Les vacances II

- Par l'auteur HDS Minpass -
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Auteur homme.
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Récit libertin : Les vacances II Histoire érotique Publiée sur HDS le 27-09-2014 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Note attribuée à cette histoire érotique par HDS :
(9.0 / 10)

Couleur du fond :
Les vacances II
J1

J’ai reçu des directives simples :

Des vêtements légers, des dessous minimes - je suis donc allé m’acheter quelques dessous en plus : trois tangas en dentelle (blanc, rose et noir) et deux strings en coton noir. Je n’ai pas le droit aux caleçons ou boxeurs.

Nous nous sommes vus avec Georges trois fois depuis le premier brunch. Les dernières rencontres ont été différentes cependant. En effet, souhaitant maintenir un peu de mystère, nous nous sommes tenus aux préliminaires. Georges m’a avoué qu’il n’avait pas eu l’intention en réalité de me pénétrer la première fois. Cependant, ses envies ont pris le dessus. A vraie dire la semaine a été extrêmement frustrante. Les préliminaires n’ont pas aboutis à un orgasme, ni pour lui, ni pour moi. Nous nous sommes efforcés de s’arrêter avant. Je n’ai pas non plus eu le droit de me masturber, et, malgré mon envie de tricher, l’envie et l’excitation de jouer le jeu on su me garder en laisse.

En rejoignant mon amant à l’aéroport je suis monté à block. L’excitation se fait sentir. Je sais que ce soir, enfin, dans une belle chambre d’hôtel, nous allons pouvoir combler de nouveau nos envies. Il m’attend, les billets à la main, un grand sourire aux lèvres. Je ne connais toujours pas notre destination.

« Alors, prêt ? »

« Oh oui ! »

Il place une main discrète sur ma fesse droite.

« Bientôt tu n’auras plus besoin de tous ces vêtements. »

Une claque sur la fesse, qui se fait remarquée par un couple à proximité, et nous sommes partis.

Nous atterrissons à Athènes. Ce n’est pas la première fois que je viens mais le contexte est singulier. Cependant, nous ne posons pas le pied dans la ville même mais prenons un taxi de l’aéroport au Pirée. Le trajet dure plus d’une heure. Je contemple de nouveau les bâtiments hétéroclites de cette ville curieuse, sortant tout juste de la crise. Les mains de Georges sont baladeuses mais discrètes. L’une d’entre elles se glisse même dans mon short. Il sourit à la découverte de mon tanga. Lui bande déjà à fond.

Une fois arrivé, un ferry nous emmène sur l’île d’Aegina, à quarante minutes du continent. C’est ensuite une courte marche à pied jusqu’à l’hôtel. J’ai à peine le temps de découvrir un ensemble de petites rues, bordées d’anciennes maisons en pierre claire, sur fond de collines baignant dans le soleil estival. Nous arrivons à une très vieille bâtisse – ancienne maison de maître sans doute. Le carrelage date sans doute de la restauration – un oiseau à deux têtes orne le sol à intervalles réguliers. Une dame, la quarantaine elle aussi nous accueil avec un sourire. Elle fait abstraction de la main de Georges, posée sur mes fesses. Mon amant a réservé une réelle suite – sans doute les anciens appartements du maître. Un grand lit occupe une place centrale dans la chambre à coucher qui bénéficie de sa propre salle de bain. Un petit jacuzzi nous attend également. Je suis sûr que c’était un des critères de sélection de Georges. Après nous avoir fait le tour des lieux, la propriétaire nous quitte. Son français est impeccable. Elle précise que nous n’aurons pas de voisins avec un petit sourire en coin. Puis nous sommes seuls, enfin.

« Alors, ça te plait ? »

« C’est parfait. »

Il s’approche de moi, place ses mains autours de ma taille. Il m’embrasse. Nos langues se rencontrent. Je sens sa main sur mes fesses, puis passer dans mon short. Il me pétris, me malaxe. Puis de l’autre main il défait le devant du short, qui tombe sans attendre. Ma main droite quant à elle s’est posée sur son entre jambes, taquinant son membre à travers ses vêtements.

