Pendant qu'il dort...

- Par l'auteur HDS Lipoura -
Récit érotique écrit par Lipoura [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Pendant qu'il dort... Histoire érotique Publiée sur HDS le 02-09-2014 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Note attribuée à cette histoire érotique par HDS :
(8.0 / 10)

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Pendant qu'il dort...
Je vais vous racontez la seule fois ou j’ai trompé mon copain et c’est une histoire vrai.
J’étais a l’époque avec mon copain actuel mais on était un peu plus jeune : 19 ans et partie pour un weekend de 4 jours avec des copains dans une maison de campagne d’un pote , qui était célibataire. La nuit ont dormait dans des chambres que l’on partageait a plusieurs. Nous on était trois dans la même. Ce pote, donc, qui nous avait laissé le grand lit 180 cm et qui dormait sur un matelas posé a même le sol de mon coté du lit.
Mon homme est quelqu’un qui dort vraiment comme un Loire rien ne le réveil. La première nuit, alors que je cherchais le sommeil, j’ai été réveillé par un bruit répétitif juste a coté de moi lorsque j’ai ouvert discrètement les yeux, et, que ma vision c’est habitué a l’obscurité et a la lumière naturelle de la nuit, j’ai vu notre pote entrain de se masturber. Je suis resté là a l’observé figée, sans respirer et un peu excitée quand même. Le spectacle qui se déroulait devant moi, me forçait a observé vraiment attentivement afin de deviner la taille de son sexe qui me paraissait plus imposant que mon copain. J’ai du faire un peu de bruit parce qu’il a tourné la tête vers moi et nos regards se sont croisés. Je l’ai vu surpris mais il ma fixé plus intensément et a continué sont activité en me fixant. Il savait que je le regardais se masturber et ca le dérangeais absolument pas. Il ne savait pas mais ça m’as mise dans un état d’excitation qui me faisait littéralement coulé entre les jambes. Ma main glissa le long de mon corps afin de soulagé la pression sexuelle qui ne cessait d’augmenter. Je me mise aussi a me masturber mais moi je le faisait en dessous du drap. Il le compris vite au mouvement répétitif que faisait le drap
Après un petit moment de jeu de regard, je l’ai vu éjaculé de longue giclée sur son torse et essuyé le tout avec son caleçon. Il m’a regardé de nouveau, c’est retourné et c’est endormi. Je n’ai pas beaucoup dormis cette nuit là, je repensais tout le temps a cette image de lui son sexe en main et du coup j’étais vraiment excité par cette vision qui me hantait.
Le lendemain on fit comme ci il s’était rien passé et la journée passée a la plage fut une journée de vacances ordinaire.
La deuxième nuit je fit tout pour ne pas m’endormir tout de suite et garda les yeux ouverts et les oreilles a l’affut. Mon homme comme à sont habitude s’endormit très vite car j’entendais déjà ses ronflements. Du haut de mon poste d’observation je regardais en direction du matelas posé au sol et attendais tous mouvements suspect de la masse noire que je devinais de mieux en mieux dans une pièce qui peu a peu s’éclaircissait baignée par la pleine lune. Puis au bout d’une heure je vis mon voisin de chambré ce retourné sur le dos, ouvrir ses draps en grand, laissant apparaitre son corps tout entier que je savais musclé et bien taillé pour l’avoir vu en maillot de bain quelque heures avant. Il mit sa main dans son caleçon et commença a se caresser doucement. Je sentais déjà l’excitation de la veille monter en moi.
Il finit par baisser son sous vêtement jusqu'à ses pied et le fis disparaitre sous ses draps. Il pris son membre dans sa main et commença de doux va et vient. Il tourna la tête vers moi et nos regards se noyèrent l’un dans l’autre. Il se branlait sans gène devant moi.
Ce petit manège dura 10 bonnes minutes, et je ne manquais pas une miette du spectacle qui se déroulait sous mes yeux. Tout a coup je vis son autre main se diriger vers la mienne et l’attraper, surprise, je le laissais faire.
Il dirigea lentement ma main vers son pénis et la posa délicatement dessus. Il observait ma réaction. je me mis alors a le branler de façon mécanique sans même y réfléchir, comme ci c’était une situation normale. Je ne me reconnaissais pas un robot sans sentiment, qui se laissais faire et qui appréciait en plus. J’étais entrain de masturbé un autre homme que le mien et j’y prenais beaucoup de plaisir.
