son intention :
« je suis à cinq minutes de chez toi. Prépare toi, je veux que tu sois prête à baiser »
j'envoyais le texto et j'attendis quelques minutes. Comment allait-elle réagir ?
Les cinq minutes étant écoulées je sonnais. Elianne vint m'ouvrir, vêtue d'un tablier aux couleurs de la « city ». Elle me sourit, déposa un baiser sur mes lèvres puis se retourna. Le tablier était son seul vêtement et je pus contempler son cul rebondi et ferme.
« je finis à la cuisine et j'enlève mon tablier dans deux minutes, sers toi à boire si tu veux »
En fait de me servir à boire, je me dévêtis totalement et m'avançais à pas feutrés vers la cuisine. Elianne me tournait le dos et le ronronnement de la hotte avait dû masquer mon approche. Je m'arrêtai un instant pour contempler ses fesses que je trouvais étonnantes de beauté pour une femme de soixante dix ans. Je m'approchai doucement et me plaquai contre elle. Elle sursauta mais ne bougea pas. La queue dressée je la pénétrai sans difficulté. Sa chatte était mouillée de désir. Espérait-elle que je viendrais la prendre ainsi ? Si elle ne l'espérait pas, elle en avait envie. Je la limai doucement tandis qu'elle se penchait légèrement pour s'offrir une pénétration plus profonde. Mes mains avaient saisi ses seins opulents et mes doigts pressaient ses tétons durcis, lui arrachant un petit cris de douleur et de plaisir. Je glissais délicieusement dans le fourreau de sa chatte étroite mais j'eus envie de la prendre autrement. Je me retirai et appuyai mon gland sur son anus
« non, pas maintenant. Reste dans ma chatte et baise moi fort»
D'un grand coup de reins je m'enfonçais à nouveau dans ce puits de délices et amenais ma belle sœur à la jouissance. Désireux de la rejoindre, j'accélérai et éjaculai avant la fin de son orgasme. Quelques secondes encore, puis elle se retourna pour m'offrir ses lèvres et sa langue.
« on passe à table ?
-je te suis »
nous nous dirigeâmes vers la terrasse isolée.
« tu veux me faire plaisir ?
-bien sûr voyons
-alors rhabille toi. Moi, je vais rester toute nue, mais toi j'ai envie que tu sois habillé à mes côtés, j'ai envie que tu sois un mâle dominant qui a obligé sa soumise à rester nue. Ca t'embête ?
-Bien sûr que non. En fait j'aime bien les jeux de rôle comme ça
-Ce n'est pas un jeu pour moi, j'ai vraiment envie que tu sois mon maître »
j'étais un peu dérouté par cette demande mais si ça lui faisait plaisir....
« d'accord, mais tu n'as pas peur que je me prenne au jeu et que je devienne un maître sévère ?
-C'est ce que j'espère. Ne me demande pas pourquoi, je ne pourrais pas te répondre car je l'ignore. Tout ce que je sais c'est que je ressens ça tout au fond de moi, depuis nos ébats au bord de la piscine »
J'avais vraiment une belle sœur facétieuse, mais comment refuser, d'autant que je me sentais émoustillé par sa demande, même si je ne savais pas trop comment m'y prendre
« bon alors...heu...qu'est ce qu'on fait ? On mange ?
-c'est à vous d'ordonner maître »
Sapristi, elle semblait sérieuse et je décidai d'entrer dans son jeu.
« vas chercher le repas »
Elle se leva et je lui administrai une grande claque sur les fesses avant qu'elle ne disparaisse dans la cuisine.
Dix minutes s'écoulèrent avant qu'elle ne réapparaisse
« qu'est ce que tu faisais ?
-pardonnez moi maître. J'ai été trop longue à vous servir, et je sais que je mérite une punition »
Achevant sa phrase elle posa un martinet sur la table et alla s'agenouiller dans un coin de la terrasse, les mains sur la tête.
