La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode 378)

- Par l'auteur HDS MAITREDOMINO -
Auteur homme.
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Récit libertin : La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode 378) Histoire érotique Publiée sur HDS le 05-02-2015 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode 378)
Suite de l'épisode N°375 - L'histoire de Thaïs et de son Maître Vénéré –

Le Majordome du Château du Marquis d’Evans a dû se rendre dans l’infirmerie interne du domaine pour s’enquérir de l’état de santé de l’esclave e6938 MDE, blessé le matin même. Prétextant qu’il aurait besoin quant à lui de « soins » dispensés par une infirmière (et soumise-esclave MDE) experte en la matière pour examiner en particulier une bosse apparue de manière soudaine qu’il aurait au niveau du bas-ventre, il vient de confier à la bouche de la soumise Thaïs MDE le soin de donner tout le plaisir charnel possible au malheureux chien-esclave au nez cassé mais à la queue frétillante et si vaillante depuis qu’elle a pu enfin sortir de sa cage habituelle. Walter vient d’entraîner à sa suite, Mûriana MDE, l’infirmière attitrée de toute la Noble Demeure légendaire, qui s’occupe en permanence de tout le personnel et de l’ensemble des esclaves du cheptel. De par ses fonctions qui l’amènent à surveiller et à régir par substitution sur l’ensemble du cheptel et du domaine surtout en l’absence du Châtelain, mais aussi grâce à une certaine liberté qui lui est octroyée par Le Maître des Lieux qui lui accorde toute Sa confiance et tient à le remercier de multiples manières pour son dévouement permanent sans bornes, le Majordome n’a pas l’habitude de prendre des gants, ni des protections particulières, pour se mettre à l’écart et se cacher lorsqu’il veut s’octroyer un petit plaisir sexuel et se faire lécher en se servant de la langue et de la bouche d’un ou d’une des dominé(e)s dont il a la garde. Mais là, exceptionnellement, il décide d’aller s’allonger dans l’un des box dont il tire les rideaux qui servent de séparation entre les différents lits du dortoir de l’infirmerie, ce qui n’est pas sans surprendre l’infirmière, qui pour autant apprécie ce geste de discrétion, vis-à-vis des trois autres esclaves malades qui sont présents dans la salle de l’infirmerie.

Bien qu’infirmière diplômée en titre, ayant exercée professionnellement cette activité en libérale et auparavant en milieu hospitalier, avant de renoncer totalement à sa vie vanille pour s’installer à demeure aux pieds du Maître Vénéré, Mûriana MDE n’en est pas moins après tout que l’une des nombreuses humbles esclaves-soumises dévouées appartenant à Monsieur le Marquis d’Evans. Elle a donc parfois des difficultés à concilier sa position d’esclave D/s librement asservie et sa fonction en titre qui lui impose d’être responsable, ferme et exigeante, avec tous ceux qui ont besoin de soins et de surveillance, qu’ils soient membres du personnel ou frères et sœurs de soumission. Elle doit en particulier s’assurer que tous les médicaments prescrits par le médecin sont bien pris en temps et en heure, car certains auraient bien tendance à rechigner, alors même qu’ils avalent tout ce qui se trouve dans leur pâtée sans même se soucier de ce qu’elle pourrait contenir, comme si la maladie leur faisait perdre un peu de leur servilité naturelle et du plaisir excitant qu’ils prennent à simplement obéir à tous les ordres qu’ils reçoivent.

