La grosse et le Pompier 2 - histoire érotique

La grosse et le pompier 2

La première soirée a plu à tout le monde et nous cherchons à remettre ça mais Stéphane travaillant loin de son domicile, Catherine est seule en semaine et parfois le weekend ... bref nos emplois du temps ne collent pas

Comme proposé par Stéphane et en dépit de ma première réaction, je songe du coup à revoir Catherine seule, j'appelle Stéphane un peu gêné et lui en parle. Il me dit OK pas de problème, je lui demande cependant de me donner des instructions précises sur le comportement à observer. Cette idée l'excite et nous convenons qu'il doit se mettre d'accord avec Catherine avant de me recontacter.

Quelques jours plus tard sa proposition est la suivante: Elle doit m'être totalement soumise, exécuter tous mes ordres et lui rapporter fidèlement. Pour ma part je suivrai les instructions de Stéphane sans que Catherine sache que je n'agis pas de mon propre chef. Cela me conviens car je ne suis novice en matière de domination, je fais ainsi l'économie d'un scénario.

Les instructions de Stéphane sont concises et claires: je dois lui faire exactement ce qu'elle n'aime pas, c'est à dire:
- l'enculer mais surtout la doigter
- veiller à bien lui jouir sur le visage ou mieux encore dans la bouche
- lui parler fermement sans me préoccuper de son avis
- pas plus de 2 heures

Elle m'attend pour souper chez elle le jeudi soir. Sur la route je bande déjà comme un âne, j'ai l'impression que je vais gicler dans mon froc, je suis resté presque une semaine sans baiser ni me masturber, histoire d'avoir les couilles bien pleine pour accomplir ma mission.

J'arrive lui dit bonjour et lui ordonne gentiment de se foutre à poil.
Elle s'exécute sur le champ, ne semble pas trop gênée par la situation, en fait le plus mal à l'aise c'est bien moi.

Je suis excité à mort, j'ouvre mon froc sort ma queue, lui demande de s'agenouiller entre mes jambes et de me sucer, je précise qu'il s'agit bien de ne pas oublier les couilles.
Elle s'exécute avec bon cœur et je sens qu'elle n’aura pas le temps de savourer... Je l'interrompt pour lui annoncer que je vais venir dans sa bouche, qu'elle devra ne laisser échapper aucune goutte du précieux nectar et bien me laisser profiter du spectacle de sa bouche pleine de mon foutre avant que d'avaler jusqu'à la dernière goutte. Elle semble bien un peu dégoutée mais pas vraiment surprise.
Je suis pour ma part content d'être forcé d'agir ainsi ... en effet la situation me plait au plus haut point mais je me sens un peu dégueulasse quand même.
La petite pause m'a permis de me reprendre et elle doit me sucer de plus belle pour que je m'abandonne dans sa bouche, la perspective de ce qui l'attends me semble pas mettre de frein à sa gourmandise. Elle fait comme je lui demande, me pompe m'aspire bien profonds, et à chaque fois ma bite s'allonge comme le nez de Pinocchio. Je viens finalement et mon éjaculation est vraiment copieuse, elle tente d'exécuter rigoureusement mes ordres mais elle en a un peu partout sur les joues et le menton, elle fait de son mieux pour tout avaler avec cependant une moue dégoutée.

Je lui demande si c'est bon, si elle aime, elle dit oui et re-oui.

Pour ma part je conserve jusqu'à ce jour cette pipe comme une de mes expériences les plus intenses!

Je décide que nous passons à table et notre frugal repas est vite englouti.

Elle doit maintenant se pencher sur la table de la cuisine pas débarrassée, la tête entre les assiettes de bouffe, je la doigte vigoureusement, elle mouille et frémis, je lui claque un peu les fesses, elle apprécie, écarte ses jambes, s'offre.
Je retire mes doigts gluants de sa chatte et lui demande de s'installer confortablement sur le canapé.
Elle est face à moi, ses cuisses ouvertes et largement relevées. Je savoure une cigarette et un verre de vin tandis qu'elle doit se masturber devant moi.

Je jouis du spectacle de son gros corps disgracieux, la gène qu'elle a de se montrer ainsi accroit mon plaisir - je suis un petit salaud en fait.
Au fur et à mesure que ses doigts fouillent sa chatte, elle se détend et commence à tanguer, à haleter.
Je lui ordonne "Avec deux doigts, plus profonds, mieux que ça, frotte ton clito maintenant, écarte tes lèvres que je voie bien ..."

Je lui demande de se foutre à quatre pattes et lui annonce la couleur:
"Je sais que t'aime pas ca, alors je vais de doigter le petit trou"
Elle doit prendre ses grosses miches en main et les tenir bien écartées.
Je lèche ma cible, lui crache sur le petit trou et lui plante un doigt dans son cul. Elle n'aime pas ça, elle est tendue, ne se détend pas. Je lui ordonne de me supplier de lui mettre un deuxième doigt, puis un troisième.
Je bande comme un âne. J'enfile une capote et je l'encule.
Ca rentre sans problème, marrant comme elle aime la bite mais pas les doigts ... Catherine reste pour moi un gros mystère.

Je la lime bien, fort et longtemps, son gros cul bien ouvert, mes mains sur ses larges hanches... Elle prend du plaisir, se laisse aller, ahh ! on ne joue plus maintenant on baise pour de vrai. Je lui dis de se branler encore car je me sens poindre, elle doit m'encourager :
Elle râle des « prends moi, baise moi, vas-y plus fort … »
Je n’y tiens plus, je lui claque une fesse, lui ordonne de se retourner sur le dos, je me finis à la main de façon à répandre mon jus sur son ventre et ses seins. Je vise avec précision tandis qu’elle me contemple en se branlant doucement. J’enfuis ma tète entre ses cuisse et entreprends de la faire jouir à son tour. Après seulement quelques minutes elle atteint l’orgasme. Je ne la laisse pas tranquille pour autant, j’adore bouffer une chatte et je veux la récompenser mon tout le plaisir pervers qu’elle ma donnée. Je lui dévore sa grosse chatte et lui arrache un second orgasme.

Epuisés, nous nous laissons aller sur le sofa, je lui annonce que le jeu est fini.

On discute tranquillement, je lui demande ce qu’elle a pensé de la soirée.
Elle m’avoue qu’elle s’attendait à ce que je sois plus méchant, qu’elle avait aimé suivre les ordres d’un « étranger ». Avaler mon sperme lui avait moins déplut qu’elle ne l’aurait cru, « comme si le fait de n’avoir pas le chois chassait le dégout », mais elle confesse tout de même m’en vouloir un peu pour ca. Par contre elle avait aimé se caresser, et doigter, et enculer, là pas de dégout juste le plaisir de se laisser aller « libérée de son libre arbitre ».
Cette soirée avait été pour moi aussi pleine de nouveauté et je lui avoue que j’avais été parfois mal à l’aise mais toujours excité.

Après avoir bien philosophée je suis prêt à partir.
Je lui dis que quand même j’ai bien envie de la baiser gentiment, –à la papa – pour la route.
Une requête polie vaut un sésame, elle ouvre ses cuisses …

Quelques jours plus tard Stéphane me téléphone, il est ravi du compte rendu que Catherine lui à fait, et me félicite … Nous convenons de nous revoir deux semaines plus tard.