La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N° 413)

- Par l'auteur HDS MAITREDOMINO -
Auteur homme.
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Récit libertin : La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N° 413) Histoire érotique Publiée sur HDS le 12-04-2015 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N° 413)
La soirée d'anniversaire du Marquis d'Evans – Suite de l'épisode N°409 -

Monsieur le Marquis d’Evans vient de quitter Maître Steel qui est en compagnie de sa soumise reica, engoncée dans une tenue originale faite de tubulures contraignantes en acier qui lui servent de cage, en ayant aussi à ses pieds l’esclave N°14MDE, enfermée quant à elle dans une cage en forme de chien. En s’éloignant, le Châtelain ne peut que repenser au petit défi avec 30 coups de cravache à la clef que le Dominant avait lancé aux deux femelles en leur insérant un œuf vibrant dans la chatte pour savoir laquelle des deux faillirait la première, laissant échapper quelques cris et soupirs orgasmiques évidents. Quelque soit le respect et l’amitié qu’il ressent pour Son cher invité, le Noble ne peut que se réjouir de voir que ce n’est pas Son esclave qui a perdu le pari, ce qui n’aurait pu que courroucer le Maître des Lieux qui se serait senti offensé en Sa propre demeure de s’apercevoir que le dressage qu’Il impose à ses esclaves n’est pas à la hauteur de ce qu’IL attend et même exige de chacun et chacune de ceux qui désirent Le servir et Lui faire honneur. Cette défaillance inacceptable aurait d’ailleurs valu à l’esclave perdante dès le lendemain une punition supplémentaire largement supérieure aux quelques modérés coups de cravache que Maître Steel s’apprête à dispenser sur la croupe de la perdante, et ce afin de permettre à la chienne-femelle de rentrer en grâce aux yeux du Maître Vénéré. Et c’est donc avec aux coins des lèvres une bonne part de fierté de Dominant, reconnu par ses pairs pour Son savoir-faire et la qualité des exigences et du dressage imposé aux esclaves de Son cheptel, que le Châtelain s’éloigne pour se diriger vers un groupe qui attire Son attention.

Les discussions vont bon train entre un Dominant et deux Dominas qui un peu las de la nuitée qui s’est bien avancée et des plaisirs érotiques ou D/s qu’ils ont pu savourer jusque-là, ont fini par s’asseoir sur des canapés et fauteuils bien moelleux pour un petit moment de calme, ce qui leur permet de prendre le temps d’échanger leurs points de vue sur les pratiques D/s dont les uns et les autres raffolent. Sans même s’être concerté, sauf peut-être de quelques clins d’œil discrets, la conversation se passe comme si leurs soumis et leurs soumises, ainsi que les esclaves du cheptel tirés au sort par chacun, n’étaient pas là, n’existaient plus ou étaient devenus des objets inanimés ayant aussi perdu le sens de l’ouïe, faignant de les ignorer à bon escient pour renforcer à cette heure tardive le sentiment de soumission et de dévotion, voire même d’humiliation chez certains ou fort besoin de dépendance chez d’autres.

Le sujet de la conversation tourne autour de la restriction des plaisirs de toutes sortes que l’on peut ou que l’on doit imposer à l’esclave, et si l’on doit penser que le manque créant le besoin, cela permet d’augmenter la puissance du plaisir lorsqu’il est accordé et de fait la reconnaissance du dominé, ou si à défaut cela ne risque pas d’entraîner une certaine démotivation dans la soumission, avec pour conséquence, presque comme un cercle vicieux, un engrenage dans la punition vis à vis de défaillances de plus en plus fréquentes si le/la dominé(e) ne trouve pas les récompenses qu’il/elle pourrait espérer, car il est bien connu que la carotte fait avancer l’âne plus vite que le bâton. Aux pieds de ces 3 Maître et Maîtresses, les 3 soumis(e)s ne perdent pas une miette de la conversation, chacun essayant de s’imprégner de l’avis de celui ou celle qui les Domine, et pourtant tous les 3 restent immobiles, n’osant pas bouger sans ordre. Les trois autres esclaves du cheptel se contentent quant à eux de répondre aux ordres qui leurs seront donnés pour satisfaire avant tout le Maître Vénéré qui les a confié à l’un de Ses invités pendant toute la soirée anniversaire.

