L’histoire de la forêt

- Par l'auteur HDS Whey_3 -
Récit érotique écrit par Whey_3 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : L’histoire de la forêt Histoire érotique Publiée sur HDS le 12-11-2014 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Note attribuée à cette histoire érotique par HDS :
(8.0 / 10)

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L’histoire de la forêt
Un jour de juin ou j’avais du mal à me remettre de ma séparation avec mon ex copine, je me décidais de m’inscrire sur un site de rencontre avec un aspect plus centré sur les rencontres d’un soir et les plans cul.
Au fur et à mesure de la visite des profils et divers messages, un profil particulier attira mon attention. Il s’agissait de celui d’une fille prénommé Marjo avec des photos d’elles assez imaginatives dans des petites tenues qui plairaient à plus d’un homme.
Je me décidai à la contacter et le lendemain elle me répondit, nous échangeâmes plusieurs messages avant de s’échanger nos téléphones respectifs. Nous convînmes d’un rendez-vous trois jours plus tard.
C’était un mardi soir vers 21 heures et j’avais rendez-vous dans sa ville, à part les photos sexy d’elle je n’en avais vu aucun autre. J’arrivai dix minutes en avance et l’attendit. Je la vis arriver en direction de ma voiture et je lui fis signe de monter. Nous nous fîmes la bise, elle était vêtue d’une petite robe laissant apparaitre ses épaules et descendant jusqu’au niveau de ses cuisses. Elle était rousse avec des petites tâches de rouceurs mettant en relief son visage. Ces cheveux étaient laissé libre et descendais jusqu’au milieu de son dos, avec des chaussures ouvertes laissant apparaitre une manucure qui semblait être faite depuis peu.
Nous bavardâmes quelque peu et le soleil tombant progressivement pour laisser la clarté d’un soir d’été apparaitre avec la moiteur bien courante que nous connaissons chez nous.
Ne voulant pas décidé de ce que nous pouvions faire, je me décidai de nous promener dans la forêt, connaissant quelque peu la ville ou elle habitait, je pris la direction de celle-ci et à la fin de la route je bifurquais à droite dans un petit chemin de terre qui s’enfonçait dans l’obscurité des arbres touffus.
Lorsque la voiture se trouva à l’abri des regards je m’arrêtai et Marjorie ne me fit aucun commentaire, j’eu juste droit à un sourire de sa part assorti d’un clin d’œil. Nous cherchions tous les deux la même chose et je m’approchais d’elle sur le siège passager pour venir goûter la douceur de ses lèvres rouges et pulpeuse badigeonné de rouge à lèvres. Le premier baiser fut timide mais laissa place à un autre plus prononcé là ou nos langues se rencontrèrent et s’entrecroisèrent dans un élancement d’envie de notre part. Les baisers étaient de plus en plus prononcés et je sentais ma bite se durcir irrémédiablement. J’aventurais ma main sur sa poitrine que je pelotais par-dessus sa robe. Elle n’était pas en reste car sa main gauche avait déjà pris possession de mon entre jambe qu’elle malaxait par-dessus mon short. Je fis descendre ses vêtements et elle se déshabilla complètement et je fis de même, cela n’était pas très pratique dans l’habitacle du véhicule. Une fois dévêtue elle commença à me branler le sexe qui était en érection totale, elle alternait des mouvements rapides puis lent. Sa bouche vint ensuite me faire un petit bisou sur le gland avant de me le gober à pleine bouche comme si elle mourrait de faim. Sa main droite me palpait les bourses tandis que sa main gauche coulissait autour de ma bite turgescente. Sa langue me titillait le gland avant de me l’aspirer tout en me branlant, cette fellation était divine. Je sentais la jouissance approcher et je la prévins ce qui lui fit accélérer son mouvement jusqu’à ce que je décharge de long jet de foutre chaud dans sa bouche, elle avala tout et ne recracha pas la moindre goutte. Soudain Marjorie me dit « maintenant c’est à ton tour » et le siège passager recula à fond en arrière et je vins me placer à genou entre le siège et ses cuisses. Je vis son sexe entièrement épilé et sentant