J'ai subis un apprentissage intensif

- Par l'auteur HDS Georges -
Récit érotique écrit par Georges [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : J'ai subis un apprentissage intensif Histoire érotique Publiée sur HDS le 31-10-2014 dans la catégorie Plus on est
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(8.0 / 10)

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J'ai subis un apprentissage intensif
Je viens d’avoir dix huit ans, mes parents sont heureux et fiers de me voir partir avec mes premiers patrons, un couple d’amis à eux

Employée en tant que mi serveuse dans leur restaurant mi fille au pair, nourrie et logée chez eux, Anita, la femme, est une très belle brune, habillée avec recherche et sensualité, son mari, José, est lui aussi très beau, carrure sportive, brun, aux yeux perçants, apparemment très amoureux de sa femme, toujours un petit geste, parfois coquin lorsqu’il se croient seuls

Elle a une vie dont je rêve pour moi un jour prochain, une belle voiture, des tenues provocantes, moi qui suis toujours en jeans mal taillés, et surtout un mari aux petits soins, aimant, surprenant en ce qui concerne le sexe

Le ton est donné dés que nous somment en voiture, assise a l’arrière je peux voir ce qui se passe devant, notamment qu’Anita a la robe relevée très haut et que José y est très attentif, ses yeux sautent de l’autoroute a l’entrecuisse, dans son rétro collé au pare-soleil Anita guette mes réactions

- Ne te prive pas de tes habitudes chéri, Léa ne fait pas de cas de nos faits et gestes, elle regarde le paysage
- Tant mieux ! je n’aurais pas supporté une fille rabat-joie, je peux donc te toucher ?
- Va-y, tu bande déjà !
- J’aime ce pantalon léger mais il n’est il n’est pas discret !
- Si tu l’avais moins grosse aussi !
- Tu ne t’en plains pas ?
- Regarde moi ça, je n’en fait pas le tour a travers le tissu
- Arrête je vais tacher mon futal

C’est vrai qu’une barre monstrueuse est visible sur le coté gauche de sa cuisse, il ne doit pas porter de slip ….sa main droite se pose en haut de la cuisse dénudée d’Anita qui pousse son genou vers lui, et, du fait ouvre largement son compas

Je ne peux décrire ce qui se passe dans ma tête, mais je ne suis pas outrée, au contraire, je joue à la voyeuse et Anita en est complice, dommage, si je n’étais pas en jean je passerais discrètement une main entre mes cuisses, par dépit je cherche une position afin de coincer mon clitoris sur la couture de mon pantalon, avec des mouvements bien précis je le fais rouler, mes bouts de seins s’allongent… j’arrête de mater les amoureux, je ferme les yeux... elle respire très fort, il doit avoir un ou deux doigts sur le clitoris ou dans le vagin trempé de sa femme… porte -t-elle une petite culote ??

Anita geint … elle va jouir... et moi aussi, elle a poussé un petit cri en même temps que le mien, José m’a regardée bizarrement dans le rétro, Anita s’est retournée avec un sourire complice, je vais faire le reste de la route avec un slip désagréablement mouillé, la femme a ouvert la boite a gant pour saisir des mouchoirs en papier …elle s’essuie la chatte discrètement
Le reste du voyage s’est effectué dans la bonne humeur et la plaisanterie parfois grivoise …à peine entrée dans la luxueuse demeure Anita me fais signe de la suivre dans sa chambre

- Ma petite Léa je vais te confier quelque chose, si tu n’es pas d’accord ce n’es pas grave, nous en resterons là, mais je te demande d’en garder le secret
- Je sais tenir ma langue Anita
- Bien ! tu as pu remarquer certaines choses dans la voiture
- … Oui ça m’a émoustillée
- Je ne sais pas comment tu as fait, mais je t’ai entendue jouir en même temps que moi !
- J’ai simplement serrées les cuisses en vous imaginant !
- Tu imaginais quoi ?
- Queeee … José vous caressait …j’ai aussi aperçu son pantalon déformé
- Il avait de quoi être déformé …bon, voilà, nous somment un couple libéré et naturiste, le soir après le boulot, pour nous détendre, nous aimons nous balader nus dans la maison, mais en ta présence nous garderons un minimum d’habits rassure toi ! pareil pour les câlins ne sois pas offusquée si u vois des mains baladeuses entre nous
- Je comprends tout à fait Anita, ne changez rien a vos habitudes, je me ferais aussi discrète que possible
- Encore une chose, tu as une jupe ou une robe dans ta valise ?
- Hélas non, papa ne veux pas me voir, comme il dit, ‘ les cuisses a l’air ‘
- José ne supporte pas les femmes en pantalons, es-tu vierge ?
- Non ! je ne l’ai fait que trois fois, mais c’est super !
- Tu as raison, profite de ta jeunesse, tu va m’aider a retire ma robe, nous avons la même taille, je vais t’en prêter une

J’abaisse la fermeture dans le dos de la femme, pas de soutien-gorge, aucunes traces, elle est bronzée de partout, même chose pour les fesses dorées, Anita ne porte pas de culotte, son corps est irréprochable

- A ton tour de te déshabiller ! Pendant ce temps je te dégotte quelque chose de seyant
- Je retire tout ?
- Oui, ici pas besoin de slip et de sousting ! ça fait des marques ridicules ! passe-moi cette jupe
- José va me regarder comme une fille facile
- Je l’espère bien ! enfile cette mini robe noire
- Elle est vraiment échancrée de partout
- Et alors ? ici c’est naturel de montrer ses formes regarde ma robe, elle est encore plus mini que la tienne !

