Sexual session ?

- Par l'auteur HDS Akileditu -
Récit érotique écrit par Akileditu [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Sexual session ? Histoire érotique Publiée sur HDS le 29-08-2014 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Sexual session ?
Depuis notre première rencontre (voir « Oh meu Brazil »), il ne se passait pas quelques jours sans que je ne reçoive un mail, un SMS ou un MMS de Paulo. Je pouvais suivre ainsi ce qu’il faisait, où il était… Bien sûr, très souvent, il me faisait marcher ( ?) en me parlant de ses soirées chaudes, en m’envoyant des photos… Dans un de ses derniers messages, il me disait qu’il avait fait une transformation qui me plairait…En fait, pourquoi faisait-il tout cela s’il n’était, comme moi, sérieusement accroché ?

De mon côté, je lui envoyais des photos de moi, avec le slip qu’il m’avait donné. Au fil des jours et des MMS, je lui envoyais des plans de plus en plus rapprochés…

Un matin, il y a de cela une semaine, j’étais en train de déjeuner, vêtu du slip vermillon qu’il m’avait offert et que je ne quittais guère-sauf pour le laver, on sonne à la porte. Sans prendre le temps de m’habiller, je vais ouvrir.
Il est là !! Sur le palier !!! Paulo !!!

La tête de quelqu’un qui n’a pas dormi… En me voyant, il lâche son sac de voyage et se précipite sur moi. Tout de suite, il cherche ma bouche. Je n’ai pas encore réalisé qu’il était revenu qu’il est déjà en train de m’embrasser goulûment. Il me serre de toutes ses forces. Sans le lâcher, je l’entraîne dans le couloir de l’appart et re-claque la porte du pied. Là, on se dévore littéralement la bouche. Je fourrage dans son abondante chevelure et tire sa tête vers moi. Sa langue déchaînée, virevolte dans ma bouche. Son baiser ne veut plus finir. Il se colle à moi de tout son corps. Tout en continuant à me dévorer la bouche, il cherche à se débarrasser de son tee-shirt en le passant par-dessus sa tête. J’en profite pour le débarrasser de son bermuda que je fais glisser à ses pieds. Il m’apparait à nouveau en slip brésilien fuchsia ourlé d’un petit liseré vert granny, super moulant, qui tranche parfaitement avec sa peau café au lait, déjà déformé par sa poutre qui se dresse à la verticale. On se colle à nouveau l’un à l’autre, peau contre peau, slip contre slip. On se remet à s’embrasser comme si on ne s’était pas vu depuis… ce qui est le cas.

Je le colle au mur du couloir et me frotte à lui en lui malaxant à nouveau son fabuleux cul. J’ai passé mes mains sous le fin tissu et je m’en donne à cœur joie. Il me laboure le dos de ses ongles. Je passe mes mains sur le devant de son slip, toujours sous le tissu pour lui caresser la bite. Tiens, il s’est rasé complètement la touffe et les couilles, il n’a laissé que sa ligne de poils. Ca doit être ça la transformation dont il me parlait… Tu parles si ça me plait ! C’est super doux sous la main ! Je sens d’autant mieux ses couilles et sa bite vibrante et déjà mouillée ! Trop cool ! Il m’arrache littéralement mon slip – enfin - le sien. J’en fais de même avec le sien. Nous voilà complètement nus, collés de tout notre corps l’un à l’autre, complètement avides l’un de l’autre. Il se met à se frotter contre ma bite, contre mon ventre. Trop bon. J’ai empoigné ses fesses et le tire vers moi, en cadence. Je comprends qu’il veut jouir ainsi, rapidement, sauvagement. Moi aussi, j’ai envie de jouir ainsi.

Ses frottements se sont encore accélérés. J’adore sentir sa bite se frotter ainsi à toute vitesse contre la mienne. Je le sens se raidir et, brutalement, il m’inonde le ventre de la chaleur de son foutre. Il a empoigné mes fesses et imprime un mouvement puissant et rapide à mon frottement. Ca m’excite tellement que je ne tarde pas à jouir moi aussi sur son ventre. Nos ventres, nos torses sont collés par notre semence. Nous ouvrons les yeux en même temps et on rigole de bonheur. Il fallait ça pour se retrouver totalement. Ca ne fait pas dix minutes qu’il est entré et on a déjà joui tous les deux ! Il me sourit de toutes ses dents, de tous ses yeux. D’un doigt, il prend un peu de sperme sur nos ventres et me le dépose sur le fin trait de moustache que je me laisse pousser.

- Oh ! Meu Paulo ! Je lui chuchote à l’oreille.
- You miss me… hard ! Me souffle-t-il. Wow ! My bag !!

Je réenfile mon slip et je file sur le palier. Ma voisine d’en face sort à cet instant…

- J’allais te l’amener ! Wow ! Super slip !! Et… Passe une bonne journée ! Me dit-elle, en rigolant de bon cœur… Bien sûr, elle a entrevu la silhouette nue de Paulo qui s’encadre dans la deuxième porte du couloir. Du coup, elle n’arrive plus à décrocher son regard de cette apparition de rêve. Elle a aussi dû être submergée par l’odeur de foutre que je dégage… Elle sait que je suis homo. Elle n’a rien contre. Elle est super sympa et… jolie en plus.

