Nouvelles sensations

- Par l'auteur HDS Romaric180 -
Récit érotique écrit par Romaric180 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Nouvelles sensations Histoire érotique Publiée sur HDS le 07-01-2015 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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(8.0 / 10)

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Nouvelles sensations
Il m’avait promis du nouveau, j’arrivais donc un peu dans l’inconnu mais conscient que ce que j’allais vivre allait sortir de l’ordinaire.

Yves et moi nous voyons rarement, j’ai ma vie, il a la sienne et nous n’habitons pas la même ville. Je sonnais donc à la porte et Yves m’accueillit en m’embrassant à pleine bouche.
- Alors, tu me fais confiance pour cette soirée ?
Bien entendu que je lui fais confiance et jusqu’à présent je n’ai jamais été déçu !
Une fois arrivés dans le salon, je remarquais une boite posée sur la table.
- Ne perdons pas de temps, mets-toi à genoux sur le fauteuil.
Je m’exécutais sans poser de question.
Il s’approcha, dégrafa ma ceinture, ouvrit le bouton du pantalon et le fit glisser sur mes cuisses. Il releva ma chemise et baissa mon slip sans plus de formalité. Je m’attendais à être pris comme cela mais ce n’était pas son intention. Il se dirigea vers la table, ouvrit la boite et en sortit un plug de couleur noire.
- Tu m’as dit ne jamais avoir essayé, ce serait trop bête de passer à côté !
Il écarta les globes de mes fesses, fit glisser son doigt sur ma raie en s’arrêtant quelques instants sur mon anus, me faisant pousser un soupir d’aise. Je sentis alors quelque chose de froid, puis son doigt enduit de gel commença un massage de mon œillet de plus en plus profond jusqu’à faire pénétrer une phalange.
Il continua son massage puis, jugeant sans doute que cela suffisait, me laissa dans cette position.
Je sentis alors quelque chose se poser sur mon anus qui s’ouvrit légèrement, puis, accentuant sa pression, l’objet commença à me pénétrer. Sa forme facilitait l’intromission et le gel faisait son office.
Tout d’un coup, une sensation bizarre, le plug venait de rentrer complètement et mon sphincter se refermait sur la partie la moins large.
- Je vais le fixer pour qu’il ne parte pas.
Il plaça du sparadrap de façon que l’objet ne sorte pas de mes entrailles.
Une tape sur les fesses puis il remonta mon slip.
- Finis de te rhabiller, on va y aller.
Je finis donc de me rajuster et déjà il m’attendait à la porte.
Je ne sais si vous avez déjà essayé de marcher avec un objet dans le cul mais je vous assure que c’est assez curieux. Au bout de quelques minutes, j’arrivais enfin à avoir une démarche plus proche de l’être humain que du canard et nous sortîmes dans la rue.
- J‘ai quelques courses à faire, nous n’en aurons pas pour longtemps.
Il s’arrêta chez le teinturier, visiblement celui-ci n’était pas surpris de notre visite. Le commerçant interrogea Yves du regard et celui-ci fit un signe. Le teinturier finit de servir la cliente qui attendait et la raccompagna à la porte, prenant soin de fermer celle-ci à clef. Il revint vers nous.
- C’est lui ?
Yves acquiesça. Le teinturier me prit le bras et m’entraina dans l’arrière-boutique encombrée par les machines et le linge. Yves se plaça devant moi, défit mon pantalon et baissa mon slip, offrant le spectacle de mes fesses occupées par cet objet incongru.
- Pas mal, je n’ai pas trop le temps là mais tu ne seras pas venu pour rien.
Il me retourna et me fit mettre à genoux. Il ouvrit son pantalon, baissa son slip à son tour et me tendit sa queue encore flasque.
J’ouvris donc la bouche et commençais à sucer ce membre. Le commerçant devait être près de la retraite et sa vigueur ne revint qu’après de longues minutes à m’occuper de ce bout chair qui reprenait petit à petit forme humaine. D’un coup il se raidit, sortit de ma bouche et gicla sur mon visage en poussant de petits râles de plaisir.
Il me tendit un linge pour m’essuyer, je me rhabillais en vitesse et il nous raccompagna à la porte.
Yves entra dans une supérette où une dizaine de clients faisaient leurs courses. Il n’allait tout de même pas m’exhiber devant tous ces gens ! Non, ce n’était que pour faire quelques emplettes et nous repartîmes dans la rue.
Nous entrâmes dans la boutique d’un fleuriste qui nous sourit.
- Passez dans l’arrière-boutique, j’en ai pour une minute.
