Tina, lutteuse américaine d'origine vietnamienne - Porno soft

- Par l'auteur HDS Jdpt753 -
Récit érotique écrit par Jdpt753 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Tina, lutteuse américaine d'origine vietnamienne - Porno soft Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-09-2014 dans la catégorie Dominants et dominés
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Tina, lutteuse américaine d'origine vietnamienne - Porno soft
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Cette histoire est tirée de différentes sources et de faits réels...

Tina est américaine d'origine vietnamienne. Elle a 21 ans. Elle fait de la lutte depuis 3 ans. C'est une femme mince, avec un joli visage, souriante, et qui ne laisse pas prévoir son talent de lutteuse…
Alors que je traverse la pelouse du Club Med de Sainte Anne, à la Martinique pour me rendre à "l'école du cirque", c'est-à-dire à des cours de trapèze volant, mon regard est attiré par une jeune asiatique, mince, de taille moyenne, qui semble aller dans la même direction que moi. J'engage la conversation en souriant : Vous allez à l'école du cirque ? Elle me répond par un grand sourire, "I don't speak french". Je la trouve superbe. Elle est mince, coiffée avec une queue de cheval, tenue par un élastique jaune. Je continue la conversation en anglais. Elle m'apprend bientôt qu'elle est américaine d'origine vietnamienne et qu'elle a 21 ans. J'en ai plus du double. Nous nous rendons ensemble au trapèze volant. Elle est venue au club avec des amies, mais aujourd'hui, elles n'ont pas voulu l'accompagner car elles ont fait la fête la veille jusque tard dans la nuit. Nous effectuons quelques passages de trapèze volant, chacun à tour de rôle : Il faut s’élancer d’un trapèze placé à 8 m de haut, en faisant le « cochon pendu » en tendant les bras, tandis qu’un moniteur fait la même chose sur son trapèze. Il faut alors attraper ses bras, et lâcher les jambes pour se retrouver suspendu à lui : C’est assez physique. Nous nous en sortons tous les deux à peu près aussi bien. Entre deux passages, nous continuons à bavarder, assis sur l'herbe. Elle est très souriante et d'humeur joyeuse. Je lui demande si elle fait d'autres sports. Elle me répond :
- Oui, de la lutte.
Je sursaute. J’ai toujours été fasciné par les femmes lutteuses.
- De la lutte ? Ca, c'est étonnant. Et vous avez un bon niveau ?
- J'en fais depuis 3 ans. J'adore ça. Je fais pas mal de compétition. Parfois, je gagne, mais pas à chaque fois (Elle rit, puis elle ajoute, amusée) :
- Je pense que je devrais pouvoir vous battre.
Je sursaute à nouveau, et je me demande si j'ai rêvé. Etait-elle en train de plaisanter ou bien pense-t-elle vraiment ce qu’elle dit ? Elle a dit ça en riant, mais il y avait quand même une pointe de défi. Un frisson me parcourt la colonne vertébrale. Donc, si je la prends au sérieux, cette fille menue s'imagine pouvoir me battre à la lutte ? Je fais mine de la croire :
- Ca m'étonnerait. Je fais 75 kg et…. Elle m'interrompt en riant :
- Arrête avec ta théorie, on fait un match, on verra bien….
Mon cœur se met à battre plus fort.
- Comment veux-tu faire un match?
- Regarde, il y a un coin tranquille sous les bananiers, là-bas, et c'est à l'ombre, l'herbe est épaisse.
- Tu veux faire ça maintenant ?
Mon sang se glace d'un mélange d'excitation et de peur du ridicule.
- Ben oui, sauf si tu as trop peur ?
- Je n'ai pas peur, mais après le trapèze volant, je suis un peu fati…
- Encore des excuses ? Dit-elle en riant…
- Ok, on y va.
C’est vrai que je ne peux quand même pas décliner l’invitation au prétexte que je serai un peu fatigué, ce serait ridicule et déjà un aveu d’échec, d’autant qu’elle aussi a fait du trapèze volant… Et son sourire est si mignon…

Nous prenons nos affaires et allons sous les bananiers, à 50 m de là. A l'ombre, l'herbe y est plus verte. Elle m'explique le principe de la lutte gréco-romaine : Celui qui a les deux épaules au sol 3 secondes a perdu, pas de coup frappé, pas de clé douloureuse.