Je raconte ma petite mésaventure à Paulo qui rit de bon cœur.

- Oh ! I have a gift for you! Me lance-t-il.

Il fouille dans son sac et en ressort une belle pile de slips et de maillots de bain –très souvent, lors des shoots de mode, on lui en laisse en l’incitant même à les porter. Il a sans doute remarqué, la dernière fois, que j’adorais ça.
- Oh thanks! Very very kind!

Ils sont tous plus beaux les uns que les autres. Très classe, très sexy aussi. J’en enfile un tout de suite, vert granny, très slippé.

- Have you taken your breakfast?
-Yes, in the plane. But, a coffee?

Nous voici, face à face, attablés à la petite table de la cuisine. Paulo est resté nu. Il adore se balader à poil, ça doit être son côté exhib, il m’offre ainsi sa nudité, en cadeau, rien que pour moi. Faut dire que le regarder ainsi déambuler est un bonheur de chaque instant : un corps superbe, une gueule d’ange. Finalement, il pouvait difficilement échapper au métier de top model.

Je le complimente sur sa « nouvelle coupe du bas ventre ». Il rigole et me dit que c’est pour moi qu’il l’a fait. Je fonds.

- Later, you can also refresh mine ?
-Of course, as you want. »

Pourtant, je lui trouve une toute petite mine. Est-ce la nuit qu’il a passée dans l’avion ? Nos ébats de tout à l’heure ? Le décalage horaire ? Je lui dis.

- Oh, yes! I’m really tired. Too much work, too many flights, too many people… » Il est au bord des larmes en disant cela. Lui d’habitude si dynamique, si volontaire, si enjoué. Il a l’air au bord du burn out… Il est grand temps de faire quelque chose.

- I have some days without anything to do. Can I stay here, with you?
- Of course! But I mind if there is something better to do for your health. Il me vint une idée.
- Do you like wildlife?
- Wildlife?
- Yes, nature, without cars, mobiles, TV, computers. Nature, deep nature!
- … Yes!!
- Do you like hiking? Sleeping under a tent?
- …Yes!!
- Here we go!!!

Ce dont Paulo a besoin, en ce moment, c’est d’une coupure totale avec son milieu professionnel de strass, de paillettes, speedé. J’espère que ça lui fera le plus grand bien.

On rassemble quelques affaires et on passe à la douche. J’en profite pour lui demander de me rectifier ma « coupe du bas du ventre » à moi aussi. Ce qu’il me fait sans se faire prier.

- Follow your inspiration ! je lui lance.

Le voilà à genoux, face à moi en train de me badigeonner le pubis de mousse à raser. La mousse est très douce, sa caresse aussi… Je ne peux empêcher ma bite de prendre du volume.

- Don’t move ! It’s better if it’s strong !.

Tout en passant doucement le rasoir mécanique, il me tient la bite par le gland - prétexte, elle tient toute seule. Cela lui permet de m’exciter le gland du bout des doigts. A voir sa bite enfler, je vois que ça l’excite aussi. Finalement, il me dessine un arc, coupé très raz. Au final, il ne peut s’empêcher de me titiller le gland du bout de ses lèvres pulpeuses.

- Do you need a little blow-job?
- Well, just a little one!

On a pas mal de route à faire. Gardons un peu d’énergie. On verra ce soir… N’empêche que la caresse de sa bouche sous le jet d’eau chaude de la douche est délicieuse. Pour le remercier je lui caresse le dessous des couilles du bout de mon pied. Je peux même lui agacer sa rondelle de mon gros orteil… Il suce divinement bien, mais on décide de rester sage (« just a little one! »).

A peine partis, il commence à somnoler et à avoir du mal à continuer à discuter. Il dégrafe sa ceinture de sécurité et pose sa tête sur ma cuisse. Il s’endort presque instantanément. Il dormira ainsi les trois heures que durera le voyage. Je suis aux anges. Je me fous pas mal de ce que pourraient penser les routiers qui croisent notre voiture. Je fais juste gaffe aux flics, car il a retiré sa ceinture. Il dort comme un bébé, sa bouche légèrement entrouverte laisse voir ses deux incisives du haut. Mignon comme tout. Pendant tout le voyage, j’aurai une boule au creux du ventre, la bite légèrement bandée et je n’arrêterai pas de regarder son beau visage. J’apprécie aussi la confiance qu’il me fait en dormant pendant que je conduis. Pendant tout le trajet, je poserai ma main droite dans ses cheveux, sur son torse, sur ses tétons - il a laissé sa chemisette ouverte - sur ses fesses…

A un moment, sans l’avoir vu arriver, un motard de la police me double, jette un coup d’œil et aperçoit Paulo entrain de dormir sur mes genoux. Aussitôt, il me double et me fait signe de me garer. Vais-je réveiller Paulo ? Je décide d’attendre voir. Le motard, très jeune et seul (?) me signale que mon passager n’est pas attaché. Du coup, il le regarde plus en détail et là, chose extraordinaire, je le vois se troubler et perdre de son assurance devant la beauté de ce qu’il voit : un homme superbe ; assoupi, abandonné. Pour le coup, il se contente juste de me demander de faire attention !! Je n’en reviens pas. Faut croire qu’il devait avoir des penchants homos.

