La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode 368)

- Par l'auteur HDS MAITREDOMINO -
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Récit libertin : La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode 368) Histoire érotique Publiée sur HDS le 10-01-2015 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode 368)
Suite de l'épisode précédent N°367 - L'histoire de Thaïs et de son Maître Vénéré –

Thaïs MDE se demande alors, si c’est un acte volontaire de Walter de l’avoir un peu épargné, ce dont elle pourrait lui être largement redevable de sa sollicitude, ou si tout simplement l’appareil s’est arrêté tout seul, étant programmé pour une durée limitée ou étant encore plus bêtement tombé en panne. Comme elle sait qu’elle n’aura pas la réponse et qu’elle ne se hasardera pas à poser la question ou à préciser quoique ce soit quant au dysfonctionnement de l’appareil qu’elle a dans le vagin, elle essaye de faire le vide dans son cerveau en attendant la suite des « réjouissances » concoctées par le Majordome, car la journée est loin d’être à son terme. Elle ne peut cependant s’empêcher d’entendre les propos échangés entre les deux fidèles et complices domestiques de Monsieur le Marquis, dont le ton très enjoué et presque moqueur, ne peut que lui faire penser qu’ils complotent encore un nouveau tour bien pervers, dont elle espère bien ne pas être une fois de plus le jouet dont ils vont s’amuser et abuser sans fin.

- Ma chère Marie, je te remercie de ton aide, je prends en charge le « panier de poireau » que tu m’as aidé à préparer, même sans anse je crois que je vais pouvoir m’en sortir. File vite dans tes cuisines, car ce soir, tout le monde sera à table à l’heure pile comme chaque jour. A propos, tu nous prépares quoi de bon à manger pour ce soir ?
- Tu es bien curieux, Walter ! Tu pourrais attendre de voir ce qu’il y aura dans ton assiette. Mais, pour te répondre, parce que je t’aime bien, j’ai commencé à faire mijoter une bonne blanquette de veau pour tout le personnel. Les esclaves auront bien évidemment droit à ma recette préférée, un « bouillon de légumes bien parfumé » mélangé avec des croûtons de pain sec que je rajouterai, c’est très bon pour la santé les légumes, surtout lorsqu’ils mijotés à petit feu avec soin et amour à « La Marie », maître-queue au Château du Marquis d’Evans.

Walter et Marie échangent des clins d’œil malicieux que Thaïs MDE ne peut apercevoir car elle a le regard baissé. Mais l’esclave-soumise qui se rappelle son bain si particulier ne peut s’empêcher de sursauter et de froncer les sourcils en les entendant, se demandant bien si Marie joue sur les mots ou si elle a vraiment l’intention d’utiliser sa « préparation culinaire » dans laquelle elle a fait patauger Thaïs MDE pendant un long moment au milieu des légumes coupés en dés, « bouillon » agrémenté de nombreux autres sucs et liquides corporels qui en avait fait une mixture des plus étranges. Elle s’empourpre de honte et de stupeur en se disant que la vicieuse Marie pourrait fort bien mettre son projet à exécution, d’autant plus qu’elle imagine sans grand mal que tous les esclaves du Château ont déjà bien dû goûter ses sécrétions féminines odorantes et se voir inonder de son urine à un moment ou un autre. Walter se met à rire de plus belle, car le rictus de Thaïs MDE ne lui a pas échappé.

- Ah, Oui, bien sûr ! … C’est évident, pour les chiens et chiennes du cheptel, une bonne pâtée succulente de légumes bien mijotés dans un bon bouillon parfumé croûtonnée de pain sec …. ah ! ah ! ah !.... Tu es une sublime cuisinière, ma chère Marie, qu’est-ce nous ferions si nous ne t’avions pas au Château …. Il n’y a que cette petite chienne qui n’apprécie plus du tout de rire des plaisanteries sur les poireaux. Regarde un peu la tronche qu’elle nous tire maintenant, elle a enfin compris qui commande ici en l’absence de Monsieur le Marquis et surtout elle a fini de nous la jouer grande dame lettrée qui connait ses classiques et se permet de venir citer Rabelais …. Alors, très bonne après-midi, Marie, et puis bonne préparation de la pitance de cette meute de chiens et surtout de notre succulente blanquette de veau ….J’adore !