Ce qui est pour le moins surprenant, c’est que les esclaves sont souvent prêts à tout supporter lorsqu’il s’agit de jeux D/s imposés par Le Maître ou celui entre les mains de qui ils ont été remis, endurant sans broncher fouets et cravaches, mais qu’ils sont très nombreux à avoir tendance à se braquer par peur de la blouse blanche et geindre au « martyr » pour une simple petite piqure dans les fesses ou une prise de sang, sans parler des petits bobos à soigner qui en font hurler certains pour une toute petite compresse d’alcool ou de désinfectant. Mûriana MDE avait l’habitude avec ses patients et elle savait comment gérer les plus craintifs, mais elle reste toujours surprise que ceux-là même qui, sous l’effet de l’excitation et du plaisir D/s, sont prêts à tout accepter lors de séances plus ou moins hard, et se disent esclaves endurants, voire masochistes pour beaucoup. Ceux-là même qui deviennent si vite nettement plus douillets une fois franchi la porte de l’infirmerie, cherchant de la réassurance s’ils sont fébriles ou malades, attendant protection permanente et marques d’attention multiples, ayant besoin de parler et de se confier, ce qui est d’ailleurs l’une des raisons pour lesquelles les règles sont assouplies en ce lieu, afin que chacun puisse exprimer sans crainte de punition et de représailles ses besoins, et aussi ce qu’il ressent et ce dont il souffre.

Walter vient d’arracher la blouse de l’infirmière sans ménagement, faisant sauter les boutons dans tous les sens, ce qui va obliger la soumise à recoudre les boutons et à réparer les boutonnières déchirées. Mais pour autant la docile Mûriana MDE n’a pas bronché devant ce geste brusque et plus que brut, qui pourtant lui semblait bien inutile, car elle aurait enlevé sa blouse d’infirmière en moins de 5 secondes sur un simple ordre du Majordome. Mais ce dernier voulait certainement marquer par son geste sauvage et primal l’expression de son pouvoir et de sa virilité exacerbée, tout autant que l’empressement qui devenait tendre sa queue qui forme bien évidemment une très grosse bosse proéminente dans son pantalon. Walter est d’autant plus excité, que sous le prétexte d’un « examen de passage » destiné à mesurer les capacités et la longueur de l’appendice buccal de l’esclave-soumise Thaïs MDE sur les conseils de Marie, la cuisinière, il s’est fait lécher par la chienne à la soi-disant courte langue de lapin pendant 5 minutes, montre en mains, juste avant de descendre à l’infirmerie. C’est très volontairement qu’il ne lui a pas permis d’aller plus loin en laissant son sexe s’engouffrer dans sa bouche pour une fellation en bonne et due forme se réservant déjà pour ce qu’il avait déjà en tête depuis le matin même, lorsqu’il avait aperçu l’infirmière accroupie s’occupant avec une empathie réelle pour le pauvre esclave à terre dont le nez était en sang.

A l’inverse des autres esclaves du cheptel qui déambulent totalement nus dans les murs du Château, le plus souvent seulement à 4 pattes, Mûriana MDE a la possibilité, et même l’obligation par mesure d’hygiène, de conserver dans le cadre de ses fonctions une blouse blanche, symbole de ce qu’elle représente. En dessous, elle est nue, ne portant pas de sous-vêtements. Mais elle porte en permanence lorsqu’elle est en service une ceinture de chasteté en cuir à code qui lui encercle la taille et passe dans son entrejambe. Plus qu’une contrainte, il s’agit également d’une protection qui lui a été imposée depuis une fameuse nuit où l’un des esclaves qui délirait, en proie à de fortes fièvres, avait voulu dans sa déraison s’en prendre à l’infirmière qui avait beaucoup de mal à résister à ce chien-esclave de forte carrure qui malgré une fièvre de cheval qui aurait dû plutôt le clouer au lit, n’avait cherché qu’à la ploter et même à essayer de la baiser, on pourrait même dire de la violer dans un égarement aberrant imputé au délire fiévreux. Le soumis n’avait pas été puni par Monsieur le Marquis d’Evans qui avait estimé que ce dernier n’avait pas toute sa tête au moment des faits, mais il avait considéré qu’il ne pouvait pas le garder au sein du cheptel et ceci d’autant plus qu’il était manifeste que la fièvre qui s’était accompagnée de convulsions avait dû réveiller un choc psychologique enfoui chez cette personne qui nécessitait une prise en charge thérapeutique et des soins suivis en milieu médicalisé, ce qui dépassait très largement ce qui pouvait être traité à l’infirmerie du Château, qui se limitait à de traditionnels rhumes, maux de ventre et quelques blessures bénignes. L’infirmerie était en permanence sous la surveillance de deux caméras et il avait été décidé que la nuit les esclaves qui ne pouvaient rejoindre pour raisons de santé le lieu auquel ils étaient assignés dans les cachots, le chenil ou les box de l’écurie, dormiraient attachés à leur lit, menottés par l’un de leurs poignets. L’infirmière connaissait par cœur le code qui permettait d’ouvrir sa ceinture de chasteté mais elle avait pour consigne impérative de ne la retirer que si elle était amenée à quitter précipitamment le Château pour accompagner quelqu’un chez le médecin en urgence, ne pouvant dépendre de quelqu’un dans la précipitation à agir et d’avoir par exemple l’obligation d’attendre le Majordome qui connaissait également le code d’ouverture, tout comme Monsieur le Marquis d’Evans, bien entendu, puisque rien de ce qui se passait au Château n’était ignoré du Maître des Lieux, à fortiori en son absence.

