Poupée de chiffon

- Par l'auteur HDS Samarinda -
Récit érotique écrit par Samarinda [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Récit libertin : Poupée de chiffon Histoire érotique Publiée sur HDS le 23-11-2014 dans la catégorie Dominants et dominés
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Note attribuée à cette histoire érotique par HDS :
(8.0 / 10)

Couleur du fond :
Poupée de chiffon
Comme à chaque fois que nous préparons une soirée spéciale l’excitation se mélange avec l’appréhension.
Pour la première fois tu m’as proposé de passer la soirée avec ta soumise.
Ca fait longtemps que j’ai envie de participer à une de ces soirées, sans vraiment savoir ce qui m’attend.
Tu es déjà avec elle, il a été prévu que je vous rejoindrai après. J’aime savourer le temps qui précède ces moments que je sais par avance intense.
Je ne t’ai pas demandé ce que tu attends de moi, ni ce que tu as prévu, je te fais confiance comme toujours.
Je sors avec fébrilité un ensemble de lingerie rouge passion que je gardais pour une occasion particulière.
Un brin fébrile je pare mon corps de ce bijou de dentelle, je sais que tu aimes que je te surprennes.
Un petit ruban rouge se noue autour du cou comme si j’avais su inconsciemment que j’accepterai de me soumettre un jour.
Tu y verras certainement un signe de ma soumission , de mon acceptation à offrir mon corps.

Un bain permet de détendre chaque partie de mon corps excité de ce qu’il va subir ce soir.
Je couvre mes seins du demi soutien-gorge. Une fleur rouge vient dissimuler chacun de mes tétons, le reste de l’armature met en valeur l’opulence de ma poitrine.
Le tanga ne cache rien de mon sexe lisse, je fixe le porte-jarretelles en tulle bordé d’une guipure rouge écarlate.
Délicatement j’enfile des bas qui viennent parfaire le tout. La soie de ma robe glisse sur mes courbes caressant chaque partie de mon corps.
Me voila prête pour vous rejoindre, une paire de Louboutin donne une touche de sensualité supplémentaire.
Je prends un instant pour me regarder dans le miroir, oublié la femme pleine de doute j’ai hâte de te rejoindre.

Je dois vous retrouver dans l’appartement qui abrite votre relation si particulière.
Ton donjon, ta salle de jeux, celle ou elle devient ta chose et toi son maitre.
Je n’ai jamais éprouvé jusqu'à présent l’envie de t’y retrouver, préférant à cela la chaleur de notre chambre.
Mais la curiosité a été plus forte, ce qui m’a amené à vouloir partager une de vos soirées.
Le chemin qui me mène à toi n’est pas si long, me voila au pieds de l’immeuble. Ce matin, avant de partir tu as déposé dans le creux main la clé de tout les péchés . Mon cœur bat la chamade, ce qui ne m’empêche nullement de gravir les deux étages qui me séparent de mes fantasmes inassouvis.
Il me semble que le silence est assourdissant une fois devant la porte comme un automate j’introduis la clé, je n’ai pas le temps de la tourner que te voila devant moi.
C’est tes yeux comme toujours qui me cloue sur place, cette lueur dans le regard que tu as parfois en me regardant.
Tu me toises avant que de me détailler, je te laisse me découvrir sans dire mot.
Ta main vient délicatement toucher le ruban rouge, un sourire vorace nait sur tes lèvres.
Je me sens proie, je te sens prédateur, un frisson d’excitation que je ne peux te cacher.

Tu m’invites d’un geste à pénétrer dans ton antre. Nous n’avons échangé aucun mot, juste un baiser posé sur mes lèvres.
La porte se ferme dans mon dos dans un bruit sourd, j’avance découvrant un endroit raffiné, plein de sensualité par le choix des couleurs ,des tissus, des meubles.
Des tapis assourdissent mes pas, sans que tu n’es besoin de me guider, je sens ton regard dans mon dos.
Tu as depuis longtemps envie de me faire découvrir ce monde entre chienne et loup.
Le couloir débouche sur une grande pièce, je ne m’attendais pas à découvrir sur une pièce comme celle là.
Un grand lit trône sur ma droite, une belle pièce en fer forgé faite de volutes, d’un noir pur et profond.
Je m’arrête un moment découvrant ton repaire, point de tapis mais un parquet de chêne.
J’aperçois par ci par la quelques objets ou meubles dont je me doute qu’ils ont une utilité autre que celle initiale.
Mais je ne peux ignorer que c’est un endroit ou le plaisir est maitre, je reconnais certains objets dédiés aux plaisirs de soumission.