Thaïs MDE se sent honteuse de ne pouvoir maîtriser ses réactions et ses pensées qui se lisent sur son visage. Elle ne sait pas jusqu’à quel point les deux fidèles serviteurs plaisantent en jouant sur les mots à double sens, mais il est certain que l’un comme l’autre se moquent d’elle et ce sans la moindre gêne. Elle s’efforce de penser à Monsieur le Marquis d’Evans à cet instant, pour oublier un peu la présence de ses deux acolytes qui n’arrêtent pas de la malmener et de la rudoyer. Elle avait imaginé son séjour au Château tout autrement, pensant qu’elle aurait la chance de pouvoir être plus près du Maître Vénéré et de bénéficier de toute Son attention, voire Son affection, mais son dressage, dont elle avait pensé qu’il ne serait quand même pas une partie de plaisirs de chaque instant, pèse en ce moment sur ses épaules et l’oblige sans cesse à se conforter dans l’idée qu’elle doit tenir bon parce qu’avant tout elle entend respecter la parole donnée et sa libre allégeance à Monsieur le Marquis d’Evans en lui promettant de le satisfaire en tous points. Elle espère que le Maître Vénéré sera content des efforts qu’elle doit déployer pour résister, pour accepter tout de Lui et encore plus, pour grandir dans sa soumission, même si elle se demande bien si Walter et Marie, qui bénéficient de toute la confiance du Châtelain agissent bien dans le respect des consignes expresses données par leur patron et n’outrepassent pas un peu les pouvoirs qu’ils s’octroient en l’absence du Maître des Lieux. Mais Thaïs MDE se dit qu’elle doit avant tout garder confiance dans le Maître Vénéré auquel elle appartient et entre les mains de qui elle s’est remise pour être maîtrisée, guidée, dressée mais aussi protégée, et qu’elle ne peut laisser le moindre doute l’envahir, même si elle ne connaît pas ou ne comprend pas toutes les raisons, exigences et intentions de Monsieur le Marquis, en qui elle a dans tous les cas une confiance absolue.

Pendant ce temps, le Majordome est allé chercher un drôle d’objet fait de bois et de cuir qu’il tient de la main gauche. De la main droite, il enlève la chainette et les deux pinces seins, ainsi que la pince qui était fixée sur la langue de l’esclave qui se sent fort soulagée de se voir enfin libérée des morsures des trois pinces.

- La chienne, A partir de maintenant et pour la suite de la tournée d’inspection que je dois reprendre sans trop tarder, tu vas devoir lever la tête et tâcher d’ouvrir les yeux. Tu te rappelles la consigne de la journée, Ne me la fais pas répéter une troisième fois, car ce serait une fois de trop, je peux te l’assurer. J’ai assez perdu de temps avec toi, même si je reconnais que tu m’as bien fait rire et détendu aussi d’une certaine manière à l’idée de pouvoir te faire faire la suite du tour de la propriété correctement harnachée. Avant que je te mette ce carcan sur les épaules et autour du cou, je suis d’abord tenu de vérifier concrètement ce que Madame Marie a affirmé au sujet de ta petite langue de limace, pour savoir si je dois mettre en place un traitement adapté ou non. Tu vas donc me montrer ton savoir-faire et me lécher la bite et les couilles avec le plus d’application possible. Je suis quelqu’un de consciencieux dans mon travail au service de Monsieur le Marquis et il est donc plus que naturel que je teste toutes les possibilités techniques ou autres difformités de ses chiennes-femelles. Considère cela comme un examen que je te fais passer et dont tu devras me remercier pour ce temps que je t’accorde encore à m’occuper de toi. Il est évident que si ta langue s’avérait beaucoup trop défectueuse pour la tâche qu’elle aura à remplir dans l’avenir, Monsieur le Marquis en serait informé, car cela pourrait remettre en cause ta place dans le cheptel, dans lequel IL n’accepte de conserver à Son service que des chiennes racées et bien dressées, ce qui est loin d’être ton cas !

