Vive les chambres d'hôtes !

- Par l'auteur HDS Hervé_Thémis -
Auteur homme.
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Récit libertin : Vive les chambres d'hôtes ! Histoire érotique Publiée sur HDS le 29-11-2014 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Note attribuée à cette histoire érotique par HDS :
(9.0 / 10)

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Vive les chambres d'hôtes !
Vive les chambres d’hôtes !

Karine et moi avions pris une chambre d’hôtes pour 2 nuits dans ce charmant coin du sud de la France en pleine campagne. En fait, il s’agit d’une table d’hôtes où nous prenons le repas du soir et le petit déjeuner. La propriété était immense : 4 grandes chambres d’hôtes, une piscine extérieure couverte et chauffée, parc arboré, et loin du petit village. Vraiment personne autour. Très calme. En ce début juillet, les touristes ne sont pas nombreux et nous passons la première soirée avec les seuls propriétaires. Les hôtes sont supers sympathiques et nous indiquent que le lendemain soir, 2 chambres seront louées. Nous pensons, sans doute une famille avec deux enfants.

Le lendemain matin, après un bon petit déjeuner, nous partons en balade et revenons vers 17 heures pour profiter du soleil de fin de journée et de la piscine. A notre arrivée, nous voyons les propriétaires un peu surexcités en train de présenter la maison à 4 messieurs. Nous les saluons et les propriétaires nous expliquent qu’ils doivent partir régler un problème urgent et qu’ils ne seront de retour que demain. Comme nous connaissons les lieux, ils nous demandent si on peut juste répondre aux questions que pourrons poser les 4 nouveaux venus, et que le repas est déjà préparé dans le réfrigérateur et qu’il n’y a plus qu’à réchauffer : il nous montre tout cela, et pas de problème vu qu’ils ont été tellement charmants la veille au soir. Nous allons nous baigner.

Peu de temps après, les 4 nouveaux convives nous rejoignent dans la piscine. Ma femme, comme moi, regarderons subrepticement au niveau de leurs bassins : 2 sont en maillot de bain, style boxer, avec des sexes de taille très correctes et 2 autres sont en short ce qui masquent l’anatomie, sauf quand ils sortent pour replonger, où là, l’humidité du maillot montre des formes : ils sont quant à eux, très, très bien dotés par la nature. Mais bon… Nous engageons la conversation, qui reste très banal, avec quelques échanges de ballon que nous recevons : ils ont l’air sportifs et plutôt du style armoire à glace.

Plus tard, nous remontons dans notre chambre, et comme de notre fenêtre, nous voyons la piscine, je remarquerai qu’ils ne sont pas restés très longtemps après nous : l’heure avance, et les crocs aussi : il se fait faim.

Vers 19h30, après s’être douchés et changés, nous descendons préparer la table. Les 4 hommes ne sont pas présents, mais nous les avons entendus monter dans leur chambre après s’être baignés. Ils doivent se préparer car nous avons entendu l’eau couler dans les douches.

Ils nous rejoignent. Et nous prenons l’apéritif tous ensemble. Les 4 hommes se prénomment Antoine, Pascal, Malik et Augustin : à vue de nez, ils ont tous entre 35 et 40 ans sauf peut-être Antoine qui est plus proche des 50 ans et qui fait autorité sur les autres : il est très carré, épaules dégagées.

Pascal lui est blond, cheveux fins, divorcé, et doit bientôt se remarier et les 4 compères fêtent cela entre mecs pendant ce week-end, un peu comme un enterrement de vie de garçon, ou plutôt une virée entre mecs.

Quand à Malik, il est typé un peu maghrébin. Un peu plus menu que les autres bien moins grand, et moins baraqué mais au-dessus quand même de la moyenne normale.

Augustin, lui, est un grand black, crâne rasé. Un beau black, et d’une grande taille et très large. Il fait videur de boites de nuit (au niveau gabarit). Il fait un peu armoire à glace, bien qu’il ait un cul assez bien rebondi et de larges hanches.

