Colocation bien dirigée

- Par l'auteur HDS Abadie -
Récit érotique écrit par Abadie [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Colocation bien dirigée Histoire érotique Publiée sur HDS le 18-01-2015 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Note attribuée à cette histoire érotique par HDS :
(8.0 / 10)

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Colocation bien dirigée
J’ai commencé à bosser très tôt à travailler (presque 19 ans) à Paris. Les logements sont si chers que j’ai occupé une colocation avec 2 jeunes un peu plus âgés que moi (21 ans et 22 ans). J’étais déjà d’un tempérament assez docile car j’ai toujours été corrigé au martinet dans mon enfance et même mon adolescence. Marc qui avait 21 ans prenait beaucoup d’initiatives et était assez directif quand il donnait des consignes sur les parties communes de l’appartement, ce qui me convenait très bien. Petit à petit, il venait dans ma chambre et me donnait aussi des ordres sur la façon de ranger mes affaires. J’étais donc assez admiratif de ce jeune. Il s’en est aperçu et nous avons commencé à avoir des relations sexuelles. Bien évidemment, c’est lui qui était l’actif et moi le passif. Tout se passait bien et assez discrètement jusqu’au jour qu’il entre dans ma chambre où rien n’était rangé, les chaussettes sales trainaient au sol et moi je l’attendais à poils en espérant me faire baiser à son arrivée. J’étais nu comme un ver sur le lit déjà en érection en pensant à ce que je souhaitais qui m’arrive. Lui debout devant la porte qu’il avait refermée est stupéfait de la scène, scène du désordre. Il me passe un savon et en même temps enlève sa ceinture, ce qui m’excitait malgré l’enguirlande. Cette situation l’a vexé et là il m’ordonne de me mettre à plat ventre en me retournant dans le lit. Je n’ai pas eu à attendre longtemps pour déguster la douzaine de coups de ceinture que j’ai prise sur mes cuisses et mon petit cul. « tu as compris, je ne veux pas que ça recommence » me dit-il. Je sentais mes fesses chaudes et rougies par la dérouillée que je venais de prendre et j’acquiesçais sans riposte convaincu qu’il avait bien raison et que j’avais de la chance qu’il me guide. Il s’est alors approché de moi et m’a caressé les fesses, je les ai écartées mais l’envie de lui tailler une pipe après ma correction n’avait jamais été si forte. Quand ses caresses l’ont amené à me doigter, je n’ai plus hésité, j’ai dégrafé son pantalon, lui ai caressé le boxer puis j’ai passé ma main dans son boxer pour sortir sa queue déjà bien tendue. Je me suis approché et me suis mis à le sucer avec une passion et conviction que je n’avais jamais eues. Je léchais cette queue qui était celle du mâle qui venait de me mettre une bonne correction méritée, sa dureté symbolisait pour moi toute son autorité. Je ne pouvais que montrer ma docilité mieux qu’en lui léchant les couilles, sa belle queue dure et sans aucun doute je languissais qu’il gicle dans ma bouche pour tout avaler sans ne rien gaspiller car un homme capable de me corriger comme ça le méritait bien. Lui me caressait les fesses et moi suçais sa belle tige jusqu’à ce qu’il se lâche et sans effort, je n’ai pas relâché et j’ai bien avalé en lui montrant ma bouche pleine et en me léchant les babines pour lui montrer que je ne gaspillerai rien.
« Je crois que tu as bien compris » me dit-il et rajoute « ce sera mieux avec un martinet ou une cravache qu’avec ma ceinture ». Il m’ordonne donc d’aller acheter le martinet et la cravache soit dans une animalerie, soit dans un sex shop. La honte d’aller acheter un martinet en sex shop me conduit donc à faire cet achat en animalerie. J’étais très humilié quand je suis passé en caisse car j’avais l’impression que la caissière savait que c’était pour moi. Cela tombait le jour de mon anniversaire. Ce soir là, on fait un repas à trois et à la fin du repas, j’ai droit à un paquet cadeau. Je suis très touché et quand je le déballe devant mes 2 colocataires, je suis surpris et honteux par rapport à Charles de trouver une laisse et un collier qui ne laissent pas de doute sur leur future utilisation. Charles ne parait pas très surpris et Marc me rassure tout de suite en déclarant qu’il est obligé de s’occuper aussi de l’éducation de Charles qui consent d’un geste de la tête.
« allez, à poils, les mecs on va essayer nos nouveaux jouets » dit Marc. Charles et moi nous mettons à poils, Charles va chercher son collier et sa laisse dans sa chambre, Marc nous prend en laisse et nous sort sue le balcon à 4 pattes pour nous faire promener. Marc prend ensuite le martinet que j’ai acheté, demande à Marc de se mettre droit contre le mur, mains appuyées sur le mur et moi droit aussi pas très loin. Marc commence à faire claquer le martinet sur le cul de Charles et me demande de me branler pendant ce temps. J’ai vite bandé à voir ce petit cul rougir sur les gestes réguliers de Marc mais je pensais déjà que je ne tarderai pas à remplacer Charles les mains contre le mur.
Marc s’est mis à poils aussi et le voir bander pendant la correction m’excitait comme un fou. La quinzaine de coups de martinet administrés sur le cul de mon colocataire se terminait et j’étais invité à prendre la même position. Charles se met à se branler au bruit des claquements du martinet sur mes fesses. Curieusement, la situation me fait bander à moi aussi.
Marc dit que le martinet a l’air de bonne qualité et nous indique de se mettre côte à côte. La situation est plus difficile car je ne sais jamais lequel des deux (Charles ou moi) va être destinataire du coup de martinet.
Nos fesses sont bien rouges quand Marc s’arrête en signalant que c’est épuisant pour lui de nous corriger. Nous laissons Marc se reposer et rangeons bien nos chambres, les parties communes et préparons le repas. Charles et moi agissons ensemble de façon très coordonné. On a bien compris que nous devons obéir, être très respectueux entre nous.
Nous avons passés ainsi 2 ans en colocation sous l’autorité de Marc et avec le plus grand plaisir. Bien évidemment Marc nous baisait tous les deux, quelquefois ensemble d’ailleurs, il s’amusait de nous en nous faisant jouer aux gouines mais nous n’avions pas le droit à avoir des relations entre nous sans son autorisation.
J’ai passé de très bons moments avec un ami autoritaire qui nous baisait copieusement et très respectueusement. Nos corrections étaient toujours justes et sans violences uniquement avec le martinet ou la cravache sur nos petits culs.
J’apprécie toujours ces qualités chez un homme

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
Tres jolie histoire
j'ai vécu moi aussi une histoire assez similaire etudiant



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