Köttur (chat en islandais) est une « pet-kitty » qui ronronne aux pieds de Dame Macska (chat en hongrois) qui est venue à la soirée vêtue d’une combinaison noire de latex très ajustée, « zippable » de manière presque invisible au niveau du dos et surtout de l’entrejambe qui est amovible. La petite chatte soumise, affublée d’oreilles pointues en dentelle noire et d’un masque de chat assorti qui font ressortir ses grands yeux verts, ressemble d’autant plus à une « catwoman » que des petits traits lui ont été dessinés de part et d’autre sur le museau en guise de « moustache » pour renforcer la ressemblance animale pendant la soirée. De plus, elle porte en son fondement un plug qui se termine par une très longue queue de poils synthétiques en forme de S semi-rigide bien que douce au toucher, car garnie à l’intérieur d’une ossature de métal qui peut être tordue à souhait. La soumise Köttur est nue et aussi nu-pieds, hormis son fin collier de chatte et une longue laisse en chainette dont la dragonne est attachée au bracelet de Dame Macska. Sa seule fourrure naturelle se compose d’une toison brune épaisse taillée en forme de cœur qui orne son pubis et fait encore plus ressortir son piercing fait sur le capuchon du clitoris et duquel pend sa médaille d’identification, portant le nom de ce bel « animal-humain », celui de l’heureuse propriétaire et aussi une date, qui n’est pas celle de la naissance de Köttur, mais bien celle du jour où elle a accepté de devenir la soumise-pet de Dame Macska qui lui a posé son collier et lui a imposé d’avoir les ongles coupés à ras pour ne jamais pouvoir se servir de ses griffes félines, furent-elles de simples ongles féminins. Ses fesses et ses cuisses sont à cette heure de la nuitée couvertes de nombreuses traces rouges, visiblement de nombreux coups de cravache au vu de la forme, la faisant presque ressembler à un chat sauvage tacheté, d’autant plus bariolé qu’on peut aussi apercevoir sur le corps, surtout au niveau du dos, les longues marques légèrement boursouflées laissées par les ongles affilés de la Domina qui doit également avoir des instincts félins très affirmés lors de leurs ébats « animalisés » pour aimer marquer de quelques griffures son emprise sur sa propriété. La chatte-soumise est affalée sur le sol, presque lovée sur les pieds de Dame Macska qui, perchée sur de très hauts escarpins, ne prête même pas attention aux baisers et coups de langue que la chatte a été autorisée à distribuer sans s’arrêter sur le cuir verni des talons pointus de celle qu’elle Vénère avant tout, et aime aussi d’un vrai amour charnel saphique et vanille lesbien. De l’autre côté, s’affairant sur le deuxième talon effilé à petits coups de langue à l’instar de Köttur, l’esclave N°5MDE essaye de se faire la plus « chaton » possible tout en s’efforçant de ronronner de plaisir animal plus félin, ce qui la change de ses attitudes habituelles de chienne-soumise.

Juste en face, en contraste total question de gabarit et d’attitude, se trouve un esclave de forte musculature qui doit d’ailleurs à ses moments perdus se rendre souvent dans des salles de sport, car ses tablettes de chocolat sont bien marquées sur tout son thorax et sa carrure imposante pourrait lui permettre d’en soulever plus d’un. Malgré cette allure très masculine, « esclave » car c’est le seul nom dont il a été « paré » par Maîtresse Césaria à qui il a fait don total de sa vie et de son asservissement D/s, l’esclave en question a vraiment l’allure de sa basse condition avec un petit côté antique et mythologique certain. Il porte un morceau de tissu comme un pagne symbolique ceint autour de la taille qui ne dissimule presque rien de son anatomie virile. Mais ce qui le caractérise surtout c’est un gros collier de fer autour du cou, ainsi que quatre plus petits autour des poignets et des chevilles. Ces ferrures faites de métal vieilli semblent avoir été ajustées et martelées directement sur lui comme le faisait les forgerons chez les Romains, mais aussi comme cela se pratiquait encore au début du Moyen-âge du temps du servage et bien longtemps après encore en Russie. En réalité, les ferrures internes de ces parures modernes qui ne sont que des imitations de fers d’esclaves antiques sont si bien dissimulées qu’elles sont presque invisibles, tandis que les fermetures apparentes faites sur les petits morceaux qui dépassent des cerclages de métal pour pouvoir les relier entre eux et desquels partent dans un trou de lourdes chaînes à gros maillons ne sont que des leurres destinées à renforcer l’allure servile de celui qui ne rêvait que d’être, de temps en temps et de temps en temps seulement, pour le plaisir de jeux D/s partagés un de ces anciens esclaves romains dont la vue le fascinait depuis son enfance. « esclave » voudrait bien pouvoir être à demeure au service de celle qu’il ne peut même pas nommer Maîtresse Césaria, car il ne lui est pas permis de l’interpeller tout au plus de répondre aux questions lorsqu’il est sommé de le faire, mais dans sa vie vanille, il doit composer avec son activité professionnelle et sa vie familiale quotidienne ayant depuis son divorce deux grands adolescents qui vivent encore sous son toit, et il est bien évident qu’il ne pourrait pas déambuler dans les bureaux de l’entreprise qu’il dirige, pas plus que dans sa maison enchainé comme cela pouvait se concevoir pour des esclaves du temps de la Rome Antique, même si tous n’était pas réduits à porter de lourdes chaînes au quotidien.