Nous nous mettons en place. Elle donne le signal du départ, et aussitôt, nous nous empoignons. Elle est incroyablement rapide et je la trouve plutôt musclée pour une fille de ce gabarit. C'est une véritable anguille. En une fraction de seconde, elle bondit derrière moi et m'attrape par derrière pour me contrôler, en me ceinturant le bassin. Je sens qu’elle veut me déséquilibrer en arrière, mais dès que je me penche en avant pour compenser, elle inverse son attaque. Au bout de quelques enchaînements de ce type effectués à toute vitesse, elle arrive à me déséquilibrer et à me faire tomber sur le côté. Peu après, elle se retrouve sur le dessus, en train de chercher à m'immobiliser. Elle s’est placée à califourchon sur moi. Elle me tient fermement les bras et déplace ses jambes pour mettre le poids sur mes épaules.
Quelques secondes plus tard, elle compte de sa jolie petite voix :
- Un, deux, …
J'essaie de la déloger, et elle met tout son poids pour contrer, mais comme j'ai soulevé une épaule, le décompte s'arrête. Quelques secondes plus tard, elle est à nouveau en position. A nouveau, je résiste, mais, avec la fatigue du trapèze volant, je sens mes forces diminuer plus vite qu’il ne le faudrait, tandis qu'elle ne faiblit pas, ce qui m'impressionne. Et son contrôle est excellent, je ne trouve pas de faille permettant de retrouver une meilleure situation. Et elle enchaîne les tentatives, et ma résistance faiblit peu à peu. Nous soufflons tous les deux bruyamment, et je sens son haleine, délicieusement parfumée de femme vietnamienne. Une odeur douce et exotique à la fois, qui me charme instantanément, tandis que je combats vigoureusement. Mais deux minutes plus tard, je suis à bout, tandis qu’elle a encore de l’énergie, d’autant qu’en étant en bonne position, cela fatigue moins. Je sens ses muscles féminins, souples et élastiques, qui une fois combinés à sa volonté et sa technique la rendent très difficile à contrer. Et alors que je n’arrive plus à résister, elle compte, lentement, en me regardant dans les yeux, et je sens son souffle sur mes joues et son odeur. Son regard est pénétrant, je suis intimidé. Je devine aussi ses deux petits seins pointus.
- Un, … Elle prend son temps, sachant que je ne peux plus lui résister. Je regarde ses lèvres en train de prononcer les paroles fatidiques, elles sont soigneusement dessinées, légèrement humides, délicieusement molles, suaves, elles me font terriblement envie, son visage a la peau si douce, si jeune et élastique, et sa queue de cheval est si mignonne :
- … deux, …
je vois ses dents blanches, superbes, en bonne santé, je ne bouge vraiment plus, elle attends encore un peu, alors je tente de soulever une épaule, mais elle appuie alors de tout son poids, et mon épaule ne décolle même pas du sol. Je n’en peux plus. Elle approche un peu plus son visage et conclut dans un souffle léger et souriant :
- … trois !!! J'ai gagné !!
Et je vois ces lèvres magnifiques prononcer ces mots de victoire et de domination, et je sens son souffle sur ma peau. Je suis battu, sans contestation possible. Je crois rêver. Elle est capable de contrôler mon corps avec le sien, son intelligence dans le combat est supérieure à la mienne. Je suis essoufflé, haletant. Elle aussi est essoufflée, mais moins que moi. Elle récupère très vite. Tandis qu’elle reprend son souffle, je sens des vagues successives parfumées qui me parviennent, c’est très agréable. Elle me regarde droit dans les yeux avec un regard espiègle et me demande :
- Qui est le plus fort de nous deux ?
Je souris d’un air un peu gêné, mais ne répond pas. Elle enchaîne alors sur une clé de bras. Je pousse un cri. Elle me repose la même question en riant.
- Qui est le plus fort de nous deux ?
- Toi, cette fois-ci
- Comment ça, cette fois-ci ? D’accord, on recommence !
Et sans me demander mon avis, elle me libère et se relève. Je suis très essoufflé. Mais je n’ai pas le temps de reprendre mon souffle qu’elle lance sa première attaque : Un o-soto-gari que je ne vois pas venir et qui me fait chuter immédiatement, elle se plaçant en juji-gatame (luxation du coude). Je suis essoufflé, je n’arrive plus à lui opposer de résistance. Elle en profite pour me dominer verbalement :
- Qui est le plus fort de nous deux ?
- …
- Qui est le plus fort de nous deux ?
Elle me fait alors la clé de bras du juji-gatame, et je hurle de douleur :
- Tina !
- Répète : Tina est la plus forte.
- Je refuse de répéter bêtement comme ça
Elle remet de la pression sur sa clé : J'ai l'impression qu'elle va me casser le bras. Je lui dis alors, rapidement, pour faire cesser la douleur au plus vite :
- Tina est la plus forte
- Je n'ai rien entendu, tu peux répéter plus fort
- Tina est la plus forte
- Plus fort !
- TINA EST LA PLUS FORTE !
