L'AMITIE EST UNE PLAGE...
Récit érotique écrit par Le mec qui a inventé le nutella [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 31-03-2007 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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L'AMITIE EST UNE PLAGE...
J'avais amené mon ami d'enfance dans le sud de mon pays natal, l'Espagne. Originaire de Lyon, il rêvait d'une bonne plage et ne pouvait pas se permettre de partir en vacances puisqu'il n'était qu'un simple étudiant. Imaginez vous lorsqu'il a vu cette superbe crique déserte, baignée d'une eau calme et turquoise. Le choc.
Il a couru comme un possédé sur toute la plage, a posé sa serviette et en deux secondes s'est déshabillé des pieds à la tête. Ce fut une grande surprise pour moi, et je ne sais pas lequel de nous avait l'air le plus con, moi avec mon petit maillot ou lui avec sa queue qui pendait. Voyant mon air timide, il me fit signe de l'imiter: "allez, fait pas ton timide, je t'ai vu à poil plus d'une fois!"
Si je "faisait mon timide", c'était surtout parce que depuis l'adolescence, j'étais follement amoureux de mon ami. Je n'avais évidemment jamais osé lui déclarer ma flamme, sachant bien qu'il était hétéro, mais elle était resté au fond de moi et m'avais soudain brûlé lorsque je l'avais vu nu sur cette plage.
Il fallait dire que ce mec était vraiment bandant. On ne faisait pas plus viril, sans pour autant qu'il ressemble à un ours: il avait une barbe de 3 jours, ce qui m'excite particulièrement chez les hommes. Son torse était parsemé de quelques poils du plus bel effet, mais le plus impressionnant restait évidemment sa queue. (Nous sommes dans un récit gay tout de même)
C'était... une véritable oeuvre d'art. Une bite ni trop grande, ni trop petite, avec un joli petit gland tout rose et quelques poils sur les couilles. En la voyant, je me mis immédiatement à bander comme un cheval.
Je n'osais vraiment pas enlever ce petit bout de tissu qui cachait mon engin. Jamais je n'aurais pu lui avouer par un moyen aussi vulgaire les sentiments que je cachait au plus profond de mon âme. J'étais homo. Lui hétéro. On ne pouvait pas être amis en sachant ça.
Ou du moins c'est ce que je croyais. Malgré tous mes efforts pour me cacher, mon ami avait vu cette foutue bosse sous mon maillot.Il m'avait regardé avec des yeux... amusés! Oui, il riait à présent, mais pas d'un rire moqueur, plutôt allègre et sympathique, et je ne pus m'empêcher de sourire...
"Il fallait le dire avant que t'étais pédé! Je ne me serais pas déshabillé! Vu la trique que je t'ai mis tu pourrais choper les oreillons!"
Cette dernière remarque me fit éclater de rire. Il avait toujours cet humour si puissant, même dans une telle situation! J'essuyais les larmes que le rire avait mis dans mes yeux lorsque tout d'un coup je sentis mon maillot se baisser. J'ouvris les yeux et je vis mon ami qui me suçait lentement. Je n'en croyais pas mes yeux, et je ressentais une joie extrême. Je m'allongeai sur le sable chaud et le laissait pomper mon dard, extraire mon énergie. J'atteins rapidement un orgasme si aigu que je poussais des cris. J'avais éjaculé à la face de mon meilleur ami.
Il monta alors sur moi et m'embrassa langoureusement, me faisant ainsi goûter mon sperme. En temps normal j'aurais trouvé ça dégueulasse, mais je ressentais un plaisir sans égal à ce moment là. Ne pouvant résister à la tentation, j'enfournais goulûment sa grosse queue bandée et le pompait de toutes mes forces, mais il m'avait réservé un autre sort: il me renversa sur le dos et, comprenant, je repliais les jambes pour lui offrir mon anus déjà tout dilaté de désir.
Il me pénétra lentement en poussant des râles virils. Je sentais cette queue en moi, cette queue que j'avais si longtemps désirée. Il se mit à battre des reins plus fort et finalement se retira pour pouvoir éjaculer sur mon torse soumis.