Ce soir, était leur soirée calme, car demain, ils seront en ville, pour faire la fête en boite. Nous discutons et échangeons pas mal sur nos vies. Il fait chaud, et l’alcool de l’apéritif commence à chauffer les têtes de tout le monde, y compris Karine. Tout le monde parle, et nous apprenons qu’ils viennent de Belgique et qu’ils font partie de la même équipe de hockey sur glace ce qui explique leurs énormes carrures. Les blagues de cul fusent un peu, et Karine en rie de bon cœur.

Vers 22h, je propose que l’on mange (pour éponger un peu les estomacs) car les esprits semblent bien s’échauffer. Les entrées froides et le repas chaud sont supers bons, surtout arrosés par du bon vin : blanc, rosé et rouge à disposition. Les propriétaires ont bien préparé tous cela sans doute pour se faire pardonner de leur absence de ce soir. Karine supporte bien l’alcool, et en général, ça finit toujours par lui chauffer l’entrejambe, surtout quand on n’arrête pas de parler de cul : après, je peux tout faire avec elle, et elle y va de bon cœur. Elle est plutôt vaginale mais le « must », et ce n’est rien dire, c’est de la faire jouir en même temps avec le clitoris. Lorsque l’on fait l’amour, elle hésite rarement à se caresser le bouton pendant que je m’occupe bien de sa chatte. Là, ce soir, vu son attitude, je me doute qu’elle commence à devenir humide : et ça m’excite…

Vers minuit, la tension monte toujours, tout le monde devient très à l’aise pour discuter, et la température de l’été et de l’alcool fait augmenter la température dans tous les sens du terme. Vu l’heure, je propose à Karine d’aller faire un tour à la piscine. Les gars continuent de boire leur digestif et nous disent de ne pas faire de bêtises dans l’eau, et que si j’ai besoin d’aide, ils sont là.

En quittant la pièce, Antoine me dit :
- Bon bain de minuit alors… ???? Et on est là en cas de besoin !
Je réponds (avec un clin d’œil) :
- Pas de problème, le feu va être dur à éteindre, mais j’ai une équipe sur qui compter.
Il ajoute (en basculant son bassin en avant). :
- Oui, toujours là pour rendre service.

Je propose à Karine de nous baigner à poil. Dans l’état où elle est, cela ne pose aucun problème. Nous nageons, barbotons… Elle me dit qu’avec l’alcool la tête lui tourne un peu et je n’en doute pas, vu l’intonation de sa voix, ses rires etc… Puis je lui propose de se mettre sur le dos, et de la maintenir en surface et de se laisser aller. Je mets un petit oreiller très plat en plastique sous sa tête, et je pose mes deux mains sous son dos : au milieu du dos, et en bas des reins. La piscine est un peu éclairée en extérieur et autrement deux lampes éclairent sous l’eau.

A un moment, en regardant la maison, je remarque qu’Antoine est à une des fenêtres de leur chambre en train de nous regarder. Il y reste un moment et semble seul dans la chambre : il téléphone tout en nous regardant sans quitter sa place : je crois voir son autre bras qui bouge devant son corps (je me demande s’il ne se tripote pas). Du coup, je ne sais pas pourquoi mais inconsciemment j’oriente Karine vers lui afin qu’il puisse mieux la mater même si à cette distance cela ne doit pas être très net. Et là, surpris, mais pas tant que cela, je le vois me faire signe de lui faire écarter plus les jambes.

Je dis à Karine :
« Laisses toi allez, détends toi, écartes un peu plus tes jambes. »

Elle écarte un peu les jambes mais pas assez à mon goût. Alors je descends ma main gauche au milieu du bas du dos, et je ramène ma main droite sur son ventre puis sur sa petite touffe brune en insinuant doucement mes doigts vers l’intérieur du haut de ses cuisses et, elle écarte les jambes ce qui me permet de lui masser doucement son poil et ses lèvres externes. Elle écarte bien les cuisses, et par moment je remonte ma main sur son nombril, pour laisser à Antoine le temps de mater de loin. Malgré le niveau de l’eau qui est juste à hauteur de son entrée de chatte, je sens une humidité intérieure bien présente. Elle écarte de plus en plus large ses jambes et maintenant je lui pétrie bien toute sa région génitale.