Walter ayant fait voler la blouse déchirée en la jetant un peu plus loin, s’allonge tout habillé sur le grand drap blanc qui recouvre le lit de malade. D’un petit air narquois et plaisantin, tout en montrant la braguette tendue et le pantalon déformé, le Majordome fait signe à l’infirmière de s’approcher :

- Alors, « c’est grave Docteur » ! …..
- Monsieur Walter, Vous savez très bien que je ne suis pas Docteur en médecine, et que je n’ai jamais eu ces prétentions-là, faisant seulement de mon mieux pour répondre aux exigences du Maître Vénéré, que je sers.
- Oui, je reconnais, je ne devrais pas dire cela, même si c’est l’expression consacrée, car tu n’es qu’une esclave entre ses murs que Monsieur le Marquis t’autorise à Le servir en lui faisant profiter de tes maigres capacités de vulgaire aide-soignante de bas-étage ….. Mais voyons voir justement si tu sauras soigner avec tes minuscules compétences acquises, on ne sait où, ce gros « bouton » qui vient de me pousser à l’entrecuisse. …. Je me demande même s’il n’y a pas un peu de liquide blanc épais qui sortirait si on appuyait dessus, heureusement que ce n’est pas du pus car sinon je m’inquiéterais de mon état de santé.
- Souhaitez-Vous, Monsieur Walter, que je Vous examine plus précisément ? Et, m’autorisez-Vous à ouvrir ce pantalon pour voir ce qui se passe à l’intérieur ?

Mûriana MDE sait très bien ce dont il s’agit, mais le ton inhabituel du Majordome qui semble vouloir jouer au malade et au docteur la déstabilise totalement, car elle n’a pas l’habitude de ce genre de mise en scène médicalisée et érotisée, ayant peu le temps de chômer dans la journée pour rêver à ce genre de fantasmes, surtout que les rôles en sembleraient plus qu’inversés dans la situation présente. Elle sait cependant comme tous les esclaves qu’il n’est pas question de mécontenter le Majordome si elle ne veut pas recevoir en retour une punition méritée, dont sa fonction d’infirmière ne la dispense nullement. Elle n’a pas non plus l’habitude de prendre les devants car elle est et reste malgré ses tâches quotidiennes une vraie soumise dans l’âme, qui a appris à cumuler et à concilier ses obligations médicales et ses obligations serviles. Elle a conscience qu’elle est une des rares esclaves du Château qui a conservé le droit et l’usage de la parole envers l’ensemble du personnel et des esclaves, respectant cependant le silence en présence du Châtelain jusqu’à ce que ce dernier ne l’autorise à parler lorsqu’IL l’interroge. Ne sachant plus très bien si elle doit se comporter en esclave obéissante attendant les directives de Walter ou en « Docteur » examinant son « malade », elle reste sans bouger, espérant que la réponse ou des ordres plus précis viendront sans tarder. En fait d’ordres, ce sont plus exactement des interjections qui mettent un terme à ses doutes.