« J’ai envie que tu me prennes. »

« Je sais petite. »

C’est au tour de son short de tomber. Nous continuons de nous embrasser. Les t-shirts sont balancés contre terre. Je meurs d’impatience de le gouter. Il me pousse sur le lit. Nous continuons de nous embrasser, moi en tanga, lui en boxeur. Je sens la barre de son sexe se frotter contre le mien, bien plus petit. Je me retrouve sur lui, ses mains fermement sur mes fesses. Puis il nous fait rouler encore et je suis de nouveau sous lui. C’est alors qu’il s’arrête de m’embrasser et remonte. Je reste allongé. Il vient se positionner à genoux prêt de mon visage. Je lui masse l’entre jambes, son boxeur humide tout autour du gland. Je glisse la main sous le tissu et passe mes doigts contre son scrotum. Ses testicules sont lourds, je me sens privilégié de pouvoir les alléger. Je me saisis ensuite de sa verge, n’attendant que moi à présent. Je la fais passer par une des jambes du boxeur. Enfin ! Sans attendre je la prends en bouche. Nous laissons tous les deux échapper un soupir de satisfaction. Je commence par m’occuper de son gland que je tête longuement. Puis je m’avance, laissant entrer la verge. Je la parcours en long, allant aussi loin que possible. Elle est large et veineuse. Sa peau lisse, le gout amer m’enivrent. Je me retourne, me plaçant sur le ventre à présent devant lui. Alors que je prends de nouveau son sexe en bouche il se saisit de ma tête. Il me guide, les yeux fermés. Je le laisse faire. Mes mains s’occupent de son scrotum. Nous nous arrêtons pour qu’il enlève son boxeur, devenu trop serré. Je joue avec son pénis, faisant courir ma langue sur son gland, ses boules... Il se penche, s’occupe de mes fesses – faisant courir un doigt le long de ma raie. Il s’arrête sur mon trou. Je le sens faire pression. Il me doigte tandis que j’alterne masturbation et fellation sur son sexe.

« T’es prête ? »
Je fais oui de la tête. Georges se lève, ouvre son sac et sors un tube de lubrifiant. Je reste sur le lit, encore sur le ventre, la tête tournée, le contemplant. Il revient vers moi, ouvrant le tube. Il s’en applique sur les doigts, puis, positionné à califourchon au-dessus de mes fesses, écarte la bretelle du tanga. Je sens un contact froid le long de ma raie, puis de nouveau contre mon anus. Il étale librement du lubrifiant. Enfin, il s’en applique sur lui même en se masturbant. J’écoute le bruit que produit sa main, astiquant sa grosse verge. Il est prêt. Il m’écarte les fesses, ferme mais tendre. Puis je sens le contact de son gland contre ma peau. Je ne peux m’empêcher de retenir mon souffle. Je suis tout excité.
Enfin il est prêt à entrer en moi. Un instant immobile puis il pousse. Il m’a bien préparé avec son doigt et le gland ne peine pas à entrer. Je laisse échapper un premier petit gémissement. Il continue de pousser. Sa verge s’enfonce lentement. J’ai un peu mal mais je fais de mon mieux pour me détendre. Il reste immobile à nouveau, totalement enfoncé en moi. La douleur s’efface peu à peu alors que je me dilate autour de lui. Je suis détendu. Le premier coup de hanche est doux. Il accélère peu à peu, donnant d’abord de petits coups au fond de moi. Avec chaque coup cependant il prend de l’ampleur, jusqu’à presque quitter l’étreinte de ma paroi, pour ensuite s’y enfoncer à nouveau. Mes doigts se crispent dans les draps. J’ai fermé les yeux. Je sens une sensation intense de plaisir se saisir de mon bas ventre et remonter. Je n’ai pas conscience que je gémis à chaque fois que son bassin se colle à mes fesses. Il me lime à présent. J’ouvre les yeux et tourne la tête. Une fenêtre, ouverte, donne sur la chambre. Les rideaux sont à moitié tirés. Mes yeux mettent un moment à s’adapter à la lumière, mon corps butiné au rythme de mon amant. C’est alors que j’aperçois, de l’autre côté de la cour sur laquelle donne notre chambre, la femme qui nous a accueilli. Elle nous regarde. Nos regards se rencontrent. Elle me sourit. Un peu surpris je souris également. Ca m’excite à vrai dire. Elle nous observe tandis que Georges me fait l’amour. Mon amant prend réellement son plaisir. Je le sens se lâcher après une semaine d’abstinence et de frustration. Sa queue m’emplit totalement, chaque coup nous stimulant mutuellement.

Il se retire, et, ses mains sur mes hanches, me retourne. Il m’écarte les cuisses et sans attendre se positionne de nouveau pour me pénétrer. Je l’encourage, le tirant vers moi, mes jambes s’enroulant autour de sa taille. Il entre sans résistance. Je jouis, m’aidant de ma main. Puis s’est à son tour. Il se lâche en moi, un long râle de plaisir donnant le coup de départ de ce qui s’annonce être une semaine intense.