Au bout de quelques instants, je remarque qu’Antoine a quitté sa « tour d’observation ». Et très vite, j’entends parler sans comprendre les paroles. Cela fait juste une quinzaine de minutes que nous sommes dans la piscine.

Alors, les gars arrivent, en parlant, s’approchent de la piscine et Karine ressert les jambes et me regarde, l’air interrogatif.

Je lui réponds :
- T’inquiètes pas, ils ne vont pas nous bouffer. J’ai dit à Antoine qu’on faisait un bain de minuit alors ils savent bien qu’on est à poil.

Elle me dit :
- Ah oui, mais quand même. Pour qui ils vont me prendre.

Je réponds :
- Mais t’inquiètes, ils ne vont pas te prendre tout de suite, mais plus tard.
Et j’éclate de rite, et elle sourit.

Les gars s’approchent en maillot de bain, et lorsqu’ils sont au bord de la piscine, ils matent allègrement les seins de ma femme, d’autant qu’avec l’eau et l’excitation les tétons sont bien drus. Antoine dit à ses potes, qu’ils ne vont pas se gêner non plus, et ils enlèvent leur maillot et se jettent à poil dans l’eau. J’ai bien remarqué que Karine a maté leurs queues. Et j’ai regardé aussi. Les gars, sous l’eau, ont forcément vu ma bite qui devait encore bander légèrement et reluqué le cul de ma femme.

Ils jouent au ballon et passent en dessous l’eau, et viennent de plus en plus près. L’eau bouge et Karine bouge pas mal sur l’eau. Et j’ai du mal à la faire rester stable.

Antoine et Pascal s’approchent et me demandent si je veux de l’aide et je réponds de soutenir ses pieds et que moi je tiens le dos. Je suis surpris, car Karine reste les yeux fermés et ne répond rien.

Les gars matent les seins et la petite toison noire de ma femme. Augustin et Malikcontinuent de jouer au ballon mais je les vois regarder ce qu’il se passe. Il me semble que les queues d’Antoine et Pascal ont un peu grossies et je sens la mienne qui grossit à nouveau. Malik et Augustin passe sous l’eau et doivent voir cela, et parlent à Antoine et Pascal dans une langue qui ressemble à de l’allemand. Ils remontent leurs mains plus haut chacun de leur côté. Karine ouvre les yeux à moitié, les regarde, sourit, et referme les yeux. Je souris aussi. C’est une forme d’encouragement… Tous en maintenant chacun une de ses jambes, et les mouvements de l’eau faisant (tiens mon œil), ils lui font écarter doucement les cuisses, de plus en plus, mais très doucement.

Au bout d’un moment, je vois les mains d’Antoine et de Pascal qui remontent doucement vers les genoux puis les cuisses. Karine ne réagis pas. A cet instant, je me dis : soit je fais tout arrêter soit je laisse faire, mais si je laisse faire, vu comment les mecs sont chauds, et moi aussi, elle va prendre cher ma petite Karine. Mais je n’ai pas le temps de trop réfléchir car déjà Antoine et Pascal commence à lui toucher la poitrine puis à lui triturer le bout des seins. J’entends Karine respirer plus fort, limite gémir, mais elle laisse faire et ma décision de laisser faire va de soi. Les doigts d’Antoine et Pascal sont déjà rendus sur sa toison. Et je vois que chacune des mains de Karine a déjà attrapé chacune des queues d’Augustin et Malik qu’elle branle doucement.