- Bon, l’ahurie !!! …. Tu fais quoi ! Crétine d’infirmière immobile que tu fais là ! Tu te décides à l’ouvrir ce pantalon et à me « soigner » comme il faut. J’espère que tu sais au moins ce qui te reste à faire …. Cela fait déjà pas mal de temps de perdu à attendre que tu bouges ton cul. Tu crois que je n’ai que cela à faire de te regarder dans le blanc des yeux, espèce de bécasse empotée !

Immédiatement, Mûriana MDE baisse les yeux, se rendant compte qu’elle n’avait pas adoptée la bonne attitude, un peu prise de court, et qu’il y a de fortes chances que Walter ne laisse pas cet affront impuni. Elle rougit de honte devant les propos crus du Majordome, que tout le monde dans la pièce a dû entendre et sûrement également l’agent de surveillance en poste devant les caméras, comprenant bien, sur le moment pourquoi le Majordome a pris soin de tirer les rideaux de cloisonnement autour du lit pour pouvoir œuvrer tout à sa guise à l’abri des deux caméras qui servent à visionner l’ensemble du dortoir de l’infirmerie. Mûriana MDE redevenue une simple esclave depuis qu’elle est nue sans blouse, porte autour du cou un collier en acier rond avec en pendentif une médaille sur laquelle est inscrit son prénom et les trois initiales MDE qu’elle tient à honorer plus que tout. Elle a pour parure également un tatouage fait sur le sein gauche qui représente un caducée entouré dans un cercle qui représente plus exactement un fouet avec une lanière, le tout dessiné sous les trois lettres MDE qui lui sont si chères. Une « carte de visite » permanente que le Châtelain lui a fait tatouer le jour où elle a pris ses fonctions à demeure au Château, renonçant à sa vie d’avant pour pouvoir être en permanence au service et aux pieds du Maître Vénéré, à qui elle a voué sa vie à tout jamais, quittant sans le moindre regret ses amis d’avant et le peu de famille éloignée qui lui restait.

Dans sa presque tenue d’Eve, puisqu’elle porte également la ceinture de chasteté, Mûriana MDE s’empresse d’ouvrir la braguette du pantalon du Majordome, faisant glisser le pantalon sous les fesses pour le descendre jusqu’à mi-cuisse. Le tissu du boxer de Walter est effectivement très tendu et il y a fort à présager que la verge à l’intérieur doit être gonflée au maximum, gorgée de sang. L’infirmière s’avance pour attraper à deux mains le boxer et pour en sortir délicatement le pénis qui ne demande qu’à se redresser. Avant même d’arriver à toucher le tissu, elle se reçoit une gifle magistrale qui la secoue et de manière presque instinctive, elle porte la main à sa joue.

- Nooooonnnnn ! Pas comme cela, pas avec tes mains. Tu as du toucher à pleines mains tous ces malades, tu crois que j’ai envie que tu me refiles tous leurs microbes pour que je me retrouve au lit avec de la fièvre ?
- Mais, Monsieur Walter, permettez-moi humblement de vous faire remarquer que vous ne risquez rien. Tous les lits sont équipés de distributeur antiseptique pour le lavage des mains. Je porte qui plus est des gants de latex jetable pour toutes les interventions qui le nécessitent, et pour le reste, je me nettoie systématiquement les mains avant et après tout autre acte médical. J’ai donc les mains propres à cet instant. Je suis d’ailleurs à l’intérieur de ce grand Château, celle parmi tous qui fait le plus attention à la propreté et aux risques d’infection, et ce pour la santé de chacun et en particulier de celle de Monsieur le Marquis d’Evans. Vous ne pouvez pas me reprocher ce qui n’est pas, enfin !

Walter d’une voix qui s’est durci réplique.