En effet, il fit vite son apparition et nous salua. Il se tourna vers moi et dit :
- Tu me montres ?
Pas besoin de m’expliquer, je savais ce qu’il me restait à faire et je dénudais ainsi mes reins, offrant de nouveau ce spectacle que je ne pouvais qu’imaginer.
Il passa sa main sur mes fesses, en connaisseur, en profitant pour soupeser mes bourses.
- Il va être à point, tu ne crains pas qu’il soit trop ouvert ?
- Non, répondit Yves, j’ai fait attention à ne pas lui mettre trop gros.
- Je te fais confiance !
La porte de la boutique venait de s’ouvrir avec un joli bruit de carillon.
- On se voit plus tard, dit-il en retournant à son travail.
De nouveau séance rhabillage !
- Cette fois la tournée est terminée, nous rentrons à la maison.
Je pensais naïvement qu’il allait me libérer de l’intrus qui occupait mes entrailles mais telle n’était pas son intention. Il déplaça le fauteuil vers un autre coin de la pièce, décrocha un tableau et accrocha à la place une corde terminée par deux menottes en cuir. Je me doutais de ce qui allait m’arriver et mon cœur se mit à battre plus fort.
- Mets-toi à poil, me dit-il.
Je savais par expérience qu’il ne servait à rien de discuter ou de résister et j’entrepris de me mettre nu. Il me poussa vers le fauteuil, me fit mettre à genoux comme tout à l’heure mais plaça mes poignets dans les menottes. Il ajusta la corde de manière à ce que mes bras soient tendus et mon buste bien droit.
Je restais ainsi pendant un temps qui me parut bien long, entendant Yves préparer des choses que je ne voyais pas.
La sonnette retentit. Il partit ouvrir et une personne entra.
- Mets-toi à l’aise !
Je ne savais pas qui venait d’entrer.
De nouveau la sonnette :
- On n’aura pas attendu longtemps !
J’entendis des pas dans le couloir puis dans le salon, mais je n’avais toujours aucune idée de qui venait d’entrer.
- On prend un verre d’abord ?
Les inconnus acquiescèrent. Visiblement ces voyeurs se délectaient du spectacle impudique que j’offrais à leurs yeux.
Après quelques minutes pendant lesquelles je les entendais deviser joyeusement, Yves donna le signal.
- Passons au plat de consistance.
Ils s’approchèrent de moi, des mains se mirent à parcourir mon corps offert m’arrachant des soupirs.
- Chauffons-lui un peu le cul, dit l’un d’eux.
Des claques s’abattirent sur mes fesses offertes, jamais violentes mais bien appuyées et placées là où il faut. Je commençais à gémir.
- Ferme-la ou je te bâillonne !
- Ce serait dommage de se priver d’une aussi bonne bouche !
- Libérons-le, dit l’un des convives.
Je sentis le sparadrap qu’on arrachait et, d’un seul coup, quelqu’un retira le plug qui était en moi, me faisant pousser un cri de surprise. Je me sentais vide tout d’un coup.
Très vite des doigts virent tester l’élasticité de mon sphincter, en profitant pour s’insinuer en moi.
- Tu as raison il n’est pas trop ouvert mais bien souple.
Le bruit d’une capote qu’on place sur un membre et déjà l’un d’eux se présentait à l’entrée, donnant un coup de reins pour pénétrer d’un coup. Il me laboura les entrailles, s’agrippant à mes hanches, et me besogna ainsi de longues minutes avant de se retirer. Un autre prit sa place mais il fit basculer mon bassin vers lui afin de me cambrer plus. Il me pénétra doucement, en de longs et amples mouvements. Cela dura encore, je l’entendais haleter dans mon dos puis il se retira.
Le troisième s’approcha mais ce n’est pas son membre qui se posa sur mon anus, ce sont ses mains qui s’occupèrent de m’ouvrir un peu plus. Deux doigts, puis trois et un quatrième le rejoignit. J’étais fouillé comme jamais. En expert il cherchait ma prostate et se mit à la masser délicieusement.
- Mets la main, dit une voix.
- Ca ne rentre pas, j’ai déjà essayé et je ne veux pas l’abimer.
Lorsqu’il m’eut ouvert comme il le souhaitait, il me pénétra d’un coup et m’encula ainsi sans retenue.
Quand il eut terminé, il détacha mes poignets, me faisant me lever et découvrir les invités qui avaient gouté à mon cul. Sans surprise, c’était les deux commerçants de tout à l’heure.
Nus, la queue à la main, ils s’approchèrent de moi. Yves me fit mettre à genoux et je dus m’occuper de ces trois membres avec ma bouche et mes mains jusqu’à leur plaisir.

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
humm tres belle soiree j'adore



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