Je passe une de mes mains vers ses fesses et je sens qu’elle se fait doucement fouiller la chatte alternativement par des doigts sinueux. Ah ces quatre salauds, ils sont en train de me la chauffer à blanc.

Je propose de sortir de l’eau et très vite nous nous retrouvons à l’intérieur de la maison. Notre chambre étant au rez de chaussée, nous y atterrissons tous les 6. Karine est sur le dos et nous sommes tous en train de la caresser partout et de l’embrasser. Par moment, je me mets en retrait et la regarde chauffer : c’est marrant de la voir ainsi, telle une petite salope excitée de la chatte. Antoine plonge la tête dans son entrejambe et lui bouffe le minou grave : on entend les bruits de succion et d’aspiration. Par moment, il reprend son souffle et je m’approche. Sa chatte dégouline de salive (et de mouillure sans doute), et les draps sont déjà trempés. Augustin et Malik s’occupent toujours de ses seins, et lui mouille la bouche avec leurs langues vigoureuses. Elle les branle allègrement. Antoine, qui sait y faire avec sa chatte, lui aspire les lèvres et le clito qui commence à ressortir de son capuchon. Karine a le clito plutôt saillant. Elle gémit et remue du bassin : Antoine intime l’ordre à moi et à Pascal de la maintenir collée au lit et les jambes bien écartées. On a du mal, mais on y arrive : je suis surpris de la force qu’elle a dans le bassin. Antoine se redresse et commence à doigter la chatte de Karine avec son index et son majeur. Avec son autre main, il triture son clito comme un fou et lorsque Karine essaie d’attraper sa main, pour le calmer, comme elle sent venir la jouissance et l’éjaculation, j’informe Antoine qu’elle est parfois une femme fontaine. Il me répond qu’il sent doutait, car il sentait qu’en lui malaxant le vagin, il durcissait. Ca excite encore plus Antoine qui donne l’ordre à Augustin et Malik de lui maintenir les mains.

Antoine lui dit : « Allez, vas-y Karine, laisses toi aller. T’aimes ca hein ? Tu vas bien jouir ma p’tite salope. Vas-y, écartes bien tes jambes, laisses toi venir… T’aimes ma petite salope hein ? Après ça, tu vas tellement être ouverte et mouiller qu’on va bien te la baiser ta p’tite, euh, grosse chatte bien ouverte… Regarde-moi ça comme t’es trempée… Ah, ca, les mecs, c’est une bonne salope qui s’assume. T’as d’la chance d’avoir une p’tite chienne qui s’assume… Vas-y, mets lui un doigt dans le cul ! (je m’exécute) ».

Karine est aux anges : « Ah oui, c’est bon. Bande de salauds…. Ah je vais jouir. Ah non, oui, encore, non, stop, ah que c’est bon, oui, ouiii, ouiiiiiiiii !!!! ». Elle se contorsionne, se crispe.

Et là, on voit un jet de cyprine gicler de sa chatte : Antoine continue de lui fourrer la chatte avec ses doigts, et les faisant coulisser et en maintenant une pression sur son vagin vers le haut. Il est comme fou, en démence et Karine gueule, feule, jouit, et la cyprine gicle, gicle, gicle. Puis Karine se relâche. La main d’Antoine est trempée.

Antoine se relève, et je viens me mettre entre les jambes de ma femme, et je l’enfile d’un coup à fond : sa chatte est hyper large de l’intérieur et dans un état d’humidité indescriptible. Ma queue ressort trempée et ça me dégouline sur les couilles. Je lui donne des grands coups de butoir à fond. Malik et Augustin ont approché leurs queues près de la bouche de Karine qui commence à les sucer. D’où je suis, je vois leurs queues énormes. Karine n’est pas très performante, car elle se remet de ses émotions et avec mes coups de reins que je lui donne, je la fait bien bouger et pas facile sur le dos, d’engloutir de telles bites.