En arrivant au petit village de montagne où on allait laisser la voiture pour trois jours, il trouvait déjà tout très beau. On s’équipe avec le strict minimum, on achète de la bouffe pour trois jours, il s’achète des chaussures de rando et nous voilà partis.

Il marche d’un très bon pas. Je lui explique qu’en montagne, il faut savoir maîtriser son allure te son souffle. Il rigole. En plus, c’est lui qui a voulu porter le sac le plus lourd. On monte dans les alpages, tout est en fleur, c’est magnifique. On croise deux randonneurs qui redescendent et puis, plus personne. Le soleil tape fort. Je repère un petit ruisseau, assez loin de la trace, en contrebas. On y descend. Paulo a déjà fait glisser son short, enlevé son slip et il patauge dans l’eau fraîche, s’asperge, m’asperge comme un gamin. Il est magnifique ainsi ourlé de gouttelettes d’eau partout sur le corps, dans le soleil resplendissant. Je vais avoir du mal à ne pas lui sauter dessus tout de suite… Me voilà à poil, moi aussi. Du creux de sa main, il me verse de l’eau sur les épaules, le ventre, les cuisses, pour me rafraichir.

- You have missed one place! lui dis en rigolant. Il me verse de l’eau sur la bite qui se dresse, se dresse.
- Is it a sexual session or only a sport session?
- Guess…

Il s’amuse ainsi gentiment à me rafraîchir la bite, les couilles.

- You know, we are probably alone in this mountain.

Il rigole, il a compris l’allusion. Doucement, il commence à me pomper le gland. Je lui caresse les fesses, la raie. Délicatement, il enfonce sa bouche sur mon pieu, essayant de m’engloutir complètement. Je verse un peu d’eau fraîche dans sa raie. Ca le fait tressaillir. Ca me fait un effet terrible de sentir ainsi la chaleur de sa bouche tout le long de ma tige. Je caresse ses cheveux. Après un bon moment passé à me pomper, il s’allonge sur le ventre et semble attendre quelque chose. Je lui caresse ses globes, parcours sa raie, prends un peu d’eau dans ma bouche et lui verse lentement dans la raie. Il adore. Puis, je lui titille la rondelle, d’abord à petits coups de langue, puis je le lèche carrément. Il ronronne comme un chat. J’ai glissé ma main sous son ventre et lui caresse la bite de ma paume. On n’a pas dans l’idée de se déchaîner sur ce coup-là. Il reste encore du chemin à faire d’ici ce soir. On s’allonge côte à côte, mains posées sur le ventre de chacun. On se bronze. Ca ne manque pas. Un jeune couple passe tout là-haut sur la trace et se retourne plusieurs fois pour nous mater après nous avoir dépassés.

- Alone, ha? persifle Paulo. Je rigole.

Au bout d’un moment, on se remet en route. On marche ainsi encore trois bonnes heures. On s’approche d’un endroit que je connais, près d’un ruisseau où on pourra planter la tente, en lisière d’un petit bois. Paulo est ravi de tout. Des paysages, de la solitude, du montage de la tente, du bois qu’on ramasse pour le feu. Tout l’enchante. C’est vraiment l’équipier idéal - à tous points de vue ! Je lui apprends à allumer le feu avec les brindilles de bois sec. On décide de cuire la viande pour la conserver plus facilement.

- It’s really amazing, Jo! Obrigado for these moments! A real medecine. Real life is here, isn’t it?

On passe la soirée à discuter de toutes sortes de choses. Paulo s’est allongé dans l’herbe, la tête posée sur mon ventre. Ma main passe longuement dans ses boucles, les démêlant lentement. La nuit tombe doucement, les étoiles s’allument une à une. Le temps est idéal. Paulo adore rajouter des branches, entretenir le feu. Garçon des villes qui découvre une autre façon de vivre…

- We go to… sleep?

Il a hésité sur le dernier mot. Est-ce vraiment le bon mot ? On assemble les deux duvets pour n’en faire qu’un. On se déshabille mutuellement, en se caressant. On s’allonge sur les duvets. Je caresse lentement Paulo, partout, partout. Je parcours son corps de mes lèvres humides. Il se laisse faire comme le ferait un chat. Il pourrait ronronner de plaisir. Je fais durer, durer ces caresses en me rapprochant de plus en plus de son bas ventre. Je veux le faire languir. D’ailleurs, il n’y tient plus, Attrape ma tête et la dirige vers son sexe. Je résiste. Et y arrive lentement par l’intérieur de ses cuisses, à grands coups de langue. Il tend son bassin vers mes lèvres. Attends Paulo, attends ! Ma bouche est toute proche de ses couilles. Deux beaux petits kiwis m’attendent. Je les lèche, les suçote, les gobe doucement. Il s’arcboute de plus en plus. Je remonte le long de sa tige avec ma bouche, je lape son gland, avale sa mouille, titille son frein avec le bout de ma langue, il bondit. Je le gobe, descends, descends, remonte, glisse. Je sens son dard vibrant dans ma bouche, son barreau de vie. Trop trop bon. Je le pompe ainsi un temps infini. Ses mains virevoltent sur mon dos, il me griffe. Puis, je le retourne. Sa bite frotte le duvet en cadence pendant que je lui masse les fesses, faisant glisser ma queue dans sa raie.

