La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode 392)

- Par l'auteur HDS MAITREDOMINO -
Auteur homme.
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Récit libertin : La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode 392) Histoire érotique Publiée sur HDS le 28-02-2015 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode 392)
Suite de l'épisode N°350 - Vanessa au Château –

La jeune femme conduit prudemment, concentrée sur la route, elle sent tout de même le regard insistant de son supérieur et ami, sur ses jambes dévoilées par sa robe légèrement remontée. Mais elle n’ose rien dire, trop gênée par la situation, repensant à cette soirée, aux épreuves qu’elle a subie en cachette, aux derniers ordres de son Maître. Le commandant, quant à lui, n’ose pas engager la conversation, il ressent le trouble de Vanessa et ne sait trop comment détendre l’atmosphère, lui si sûr de lui habituellement face aux femmes, se retrouve d’un seul coup complètement démuni. Il est fasciné par le charme et l’aura qu’elle dégage, il aimerait découvrir d’avantage la femme qui s’est dévoilée ce soir, mais ne sait pas comment faire. Il n’y a que quelques kilomètres qui le séparent des Terres et de l’immense domaine de son ami Le Marquis d’Evans, et il n’a donc pas énormément de temps pour manœuvrer, il décide de jouer franc jeu, en espérant ne pas la faire fuir.

- Tu sais, je t’ai trouvé réellement ravissante ce soir, et je dois bien avouer que je ne t’ai pas reconnu lorsque tu es sortie de ta voiture. C’est presque dommage que tu exerces un métier qui t’oblige à porter l’uniforme, ose-t-il en brisant le silence.
- Eh oui, à quand les coupes féminine pour l’uniforme, répond Vanessa sur le ton de l’humour pour cacher son trouble.
- Cela risquerait de déstabiliser tes collègues, mieux vaut peut-être finalement cet uniforme qui cache tes jolies formes.

Vanessa est mal à l’aise et si elle ne le connaissait pas autant, elle pourrait croire qu’il essaye de la séduire, mais il a lui-même posé les règles de sa caserne pour interdire les relations en son sein, et il a toujours montré l’exemple, Vanessa est persuadée qu’il ne fera rien pour y déroger.

- Peut-être oui, tu n’as pas tort, répond-t-elle laconiquement.
- Et qu’as-tu pensé de Monsieur Le Marquis ?
- C’est un homme au fort charisme, très cultivé et intelligent, et qui est d’une compagnie fort agréable. Et si j’ai bien compris, vous semblez amis de longue date.
- Oui, tu as bien compris.
- Tu le connais depuis longtemps ?
- Oui, pour ainsi dire depuis toujours. On a grandi au village ! On était sur les mêmes bancs de l’école communale. Ca a été et c’est encore un excellent ami, et j’apprécie que tu aies pu te libérer pour cette soirée.
- Heureuse d’avoir satisfait mon chef !, répond la jeune femme sur le ton de l’humour.

Ils arrivent devant la maison du commandant, Vanessa se gare devant son portail, espérant au fond d’elle-même qu’il ne lui proposera pas d’entrer.

- Merci de m’avoir ramené, c’est gentil, souhaites-tu boire un verre avant de partir ? J’ai du chocolat, ponctue-t-il d’un ton amusé.
- Euh, je ne veux pas te déranger, et il est tard.
- C’est comme tu veux, je ne veux pas que tu te sentes obligée, mais ça me ferait plaisir.
- C’est d’accord, répond Vanessa consciente qu’elle répond à la Volonté de son Maître.

Elle coupe le moteur de son véhicule, en sort et suit son supérieur jusqu’à la porte d’entrée. Il la guide jusqu'au salon et lui propose de s’installer dans le canapé pendant qu’il va préparer les boissons. Il revient un plateau à la main, dans lequel sont disposées deux tasses de chocolat, et s’assoit à ses côtés.

