Fantasmes un peu sm assouvis dans un sex-shop.

- Par l'auteur HDS Toto56 -
Récit érotique écrit par Toto56 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Fantasmes un peu sm assouvis dans un sex-shop. Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-12-2014 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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(7.0 / 10)

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Fantasmes un peu sm assouvis dans un sex-shop.
-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --

Après avoir réussi mon diplôme d'ingénieur, j'ai loué pour mes vacances, une petite maison à l'écart dans un village de l'arrière pays du midi. Je profitais de ces jours de farniente pour bronzer et baiser de temps à autre quand l'occasion se présentait. Mais je m'ennuyais, je me connecte donc sur internet dans un chat gay du coin,sur un forum de discussion commune. Je pars dans des délires que j'aimerais tenter, n'étant pas de cette région, je ne suis donc pas connu, et ai envie de folies un peu hot. Soudain une demande de contact , une personne ayant vu mes délires et consulté mon profil me propose, si j'ai des couilles de les accomplir. Il me propose un rendez-vous dans l'après-midi, dans un café à proximité de chez moi. Intrigué et curieux, j'accepte et convient d'un horaire. A l'heure dite, pendant que je sirotais un panaché, je vis arriver un 4x4, une personne d'environ une trentaine d'année, bien physiquement s'approcha et nous discutâmes, il m'informa qu'il était patron d'un sex-shop et qu'il organisait des soirées faussement fortuites pour fidéliser la clientèle et que mes fantasmes rentraient exactement dans ce qu'il cherchait.

M'ayant vu physiquement, il me dit que je ferais l'affaire, me proposa un scénario et me préparer à une surprise à la fin.
Nous avons discuté encore un bon moment, et il a réussi à me convaincre. Il m'a reconduit chez moi afin de pouvoir me prendre directement en soirée, sans chercher le lieu. En cette fin d'après-midi, je me suis donc préparé tranquillement en me nettoyant à fond et me raser le corps, tout en me disant que j'étais un peu fou d'avoir accepté. Vers 23 heures le gong retentit, j'ouvre, et lui, avec un grand sourire me tends un sachet, c'est ta tenue pour la soirée. Je voulu partir pour me changer et il me dit, fait le devant moi que je jauge un peu la marchandise. Je me mis donc nu, et lui, pas un poil de graisse, un peu d'abdominaux, de joli pectoraux, pas de doute, tu vas plaire et moi ce qui me plait ce sont tes couilles pendantes. je me mis à déballer ce qu'il avait apporté. Un short nylon rouge qui moule fesses et bite, un tee-shirt blanc sportif qui moulait autant mon torse et une paire de basket en toile. Nous partîmes et une fois arrivé devant l'établissement, il me dit, met tes clés dans la boite à gants et pendant que je vais garer le véhicule, flâne dans les rayons, et surtout laisse toi faire, je surveille, j'interviendrais au moment que je choisirais. Je déambulais donc regardant les articles, errant depuis un moment regardant les nouveautés, et au rayon gode je sens une main qui me caresse gentiment les fesses. Devant mon inaction, il me les malaxe. Un autre client ayant ce petit manège vint à ma droite et m'empoigna les couilles et joua avec mes boules. Le premier entre temps avait baissé mon short sous les fesses et commençait à me doigter. Je commençais à gémir et une foule intéressée commençait à se rassembler. Le patron arriva avec son adjoint, il m'empoignèrent et m'emmenèrent en invitant les personnes présente à le suivre. Un petit couillon veut du bon temps gratos, je vais lui en donner pour l'argent qu'il n'a pas dépensé. Je fus traîné à l'entre-sol du magasin, toujours avec mon short baissé, mes mains furent menottés et accroché à une poulie, Ils firent valser mes baskets et mon short, attachèrent mes pieds écartés à des anneaux au sol, déchirèrent mon tee-shirt et me mirent un bâillon boule. Le patron dit alors aux gens présents et ravis de la tournure des événements,je vous invite à soupeser la marchandise pendant que je lui prépare de quoi le corriger, il est à vous pendant dix minutes, rassurez-vous, il n'est pas en état de protester. J'ai eu au départ quelques caresses, mais ceux-ci s'enhardissant, se mirent à me faire tout à la fois. J'étais caressé , pincé, doigté, décalotté, pressé par des dizaines de mains, mon cerveau n'arrivait plus à suivre. Je vis revenir le patron avec soulagement, j'étais maintenant en sueur. Il me retira le bâillon boule, sortit un martinet dont il se
servit pour me fouetter le dos, le ventre, les cuisses,les fesses et de temps en temps le sexe. J'avais à présent le corps tout rose, il me demanda de répéter après lui, je suis ta pute, fais de moi ce que tu veux. Devant mon refus (prévu), il s'empara d'un strap en cuir et se mit à me fesser énergiquement devant cette foule enthousiaste, et où des lueurs de flashs émergeaient. Je sentais la chaleur irradier mes fesses, et devinais qu'elles passaient au rouge cramoisi. N'en pouvant plus, je finis par prononcer la phrase demandée, que je dus répéter à nouveau en le criant. Pour m'avoir fait attendre, tu en auras trente de plus. Après cette correction, son adjoint approcha un petit cheval d'arçon, me décrocha de la poulie pour m'allonger et me rattacher les mains à un mousqueton prévu à cet effet.Le patron se déculotta s'approcha et me demanda de le lécher en commençant par les boules et de remonter lentement ensuite. Arrivé en haut de la hampe, il me saisit les oreilles, et m'imposa la cadence voulue. Je m'étouffais à moitié. Il passa de l'autre côté m'enduisit de gel, et posa son dard contre mon trou. Il poussa lentement, ma petite entrée résista un peu, et je sentis le dard me pénétrer, s'insinuant avec force. Je grimaçais de douleur car il était bien monté le bougre. Il commença ses va-et vient d’abord lentement pour m'habituer, puis de plus rapidement et je sentais la douleur s'apaiser pour faire place au plaisir, ses bourses tapaient sur mes fesses. L'adjoint pendant ce temps présenta aussi sa bite que je dus sucer également. La sodomie dura un moment car il était endurant, je sentis soudain une liqueur chaude envahir mes entrailles, pendant qu'il s'exprima par un râle. Il se retira pendant que l'adjoint prenait sa place et revint devant moi pour se faire nettoyer le gland.