Antoine et Pascal m’assiste en tenant chacun une jambe de Karine, bien écartées, et suffisamment bien relevées. Je lui démonte la chatte à fond, je suis en transe à mon tour. Je sens Karine qui remonte en pression. Je lui dis d’éjaculer encore de la chatte. A ces mots, Antoine plonge deux doigts dans son cul, déjà hyper humide et ouvert et je sens ses doigts qui lui activent la zone annale. Pascal, tente de passer sa main entre elle et moi afin de lui triturer le bouton, et là, je relève bien mon dos pour lui dégager le passage. Les 2 autres arrivent un peu à lui enfourner la bouche de leurs queues par moment, mais ils lui triturent un max les tétons qui sont rouges et très gonflés. Elles les branlent entre-deux, tout en les suçant. Ah quelle garce quand même !

Je sens sa chatte remuer de l’intérieur dans tous les sens. Je sens également les doigts d’Antoine contre ma bite, et c’est divin : je sens également les doigts de Pascal qui tire sur ses lèvres et lui pince le clito…

Pascal lui assène : « Allez, vas-y encore, jouit sur ton mec. Mouille ma garce. Tu vas voir, ton mec, il va bien te la remplir de foutre ta grosse chatte. Ah, tu sens comme je te pince ton bouton là ? Hein ? T’aimes ca hein ? Oui, voilà, ça y est, j’ai les doigts trempés : elle jouit la salope…… !!!!! »

A ces mots, je gueule à mon tour, Antoine active ses doigts dans son cul et là, dans un grand coup de butoir, je bloque ma queue à fond dans sa chatte, et expulse mon sperme dans un râle inconnu. J’ai l’impression d’avoir des réservoirs au lieu des couilles tellement j’ai l’impression que la purée est abondante et coule à flots.

Je sors ma queue, trempée, dans un bruit de pet phénoménale. Elle dit « Pardon », et je réponds, « Ah non, c’était trop bon ! ». On éclate tous de rire, et elle aussi. J’ajoute, maintenant qu’elle est bien prête, et que vous avez été bien gentils avec elle et avec moi, vous devez aussi prendre votre pied.

Karine, en signe de soumission, se met aussitôt et d’elle-même à quatre pattes. Antoine répond : « Si on a l’accord du mari, et la bénédiction de se femme, alors, on ne va pas se gêner. Pascal, c’est ta fête ce soir, alors à toi l’honneur, d’honorer madame en premier ».

Antoine passe devant et Karine, en bonne condition, commence à lui sucer la queue goulûment. Pascal vient d’enfiler une capote, et se positionne derrière Karine. Il l’enfile à fond, en la tenant fermement par le bassin. Antoine l’encourage en disant qu’il aime cette tête qui bouge sur sa queue et arrive ainsi à agrandir la bouche pour en avaler toujours plus gros.
Augustin et Malik sont auprès de Pascal, et écartent chacun une des fesses de Karine, et encourage Pascal à y aller encore plus profond. De l’autre main, il lui claque les fesses. Le visage de Pascal se crispe, tout en maintenant Karine de plus en plus fermement contre lui. Le bruit des claques sur les fesses ajouté au bruit des coups de bassin de Pascal contre le haut des cuisses de Karine, excite tout le monde et Antoine se crispe à son tour, et annonce qu’il va balancer la purée. Karine, la bouche pleine, semble dire d’y aller, et je m’approche de sa tête. Et là, j’entends Antoine gueuler en même temps que Pascal, et je vois la crème blanche sortir de la bouche de Karine, dégouliner sur ses doigts et sur la bite et les couilles d’Antoine. Elle recrache lentement d’entre ses lèvres la divine semence, en continuant de branler et de sucer la bite d’Antoine jusqu’à ce que sa bouche soit vidée. Je vais voir les fesses de Karine, et je vois Pascal ressortir de la chatte de Karine, dans un bruit habituel, avec une capote autant mouillée à l’extérieur qu’à l’intérieur.