Quand tes lèvres se posent sur ma nuque, tes mains sur mes hanches je tressaille. La chaleur de ton corps contre le mien est rassurante ​, je t’offre mon cou ,tes baisers m’électrisent.
A cet instant là je l’aperçois , que dire de cette première vision, je suis bouche bée.
Elle me fait penser à ces pouliches fières et majestueuses, sa crinière tenue haute sur le sommet de son crane lui donne encore plus de grâce.
Tu me pousse dans la pièce ,ta main dans la mienne m’emmène à venir la découvrir un peu plus.
Mon regard ne l’a quitte pas un instant, sa croupe , son dos bien cambré, ses seins qui se tendent fiers d’être libre de tout carcan.
Le port de tête est accentué par un collier de chien noir et large qui tranche avec la finesse de son ossature.
Tu ne lui as laissé que son porte jarretelles en voile et dentelle noir, ta main vient caresser doucement sa tête ne lâchant pas la mienne.
Elle se fait câline , croisant mon regard comme pour me mettre à l’épreuve.

Tu te tournes vers moi pour enfin me découvrir, une main vient dessiner une arabesque sur mon corps en fusion.
Veux-tu dévoiler ce que je te cache encore, peu importe je m’offre à ce doigt ainsi qu’a vos regards faisant naitre une excitation en moi.
Moment tant attendu que ce face à face, vais je être à la hauteur de tes attentes, vais je trouver en moi la ressource au lâcher prise.
Pas le temps de me poser plus de question, l’ordre fuse.
-Déshabille toi, montre moi ce que tu caches sous cette robe.
Le ton est sans tendresse , mordant et direct.
Pas un instant je ne pense désobéir, à geste lent et mesurer je m’effeuille laissant apparaître la dentelle rouge et mon corps en fusion.
Ma robe glisse sur le sol, quasi nue face à toi, les bras le long du corps luttant pour ne pas me couvrir.
Dans la profondeur de ton regard, je peux voir que tu apprécies mon choix.
Sans un mot, à pas compté tu te diriges vers une commode, je ne dis mot respectant le silence que tu imposes.
Ne te quittant pas des yeux, je n’aperçois pas ce que tu viens de saisir.
Te voila revenu devant moi, un baiser sur mes lèvres, une main sur mon cou avant que je ne sente la présence du collier.
En un minimum de geste tu as vite fait de m’asservir.

D’un mouvement des yeux sans qu’une parole ne soit prononcé, me voila à genoux devant toi.
Mes yeux à hauteur de ton sexe, je ne peux ignorer que tout cela t’excite. Tu le dégages dans un silence religieux, que seul le bruit de ta braguette vient rompre.
La position n’est pas nouvelle mais le fait de le faire en portant un collier devant la femme que tu soumets l’est.
D’une main ferme tu as vite fait de me faire dépasser mon hésitation. Ma langue de pose sur ton gland, je prends le temps de le lécher, je sais que tu aimes voir ma langue sur ta queue.
Je tends une main pour venir caresser la verge. Quand d’un ton sec tu me dis.
-Sans les mains, tu n’as droit que d’utiliser ta bouche, débrouille toi.
Je me cambre pour mieux accéder à ta queue, la prenant en bouche, ma langue continuant à caresser le gland.
-C’est bien cambre toi et continue comme cela. Tu vois quand tu veux.
Quelques larmes coulent sur mes joues, sentant ta bite envahir ma bouche.
Je ne sais si c’est le ton ou le fait d’avoir accepter d’être réduite à tes désirs.
Je retrouve les mouvements tant de fois exécuter, mes lèvres coulissent sur ta verge, aspire le gland pour mieux le caresser de la langue.
-C’est bien tu as compris, arrête maintenant , va la rejoindre.