La chienne-esclave se demande bien pourquoi le Majordome se plait à lui faire tant sentir combien la place aux pieds du Maître Vénéré n’est jamais acquise de manière certaine, car il est évident que ce n’est pas la première fois qu’elle va se servir de sa langue pour lécher des parties charnelles et/ou sexuelles et que cela n’avait jamais posé de soucis jusqu’à ce que Madame Marie ne se mette à faire des remarques, sans réel fondement autre que le plaisir de rabaisser encore plus Thaïs MDE et de la forcer à accepter tout ce qui lui est imposé physiquement et verbalement, sans se poser de questions et surtout sans réagir. Elle sent bien qu’elle va devoir s’appliquer encore plus pour cette fausse fellation-examen, qui n’est qu’un prétexte fallacieux de plus pour le Majordome qui n’aurait même pas besoin de trouver une excuse lorsqu’il a envie d’une petite gâterie, mais qui vient le renforcer et le valoriser dans son rôle de surveillant-examinateur et dans ses fonctions de serviteur, chargé tant de l’intendance du domaine que du dressage de l’ensemble du cheptel, aux côtés et sous les ordres du Châtelain, Maître incontesté mais très occupé pour s’occuper de toutes les tâches de basse besogne du quotidien.

- Chienne, allonge-toi par terre sur le dos. Je daigne t’accorder cinq minutes de mon précieux temps, montre en mains, pour me faire la démonstration de tes talents de suceuse de couilles et de bite. Une vraie petite putain qui agit sur commande en somme, à défaut de pouvoir être une chienne baveuse en chaleur à la langue assez longue (mais jamais à la langue bien pendue de bavarde qui jacasse).

Thaïs MDE s’empresse de s’allonger par terre, et en moins de quelques secondes, elle voit Walter qui vient d’ôter son pantalon et son boxer qui s’assoit carrément sur son visage, s’étant positionné de manière à ce que l’esclave puisse dans un premier temps lui lécher les couilles et toute la partie qui se situe entre les testicules et l’anus. Thaïs MDE s’applique comme elle peut pour satisfaire le Majordome, humidifiant régulièrement sa langue qu’elle laisse glisser sur toutes les parties du corps à sa portée, sentant peu à peu la queue de ce dernier qui se gonfle. Le nez et la bouche complètement engouffrés au milieu des chairs intimes qui lui collent au visage, elle manque presque de respiration, mais ne cesse pas pour autant de sortir sa langue et de donner de multiples petits coups, ou de plus grandes et longues léchouilles bien baveuses, espérant contenter « l’examinateur » qui est censé juger de la valeur de sa prestation. Walter se penche un peu pour laisser son sexe qui s’est durcit se tendre et le met à la portée de la bouche de Thaïs MDE qui le parcourt de sa langue sur toute la longueur et toute la circonférence du phallus bien membré. Elle fait aussi tourner sa langue à multiples reprises sur le gland turgescent avant de recommencer à lécher la hampe dure et droite, et de s’attarder à nouveau sur les testicules qui oscillent et lui pendent tantôt sur le nez, tantôt sur le menton.

- Stop !…… Les cinq minutes sont passées ! A genoux ! I-mmé-dia-te-ment ! … J’ai dit !

Sans le moindre autre commentaire, Walter vient d’interpeller la chienne-esclave d’une voix ferme et dure qui tranche avec le temps de plaisirs que semblait avoir pris le Mâle phallique qui s’était pourtant l’instant d’avant laissé aller à ronronner de quelques « ah….. ah …. » et d’autres « c’est bon …. Même très bon …. » qui avait suffit à rassurer et dynamiser la soumise dans sa tâche de bonne langue qui s’active. Le Majordome se rhabille prestement et Thaïs MDE s’inquiète de cette nouvelle attitude plus dure et directive se mettant à présager que cela ne signifie pas au final quelque chose de très positif pour elle et l’examen qu’elle était censée passer, et ceci d’autant plus que n’ayant reçu aucune consigne particulière, elle s’est contenté de faire valoir ses maigres talents de « lécheuse » qui n’a jamais vraiment suivi de cours pour savoir comment si prendre et n’a nullement cherché à soulager le Majordome dans une vraie fellation, digne de ce nom. Elle se dit pour autant que Monsieur le Marquis d’Evans ne pourrait pas être prêt à la renvoyer juste aussi facilement, alors qu’elle ne demande qu’à apprendre si elle n’est pas très douée et au top de ses capacités de chienne-femelle bien dressée, ce qu’elle veut bien reconnaître humblement, pensant qu’il lui faut et il lui faudra sans cesse chercher à s’améliorer pour pouvoir satisfaire encore plus le Dominant auquel elle appartient corps et âme, afin de pouvoir lui apporter tous les plaisirs qu’IL est en droit d’attendre et d’exiger de celle qui est à Ses pieds.