Maîtresse Césaria porte une grande toge de voile translucide, fermée à la taille mais dont les pans s’ouvrent très facilement dès qu’elle bouge, exhibant de longues jambes nues particulièrement gracieuses. Elle s’est affalée dans le fond de son fauteuil relevant les pieds sans la moindre impudeur laissant parfois même apparaître son entrecuisse luisant qui n’est pas recouvert d’autre chose que du voile de sa tenue très excitante qui laisse entrevoir par transparence ses courbes parfaites. Elle se sert de l’esclave-mâle N°11MDE qu’elle a tiré au sort comme d’un vrai repose-pied, ayant exigé qu’il reste presque aussi immobile qu’une statue ne pouvant que respirer en silence, mais sans bouger le dos sous peine de sanction. D’un autre côté, elle a imposé à « esclave » de se prosterner juste à côté de son fauteuil, en gardant la face contre terre en veillant toutefois à garder le dos bien à plat pour qu’elle puisse poser dessus ce « meuble-humain » d’appoint son verre. Le dos et les fesses de l’esclave sont remplis de traces de fouet données en début de soirée par Master DD, cet autre invité du Marquis d’Evans, qui n’a pas cessé depuis le début de la soirée de montrer son Art dans le maniement de cet instrument cinglant et qui en a fait bénéficier tant son propre soumis masochiste qui l’accompagnait que tous ceux et celles qui sont passés entre ses mains expertes. Maîtresse Césaria a déposé plusieurs glaçons qui accompagnaient sa boisson rafraichissante sur le dos de « esclave » qui fondent peu à peu, ce qui contraste avec la chaleur irradiante de son corps qui a été fessé et fouetté largement. Elle a même poussé le raffinement jusqu’à insérer plusieurs glaçons dans l’anus de l’esclave pour le remplir, et s’étant essuyé la chatte avec le dernier pour l’imprégner de son odeur et de ses sucs féminins, elle l’a glissé dans la bouche de « esclave » qui avait interdiction de desserrer les lèvres et de bouger langue et mâchoires tant que ledit glaçon ne serait pas entièrement fondu et l’eau mêlée de son onctueuse cyprine avalée avec plaisir et reconnaissance pour ce cadeau offert, presque comme un sucre que l’on donne à un chien.

Entre les deux Dominas, se trouve un vieil ami du Marquis d’Evans, presque un Sage parmi les Sages de la communauté D/s vu son grand âge, que le monde vanille pourrait reléguer vite fait dans la catégorie des retraités du 3ème âge inactifs devenus presque inutiles à la société, mais que ses pairs eux-mêmes on fini par qualifier très respectueusement du titre de « Seignior Dées » (lire D/s bien évidemment), un vrai jeu de mots entre le sénior qu’il est devenu et le Seigneur D/s qu’il a été pendant de longues années, se faisant nommé à l’époque « Seigneur Dey » en souvenir de ses jeunes années passées en Alger. Son âge avancé ne lui permet plus de pouvoir profiter autant qu’il le voudrait des plaisirs de la chair autrement qu’intellectuellement, et ce malgré les interventions et succions pulpeuses de sa dévouée soumise qui essaye autant qu’elle le peut de redonner le maximum de vigueur à sa queue pas toujours aussi verte et drue que les deux le voudraient. Mais Il n’a rien perdu de son élégance naturelle presque d’un autre temps et de sa Dominance avec un charisme et un savoir-faire hors pair. Ayant dressé et fait évoluer de nombreuses soumises au cours de sa longue vie de Maître, il n’a pas décidé de raccrocher les wagons pensant qu’il pouvait encore permettre à certaines de trouver leur bonheur dans la soumission à ses pieds et la manière de pouvoir vivre leurs fantasmes les plus secrets, sans risque de tomber entre les mains de plus jeunes pseudo-maîtres qui ne sont à la recherche souvent que de chair fraiche à s’enfiler.