L'adjoint une fois vidé fit de même et je restais exposé quelques minutes avec mon cul dégoulinant,pour des photos prises par les clients. Le patron revint avec un gode qui me paraissait bizarre et me l'enfila tout en disant, je te donne ce souvenir qui permettra de garder en toi, le meilleur de nous-même. Il me détache du cheval d'arçon pour me refixer à la poulie. Il dit à la cantonade, voyez ce jeune homme pendant que je le ramonais, il bandait comme un âne, il n'a pas juté et maintenant, ça retombe déjà. Pour la peine, tu vas leur offrir un supplément de spectacle.Sur ce, il me colle une électrode adhésive sous les boules, me décalotte et me pose l'autre en haut du prépuce. Il relie le tout à un électro-sexe, les premières décharges sont violentes mais très courtes. Je danse sur place et ma verge se redresse quasi-instantanément sous l'hilarité générale. Les décharges suivantes sont plus douces mais plus longues obligeant ma verge à bander comme un arc, et moi à onduler. Puis quand il sent que je vais juter, il envoie une longue et puissante impulsion afin de me vider complètement. Il continue encore cinq minutes pour amuser la galerie. Une fois terminée cette épreuve, il me met un collier, me détache de la poulie pour rattacher mes mains au collier. Il libère mes pieds de leurs entraves et dit, maintenant que tu a sali le carrelage, nettoie le avec ta langue. J'ai mis beaucoup de temps à accomplir cette tâche, car à chaque fois que je léchais, il effleurait ma peau avec une cravache électrique. Une fois cette corvée accomplit, il me redressa, m'emmena dans l'arrière boutique et me dit, j'évacue la clientèle et je ferme le magasin, je reviens. Vingt minutes plus tard, il refait son apparition,je m'attends à ce qu'il me détache mais devant son refus, il m'explique, c'est ça ta dernière surprise je t'emmène comme tu es,mais je suis gentil, je te remets les baskets et pour les détails, nous verrons quand je te déposerais. Il m'enfile les chaussures, je le suis, il ferme tranquillement le rideau de la boutique avec un sourire en coin. me pousse et m'indique la direction du véhicule, pendant que nous parcourons les quelques mètres, il salue le patron hilare de la pizzeria d'en face. Arrivé au 4x4, il ouvre le coffre, et m'invite à y grimper, à moins que
tu veuilles être vu sur la route. Il m'emmène alors à un endroit choisi par lui,et me fait descendre. Avant de te laisser partir, je te muni d'un accessoire, j'aime tes couilles pendantes,ce serait dommage que tu ne les sentent pas. Il enserre alors au-dessus de mes boules un anneau muni d'une chaînette, sur laquelle il y agrafe un poids conséquent. Bon, je t'explique, nous sommes à mi-hauteur de la colline, le chemin que tu as devant toi, te mèneras directement à chez toi, mais tu as quatre kilomètres à faire en pleine campagne tes clés de maison et des menottes seront accrochées à une pointe sur la porte de grange,ne traîne pas, il est quatre heures et l'été le soleil se lève tôt . Bonne route! Il met alors la main sur mon cul, et je sens alors des vibrations me secouer le cul. Le plug que j'avais trouvé bizarre était un plug vibrant. Et il repartit me plantant là. Je voulus partir en courant pour ne pas perdre de temps, mais la douleur infligée par l'énorme balancement et les soubresauts du poids, m'ont obligé à marcher vite uniquement. Je sentais la trique avec ces vibrations me gagner, et mon dard pointer. Malgré la fraîcheur du matin, je transpirais et arrivais enfin à ma maison. Je regardais du côté de la porte de grange, et constatais avec horreur que je devais pénétrer dans un gros buisson d'orties, les clés étant accrochées derrière. Je pris une inspiration et y allais, je sentis mes jambes me piquer, ainsi que mes couilles étirées, Je devais en plus exposer mon torse, mes mains étant toujours attachées au collier et lorsque je me reculais mes fesses en ont également bien profités. Je me dépêchais d'ouvrir ma porte bien exposée par le soleil et me débarrassais du reste ensuite. Je pris une bonne douche, et me nettoyais à fond. Puis au moment de me coucher, je me dis que malgré ce côté hard, et les surprises cela m'avait plus. Lorsque j'aurais bien récupéré de cette péripétie. Je serais bien assez fou pour retenter plus tard, autre chose.

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