- Fuck me, Jo! FUCK ME!!

Je l’enduis de gel, je m’enduis. Je passe un doigt, le dilate et aussitôt pousse avec la tête de ma bite. Il l’a empoignée et la tire vers son trou, avide d’être pénétré enfin ! Je pousse d’un coup. Il pousse un petit cri. Je ne bouge plus. C’est lui qui se met à remuer, à aller et venir sur ma bite fourrée au fond de lui. Je le laisse aller à son rythme. Il me veut tout en lui. Je reprends l’initiative des va-et-vient en accélérant à chaque fois. Maintenant, je le pilonne à mort. Mes couilles claquent contre son cul à chaque fois que je le bourre. Il tourne la tête et m’encourage du regard à le défoncer encore plus vite. Il gémit, gémit de plaisir. Je n’ai pas senti arriver l’éjaculation. Tout est arrivé d’un coup : la chaleur, les frissons, le sperme, la jouissance, le cri qui résonne dans la nuit. Je continue à le pistonner en ralentissant lentement. Il a senti la chaleur de mon foutre se répandre dans son ventre. Je souffle et récupère un peu. Il se met sur le côté, toujours enchassés l’un dans l’autre.

- Wank me! Wank me!! Supplie-t-il.

J’empoigne sa bite dégoulinante de mouille. Elle vibre dans ma main tremblante. Comme il s’est bien échauffé contre le duvet, je le sens proche de l’explosion. J’accélère la cadence. Il a basculé sa tête en arrière, dans le creux de mon épaule et cherche ma bouche. J’accélère encore. J’adore le branler, le sentir à ma merci. Wouaah ! Un long jet de sperme a jailli sur le duvet. Je le récupère et enduit son torse avec. On redescend ainsi tout doucement, avant de s’endormir en chien de fusil. La fraîcheur de la nuit nous fera nous glisser dans le duvet.

A l’aube, dans un demi-sommeil, je fais un rêve érotique. Les sensations physiques sont extra. Jusqu’à ce que je comprenne que c’est Paulo qui me tripote très très doucement le gland. Je décide de continuer à faire semblant de dormir. Pour voir. Très délicatement, par petites touches, il répartit la mouille qu’il a prise sur mon gland sur toute ma tige dressée par l’érection du matin. Ce que je sens bien, aussi, c’est sa queue bandée dans ma raie, immobile. Je l’avais deviné mais ça se confirme, Paulo a de gros besoins sexuels. Deux fois par jour, c’est un minimum. Ce n’est pas moi qui vais m’en plaindre ! Au bout d’un moment, je lui prends la main pour lui indiquer qu’il peut y aller carrément. Trop bon de se faire réveiller ainsi ! Il me laboure la raie de plus en plus vite. Tout en me branlant de plus en plus rapidement, cherchant à me faire juter. Il a joui avant moi, dans ma raie. J’ai senti sa semence se répandre dans le creux de mes reins.

Il continue à me branler du bout des doigts, le pouce au-dessus et les quatre doigts sous la tige, vers le frein. Il connait parfaitement les bonnes méthodes ! Je jouis dans sa main. Il étale mon jus sur mon ventre. On replonge assez vite dans le sommeil, pendant un certain temps. On ne sait pas combien. On n’a pas pris de montre, exprès.

C’est Paulo qui s’est réveillé le premier, il est sorti de la tente, a réenfilé un slip ; et s’étire en faisant quelques mouvements de gym. Je le vois par l’entrebâillement de la tente, laissé ouvert. Il relance le feu et vient me chercher pour qu’on aille se laver au torrent. Waaoouuh ! Le matin comme ça, elle est vachement plus fraîche qu’en journée ! Lui, pas du tout frileux pour un gars du soleil, se balance de grandes rasades d’eau sur tout le corps. Puis, on entreprend de se savonner mutuellement. Bien sûr, ça relève plus de la caresse que de la toilette, mais bon. En tous cas, c’est super d’être ainsi, nus, seuls au monde, à la fraîche, dans un paysage aussi grandiose. Pendant ce temps, l’eau du café a eu le temps de chauffer.

- Can I walk with my swinsuit only? me demande Paulo
-Why not ?

Il a donc enfilé un superbe hipster de bain, jaune et vert qui lui va à ravir. Pour l’accompagner, je reste en maillot, moi aussi. On plie le camp, éteint le feu et c’est reparti pour une bonne journée de marche. Paulo caracole toujours en tête, marchant d’un bon pas.

- I take pictures with my mind, they will be better than with a camera !

Tu as raison. Fabrique-toi des souvenirs. C’est ce qui enrichit vraiment. Tout à coup, on entend plusieurs fois des sifflements.
- What is it?
- Marmot’s cry, probably.
- Marmot??
- We will try to see one.