Elle pouffe de rire, puis, sans lâcher la pression, passe en première immobilisation. De cette façon, son visage est juste au-dessus du mien, ce qui est assez excitant. D'autant que je sens son odeur de façon plus forte, qu'elle est très belle, souriante, et qu'elle me regarde droit dans les yeux. Je sens ses cheveux noirs et fins balayer mon visage.
Je la regarde, et je découvre avec admiration ce joli nez, large, si doux, si lisse, aux narines sagement entrouvertes, si parfaites, ces lèvres fines et effacées, cette petite langue rose et arrondie, ces dents comme de petits boucliers côte-à-côte : Plates et au formes arrondies.
Devant un visage d'une telle quiètude, d'une telle douceur, j'ai du mal à croire que c'est bien la même personne, le même être vivant, le même animal que celui qui me maintient fermement immobile.
Ses jambes et ses bras sont minces et musclés, sa peau est joliment cuivrée.
Comment ce petit être mignon peut-il s'avérer être un tel adversaire ?
Bientôt, elle passe en schoolgirl pin : A califourchon sur moi, ses genoux coinçant mes bras. Je me débats pour me dégager, mais je suis vraiment fatigué par tous ces efforts, et je n'y arrive plus, bien qu’elle pèse facilement 20kg de moins que moi : Elle est très rapide, ce qui fait qu'elle arrive à contrebalancer toutes mes attaques en mettant son poids en opposition pour m'empêcher de me dégager. Au bout d’une minute à peine de rodéo, j'arrête de lutter, épuisé. Je souffle bruyamment. J'ai du mal à reprendre mon souffle, c'est mon point faible depuis toujours. Elle est décidément trop forte. Elle aussi reprend son souffle et son odeur me domine totalement. Elle me décoche une gifle. Je me débats un peu, mais je suis trop fatigué. Elle m’en décoche une autre plus forte. Je n’arrive plus du tout à lui résister. Elle m’en décoche encore une, me pince le nez en riant, mais je n’arrive plus à réagir. Son visage est devant le mien, tranquillement dominateur. Je ne peux pas le croire. Ce si joli minois est celui d’une dominatrice victorieuse et impitoyable ! Celui de la frêle jeune femme avec qui je bavardais innoncemment il y a encore quelques minutes ! Et maintenant, elle m’a prouvé qu’elle pouvait me dominer très facilement ! Elle me maintient les bras au dessus de la tête avec ses petites mains, qui tiennent fermement mes poignets. Je trouve ridiculement fragiles ces petits poignets, et pourtant je ne peux pas me dégager de leur emprise.
La voix tremblante, je lui dis :
- Tina, tu es la femme la plus incroyable que j'aie jamais rencontrée. Embrasse-moi.
Elle éclate de rire, et me dit :
- Qui te dit que j'ai envie de toi ? C'est moi qui décide, maintenant !
Elle retire ses mains, et les met sur sa taille, en signe de défi, pour voir si elle peut me contrôler juste avec ses genoux, ce qui est plus difficile. Mais je suis trop fatigué pour bouger. Elle en profite pour me gifler, par jeu, par défi. Je rougis jusqu'aux oreilles. J'essaie à nouveau de me dégager, mais elle me prend à nouveau les bras.
Bientôt, elle se redresse pour refaire son chignon. Ainsi, elle est même capable de se refaire une beauté tout en me dominant. J'essaie de profiter de l'occasion pour bouger.
En réponse, elle me décoche une gifle plus appuyée en me disant :
- Ne bouge pas alors que je suis occupée !
Je me débats pour essuyer l'affront, mais c'est peine perdue, elle me contrôle avec détermination. Elle me punit de quelques gifles supplémentaires, me pince le nez, les joues, me tire les cheveux, je ne peux pas lui résister.
- Ca t'apprendra à désobéir
Je regarde ce visage si beau et si déterminé. Ses yeux, ses lèvres, son nez, montrent tous trois la même détermination. Bientôt, elle sort un blanc à lèvre de sa poche et un petit miroir et me dit :
- Sois sage sinon tu pourrais le regretter !
Et pour me donner une idée de ce qui pourrait m'arriver, elle me dit : « Ca, c’est si tu bouges ! », et elle me tord le nez avec deux doigts repliés, ce qui me fait pousser un cri de douleur. Puis, toujours à califourchon sur moi, elle se remet du blanc à lèvre avec application. Je ne bouge plus, dompté. J’ai l’impression d’être un accessoire de son salon de maquillage. Elle prend volontairement son temps, mais je ne bouge toujours pas.
Finalement, elle sourit et me dit :
- C'est mieux comme ça, non !
- Oui, tu es superbe !
Alors, tout en maintenant mes poignets au-dessus de ma tête, elle approche lentement son visage. Je sens bientôt son joli nez mou cogner le mien, puis ses lèvres fines et humides touchent les miennes. Je les goûte avec passion. Sa langue explore le fond de ma bouche…. Elle est douce et arrondie. Comment une telle lutteuse peut-elle avoir une langue aussi douce ?
Bientôt, elle lâche mes poignets pour prendre ma tête dans ses mains et mieux me rouler un patin. Sa peau est douce et lisse, et délicieusement colorée. Sa langue caresse la mienne avec passion, elle envahit totalement ma bouche, j’ai du mal à respirer.
Puis elle libère mes bras et s'allonge sur moi. Nous nous tenons dans les bras et nous nous embrassons en tournant dans l'herbe, je suis tantôt dessus, tantôt dessous. Je sens son nez large et plat caresser ma joue. Ses jolis cheveux noirs caressent mon visage.