Walter referme sa braguette et sa ceinture en cuir, comme si rien ne s’était passé, comme s’il pouvait ranger sa queue excitée aussi facilement dans son boxer sans avoir envie d’aller plus loin, sauf que la bosse que forme son pantalon reste encore très proéminente. Il attrape le carcan qu’il a préparé pour Thaïs MDE et qui est constitué d’un très épais morceau de bois coupé en deux sous lequel sont installés deux morceaux recouverts de cuir en forme de V qui peuvent venir se poser sur les épaules de part en part, un peu comme une selle que l’on pose sur le dos d’un cheval. Les deux morceaux de bois sont emboitables l’un à côté de l’autre, retenus par deux fermetures à crochets qui permettent de les solidariser entre eux, une fois installés. Au centre du morceau de bois se trouve un grand trou pour permettre de venir se positionner autour du cou. Un vrai carcan qui repose lourdement sur les épaules de Thaïs MDE qui ressent à cet instant encore plus le Joug symbolique du Maître sous le ressenti d’un vrai poids physique cette fois. L’appareil est équipé aussi d’une vis de réglage qui permet d’ajuster la hauteur du plateau par rapport aux arceaux reposant à cheval sur les deux épaules. Walter règle les deux vis de manière à ce que le morceau de bois soit juste situé sous le menton de Thaïs MDE qui ne ressent aucune gêne particulière car le trou de l’encolure est assez large pour qu’elle ne soit ni étranglée, ni meurtrie, d’autant plus que l’arrête a été arrondie et poncée pour éviter la moindre blessure, mais l’esclave n’a plus la possibilité de baisser la tête, son menton reposant au bout en venant en butée sur le bois du carcan qui est maintenu solidairement avec les épaules.

Thaïs MDE se trouve bien mal engoncée dans cet appareillage et elle ne peut que regretter amèrement d’avoir le matin même désobéi sans en mesurer les conséquences alors que Walter lui avait demandé de garder la tête droite pendant la journée et les yeux levés pour pouvoir regarder tout ce qui se passait. Pour éviter d’avoir à répondre, ne sachant pas quoi dire sur l’attitude de sa sœur de soumission Holly MDE houspillée par le Majordome, elle avait cru préférable de prétexter qu’elle n’avait rien vu car elle avait gardé les yeux baissés. Elle se demande comment elle va pouvoir supporter pendant tout le reste de l’après-midi ce lourd fardeau qui pèse déjà sur ces épaules, car elle comprend bien que telle est l’intention de Monsieur Walter qui l’avait prévenu qu’il lui concocterait quelque chose de particulier pour que cela lui serve de leçon et l’empêche d’avoir la possibilité de recommencer à vouloir baisser la tête pendant le reste de cette journée découverte un peu particulière. L’esclave-chienne se met tout d’un coup à sursauter lorsque Walter appuie sur la télécommande qui met en route l’œuf vibrant, profitant de ce moment de surprise pour à nouveau pincer la langue de Thaïs MDE et pour l’attraper par la chaîne qui y est attachée.

- L’examen ! ….. Moyen je dois dire !!! …. Donc un peu d’étirement te fera le plus grand bien ! …. Madame Marie avait bien raison. Si tu es sage et obéissante, je verrai si je peux te retirer ton tire-langue. En route ! Et rappelle-toi bien, tu n’es qu’un vulgaire panier de poireau que je traîne parce qu’il le faut bien, alors tâche de ne pas trop me déranger pour le reste de l’après-midi, si tu veux que je consente à t’épargner.

Walter attache la laisse de Thaïs MDE à sa ceinture comme il l’avait déjà fait le matin même. La chienne-esclave sent l’excitation de son bas-ventre la déborder mais aussi sa langue soumise à rude épreuve tirée par la main ferme du Majordome qui ne lâche pas la tension qu’il exerce sur celle qui le suit difficilement ne pouvant même pas voir où elle met les pieds, en se demandant bien comment elle va tenir sans tomber et sans jouir tout autant, ce qui ne manquerait pas de mécontenter encore plus Walter qui n’a pas l’air de vouloir baisser la garde et la ménager… Sans jouir, oui c’est ce qui sera le plus difficile tant la situation d’être exhibée ainsi mais aussi les effets de l’œuf vibrant lui procurent une montée d’excitation intense …

(A suivre…..)

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