Je déteste l’idée de me déplacer à quatre pattes mais je m’exécute sans dire un mot.
Tes encouragements sont une vraie humiliation pour moi, je l’a voit face à moi souriante.
Elle lit dans mes yeux, les sentiments qui me traversent.
-C’est bien ma belle cambre ton cul, montre moi comme tu es fière de ta condition de chienne.
Tu nous laisses face à face, nos yeux se croisent un léger sourire c’est vraiment une superbe femme.
Je t’entends bouger dans la pièce, comme tu ne m’as jamais vraiment raconté ce qu’il pouvait se passer ici je ne sais ce qui m’attend.
-Allez ma belle tu vas découvrir la jouissance poussée à l’extrême, pendant que ma jolie femelle testera une autre sorte de plaisir.
Tu viens près de moi, mes poignets sont très vite enserrés dans des menottes en cuir, tu me guides vers le milieu de la pièce ou je reconnais ce qui va être l’objet de ma torture.
C’est la première fois que j’en vois un, je ne savais pas que tu possédais un sybian.

Tu lis en moi et ca te fait sourire, tout en installant la corde que tu fais passer dans les anneaux de mes menottes.
-Allez ma belle chienne grimpe, tu vois il n’attend que toi, installe toi tu vas y rester un moment.
Je ne quitte des yeux l’embout que tu as choisit, un regard vers toi et je vois que je n’ai pas d’autre choix que celui de m’installer.
Avec délicatesse j’enjambe le sybian faisant pénétrer en moi l’appendice , mes lèvres s’ouvrent pour mieux être accessible aux vibrations.
Tu as vite fait de m’attacher les mains avec la corde qui passe dans les anneaux des menottes puis dans les pitons fixés au plafond.
Bras tenues fermement je ne peux plus les bouger, en suivant mes chevilles sont solidement attachées aussi.
-Voila ma belle salope tu vas pouvoir te laisser aller. Tu vas vite te rendre compte à quel point le plaisir peut devenir torture.
Ta bouche vient lécher un téton puis l’autre me tirant un gémissement de plaisir avant que de les sucer un court instant.
Tu sors de ta poche deux petites pinces que tu viens poser délicatement sur chacun d’eux.

-Voila parfait
-Maintenant nous allons jouer ma soumise va subir une autre forme de jouissance. Tu saisis chacun de ses poignets qui sont attachés à leur tour à ses chevilles, son torse se retrouve cambré, offrant sa chatte sans qu’elle ne puisse bouger.
Tu as veillé à ce que nous soyons face à face, je ne peux rien ignorer le plaisir qu’elle a à s’offrir à toi.
Ses seins qui pointent fièrement ne tarde pas à être paré de deux pinces que tu lies à son collier.
Ses lèvres sont ouvertes, tu as vite fait d’installer un body wand entre celles ci.
Nous voila harnachées comme les belles chiennes que tu veux que l’on soit.

Tu nous expliques le but de ce jeu, cravache à la main, ne me quittant pas des yeux.
Si je jouis avant que tu m’y aies autorisé, elle recevra un coup de cravache, le nombre augmentera à chaque fois que je me laisserai à jouir.
Je comprends que je vais devoir me contrôler sous peine d’être responsable de son châtiment.
Elle devra faire de même contrôler sa jouissance, si elle se laisse envahir par le plaisir tu augmenteras les vibrations du sybian.
Tes explications fini, tu mets en route le jeu, j’évite ton regard pour croiser le sien nous voila lié par nos jouissances, notre plaisir.
Elle a une assurance que je n’ai pas, pour une première fois tu as su t’adapter à la novice que je suis.
Le souffle coupé, une lame de plaisir me prend par surprise.
Un soupir m’échappe j’oublie un instant le jeu, trop tard les vagues deviennent tempête. Quand mes yeux rencontrent ton regard à ton sourire tu sais que je ne vais arriver à me reprendre.
J’ai beau essayer de me concentrer vague par vague jusqu'à le déferlante le plaisir m’emporte.
Le bruit cinglant de la cravache sur sa croupe, un cri qui emplit la pièce, une larme glisse sur le velouté de sa joue, me ramène sur le rivage.