Nous nous embrassons avec passion pendant une éternité, puis, soudain, elle se relève lentement et me dit d'une voix fiévreuse, en me prenant par la main :
- Suis-moi !
Elle me conduit dans son bungalow et referme la porte à clé derrière elle.
Puis elle me pousse dans son lit et me déshabille. Je suis nu devant elle. Je me sens affaibli, amoindri. Elle me caresse les poils du ventre avec tendresse. Je vais pour la déshabiller et elle se laisse faire. Nous nous embrassons passionnément.
Elle est encore plus belle nue. Elle a deux petits seins pointus.
- Tu es si belle ! C'est donc ce joli corps qui a su dompter le mien ? Je ne peux pas le croire !
- Regarde, alors !
Dit-elle en riant, et alors que nous sommes nus tous les deux, elle me bloque en double-grapewine une fois encore en m'attrapant les poignets. Je peux voir de mes propres yeux son corps en action, ses jambes minces qui coincent les miennes en position écartelées, ces jolis petits pieds arc-boutés autour de mes mollets, ses poignets si fluets qui maintiennent énergiquement les miens, et sa jolie toison, qui me fait face : Fascinant ! Mon sexe est tendu au maximum, mais ne peut atteindre la jolie toison. J'essaie de lutter contre ce corps incroyable, et elle éclate de rire à chacune de mes tentatives qui toutes échouent : Elle est trop rapide et habile pour moi. Finalement, alors que je vais lui dire que j'abandonne, elle me dit :
- Dis-moi que je suis la plus forte, que je suis ta maîtresse, que je peux faire de toi ce que je veux !
- Tu es la plus forte, tu es ma maîtresse et tu peux faire de moi ce que tu veux !
- Vraiment ? J'adore !
Dit-elle et elle me gifle alors avec force en éclatant de rire, je vois ses jolies dents blanches et sa langue si molle, si douce. Et alors que je commence à protester contre sa brutalité, elle se penche et noie mes paroles dans un baiser profond. Son odeur m'envahit, sa langue me caresse doucement et efface instantanément les mauvais souvenirs. Elle me libère alors les jambes et les poignets et me fait passer au-dessus d'elle, pour me redonner le contrôle. Elle prend mon sexe tendu à fond dans sa main et me guide vers son vagin. Je la pénètre dans la position du missionnaire.
Je suis maintenant en contact avec toutes les parties possibles de son corps : Je sens son haleine et sa transpiration, ses mains caressent mon corps, ses cuisses sont contre les miennes, ma poitrine touche ses seins, je la domine enfin…
Mais soudain, elle retourne la situation et se retrouve à califourchon sur moi. Elle dénoue ses cheveux, et cela lui donne un air sauvage, animal, très excitant. Je les sens frôler mon visage et ça augmente encore mon excitation. Elle se penche en avant et ses petits seins pendent magnifiquement et frôlent mon corps. Elle m’embrasse à nouveau. Nos deux souffles se mêlent ensemble. Puis elle se redresse et me chevauche lentement, avec volupté, avec majesté. Elle est si belle, si racée, avec sa peau d'une jolie teinte cuivrée ! Ses coups de rein me transportent. Elle rejette la tête en arrière et pousse de petits cris en rythme.
Je regarde son cou arqué, son large nez plat, ses lèvres fines et roses, ses cheveux en pagaille, et je sens le plaisir monter en moi, de plus en plus fort.
Soudain, ses coups de rein produisent leur effet, et j'explose en elle. Pour moi, tout est fini, mais elle continue à me chevaucher sans que je puisse l'arrêter : Mon corps tremble sous ses assauts, je suis vaincu, et presque apeuré par ses ruades et son énergie. Elle pose alors encore une fois ses lèvres sur les miennes et nous reprenons notre souffle ensemble, nos deux corps tremblant de plaisir ensemble. Je m'endors dans ses bras.
Le lendemain matin, je me réveille le premier, et je vois un rayon de soleil sur sa joue, alors qu'elle dors encore. Je la regarde, si calme, si douce, et je n'arrive pas à imaginer ce qui s'est passé hier. Bientôt, elle se réveille dans mes bras, me souris et m'embrasse.
- J'ai encore envie de toi, me chuchote-t-elle
- Moi aussi !
Puis elle se redresse et me dit :
- Prêt pour un combat ?
- Oui.
Nous nous jetons l'un vers l'autre et à nouveau je suis étonné par sa technique. Elle me coince la tête en sankaku (jambes en triangle), et serre. Dans cette position, elle réussit à me faire basculer sur le côté, et bientôt, je me retrouve allongé sur le dos, et elle qui me coince la tête entre ses jambes, et qui me regarde de haut en riant. J'ai sa chatte juste sous le nez et je sens ses odeurs intimes. Elle me dit :
- Lèche !
Un frisson me parcourt le dos : Elle est encore en train de me dominer. Je commence à la lécher et après qu'elle m'ait indiqué ses préférences, je commence à la faire jouir. Alors, elle desserre sa prise, et descend sur ma queue et commence à s'empaler…. J'explose en elle une nouvelle fois.