la fraicheur malgré ses lèvres qui luisaient de mouille, ma bouche pris place contre celui-ci et je commençais à récolter la cyprine avec ma langue en faisant de petit cercle tout autour de son sexe puis je titillais son clito tout gonflé d’excitation et je fis ensuite rentrer ma langue dans son puits en ébullition ce qui la fit gémir. Elle soupirait et m’encourageais à continuer en me tenant la tête et la poussant contre son sexe trempé. J’alternais entre aspiration du clito et léchage de son sexe pendant que ma main gauche allait à la rencontre de son anus luisant lui aussi à cause de la mouille. Je n’eu aucun mal à faire rentrer mon index qui coulissa dans ses entrailles. Je levais légèrement ses jambes pour lui procurer un anulingus et ma langue vient contre son anneau comme s’il me réclamait. Je tournais en rond autour de celui-ci et par moment je la faisais rentrer dedans ce qui lui arrachait un gémissement encore plus fort.
Je repris ensuite place côté conducteur et je sortis de la boite à gant une capote que j’enfilais et dit à Marjo « je pense que tu n’auras aucun souci à t’empaler sur ma bite » et celle-ci vint me sur moi et me chevaucha, de tout son long mon sexe pénétra en elle jusqu’à la garde de mes bourses. Les mouvements étaient lents mais pas très pratique vu l’étroitesse de l’habitacle.
Je la fis sortir et la mis sur le capot de la voiture cuisse ouverte et chatte béante me réclamant. Je rentrais d’un coup en elle et mis de grands coups de rein en un rythme assez soutenu, par moment je faisais sortir mon gland et le rentrais de nouveau d’un coup. Tout en la besognant je tétais ses seins, son sexe était trempé de mouille et de désir et ses jambes vinrent s’enrouler autour de ma taille. Mes mouvements étaient moins rapides mais de plus en plus profond et je sentais la pointe de ses ongles se planter dans le creux de mes omoplates ce qui m’excita encore plus. Ma jouissance se faisait de plus en plus proche et je l’entendais haleter comme si Marjorie en perdait la raison. D’un dernier coup de rein dévastateur je laissé échapper de longues giclées en elle ce qui la fit hurler de plaisir tant sa jouissance était bonne.
Je ne regrettais vraiment pas cette rencontre avec cette fille car j’avais pris mon pied autant qu’elle ! Tout en m’enlevant la capote, je la vis me regarder en se touchant les têtons avec un regard coquin comme si elle avait encore envie de jouer avec moi. M’approchant près d’elle, je fus saisi par ses bras et sa langue me mordit le creux du lobe de l’oreille, tout en me chuchotant qu’il ne faudrait pas que je fasse de jaloux et que son dernier trou devait également être exploré.
Sa main gauche avait saisi ma bite qui reprenait doucement de la vigueur. Elle me tourna le dos et posa ses mains sur le capot en me présentant son cul humide de sa dernière jouissance. Mon gland se présenta sur son petit anneau plissé et je le fis rentrer progressivement, ça ne devait pas être la première fois qu’elle se faisait sodomiser vu la progression de mon sexe en elle. Quand j’arrivai à coller mes couilles contre ses fesses, elle gémit et me dit « casse moi le cul, défonces moi avec ta grosse queue », je ne me fis pas prier et ma cadence se fit plus rapide et mes coups plus violent. D’un coup ma bite sorti entièrement et je vis son trou béant déformé par ma bite et de nouveau je la fis rentrer d’un coup, son cul n’était pas trop serré et je la besognais de plus en plus violement en la tenant fermement par les hanches et soudain je déchargeai en elle une nouvelle fournée de sperme, j’en avais les jambes qui tremblaient tellement la jouissance fut violente. Marjorie vint se blottir dans mes bras et nous nous rhabillâmes et primes la direction de son domicile. Arrivé devant nous nous fîmes un long et doux baiser et elle me dit demain après-midi ma sœur n’est pas la si tu veux passer n’hésites pas.
Je n’eu pas longtemps à réfléchir avant de lui dire à demain...
Le lendemain fut intense également et je vous le raconterais au prochain épisode..

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