J'étais décontenancé par la tournure des évènements et je fus un peu long à comprendre
« punissez-moi, maître, je mérite le martinet »
J'hésitai encore un peu puis je pris l'objet et me dirigeai vers ma belle sœur. Je commençais par abattre les lanières doucement sur sa croupe puis je réglais la force de la frappe en fonction de ses réactions
« oui punissez moi fort maitre, je l'ai mérité »
Ses fesses commençant à rougir, je m'arrêtai puis la saisis par le bras
« lève toi »
Elle semblait ne bougea pas mais pris ses cheveux à pleine main en les tirant vers le haut. Surpris, je mis quelques secondes à comprendre avant de saisir la tignasse abondante et d'entrainer Elianne vers la table où nous attendait le repas. Je la fis asseoir et elle me murmura à l'oreille :
« ça serait bien si je n'étais pas obligée de tout te dire. Sois sévère, même brutal je t'arrêterai quand ça me déplaira »
Nous mangeâmes en silence.
Elianne débarrassa la table et je la regardais aller et venir, ses gros seins dansant au rythme de ses pas.
« vous voulez un fruit maitre ?
-non, apporte le café »
Elle revint avec le breuvage et je décidai d'entrer pleinement dans le rôle qu'elle m'avait assigné.
« mets toi à genoux, je veux que tu me suces la bite pendant que je le bois »
Elle obéit immédiatement et ce fut à nouveau un vrai délice.
Je prenais finalement plaisir à mon nouveau rôle et je constatais que la docilité de ma belle sœur n’était pas feinte : elle y prenait du plaisir. Je compris même, et j'en fus un peu étonné, qu'elle aimait être humiliée, verbalement et physiquement, et que les mots obscènes décuplaient son plaisir. Ainsi lui ordonnai-je d'être une bonne salope pour me plaire, et j'exigeai qu'elle se masturbât toutes les demi -heures dans diverses positions.
Cette fois elle devait le faire à quatre pattes dans l'herbe. J'étais maintenant très excité. Je me dévêtis entièrement et m'approchai d'elle la queue dressée.
« branle moi »
Elle approcha la main et s'activa maladroitement tout en continuant de se caresser
« je n'arrive pas à faire les deux maitre »
Je m'agenouillais près d'elle et glissai la main entre ses cuisses, ce qui lui permit de se concentrer sur mon membre. Je recueillais un peu de liqueur sur mon majeur puis l'introduisis dans son anus. Elle gémit puis murmura
« mets la moi »
Cette fois c'est moi qui obéit, entrant sans difficulté. Les va et vient amples et lents semblaient la combler de bonheur
« oh oui, vas y encule moi à fond »
très excité, je ne pus me retenir très longtemps et j'éjaculai en elle.
Je me retirai, certain pourtant qu'elle n'avait pas jouit
« tu n'as pas jouit ?
-non maître, mais c'est vous qui décidez quand je dois jouir
-et tu as envie de jouir ?
-oh oui maitre
-tu peux te branler »
Elle ne se fit pas prier, s'allongea sur le dos et je vis son doigt se poser sur son clitoris rose et gonflé. Je la laissais s'astiquer, mais lorsque les gémissements annonciateurs de l'orgasme se firent plus précis je l'arrêtais.
« arrête-toi. Je ne veux pas que tu jouisse »
Je la vis retirer la main à regrets, et je lui imposai de rester allongée. Les oscillations de ses reins trahissaient le désir de jouissance qui mit longtemps à s'estomper.
Je quittai mon hôtesse-soumise vers dix huit heures après un court baiser sur les lèvres
Elle me retint un instant
« j'ai beaucoup aimé quand tu m'as interdit de jouir
-tu n'as aimé que ça ?
-bien sûr que non
-ah bon
-et..
-oui ?
-je crois que je vais avoir du mal à me passer de ta queue pendant une semaine
-il faudra bien »
je fis deux pas en direction de ma voiture avant de me retourner
« Elianne
-oui ?
-je t'interdis de te branler jusqu'à ce que je revienne
-bien maître »
….Depuis ce jour, elle se montre une belle sœur soumise et très obéissante....
Je vous raconterai.

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