A l’idée que ce bel homme va poser les yeux sur mon corps à peine voilé je suis émoustillée, je dirais même que je mouille, et rien entre mes cuisses pour éponger mes sécrétions
Nous rejoignons José qui sirote un verre, il porte juste un kimono de soie sous lequel je parie qu’il est nu

- Quelle charmante apparition ! ma chérie la petite Léa est une très belle femme
- Et tu n’as pas tout vu ! moi si !
- Chanceuse ! trinquons à Léa ! a son séjour chez nous !
- Santé !
- A la votre…
- Que faisons-nous chérie ? voulez vous regarder un film ?
- Boff ça ne me dit rien et a toi Léa ?
- Je suis d’accord pour ce que vous déciderez
- Allons regarder un d v d dans notre chambre
- Très bonne idée, tu viens Léa ?
- Je vous suis

J’ai un peu le trac, mais je me régale d’avance. Visiblement, ils ont l’habitude de ce genre d’expérience car, après une petite discussion a voix basse, ils se sont déshabillés. Ni l’un ni l’autre ne porte de sou vêtements, elle est belle et attirante. Son mari est vraiment très beau, grand, racé, musclé, lorsqu’il a enlev son pantalon, j’ai découvert un sexe énorme, long et gros à la fois, encore au repos mais déjà très impressionnant

Pour ne pas paraitre gourde je me suis déshabillée en essayant de cacher mon trouble, nous nous sommes allongés, ils m’ont mise entre eux deux. Tout de suite, Sonia a posé une main sur ma chatte et m’a léché le ventre pendant que son mari m’embrassait et me massait fermement les seins, faisant rouler la pointe qui durcit entre ses doigts. Dans un sursaut d’audace j’allonge le bras jusqu’à toucher la queue déjà̀ tendue de José. Anita a fait entrer plusieurs doigts dans mon vagin et les fait tourner à l’intérieur, donnant de temps en temps des coups de langue sur mon clitoris. J’étais trempée, je branle José de plus en plus énergiquement

- Elle est docile n’est-ce pas José chéri ?
- Est-elle prête ?
- On ne peut mieux ! mais tu me prendras avant
- Tu veux qu’elle voie ma queue pénétrer ta chatte ?
- Ça lui donnera une idée de ce qui l’attend

Ils m’ont fait mettre à quatre pattes, Anita a continué à me lécher en m’écartant bien les fesses tandis que son mari s’agenouille devant moi et m’enfonce lentement sa queue entre les lèvres, je m’applique autant que je peux pour sucer ce membre hors norme, essayant d’innover mes pipes vite faites a des garçons avide de décharger dans ma gorge

Je serre ses couilles dans ma main et fais coulisser sa bite de plus en plus vite jusqu'à la limite de ma luette
Anita s’allonge à coté de moi et le branle elle aussi, léchant sa queue et ma bouche en même temps jusqu'à la jouissance du mâle, nous nous somment partagée la phénoménale quantité de sperme
Comment et quand allait-il me prendre ? Ils m’ont fait subir un véritable supplice du plaisir, ils m’ont demandé de me mettre a genoux prés d’eux et de me masturber en les regardant baiser Anita sur le dos, les jambes largement écartées, José l’à pénétrée en me demandant de m’approcher au plus prés, ce long manche disparais lentement dans le ventre de la femme, comment ce petit orifice peut avaler tout ça ? Ensuite il l’à défoncée de toutes ses forces, sa tête bascule violement de gauche a droite en vociférant des mots obscènes telle une possédée du démon

Je regardais sans pouvoir participer, je me touche comme une véritable nymphomane. J’ai joui, mais cela n’a pas suffi à me calmer, ils m’ont demandé de me mettre en levrette, enfin José m’a enfoncé centimètres par centimètres son énorme chibre dans la chatte. J’ai hurlé de plaisir au fur et a mesure qu’il déployait ma gaine vaginale, je me sens complètement pleine de cette chair étrangère, Anita, allongée devant moi les cuisses écartées a l’équerre, frotte sa chatte contre ma bouche et mon nez, très excitée aussi et elle barbouille complètement ma figure de ses restes de foutre et de sécrétions intimes, j’essais de la lécher, mais ce que me prodigue son mari est tellement bon que j’ais du mal à me concentrer

Un second orgasme d’une intensité incroyable me dévaste, J’ai carrément planté mes ongles dans les cuisses d’Anita, en collant mes fesses contre José pour sentir au plus profond de mon être le sperme qu’il déverse a longs jets, dont le trop plein gicle sur le drap déjà bien souillé, puis, repue, je me suis effondrée sur le lit la chatte en feu, mais ils n’en ont pas fini avec moi, ils ont continué caresser pendant qu’ils baisaient tous les deux a quatre pattes

Je me suis glissée sous Anita et de temps en temps je tire sur la bite afin de la déboiter de la chatte aux lèvres violacées par les multiples pénétrations, pour en lécher le nectar ruisselant sur le gland rougi à l’extrême, avant de la replanter dans ce marécage qu’est sa moule, épuisés et haletants nous nous somment endormis pêlemêle, José m’a réveillée trois fois au cours de la nuit pour m’honorer tendrement a ma missionnaire

Mes parents son fiers de moi lorsque mes patrons leur font des éloges sur mes compétences et mon assiduité au travail

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