Et nous voilà à scruter après les marmottes, tout en marchant. A un moment, j’en vois une, dressée sur un rocher.

- Look there!
- Wow! I never seen before
- Of course, in big towns, there are none.

La matinée passe ainsi rapidement. A grimper ainsi toujours plus haut, le paysage s’épure, devient plus minéral, plus large. Magnifique. Comme on croise à nouveau un petit ruisseau, on décide de s’arrêter là pour la pause repas. Paulo, qui adore l’eau a déjà enlevé ses chaussures et s’est assis dans le fil du courant, pour se rafraîchir. Il m’incite à en faire autant. Bien sûr, il ne peut s’empêcher de m’asperger tant et plus. Je lui rends bien la pareille tant et si bien que ça finit rapidement en séance de catch, pour rire, dans l’herbe. C’est surtout l’occasion de s’empoigner, de se coller, de se toucher, et même de glisser sa main dans le slip de l’autre ! Aimable prétexte. Ca finit par un tendre et long baiser. On casse la croûte et on s’allonge ensuite côte à côte pour la sieste. Combien de temps a-t-on sombré ainsi ? Qu’importe ! On repart, requinqués.

A Paulo, ça lui plait de plus en plus, cette escapade. Il n’arrête pas de me le dire. C’est vraiment ce qu’il lui fallait, à ce moment précis.

Nous voici en vue d’une sapinière. On commence à la traverser en suivant le sentier. Tout à coup, Paulo me prend la main et m’entraîne dans le sous-bois….Je crois comprendre. En fait, il a repéré une tache verte ensoleillée, assez loin à l’écart de la trace. C’est vers ça qu’on se dirige. Arrivé sur place, on se débarrasse de nos sacs et de nos chaussures. Il m’allonge sur cette belle herbe grasse. Un super lit ! Il commence à me caresser partout. Viens, Paulo, viens ! Je ne serai jamais rassasié de toi ! Sa bouche s’attarde longuement sur mon slip de bain largement gonflé. J’ai glissé mes mains dans son hipster. Il me met en levrette et m’enduit de gel, sans m’enlever le maillot, simplement en l’écartant. Il en fait autant sur sa bite. Il me dilate un peu d’un doigt puis vient présenter son dard en le glissant sur le côté de mon maillot. J’adore. Une tendre poussée, il y est. Une autre, il commence à progresser. Il fait exprès d’aller lentement pour que je le sente mieux venir en moi, que lui aussi ressente mieux ses sensations. C’est tendre, c’est doux. Il finit par glisser totalement sa belle bite en moi. Je sens bien son barreau. Il me met sur le dos et se met à me limer très lentement, sans augmenter sa cadence. Il va ainsi me limer, toujours au même rythme lent, pendant dix bonnes minutes. Au fil des minutes, je me mets à ressentir des sensations que je n’ai jamais connues ! Incroyable ! C’est une vraie merveille. A quoi ça tient ? Je n’en sais rien et je m’en fous. Je savoure.
- How do you know that?
- It’s an old Indian man who told me.

Je ne voudrais plus que ça s’arrête ! Jamais ! Paulo est aux anges de voir mon visage en extase. Il est fier de me donner ça. Il a raison. Il fait mine de se retirer. Je le retiens

- More, please! More!

Il continue à me combler, longtemps. Puis, sans avoir joui, il se retire. Trop trop bon. Trop top.

- Obrigado Paulo, Paulo merci !
- You are welcome! répond-il, très majordome anglais.

Je crois que je suis loin d’avoir découvert toutes les facettes du bonhomme ! On se remet en route. Deux heures plus tard on arrive en vue d’un refuge de montagne. On y entre pour racheter un peu de nourriture. Je demande à Paulo s’il préfère dormir au refuge cette nuit.

-Oh! NO!! Under the tent!

C’est un cri du cœur… Encore quelques heures de marche et il est temps de s’arrêter pour la nuit… Dans la dernière heure de marche, on a commencé à ramasser du bois pour le feu du soir. C’est la deuxième nuit et Paulo est déjà rodé pour l’installation du camp. Il est toujours aussi motivé. La soirée se déroule tranquillement. Le feu crépite en envoyant des gerbes d’étincelles vers le ciel. Paulo a sorti son harmonica et joue des airs de bossa. Parfois il s’arrête pour reprendre en chantant. C’est très beau. Magique. La nuit tombe et j’indique à Paulo quelques constellations que je connais. On est serré l’un contre l’autre, épaule contre épaule, cuisse contre cuisse.

- Fuck me here, under the stars… Me souffle Paulo à l’oreille.

Je commence par le sucer avec fougue. Il appuie doucement sur mon crâne. Il veut que je le pompe entièrement. Il soulève son bassin en cadence. Il me baise la bouche, en fait. C’est trop cool de le recevoir ainsi, de le sentir s’exciter progressivement, de lui donner ce plaisir à volonté… J’en profite pour caresser son corps fabuleux, ses abdos, sa ligne de poils, son nombril. Je passe mes mains sous son cul et le soulève vers moi. Ca décuple son excitation. Sa bite a une si bonne odeur. Une odeur de mâle, une odeur de sexe. Je le chauffe ainsi à blanc, pendant un bon moment. J’ai envie de sa bite dans mon ventre, une fois encore. Je viens me placer au-dessus de son pieu que j’enduis de gel – à ce rythme-là, le tube n’y suffira pas ! Je dirige sa queue vers mon trou et je descends brutalement. La douleur s’atténue très vite. Je monte et je descends à ma guise sur son mât de plaisir. Il m’a saisi la bite et me branle lentement. Trop bon ! J’aime quand j’arrive jusqu’à ses couilles, quand je le sens contre mon trou. J’aime le bruit de succion que fait sa bite en coulissant. Je fais durer, durer.