Pascal commente dans un soufflement : « Putain qu’elle est bonne !!!! »
Antoine ajoute : « Ça c’est clair. »
Augustin rétorque : « Ben, les gars, pour tout vous dire, nous aussi, on aimerait pouvoir tester. Si Madame et Monsieur sont d’accord ? »

Tout heureux de voir ma femme, pleine de jouissance et pouvant en donner tout autant, je réponds : « Y’a pas de raison, tout le monde doit être logé à la même enseigne ! »

Augustin, le plus bien membré de tous, avec sa bite noire et son gland tout rose, assorti d’un gros paquet de couilles, s’allonge sur le dos et propose à Karine de venir s’empaler sur lui. Sa queue doit faire environ 25 ou 26 cm, mais le plus impression, c’est la grosseur du gland qui se dégage très nettement de cette bite, de cette rampe, déjà très large. La grosseur de ce gland fait penser à un gros kiwi !!!! Sa queue à l’air rigide, mais souple à la fois, c’est-à-dire pas dur comme du bois. Karine vient au-dessus d’Augustin, lui enfile une capote, et se positionne, non pas à la verticale dessus, mais courbée en avant. Tous curieux, on passe voir derrière son cul. Elle passe sa main entre son corps et celui d’Augustin, et attrape cette grosse anguille entre ses doigts, et ajuste le gland contre sa vulve, toujours aussi humide. Ses lèvres sont un peu rouges et bien épaisses et dilatées. Elle recule son corps, et fait tourner le gland sur l’entrée de sa chatte comme pour la dilatée doucement. Au bout d’un moment, dans un petit « plouf », le gland, juste le gland, rentre entièrement d’un coup. Les lèvres sont bien tirées, serrées et le trou bien ouvert. Elle remue un peu ainsi comme pour dilater encore plus l’entrée de sa chatte. A ce moment, on voit surgir les mains d’Augustin, qui lui assène une bonne claque sur chacune de ses fesses. Ses fesses ont bien rebondies vers le haut.

Il lui dit : « Doucement, p’tite salope, tu ne vas pas déjà me faire jouir. »
Je pense que cette fessée avait aussi pour but de lui détendre involontairement la chatte. Elle attend quelques instants, et on sent légèrement la bite un peu moins raide. Alors, Karine prend un mouvement de recul, doucement, on a l’impression que c’est son corps qui aspire ce pieu. Assez vite, les 2/3 sont déjà rentrés, mais le dernier tiers a du mal à se mettre à l’abri, à l’intérieur de ce corps chaud et humide. Karine commence à bouger doucement, dans un mouvement de va et vient, et on imagine l’intérieur de sa chatte et du plaisir qu’elle prend, lorsque l’on voit comment ça brille, la mouillure sur la queue d’Augustin. Elle bouge, ça rentre un peu, mais il reste encore 1/4 de bite à faire rentrer. Malik vient derrière Karine et lui écarte bien les fesses en les faisant remonter vers le haut. Il maintient en même temps son bassin fermement. Antoine me fait un signe comme un acquiescement qui veut dire : ils s’y connaissent, tu vas voir. Là, à nouveau, Augustin donne à plusieurs reprises des claques sur les fesses de Karine, ce qui a pour effet, en fonction de leur force, de la surprise, de les contracter et de décontracter, et ainsi, sans s’en rendre compte, bientôt, la bite est entièrement engloutie jusqu’à la base des couilles. Je n’aurai jamais cru qu’elle puisse « avaler » un tel engin. Malik lui lâche les fesses. Là, elle se redresse doucement à la verticale, en posant ses mains sur le large torse d’Augustin, et remue son bassin : on a l’impression que maintenant elle apprécie bien, et qu’elle pourrait même englober les couilles si elle le pouvait. Elle gémit la chienne.