Il s'allongea ensuite à côté de moi et me serra dans ses bras. IL me susurra alors: "Je ne suis pas homo. Je ne ressens pour toi qu'une amitié sans borne, et je sais que c'est réciproque. Tu m’as offert un magnifique cadeau en m'amenant ici, je voulais t'offrir cela en retour. C'est tout"
On s'est endormi sur cette plage. J'avais trouvé mieux que l'amour.
Il a couru comme un possédé sur toute la plage, a posé sa serviette et en deux secondes s'est déshabillé des pieds à la tête. Ce fut une grande surprise pour moi, et je ne sais pas lequel de nous avait l'air le plus con, moi avec mon petit maillot ou lui avec sa queue qui pendait. Voyant mon air timide, il me fit signe de l'imiter: "allez, fait pas ton timide, je t'ai vu à poil plus d'une fois!"
Si je "faisait mon timide", c'était surtout parce que depuis l'adolescence, j'étais follement amoureux de mon ami. Je n'avais évidemment jamais osé lui déclarer ma flamme, sachant bien qu'il était hétéro, mais elle était resté au fond de moi et m'avais soudain brûlé lorsque je l'avais vu nu sur cette plage.
Il fallait dire que ce mec était vraiment bandant. On ne faisait pas plus viril, sans pour autant qu'il ressemble à un ours: il avait une barbe de 3 jours, ce qui m'excite particulièrement chez les hommes. Son torse était parsemé de quelques poils du plus bel effet, mais le plus impressionnant restait évidemment sa queue. (Nous sommes dans un récit gay tout de même)
C'était... une véritable oeuvre d'art. Une bite ni trop grande, ni trop petite, avec un joli petit gland tout rose et quelques poils sur les couilles. En la voyant, je me mis immédiatement à bander comme un cheval.
Je n'osais vraiment pas enlever ce petit bout de tissu qui cachait mon engin. Jamais je n'aurais pu lui avouer par un moyen aussi vulgaire les sentiments que je cachait au plus profond de mon âme. J'étais homo. Lui hétéro. On ne pouvait pas être amis en sachant ça.
Ou du moins c'est ce que je croyais. Malgré tous mes efforts pour me cacher, mon ami avait vu cette foutue bosse sous mon maillot.Il m'avait regardé avec des yeux... amusés! Oui, il riait à présent, mais pas d'un rire moqueur, plutôt allègre et sympathique, et je ne pus m'empêcher de sourire...
"Il fallait le dire avant que t'étais pédé! Je ne me serais pas déshabillé! Vu la trique que je t'ai mis tu pourrais choper les oreillons!"
Cette dernière remarque me fit éclater de rire. Il avait toujours cet humour si puissant, même dans une telle situation! J'essuyais les larmes que le rire avait mis dans mes yeux lorsque tout d'un coup je sentis mon maillot se baisser. J'ouvris les yeux et je vis mon ami qui me suçait lentement. Je n'en croyais pas mes yeux, et je ressentais une joie extrême. Je m'allongeai sur le sable chaud et le laissait pomper mon dard, extraire mon énergie. J'atteins rapidement un orgasme si aigu que je poussais des cris. J'avais éjaculé à la face de mon meilleur ami.
Il monta alors sur moi et m'embrassa langoureusement, me faisant ainsi goûter mon sperme. En temps normal j'aurais trouvé ça dégueulasse, mais je ressentais un plaisir sans égal à ce moment là. Ne pouvant résister à la tentation, j'enfournais goulûment sa grosse queue bandée et le pompait de toutes mes forces, mais il m'avait réservé un autre sort: il me renversa sur le dos et, comprenant, je repliais les jambes pour lui offrir mon anus déjà tout dilaté de désir.
Il me pénétra lentement en poussant des râles virils. Je sentais cette queue en moi, cette queue que j'avais si longtemps désirée. Il se mit à battre des reins plus fort et finalement se retira pour pouvoir éjaculer sur mon torse soumis.
Il s'allongea ensuite à côté de moi et me serra dans ses bras. IL me susurra alors: "Je ne suis pas homo. Je ne ressens pour toi qu'une amitié sans borne, et je sais que c'est réciproque. Tu m’as offert un magnifique cadeau en m'amenant ici, je voulais t'offrir cela en retour. C'est tout"
On s'est endormi sur cette plage. J'avais trouvé mieux que l'amour.
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