- I want your ass…

Il ne demande que ça. Il se met en levrette ; bien cambré. Après l’avoir enduit, j’entre en lui sans difficulté. J’entre dans son antre chaud. Il ondule, vient à ma rencontre, en veut plus. Je le prends aux hanches et le tire à fond vers moi. Il gémit. Je me mets à le limer puissamment. Je décris de petits cercles avec ma bite. Il glousse. Parfois, je m’arrête, à fond dans lui. Parfois, je ressors complètement et le pénètre d’un coup… Je lui ai réservé une petite surprise. J’ai amené avec moi un anneau vibrant. J’ai envie d’essayer, pour voir. Je ne le préviens pas. Je l’enfile jusqu’au bas de ma bite, le règle en position3 et le pénètre à fond. J’attends, collé à son trou. Il tourne la tête, intrigué.

- Chuttt ! Love technology! » Je lui souffle à l’oreille.

Il se met à remuer en gémissant. On dirait qu’il apprécie. J’essaie de le limer à nouveau mais il m’agrippe les fesses et me colle à lui. Il veut rester en contact avec « le truc qui vibre » ! Alors je lui donne de grands coups de reins, tout en restant collé. Je dois dire qu’à moi aussi, ce petit truc fait de l’effet… Paulo veut voir et savoir. Alors je le remets sur le dos, retire l’anneau, lui enfile et m’empale à fond sur lui. Le voilà qu’il me pilonne à toute vitesse, en remontant et descendant son bas ventre. Je m’excite grave sur ma bite. Je sens venir. Je jouis sur son torse, jusqu’à son visage. Lui aussi jouit presque simultanément. Il s’est retiré à la dernière seconde et m’inonde le torse. Complètement maculés de sperme, on retombe l’un sur l’autre. On se colle, on s’enduit. On rit de plaisir. L’odeur nous submerge. On décompresse.

- It’s a gift. For you. Lui dis-je en lui donnant l’anneau.

On va se relaver au ruisseau. On rentre le duvet et on s’endort d’un lourd sommeil, repus… Cette nuit restera à jamais gravée dans ma mémoire. J’en suis sûr.

C’est le soleil qui me réveille. Je le cherche de la main. Rien. J’ouvre les yeux… personne. La tente est ouverte. Je passe la tête dehors. Il est là, juste devant à faire des pompes. Ila déjà rallumé le feu. Increvable ! Je lui chatouille la plante des pieds. Ca lui fait perdre tous ses moyens. Il s’écroule sur le sol. Je l’embrasse sur les fesses et lui propose un café. En le buvant, je pense que c’est notre dernier jour en montagne. Demain, déjà, il devra repartir, happé par sa vie trépidante. Je décide de ne pas céder au blues et de faire de cette journée, un feu d’artifice, pour lui, pour nous. On se met en route.

- Today, we have to climb down until the village, OK?
- Sim !

Evidemment, descendre demande moins d’efforts et du coup l’allure s’accélère, mais on veut quand même prendre son temps. Je cueille quelques fleurs jaunes que je pique dans ses cheveux, avec quelques feuilles vertes. Voilà le drapeau brésilien, à l’unisson avec son maillot de bain.

- France is a very very nice country! Indeed! lance Paulo

Finalement, il adore la rando de ce style, réduite au minimum, en contact direct avec la nature. Petit à petit, on s’approche de midi. A nouveau, on s’arrête près d’un filet d’eau, à l’écart de la trace, derrière un repli de terrain.

- We can eat all we have. This evening, we will be at the village
- I invite you to the restaurant!