Là, Augustin attrape les épaules de Karine et la fait se rapprocher de lui, puis il lui empoigne les fesses, les écartes bien à fond, et commence à la faire aller et venir d’avant en arrière sur sa queue en lui imprimant le mouvement en la tenant fermement par les fesses. Elle a compris aussitôt, et il se contente de lui maintenir les fesses écartelées, et c’est elle qui fait le mouvement de pénétration. D’abord, timide avec des mouvements très courts où seuls quelques centimètres de queue rentrent et ressortent, très vite, elle arrive à presque tout ressortir la bite et la reprendre à fond.

Malik regarde la scène en « bavant » de désir. Il se branle et sa grosse et épaisse queue colorée est raide d’excitation. Lorsque le gland d’Augustin arrive presque à sortir, on voit bien son entrée de chatte bien ouverte et dilatée. Elle aime ça la salope. Et on voit à nouveau la queue rentrer à fond. Plus ça va, et plus la tige rentre et sort de toute sa longueur. Et ça va de plus en plus vite. Bientôt son anus se dilate et se boursouffle tellement la zone est bien travaillée. A un moment, le gland est sorti et on a entendu un bruit encore plus phénoménal que celui de tout à l’heure. Ca dégouline un max sur la bite et les couilles d’Augustin. A un moment, Augustin maintient Karine empalée à fond sans qu’elle puisse bouger. Là, nous voyons Malik de positionner derrière Karine. Il tient à la main sa queue, protégée, et bien raide, qu’il est en train de masturber : l’engin est au garde à vous. Il pose une main sur le bas des reins de Karine et l’oblige ainsi à remonter son cul en arrière et vers le haut. Là, il positionne son gland contre l’anus de Karine, et celui-ci, à mon grand étonnement s’ouvre et avale cette bite. Karine gémit juste de plaisir : incroyable !

A partir de là, tout est allé très vite. Augustin maintient les fesses de Karine bien écartées, et Malik attrape les épaules de Karine. Il lui donne injonction d’aller d’avant en arrière et en profite pour lui asséner des coups de bites à fond. Nous autres sommes derrière en train de nous branler, et voyant cette chatte prendre à fond et à toute vitesse 2 grosses bites complètement excités. Les bites, les 4 couilles et les entrejambes sont trempés la mouillure de ma femme qui va encore jouir. On le sent bien.

Augustin et Malik sont comme fous. Leurs mouvements sont terribles. On dirait les mouvements de va et vient des anciennes mécaniques de locomotive à vapeur. Karine est secouée dans tous les sens, et chose dingue, aime cela. Les bites rentrent à fond, dans des mouvements désordonnés, sa chatte pète, et est limée, ramonée, défoncée…

Augustin et Malik y vont de leurs commentaires (ils vont jouir, et nous aussi, on va jouir en se branlant et on va jouir sur le dos de Karine) : « Oui Karine, jouit, gueule, tu nous excites. Vas-y à fond sur nos queues. T’aime ça, salope. Vas-y, déchaines toi. Regarde toutes nos bites pour toi… Putain, quelle chatte !!!! Ouiiiii tient, prend tout salope……. »

Karine : « Ah, oui, baisez-moi, défoncer moi, limez moi la chatte. Ouiiiiii c’est bon d’être votre p’tite chienne, votre salope… Moi aussi je vais jouir… Ahhhhh, j’en veux encore, demain, toujours, c’est trop bon !!!! Ahhhhhh ouiiiiiii ! »

Augustin et Malik la maintienne bloquée à fond sur leurs queux et jouissent. Nous aussi, nous quatre, nous balançons notre purée sur le dos de Karine. Les giclées sont énormes et son dos trempé.

Augustin et Malik ressortent trempés, comme Karine qui a jouit comme jamais.

Après quelques instants, tous trempés de sueur et de plein d’autres choses, nous passons à la douche et alors boire un bon verre. Karine en aura deux. Bien mérités ! Non ?

Les avis des lecteurs

Ah les chambres d'hôtes...découvres les ,elle sont souvent pleines de surprises ! Merci pour ce texte si vivant et si chaud dans tous les sens du terme !

Histoire Erotique
Excellent récit, qui donne très envie !



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