- Désolé de t’avoir fait attendre, je n’ai pas de personnel pour faire le service, annonce-t-il gaiement.
- Merci, d’un autre côté ta cuisine n’est pas à 200m de ton salon, répond-t-elle souriante, tout en prenant la tasse qu’il lui tend.

Vanessa plonge son regard dans le contenu de sa tasse tout en baillant, fatiguée de la soirée éprouvante émotionnellement.

- Tu sembles fatiguée, la soirée a été longue, tu es certaine de pouvoir rentrer ? dit-il inquiet.
- Oui, oui ne t’en fais pas, j’ai connu pire, cette soirée ne va pas m’achever, le rassure-t-elle d’un large sourire.
- Tu sais, je ne suis pas très rassuré, je ne voudrais pas que tu t’endormes au volant parce que tu as pris le temps de me ramener, j’ai une chambre d’ami ici, si tu le souhaites.
- Tu souhaites que je t’appelle une fois arrivée pour te rassurer en t’appelant papa ? l’interroge-t-elle sur le ton de l’humour.
- Tu ne changeras jamais, toujours aussi entêtée. Bien alors promets-moi simplement de faire attention.
- C’est promis, ponctue-t-elle.

Ils terminent la soirée en discutant de tout et de rien, les sujets de conversations s’enchainent sans suite logique. De temps en temps le commandant tente une approche discrète, mais Vanessa fait mine de ne pas les voir, gênée par la situation. Elle doit bien s’avouer que cet homme lui plait, mais il est son chef, son ami, et surtout l’ami de son Maître, elle ne peut pas engager une autre relation avec lui que leur simple amitié. Alors que Vanessa parle de son expérience dans le domaine du dressage des chiens, le commandant ose dans un ultime effort une approche plus directe et sans lui laisser le temps de réagir, il l’embrasse de manière très sensuelle. Vanessa est surprise, elle voudrait avoir le réflexe de se retirer, pourtant son corps répond favorablement à cette avance et elle lui rend son baiser, mêlant sa langue à la sienne. Mais dans un dernier instant de lucidité, elle le repousse doucement pour se retirer.

- Désolée, je ne peux pas, il...il ne faut pas, dit-elle paniquée.
- Non, c’est moi qui suis désolé, je ne voulais pas te mettre mal à l’aise, répond-t-il calmement.
- Je…je dois partir, il se fait tard, continue-t-elle tout en se levant.
- Entendu, je te raccompagne.

Vanessa monte dans sa voiture, salue d’un signe de main son commandant et prend la route. Elle est troublée parce qu’elle a aimé ce baiser, et elle culpabilise parce qu’elle ne peut pas engager une relation vanille avec cet homme, un jour ou l’autre il saura qu’elle appartient à un autre, et elle ne peut lui infliger une telle déception. Elle se sent honteuse d’avoir accepté ce baiser, d’avoir ressenti des frissons, d’avoir eu envie de plus. Et c’est l’esprit embrouillé par un tas de questions qu’elle arrive chez elle. Elle veut écrire à son Maître pour lui expliquer ce qui s’est passé et ses ressentis à ce sujet, mais trop fatiguée, elle préfère aller se reposer… Le lendemain elle se réveille de bonne heure, et encore troublée de la fin de la soirée, elle décide d’aller courir. Elle sort donc dans les bois voisins accompagnée de son chien. Elle court sans réfléchir, pour tenter d’oublier, pour retrouver sa sérénité, mais les images reviennent dans sa tête, elle ne sait pas quoi faire, elle ne peut pas nier l’attirance qu’elle a envers son commandant, mais elle tient à son appartenance au Marquis d’Evans, et il est son ami. Après une heure de footing, elle rentre toujours l’esprit préoccupé, et après une douche rapide, elle décide de prendre le temps d’écrire à son Maître comme Il le lui a ordonné, avant d’aller prendre sa garde. Elle s’installe devant l’ordinateur et sans trop réfléchir laisse ses mains courir sur le clavier.