On s’allonge ensuite au bord de l’eau pour ce qui doit être au départ une sieste. Mais je crois que Paulo ne l’entend pas ainsi. Il a posé sa tête sur mon maillot, en guise d’oreiller et fait mine de ne pas arriver à trouver le sommeil. Il se tourne, se retourne, se re-retourne…Ca n’a qu’un but, bien sûr : m’exciter. C’est réussi. Voilà que maintenant il trouve l’oreiller… un peu dur ! Ca commence donc par une belle séance de fellation dans laquelle il déploie tout son savoir-faire et il est grand ! Il vient ensuite se mettre à califourchon pour m’offrir son slip à portée de bouche. Je le malaxe, le tripote, le triture, le mordille. Il n’y tient plus. Il le baisse un peu pour m’offrir l’original. Je préfère me déchainer sur son trou, alors je le retourne. Il gémit. Je le lape. Il râle. Je vais ainsi le chauffer à blanc un bon moment. Puis, je m’allonge sur le dos et je l’attends. Il vient se placer au-dessus de mon pieu, m’enduit et descend. Je contrôle sa descente de mes mains, juste pour le faire languir car je sens qu’il voudrait s’empaler d’un coup. Une fois complètement empalé, je le laisse se déchaîner, me concentrant sur sa bite. Il coulisse, d’abord lentement, en me serrant les flancs de ses genoux puis il accélère légèrement, resserrant son muscle sur ma queue. Trop bon ! J’ai empoigné sa bite avec mes deux mains superposées et je la presse tout en la branlant puissamment. Son visage irradie. Il me vient une idée. Je me dégage et viens m’allonger en travers du filet d’eau, les fesses dans l’eau. Il se replace sur moi, amusé. L’eau fraîche surajoute à notre excitation. Son va-et-vient devient de plus en plus rapide. Je me tends et me détends en jouissant deux longs jets dans son cul. Je me déchaine alors sur sa bite. Il a empoigné mes mains et on le branle à quatre mains. Je m’échappe d’une main et viens verser de l’eau fraîche sur sa queue. Ca l’excite grave. Un très grand jet de sperme s’élève, puis deux autres.

Apaisés, on en profite pour se relaver un peu. Pour le coup, on s’endort un peu, sur le bord. Requinqués, on se remet en route. Vers la fin de l’après-midi, on se fait doubler par un très jeune couple qui redescend aussi. On sympathise et on discute un bon moment. Je traduis pour Paulo. La jeune femme, Emilie, a l’air éblouie par Paulo. Faut dire qu’il y a de quoi ! A une pause, on se sépare.

Bientôt, on commence à apercevoir les toutes premières maisons du village, loin là-bas, tout en bas. Mais il y a encore bien deux bonnes heures de marche avant d’atteindre enfin le village. Paulo est un peu désolé de retrouver la civilisation, ses voitures… Je lui dis que ça fait ça à chaque fois qu’on passe ainsi quelques jours en dehors de tout. On s’est rhabillé. Oh ! Juste un short. On ne veut pas non plus affoler les populations. Comme il est trop tard pour repartir en voiture, on se met à chercher un endroit pour dormir. Finalement, on trouve un chalet, tenu par un jeune couple qui n’a que deux chambres et qui fait aussi les repas. Et comme Paulo m’avait promis de m’inviter au resto ! La chambre est aménagée dans les anciens greniers à foin du chalet. C’est très joli comme déco ! Il n’y a que deux lits simples qu’on a vite fait de rapprocher. On part faire un tour dans le village, discutant avec les gens sur le pas de leur porte. Paulo est de plus en plus conquis par cette vie simple. Le repas du soir est délicieux, fait avec des produits locaux. Les gérants ont très sympa... On discute un bon moment avec eux, en fin de soirée, puis on se souhaite une bonne nuit. On s’accoude au balcon pour admirer la nuit, humer l’air parfumé d’une odeur de foin coupé. La lumière de la chambre d’à côté s’éteint. Assez vite on perçoit des grincements « caractéristiques » de bois qui craque en cadence. Paulo me donne un coup de coude et cligne de l’œil. Les bruits s’accentuent, des gémissements se font entendre. Ca a le don de mettre Paulo en transe. Moi aussi, d’ailleurs. Déjà qu’il démarre au quart de tour… Sa bite s’est dressée d‘un seul coup.

- Slowly! We have all the night… Je lui souffle.

On entend encore plus les craquements, les gémissements et même la tête du lit qui claque en cadence contre le mur de bois. Paulo n’y tient plus. En un éclair, il m’arrache mon short, fait glisser mon slip, écarte mes jambes au maximum, s’agenouille derrière moi et entreprend de me titiller la feuille de rose de sa langue, tout en me caressant l’intérieur des cuisses, le ventre. C’est bon. Je le sens qui me lèche à grands coups de langue, je sens la pointe de sa langue qui me titille le trou. Il m’écarte les globes, le plus qu’il peut. Je creuse les reins au maximum pour m’offrir du mieux possible à sa caresse. Je le sens très excité par tous ces bruits érotiques. Il disparait alors à l’intérieur de la chambre. J’en profite pour me débarrasser de mon tee-shirt. Je suis donc nu, moi aussi. Je ne sais pas pourquoi, ce soir j’ai envie de le taquiner un peu. Le voilà qui revient, totalement nu, bandant comme un âne, le tube de gel à la main. Le voir ainsi, me fait aussitôt repenser à une statue de dieu romain ou grec, je ne sais plus, le dieu Priape, je crois.