Sa dernière soumise en date, Dollydoll, ne ressemble en rien à une de ces soumises qui se déguise en petite fille ou en écolière infantilisée pour vivre un fantasme fétichiste de socquettes blanches et jupe plissée marine ou par nostalgie des fessées souvenirs d’antan lorsque ces pratiques se faisaient encore dans un contexte non D/s, non consensuel, et dont l’aspect éducatif et formateur sur les jeunes esprits reste plus que discutable quand il est imposé par simple pouvoir hiérarchique. Dollydoll n’est pas non plus une « poupée gonflable » utilisable à volonté comme sex-toy avec trois trous bien placés. C’est beaucoup plus subtil, c’est une « poupée-humaine D/s », presque une marionnette D/s, et tel était son désir, presque son obsession enfouie, sans qu’elle ait cherché vraiment à savoir si l’origine de ce fantasme remontait à son enfance. Mais c’est autre chose qui l’attire dans cette mise en scène, les liens tenus par le Dominant qui lui permettent de bouger et de s’animer, qui sont un symbole très fort et à double sens de la relation D/s, qu’elle ne ressent pas de la même manière dans le cas d’une laisse de chienne-soumise qui ne la tente pas du tout et qu’elle refuse catégoriquement ne voulant pas être animalisée comme le sont par exemple tant de chiennes ou de pet-kitty tout autour, alors qu’elle se plait à être presque déshumanisée, en apparence tout du moins en sachant très bien que la relation D/s entre Seigneur Dey et Dollydoll est basée sur le respect réciproque des deux êtres humains qu’ils restent avant tout.

Pour accentuer la ressemblance, elle est totalement nue et sur son corps sont dessinées avec une peinture au chocolat comme des traits sombres représentants les jointures des différents morceaux assemblés du corps d’une marionnette. Au bout de ses bras, de ses avant-bras, de ses pouces, de ses genoux, de ses chevilles mais aussi autour de son ventre et de son cou de petits fils sont attachés par de simples nœuds et partent pour rejoindre un support en bois que Seignior Dées peut manipuler comme il l’entend pour tirer sur l’un ou l’autre des cordons afin de faire changer de position sa soumise-poupée, inanimée en apparence mais animée en réalité. Pour l’instant, il l’a laissé se reposer un peu à terre, presque désarticulée avec les jambes repliées à l’envers de part et d’autre du corps, la tête qui tombe sur le corps comme si elle n’avait plus de colonne vertébrale et si son cou était devenu tout mou, et ce en attendant que le Maître daigne lui insuffler un peu de vie.