Cela avait bien dérapé, mais sur le moment j’étais vraiment excité et je ne réfléchissais absolument pas aux conséquences si mon copain se réveillait et nous surprenait dans cette position. Je sentis mon drap doucement glisser et une de ses mains se poser sur ma cuisse, remontant doucement vers ma nuisette sous laquelle j’avais un string. Je me laissais entièrement guidé sans plus aucune barrière de moralité. Je m’appliquai a le branlé et lui avait délicatement glissé mon string sur le coté et trouvé l’entrée de ma choupinette rasée (je déteste les poils). Il commença à me caresser le petit bouton et me doigta lentement avec un doigt puis deux rentrants comme dans du beurre tellement je mouillais laissant entendre un petit bruit si caractéristique. Cette situation d’extase et de bien réciproque dura un petit temps. Je le branlais avec beaucoup d’assiduité et avec panache et sentis senti une petite contraction de sa part et un liquide chaud mouiller ma main. Il s’arrêta lui aussi de me fouiller et rechercha son caleçon pour s’essuyer avec. Je le regardais dans les yeux sans un bruit et lécha mon doigt sur lequel il avait éjaculé. Je voulais gouter au sperme pour savoir quel gout ça avait car j’avais jamais voulu gouter celui de mon copain qui dormait toujours dans ses ronflements habituels.
Mon amant nocturne avait eut sa dose, Il se mit a genoux en position de prière et me tourna légèrement vers lui, glissa sa tête sous ma nuisette et me fit entreprit un petit cuni histoire de ne pas me laisser sur ma fin.
Ouah, quelle langue formidable !!! Il me fit monter en moins de deux alternant, aspiration et léchage sur mon clito. Je pris mon oreiller, le mordit et étouffa le tout petit cri de l’orgasme pourtant si grand que ma grande concentration et mon mutisme n’avait pas réussi a retenir. Heureusement mon copain continua sa nuit sans nous entendre.
Le lendemain matin au petit déjeuner les regards et les sourires entre cet ami et moi était insistants et pendant toute la journée je pensais a ce qui c’était passé et a son sexe que j’avais eu pendant un certain temps dans la main.
Le dernier soir était venu et je l’avais attendu toute la journée. Je me couchai comme les autres soirs en nuisette mais sans culotte, je mettais bien épilés pendant ma douche et avais la nénette aussi douce qu’une peau de bébé.
J’attendis que mon copain s’endorme avec impatience pour savoir quel scénario il y allait avoir. Dix minutes après les premiers ronflements je vis mon amant se retourner, me regarder et faire un geste de langue dans sa joue, puis se mettre a genoux devant mon visage et baisser son caleçon pour laisser surgir l’objet de mes nouveaux fantasmes. Il était déjà bien en forme, et comme je l’avais enfin sous les yeux je me rendais mieux compte de sa belle taille.
Comme une affamé je me jetai dessus et entrepris une superbe fellation. Ma main lui caressant ses magnifiques boules. Le gabarit de son sexe était effectivement plus gros que celui de l’homme avec qui je vie et je fus obligé de plus ouvrir la bouche et la mâchoire.
Au début je le léchais, puis je le suçais puis il entreprit de léger coup de rein dans ma bouche. Le bruit de sussion était couvert par les ronflements de mon chéri.
Je ne sais combien de temps ça a duré mais c’était très sympa. Lui pendant ce temps il me doigtait avec deux doigts dans ma choupinette et un qui caressait mon anus, qui commençait a se dilater d’exitation. Que l’interdit est bon !!!
Il m’arrêta, me fit retourner face a mon homme et a me poussa légèrement et délicatement afin qu’il puisse s’allonger en chien de fusil derrière moi nous étions collé l’un a l’autre et je sentais sa virilité sur mes fesses. J’étais très excitée il pouvait faire se qu’il voulait de moi, cela m’était complètement égal du moment qu’il me baisait, là, maintenant, je n’en pouvais plus je le voulais tout entier en moi .