Je m’approche de lui, fait mine de comparer nos sexes, je sais que la sienne fait trois bons centimètres de plus que la mienne, puis je veux engager un duel, nos bites remplaçant les épées… Lui, ne pense qu’à un truc : me défoncer. Je reviens près de la rambarde du balcon - heureusement que le chalet n’a pas de vis-à-vis, qu’il est un peu à l’écart du village et que la nuit est tombée-, j’écarte les jambes et je l’attends, soumis à son désir. Il s’enduit, m’enduit et me perfore d’un seul coup de bite fulgurant. J’ai senti comme un coup de poignard et me suis retenu pour ne pas crier. Il ne bouge plus, il attend. Quand la douleur a disparu, je me mets à remuer. Il commence à me limer tout en puissance. Il m’a saisi par l’intérieur des cuisses, me tire fortement vers lui à chaque coup de boutoir en me faisant légèrement décoller. Un coup encore plus fort et il m’a littéralement mis à l’horizontale. Je me retiens à la rambarde, serrant ses flancs de mes cuisses. Il me pistonne ainsi un moment. Les sensations sont différentes pour moi. Je décide alors de lui en donner encore plus. Avec les mains, je descends les barreaux de la rambarde jusqu’à me retrouver la tête au sol, complètement à l’oblique. Il grogne de plaisir, la position l’excite et moi, je sens d’autant plus sa bite me labourer.

- Bourre-moi, Paulo ! Fuck me strong!!

Il décide alors de me ramener dans la chambre. Les bruits se sont encore accentués. Les gémissements sont à deux voix, les claquements de la tête de lit redoublent d’intensité. Belle résistance ! Ca rend fou Paulo. Il me jette sur le lit et vient tout de suite en moi. Je passe mes jambes sur ses épaules pour l’avoir encore mieux en moi. Notre lit aussi grince affreusement. Pas grave ! Maintenant, les bruits sont synchrones des deux côtés du mur. On dira que c’est de la stéréo. J’ai même l’impression qu’ils ont encore augmenté. Les gémissements de la fille sont impressionnants. Paulo décuple ses coups de bite. J’adore la situation. Tout à coup on tend un hurlement qui se finit presque en sanglot. La fille a eu un orgasme de première. Encore quelques claquements et un cri rauque. Ces deux-là ont dû se prendre un pied d’enfer. Les bruits se sont brusquement arrêtés. Pas les nôtres. Paulo commence à être sérieusement en sueur, il continue à me secouer comme un prunier à chaque coup de bite. Sa bite me brûle mais je ne voudrais pour rien au monde que ça s’arrête.

Apercevant le petit anneau vibrant sur le chevet, je l’attrape et le propose à Paulo. Il se retire, je le règle à 3, lui enfile et c’est reparti. Trop cool de sentir cette légère vibration contre mon trou. Je ne peux déjà plus m’en passer ! Mes mains ont du mal à agripper ses fesses tant elles sont en sueur. Paulo est toujours à me ramoner de toutes ses forces. Quelle endurance ! Il se met à crier, ses fesses se durcissent, un râle, il jouit longuement et s’abat sur moi en même temps, anéanti. Il est brûlant. Il ne bouge plus. Il cherche juste à retrouver son souffle. Je lui sèche le dos avec le drap, le cul, les cuisses. Il s’apaise tout doucement. Il ne bouge plus du tout, m’écrasant de tout son poids. Belle « petite mort » ! Plus vraie que vrai !

Je me dégage tout doucement, le retourne sur le dos et l’installe confortablement. Il dort !! Totalement relâché, débranché. Il est trop beau ainsi. Je décide de le prendre en photo avec mon portable, rien que pour moi, pour les jours sans. Je l’éponge avec le drap partout et le recouvre du seul drap. Il fait encore très chaud malgré la porte-fenêtre ouverte.

J’essaie de trouver le sommeil, à ses côtés. A un moment, il remue et me cherche de sa main. Il me tire vers lui, en chien de fusil. Tout doucement, à voix basse, il commence à me parler. Il me remercie du fond du cœur pour ces trois jours passés en pleine nature. Il a a.d.o.r.é ! Ca l’a reboosté complètement. Mais il a aussi senti ma bite raide dans sa raie. Alors, il m’enduit, s’enduit et s’offre à moi. Je le pénètre tout doucement, tout doucement. Une fois en lui, je ne bouge plus du tout. Se sentant merveilleusement bien, en pleine intimité, il continue ses confidences. Des moments incroyables qui nous soudent. Il me dit qu’il aime par-dessus tout faire l’amour avec moi. Que jamais, avec ses autres amants, il n’avait ressenti ça…….. Puis il me parle sa vie au Brésil, de sa jeunesse, de sa vie de top model, des défilés, des coulisses et de ce qui s’y passe… Il me pose aussi tout un tas de questions sur moi, comment je suis devenu homo…. On finit par s’endormir, très très tard. On remettra ça, au cours de la nuit, en espérant ne pas réveiller nos voisins… Raté ! Eux aussi, ça devait les exciter d’entendre ces bruits. Ils ont remis ça, tout de suite après nous.

Le lendemain matin, au petit déjeuner, qui on retrouve à la deuxième table - et donc, à la deuxième chambre, le très jeune couple qu’on avait rencontré dans la montagne en redescendant ! On rigole carrément, eux aussi. Paulo leur demande même :

- Did you have a good night?

Ils se marrent et nous invitent même à leur table. Très sympas, très ouverts, pas du tout surpris qu’on soit homo, bourrés d’énergie. Paulo en rajoute :

- Next time, we will take only one bedroom, no?

Mais, il est temps de se quitter. On se promet de se revoir avec le jeune couple – Emile et Emilie ! Le retour vers l’aéroport sera très tendre car on sait qu’on se reverra encore longtemps.

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