« Maître, tout d’abord je tiens à Vous remercier pour cette soirée, pour m’avoir permis de la passer parmi mes collègues, mais également pour le temps que Vous avez pris à mon éducation durant celle-ci. Je tiens également à Vous présenter mes excuses pour mon mauvais comportement auprès de Monsieur Walter, et même si je sais que je subirai une sanction pour cette faute, je Vous assure que cela ne se reproduira plus. Comme Vous me l’avez ordonné, je viens par ce mail Vous faire savoir comment s’est déroulée la fin de ma soirée. J’ai raccompagné Votre ami chez lui, et j’ai accepté de prendre un dernier chocolat, nous avons discuté et il m’a embrassé… Je dois avouer que je ne l’ai pas repoussé de suite, et que j’ai apprécié… à vrai dire ce baiser je l’attendais, mais je me suis reculée et j’ai pris congé avant de ne plus savoir comment réagir. Depuis, je suis mal à l’aise, parce que je tiens à rester Votre soumise, et d’un autre côté, j’ai très envie de lui. J’ai honte de ressentir ainsi ces sentiments, je sais qu’il appartient à Votre monde, et que je ne peux construire une relation avec lui, mais je n’arrive pas à m’enlever ce baiser de la tête. Maître, je Vous prie de bien vouloir m’excuser, je vais faire en sorte d’oublier ces envies, et de me concentrer sur ma soumission. Je Vous souhaite une agréable journée et espère avoir bientôt l’honneur de recevoir de Vos nouvelles. Votre soumise à Vos pieds, Vanessa. »

Elle ne relit pas son mail, elle sait que sinon elle va vouloir le réécrire, et elle préfère qu’Il reçoive ses sentiments tels quels. Alors sans hésiter, elle l’envoi, avant de quitter son bureau et de se préparer pour aller travailler. Vanessa arrive à la caserne comme à son habitude en avance, elle passe par derrière pour être certaine de ne pas rencontrer son commandant, et file préparer ses affaires pour sa journée de garde. L’heure de la prise de garde arrive, et comme elle s’en doutait son commandant est présent. Le chef de garde donne les consignes pour chaque équipe, et à la fin le commandant demande à la jeune femme de bien vouloir passer dans son bureau. Elle ne peut pas refuser cet ordre et espère qu’il n’insistera pas sur ce qui s’est passé entre eux la veille au soir. Elle termine de prendre connaissance des consignes, puis sans perdre de temps va retrouver le commandant dans son bureau. Elle se présente devant la porte et frappe.
- Entre, et ferme la porte derrière toi.

Vanessa s’exécute puis reste plantée devant le bureau au garde à vous.
- Voyons Vanessa, pas de manières entre nous, tu sais très bien pourquoi je t’ai fait venir.
- Oui Laurent, mais j’aimerai qu’on n’en parle pas plus, répond-t-elle en adoptant la pose du repos.
- Je m’en doute, je tenais juste à te présenter mes excuses, je n’aurais pas du, ça t’a mis mal à l’aise, tu es un très bon élément, et je ne tiens pas à ce que mon geste te déstabilise dans ton travail. Tu m’attires, depuis longtemps, mais hier j’ai perdu le sens des réalités, tu le sais maintenant, mais je vais me concentrer pour rester professionnel, et surtout ne te sens pas obligée de quoi que ce soit, j’ai compris que tes sentiments étaient ailleurs.
- Oui, désolée, je ne peux pas…
- Je sais, ne sois pas désolée, c’est moi qui doit l’être. J’espère que mon geste n’entachera pas notre amitié, et j’espère un jour rencontrer cet homme à qui tu as donné ton cœur.

Vanessa a envie de lui dire qu’il le connait déjà, qu’elle ne lui a pas donné son cœur, mais son corps, et le droit d’en disposer comme bon lui semble, mais elle n’ose pas.