Je devinais dans mon dos sont superbe corps sculpté, et ses abdos moulés. Il leva délicatement ma nuisette jusqu'à mi-dos et souleva un peu ma jambe, et je le sentis pénétrer mes lèvres et s’enfoncer doucement mais profondément en moi. Il me remplissait entièrement, complètement, profondement et La position de la petite cuillère était parfaite parce que même si mon homme ouvrait les yeux il me trouverait face a lui, sans savoir que je me faisais défoncer par une queue plus grosse et plus longue que la sienne que je commençais a sérieusement a aimer. Dans un mouvement très lent mais très profond, je me faisait prendre a quelque centimètre de mon chéri. Quel pied, cela a duré une bonne partie de la nuit comme le mouvement était lent et le membre long je sentais monter en moi un orgasme tsunami. Il se pencha a mon oreille et me susurra « je veux ton cul et tu ne peux pas dire non , pas un bruit !!!» heureusement qu’il me tournait le dos car il aurai vu a mon regard ma peur et mon angoisse. Cela faisait déjà un bon moment qu’il me malaxait avec un doigt dans mon petit trou mais je n’avais pas prêté attention trop concentré sur ma jouissance qui montait. Je n’avais jamais autorisé mon mec a me sodomiser en trois ans de couple et là j’allais me faire enculer à quelque centimètre de lui. Je sentais sa queue sortir de mon vagin et poussé lentement dans mon anus. Je ne sais pas s’il m’avait bien préparé ou si je mouillais tellement qu’il rentra sans trop de difficulté mon trou se dilatant presque instantanément. Je tournai la tête et lui la sienne et nos deux langues se mêlèrent l’une a l’autre comme pour luis donner mon consentement. Il commença doucement à bouger très lentement il savait y faire et la douleur du démarrage se transforma peu a peu en plaisir.
C’était bon quelle bite merveilleuse, comment je n’avais pas gouté a cet extase avant ! Quelle conne j’ai été !!! J’adore vraiment c’est une sensation de soumission et de plaisir coupable que j’adore.
Il me prit les fesses jusqu’à cinq heures du matin. Toutes la nuit on la passa a baisé en alternance vagin/anal quelle endurance il avait. Je finis par encore jouir dans notre dernière position moi a quatre pattes sur son matelas lui en levrette et moi la tête enfoncé dans mon matelas afin d’étouffer le énième orgasme de la nuit. En vrai étalon de reproduction il éjacula une grande quantité de liquide dans ma bouche pour que j’avale tous afin de ne laisser aucunes traces de nos frasques sexuelles nocturne.
L’heure qui suivi nous l’avons passé a dormir chacun a sa place pour essayé de récupérer un maximum.
Tous le voyage de retour je le passai à dormir et a ne pas trop bougé pour éviter toutes les douleurs et courbatures que j’avais.
Ce fut l’expérience sexuelle la plus excitante de toute ma vie et repense souvent a mon amant nocturne. Malheureusement, une semaine plus tard, il s’engueula avec mon chéri et jamais je l’ai revu mais lorsque je fais l’amour avec mon copain, il m’arrive de vouloir lui demander de me sodomisé mais j’ai peur qu’il veuille savoir pourquoi j’ai changé d’avis du jour au lendemain.
Je suis obligé de le faire en cachette avec des objets de grosse taille en me remémorant cette nuit extraordinaire.

Les avis des lecteurs

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Superbe histoire ce faire baiser dans le même lit que son copain humm...

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Super on i est plonge! Jai vraiment pris la place de lamant a la facon que tu a de raconter cet histoire qui me parait reelle? Cette femme qui se transforme par desir en salope cocufieuse est bandante a souhait...bravo

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quel beau voyage entre ami ; quand va tu l inviter a souper a la maison et dormir :)

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J'aime beaucoup! L'amour risqué c'est tellement excitant !

Assez érotique mais peu crédible sans réveiller le copain.
Et le français laisse tellement à désirer que ça gâche la lecture

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Ça beau être une histoire mais, passer de l'anale à la vaginale... Mycoses, inflammations du col de l'utérus, cystites, etc etc...



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Histoire sexe : Une rose rouge
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