Après le petit déjeuner, nous allons nous promener sur la plage, main dans la main. C'est alors qu'elle croise des amies à elle.
- Je vous présente mon nouveau boyfriend !
- Comment l'as-tu rencontré ?
- Nous avons fait un combat de lutte, et d'ailleurs j'ai gagné !
Je rougis jusqu'aux oreilles qu'elle étale ainsi cette défaite ridicule pour moi. Ses amies répondent :
- Tu veux nous faire croire ça ?
- Regardez !
Et elle commence un combat avec moi sur la plage, tous les deux en maillot de bain, devant ses amies. Après une ou deux feintes, elle me fait chuter et me bloque en hon-gesa gatame. Avec le sable, il est très difficile de bouger : Je me débats, mais elle a une très bonne technique, les deux jambes bien écartées, le poids au maximum sur moi : Elle est à nouveau gagnante ! Elle sourit, le regard triomphant, sous les yeux ébahis de ses deux amies. Je suis rouge de confusion. Puis, elle bascule soudain sa jambe avant vers l’arrière, et passe à califourchon. Elle serre ses pieds par en dessous pour mieux se cramponner. J’essaie de la déloger comme un étalon sauvage le ferait d’un cavalier qui tenterait de le monter. Mais mes ruades ne servent à rien, elle se maintient en équilibre au-dessus de moi. Elle m’attrape alors les poignets et se redresse lentement. Je n’en reviens pas de ce culot ! J’essaie à nouveau de la déséquilibrer mais elle devine à chaque fois mes intentions et pare toutes mes attaques. J’essaie de me libérer mais le souffle me manque. Elle maintient la pose et ses deux amies applaudissent en riant :
- Bravo ! Tu es vraiment plus forte que lui !
Elle est superbe avec son maillot de bain bleu marine et noir (des couleurs un peu masculines à vrai dire), d’une seule pièce, et qui laisse pointer deux petits seins. Ses cheveux noirs et brillants sont soigneusement retenus en arrière par une queue de cheval. Elle a de jolies lèvres roses et fines. Elle me regarde avec ironie et dédain. Je suis essoufflé par ce combat et rouge de confusion.

Puis, tout en contrôlant toujours la situation, elle descend sa tête vers la mienne et m’écarte les bras vers l’extérieur. Bientôt, sa tête est juste au dessus de la mienne. Elle me regarde droit dans les yeux en souriant puis pose ses lèvres sur les miennes. Sa langue vient s’enrouler autour de la mienne, et elle m’embrasse de façon sensuelle. J’adore son odeur, son superbe nez large et mou. Puis elle se redresse et éclate de rire.
- Vous voyez, je peux en faire ce que je veux !
Et pour illustrer son propos, elle me décoche une gifle qui me fait passer à la couleur écarlate. Je suis rouge de honte en même temps que sous le charme total de sa domination.

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
bravo une suite s'il-vous-plaîs très bon très bandant bonne histoire

Histoire Coquine DXD
Superbe histoire, très excitante ! J'ai toujours eu envie d'écrire une histoire comme celle là, avec une fille et un mec qui se battent :)



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