Nous restons côte à côte dans le lit un petit moment. La femme est partie, le spectacle terminé.

« Tu sais, nous avons eu une audience. »

« Ah bon ? »

Je souris, « Notre chère hôte. »

« Ca t’a gêné ? »

« Non, au contraire ça m’excite. »

« Vous les bi vous ne cessez de m’amuser… Vous adorez l’idée qu’une femme vous surprenne dans un moment pareil, totalement vulnérable. »
« Oui, c’est vrai. J’aime qu’elle sache que je suis ton soumis. »

« Oh tu sais, ça je pense qu’elle s’en est rendu compte dès notre arrivée. »

Je ris.

« Tu as déjà eu une copine qui était au courant ? »

« Oui, une. »

« Tant qu’on se voit je préférerais que tu ne vois pas de femmes. »

Je le regarde un peu surpris.

« Et d’autres hommes ? »

« Oui, ça ça ne me gène pas. On n’est pas exclusif mais ma condition est que tu refoules ton côté hétéro, du moins tant que je ne t’y autorise pas. »

Je suis perplexe, « Et comment tu saurais si j’ai fait un écart ? »

« Ecoute après c’est à toi de voir. Je te propose une expérience cérébrale. Si tu vois une ou des femmes, ça serait dommage. Surtout si je le découvre. Je veux te prouver qu’un homme peu te satisfaire pleinement sexuellement aussi. »

« Georges, je suis très reconnaissant de ce voyage, mais je ne cherche pas une relation, surtout avec un homme. »

« Je ne te propose pas une relation de couple ! La preuve, je te dis que tu peux voir d’autres hommes, je t’y encourage même. Et j’ai bien l’intention de le faire moi aussi. Juste une petite expérience. »

« Bon, ok, essayons. »

Il me sourit, « Tu verras, ça va te plaire. »

Nous prenons un bain ensemble dans le jacuzzi. Des petites caresses taquines se transforment rapidement en attentions plus ciblées. Je le masturbe tendrement avant qu’il ne se lève, m’offrant de nouveau son sexe à sucer. Il finit pour la première fois au fond de ma gorge. Je peine à tout avaler mais j’y prends un profond plaisir. Je le sèche, attentionné, le faisant rire. De nouveau j’enfile mon tanga.

Nous quittons l’appartement pour trouver un café ou déjeuner. Il fait chaud mais ça n’empêche pas Georges de rester tactile. Ses mains sont baladeuses. Sa libido, malgré nos ébats, ne semble avoir diminuée d’un poil. J’en suis flatté.

Une fois le déjeuner terminé Georges me guide dans une promenade qui nous mène en dehors de la petite ville côtière. Des champs jaunies par le soleil s’étendent jusqu’aux collines que j’ai pu apercevoir en arrivant. Nous passons une petite maison abandonnée.
« Viens. » Georges me prend par la main et nous franchissons la grille ouverte. Un potager envahis par des herbes folles entour une maison de pierre. Le crépis blanc de la façade est en grande partie tombé. Nous faisons le tour de la propriété. Sous un grand arbre feuillu, ses branches s’étendant jusqu’à la toiture à demi écroulée de la maison, Georges m’arrête. Il se colle à moi, ses mains m’explorant à nouveau. Puis il commence à me déshabiller.

« Attends, ici ? »

Il ne répond pas mais plutôt fait tomber mon short. Je me retrouve les fesses à l’air. Puis il libère son propre sexe. Ses mains me poussent vers le bas, à genoux. J’ai à peine le temps d’écarter les lèvres qu’il s’y fraie un chemin, m’emplissant la bouche pour une troisième fois aujourd’hui. Il prend le contrôle en donnant des petits coups de hanches. La fellation ne dure pas longtemps cependant.

« Crache, sur mon gland. »

Je le fais, comprenant qu’il souhaite se lubrifier. Il me relève ensuite et me retourne, me cambre contre le tronc de l’arbre. Il se positionne sans attendre entre mes cuisses. La pénétration, malgré le fait que je suis encore un peu dilaté du matin, se fait difficilement.

« Tu me fais un peu mal… »

« T’inquiètes ça va passer. »

En effet, peu à peu la douleur s’efface, ne disparaissant pas totalement cependant. Mais le plaisir fait de nouveau son apparition et je me laisse aller aux coups fermes du bassin de mon amant. Il me fait jouir en m’aidant de sa main. Puis c’est à son tour, se vidant au fond de moi.

Nous nous rhabillons et reprenons la balade. Je sens son sperme couler le long de ma jambe.

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