- Je te laisse retourner à ton travail, ponctue-t-il.
- Merci, dit-elle en passant la porte.

La jeune femme se dirige vers le gymnase pour la séance de sport quotidienne, se concentrant sur son travail pour ne plus avoir à penser à cette situation gênante… Il est 9h lorsque Monsieur le Marquis d’Evans ouvre ses mails pour découvrir celui de Vanessa. Il sourit à sa lecture, décidemment il sait très vite cerner une personne, il espérait ce déroulement des choses et voit avec délice son plan se mettre en place. Il s’agit maintenant d’entretenir le trouble de sa jeune soumise, et lui répond donc par une simple phrase :

« soumise, tu as omis de Me décrire le ressenti que tu as eu lors de ce baiser, J’attends donc des précisions de ta part…et sois précise ! »

Vanessa découvre son message à midi, et la lecture de cette simple phrase lui envoie une décharge dans le bas ventre, elle ne voulait pas se rappeler ce moment et Il lui demande justement de s’en rappeler en détail, elle stress un peu, mais décide de s’exécuter au plus tôt. Elle prend le temps de déjeuner avec ses collègues puis prétexte l’envie de se reposer pour rejoindre sa chambre afin de s’isoler en espérant qu’il n’y ait pas de départ en intervention dans les minutes qui suivent. Assise sur son lit, elle relit la phrase de son Maître, puis ferme les yeux pour se rappeler ce moment qu’elle a apprécié mais qu’elle a vite refoulé au fond d’elle-même. Après plusieurs longues minutes, elle ouvre les yeux et commence à taper sur son écran de Smartphone.

« Maître, tout d’abord je tiens à Vous présenter mes excuses pour avoir omis ces détails, décidemment je fais encore beaucoup d’erreur et j’espère bientôt Vous satisfaire entièrement. Comme je le disais dans mon précédent mail, ce baiser je l’attendais, je l’espérais et il est venu comme une délivrance, je me suis sentie soudain très légère et j’ai ressenti comme une décharge tout le long de ma colonne vertébrale. C’était une grande sensation de bien-être, et j’aurais aimé qu’elle dure plus longtemps, mais mon esprit a repris rapidement le contrôle et j’ai eu l’instant de lucidité nécessaire pour ne pas aller plus loin. Maître j’espère que ces détails seront à la hauteur de Vos attentes. Je Vous prie d’accepter mes plus humbles respects. Votre soumise à Vos pieds, Vanessa »

A peine a-t-elle le temps d’envoyer son mail que son bip résonne pour la prévenir d’un nouveau départ en intervention. Sa journée passe, de temps en temps elle regarde ses messages, mais rien. Elle espère avoir répondu convenablement aux exigences de son Maître, et pouvoir bientôt être à Ses pieds. La fin de la garde approche, Vanessa rassemble ses affaires et s’apprête à récupérer son vélo lorsqu’un SMS arrive sur son téléphone. Fébrile, espérant avoir des nouvelles de son Maître elle peut lire :

« Réserve ton week-end prochain, tu te présenteras samedi matin en Mon Domaine, je te libèrerai dimanche soir, tu recevras Mes ordres par mail vendredi. »

Elle sent le désir monter en elle, son bas ventre devient chaud et humide, une très forte envie de jouir l’envahie. Elle ne pensait pas que ce serait si dur de ne pas avoir le droit de jouir sans autorisation, mais elle n’en a pas eu le droit depuis qu’elle Lui appartient et l’interdiction commence à être trop longue. Elle rentre chez elle pour vaquer à ses occupations, pour ne pas penser à ses envies. Mais aux alentours de midi, comme s’Il pouvait deviner à distance le trouble de la jeune femme, Le Marquis d’Evans lui envoie un nouveau message