- Je t’ai laissé parler pour voir jusqu’où irait ton impertinence. Il me semble que depuis que « madame » se la joue « je porte une blouse blanche et je suis l’infirmière de service » elle en a oublié plus que de nécessaire les bonnes manières et son dressage de chienne-soumise. Et puis, c’est quoi ce « enfin » de la fin ? Crois-tu que je sois homme à qui l’on peut lui jeter à la face un « enfin ! ». Tu te crois où, l’esclave ? L’infirmerie fait partie intégrante du Château et tu es aux ordres de Monsieur le Marquis et aux miens en son absence ! Le fait de pouvoir parler ne te dispense pas de la plus élémentaire des politesses et la déférence qui m’est due. Ne l’oublie plus jamais !!! ….

Le Majordome fulmine en poussant de grands soupirs, et l’infirmière craintive commence à regretter ses propos déplacés, même si sur un plan médical, ils étaient justifiés.

- Tu en serais presque à me donner des conseils et à contester ce que je dis et j’exige. Et puis, pour qui tu te prends, n’oublie pas que tu n’es qu’une esclave MDE comme les autres. Tu mets tes mains derrière ta nuque sans les bouger si tu ne veux pas que je te les cadenasse. Depuis quand un esclave se permet-il de s’interposer en envoyant la main lorsqu’il est réprimandé. Ne sais-tu pas que chaque punition non correctement exécutée est immédiatement doublée.

L’infirmière se positionne comme cela lui a été ordonné et reçoit aussi sec deux nouvelles gifles magistrales, ce qui lui laisse la joue gauche qui avait déjà rougi la première fois encore plus en feu, car les larges mains de Walter ne sont pas des plus tendres quand il ne se retient pas, même s’il sait très bien comment donner une bonne baffe sur le gras de la joue sans qu’elle soit dangereuse, mais assez percutante quand même pour faire réagir celui qui est ainsi admonesté. Le Majordome attrape Mûriana MDE par l’anneau qui pend à son cou et l’oblige à se courber de manière à approcher sa tête juste au-dessus du boxer.

- Avec tes lèvres et tes dents, pour continuer à m’examiner. J’espère au moins que tu t’es lavé les dents après le déjeuner, car tu fais moins la finaude maintenant que tu n’as plus ta blouse blanche qui te sert de protection, et que tu as un peu de plus de rouge aux joues pour te rendre moins pâlotte.

Mûriana MDE se doute qu’il vaut mieux ne pas répondre, même pas pour confirmer qu’elle s’est lavé les dents, pouvant profiter amplement du fait que l’infirmerie est équipée de sanitaires avec lavabo, et cela bien évidemment tous les jours, matin, midi et soir, après les repas qu’elle a la chance de pouvoir prendre à l’infirmerie, ou exceptionnellement dans le réfectoire du personnel lorsqu’il n’y a aucun malade alité, ce qui l’exonère d’aller manger dans la salle commune où se trouvent posées à même le sol les gamelles de tous les esclaves, remplis de leur pâtée habituelle. Ouvrant la bouche et essayant de pincer le tissu sur le côté avec les lèvres, elle se trouve gauche pour défaire le boxer, craignant de l’attraper à pleine dents et de faire mal au Majordome qui ne manquerait pas de se plaindre et de la rudoyer pour sa maladresse si elle avait le malheur de lui tirer sur un poil, ou même pire de toucher ou de pincer sa queue qui semble bien commencer à s’impatienter, cherchant à sortir du rempart de tissu.

- C’est bien ce que je disais, on voit bien que tu n’es pas douée à grand-chose, dès que tu n’as plus tes instruments dans les mains. Tu me semblais un peu plus salope et débauchée lorsqu’au début, tu étais en dressage au Château. C’est sûrement à force de vivre dans cet endroit entouré de malades qui t’a fortement assagi. Il est temps que je te fasse voir un peu du ciel bleu, si tu le mérites …. Ce qui pour l’heure n’est pas encore gagné !

Walter d’une main leste posée sur la nuque de l’infirmière la force à s’écraser sur son bas-ventre, l’étouffant presque de son geste puissant.

- Tu ouvres la bouche, tu attrapes le boxer et tu le vires delà si tu veux que j’enlève ma main…

(A suivre …)

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