-Je vois que vous avez compris toutes les deux.
Un sourire pervers sur les lèvres, tu passes ta main sur la rondeur de la fesse que la cravache vient de fouetter.
-Tu vas lui rendre la pareille ma belle chienne ou tu vas la laisser zébrer ton postérieur.
Encore haletante, tu l’encourages à se laisser aller à sa jouissance, tu sais qu’en faisant cela ca ne sera que flux et reflux.
Ta main vient jouer avec la pince de son sein, puis glisse sur les courbes de son torse avant de revenir à celui ci.
Je vois dans ses yeux qu’elle ondule sur les crêtes du plaisir, tu l’a pousses à se laisser aller en titillant l’une après l’autre les pinces.
Les ondulations du Sybian ne me laissent pas de répit, je lutte pour contrôler la vague qui menace de me submerger.
Les oscillations du gode affaiblissent ma résistance, je vois à ton sourire que tu devines ce qui se passe.
Ta main sur son sein que tu viens presser un peu plus la propulse dans un océan de volupté.
De petits gémissements qui deviennent cris quand tu l’encourages à se laisser aller.
Elle me précède de quelques secondes quand mon corps est envahit par les frissons de plaisir.
-Bien mes belles femelles quel plaisir de vous voir jouir de concert.
Transpirante et haletante, le Sybian continuant à jouer avec mon corps, il ne me laisse de répit.
Je te vois venir vers moi, la laissant après un baiser intense.

A pas lents te voila devant moi, tu me souris, je vois que tu es heureux de l’acceptation dont je fais preuve.
Ma récompense vient sous la forme d’un baiser, tes lèvres fraiches sur les miennes chaudes me font oublier quel homme tu es.
Mon cri est absorbé par ta bouche, de petits cris que tu savoures, ta main en étant l’artisan.
Sadique tu as détourné mon attention pour mieux m’asservir, les vibrations sont de plus en plus intenses.
Mon corps se cabre ne pouvant plus résister au plaisir auquel il est soumis.
Tes lèvres me quittent , j’halète comme la chienne que tu as fait de moi.
Les vibrations sont de plus en plus rapprochées, ma chatte coule comme le flot de plaisir ininterrompu auquel tu me soumets.
Tu l’as rejoint, mes gémissements résonnent dans la pièce quand ses cris viennent les rejoindre.
Tu n’as pas perdu de temps, sans me quitter des yeux, sa croupe reçoit chacun des coups de cravache promit.
Elle gémit, je ne sais si c’est du plaisir de tes mains ou du body wand, son corps se cambre. Quand je vois des flots de cyprine, je comprends que la cravache à sublimer sa jouissance.
Tu caresses sa tête comme pour la remercier de ce moment offert.
A geste comptés tu l’as libère tout en caressant son corps encore frissonnant de jouissance.
Te voila devant moi, mes yeux se font suppliant, te demander de me délivrer ne serait pas une bonne idée.
Mes mains sont les premières a être détachés, puis doucement tu diminues les oscillations, une larme coule sur ma joue.
Quand tout s’arrête la pièce s’emplit d’un silence monacale, il n’y a que nos respirations haletantes pour le rompre.

Vient le moment ou tu me libères, encore engourdie j’ai du mal à m’extraire de l’objet de ma soumission.
Tu me prends dans tes bras, me déposant sur le lit ou je me laisse aller comme une poupée de chiffon...

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
Quel superbe récit, je regrette presque de ne pas être une femme pour pouvoir subir un tel supplice raffiné. C'est tout à fait le genre de situation que j'adore organiser quand l'occasion se présente. Inutile que je détaille dans quel état je suis j'imagine... Bravo et merci !



Texte coquin : Poupée de chiffon
Histoire sexe : Une rose rouge
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