« Jusqu’à samedi, à chaque fois que tu t’assoiras chez toi, ce devra être sur le plug que mon coiffeur t’a laissé »

Vanessa n’en revient pas, elle ne sait pas comment elle va pouvoir supporter cet ordre tellement son ventre est en feu, mais elle est bien décidée à respecter à la lettre les exigences de son Maître. La fin de la semaine se passe difficilement, lorsqu’elle n’est pas au travail, elle s’occupe un maximum pour ne pas penser à ses envies, et aussi pour éviter de s’assoir. Vendredi soir, alors qu’elle a passé toute sa journée à surveiller ses mails, le message tant attendu arrive :

« soumise, tu te présenteras samedi à 9h en Mon Domaine. Tu gareras ta voiture sur la cour arrière, là tu te dévêtiras, tu laisseras les clés sur le contact, tu passeras ton collier en y accrochant la laisse, et tu te dirigeras à quatre pattes vers la porte sur la poignée de laquelle sera noué un ruban bleu. Enfin tu entreras sans frapper et tu attendras à genoux dans l’entrée, mains dans le dos, tête baissée. Saches que ce week-end sera éprouvant, j’ai prévu de te montrer ce qu’est réellement la soumission, donc il est encore temps pour toi de renoncer à ce monde et de tout arrêter, si tu te présentes demain, ta vie sera changée à tout jamais... »

Vanessa lit et relit ces quelques lignes, elle a peur de ces derniers mots, mais est trop excitée pour refuser d’aller plus loin. Et puis elle en a toujours rêvé, elle peut enfin devenir ce qu’elle a toujours été au plus profond d’elle-même, il est impensable de reculer maintenant. Elle termine de ranger sa maison, puis file se reposer pour être en forme le lendemain, car elle en est persuadée, il lui faudra des forces pour affronter ces deux jours de soumission… Le jour pointe doucement, il est 7h, Vanessa se lève, prend sa douche, se rase avec application les quelques poils qui faisaient leurs apparition sur son sexe et s’habille d’une simple jupe et d’un chemisier, sans rien en dessous. Elle prend ensuite le temps de savourer un bon petit-déjeuner, puis elle quitte sa maison en laissant les clés au fils de son voisin qui viendra prendre soin de son chien. Il est 8h30, la route est dégagée et se fait plus rapidement qu’elle ne le pensait, elle arrive donc un peu en avance dans l’arrière-cour du Château. La jeune femme gare sa voiture derrière celui-ci. Là elle se dévêtit, et passe son collier, laissant la laisse pendre entre ses seins. Puis prenant une grande inspiration, elle se dirige à quatre pattes vers la porte indiquée par son Maître. De son bureau, Le Marquis d’Evans l’a vu arriver et la regarde avancer jusqu’à cette porte, elle semble déterminée et Il s’en réjouit.

Comme Il le lui a ordonné, elle entre sans frapper, et découvre un couloir beaucoup moins luxueux que l’entrée principale du château, mais tout de même magnifiquement décoré de divers tableaux. Sans attendre elle se met à genoux, les mains derrière le dos, et patiente un peu anxieuse tout en sentant son bas-ventre s’humidifier d’excitation. Le temps semble suspendu, aucun son, aucune odeur, rien ne lui parvient, cette attente lui semble interminable, ses sentiments sont partagés entre l’impatience de voir enfin quelqu’un, et le stress de ne pas être certaine d’assumer ce que son Maître attend d’elle. Soudain une porte grince, des pas résonnants s’approchent et s’arrêtent juste en dehors de son champ de vision pour ne pas lui permettre de reconnaitre l’homme qui est enfin près d’elle. Il la contourne, au son de ses pas, elle sait que ce n’est pas son Maître, et s’inquiète de savoir qui il est, il s’approche par derrière, Vanessa sent son souffle sur sa nuque… Des frissons l’envahissent, mélange d’excitation et d’appréhension …

(A suivre…)

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