Le Dominant avait tiré volontairement au sort une boule argentée se disant qu’il pourrait peut-être profiter d’un mâle à sa disposition pour la soirée et de fait d’une queue plus agile pour faire jouir sa soumise, sans recourir pour une fois à l’utilisation de palliatifs, qu’il s’agisse de godes vibrants ou même de gode-ceinture creux dans lequel il glisse son sexe lorsque ce dernier ne veut pas remonter et se durcir, artifices qui à défaut de lui permettre d’atteindre la jouissance physique et d’éjaculer lui permettent non sans un certain bonheur d’un autre ordre de donner du plaisir jouissif à sa belle Dollydoll, qui bien que marionnette D/s n’en est pas moins sensuelle et humide, avec des désirs femelles d’être aussi possédée et enflammée. Le hasard a voulu qu’il tombe sur le chien-mâle N°20MDE qui est une petite nature efféminée et passive, dont la queue même sortie de sa cage s’est bien peu envolée à la vue de la poupée-femme que le Dominant lui avait demandé de pénétrer avec son autorisation et sous son ordre. N’arrivant pas cependant à faire durcir son membre qu’il secouait pourtant comme un prunier suffisamment pour pouvoir arriver dans un premier temps à le couvrir d’un préservatif, l’esclave N°20MDE s’activait toujours pour se masturber espérant pouvoir enfin donner satisfaction au Dominant, mais l’excitation ne venait toujours pas et plus il essayait, plus l’appendice soi-disant viril lui échappait des mains en se recroquevillant. Il faisait pourtant défiler des images de ses fantasmes les plus habituels pour faire monter la « bébête » récalcitrante, mais rien n’y faisait pas plus que la peur de savoir ce qu’il adviendrait de lui Lorsque Le Maître Vénéré aurait connaissance de sa défaillance qu’il ne pourrait d’ailleurs pas dissimuler, même s’il avait ressenti chez Seignior Dées beaucoup d’indulgence et magnanimité face à son inaptitude à être un mâle phallique tel que la nature l’avait fait naître et son incapacité à bander sur ordre, tout bon esclave servile qu’il pouvait être.

C’est Seignior Dées qui aperçoit le premier Monsieur le Marquis d’Evans, comme quoi la vieillesse n’avait pas encore altérée sa vue et qui l’interpelle.

- Très Cher Marquis d’Evans, ne pourriez-Vous nous rejoindre quelques instants, si ce n’est pas trop abuser de Votre précieux temps car je suppose sans difficulté que Vous devez être très sollicité en cette merveilleuse soirée que Vous nous avez offerte.

Le Châtelain, qui n’a d’ailleurs pas envie de passer sans saluer le groupe de Ses amis intimes et en particulier celui qui doit être le doyen respectable de toute la communauté D/s rassemblée en cette soirée, s’approche.

- Très Cher Seignior Dées, n’ayez aucune crainte, vous n’abusez pas le moins du monde de Mon temps. Au contraire, je suis particulièrement ravi de pouvoir venir vous saluer, même si le faisant je risque d’avoir mis un terme à votre conversation. Mais pardonnez-moi, je manque à mes devoirs de courtoisie élémentaire envers ces deux charmantes Dominas qui vous entourent.

En s’inclinant légèrement vers chacune des deux Maîtresses, le Noble, qui reste en tout temps un parfait galant homme, ajoute :

- Dame Macska, tous mes respects. Heureux de voir si bien entourée de votre petite chatte de compagnie et de ma chienne esclave N°5MDE, je devrais dire ma chatte-esclave N°5MDE qui semble avoir changé de race et de comportement assez facilement, surtout avec ces petites oreilles que vous lui avez fait pousser sur la tête ….. Maîtresse Césaria, tous mes respects également. Le sort vous a doté d’un esclave mâle robuste ce qui ne doit pas être pour vous déplaire connaissant vos goûts en la matière. J’espère que N°11MDE vous donne totalement satisfaction et que vos pieds ont trouvé sur son dos tout le confort qu’ils pouvaient en espérer, sans parler des plaisirs D/s dont j’aperçois les marques et les traces si caractéristiques des coups de fouet qui chauffent la peau sans la blesser lorsqu’ils sont donnés de mains de Maître.

C’est Maîtresse Césaria qui prend la parole à son tour.

- Très Cher Marquis, Vous ne croyez pas si bien dire en parlant de « main de Maître ». J’ai confié « esclave » et aussi par la même occasion Votre esclave N°11MDE pendant quelques minutes à Master DD dont la renommée en matière de maniement du fouet n’est plus à faire. Je dois avouer que c’est un spectacle ravissant que de le voir œuvrer avec une telle dextérité dans les soirées D/s où j’ai le plaisir de le croiser. Je ne m’en lasserais jamais sachant à quel point cela m’humidifie de voir les corps tressaillir et se tordre sous les coups mais aussi bander d’un plaisir masochiste que je peux me permettre d’offrir à « esclave » pour cette occasion festive. Pour ma part, je ne me hasarderai sûrement pas à manier un tel instrument, sachant très bien, lorsqu’on n’est pas expert et que l’on manque de pratique, les blessures que l’on peut infliger avec un objet qui reste dangereux entre des mains inexpérimentées, et il n’est pas mon intention de blesser qui que ce soit et également de détériorer « ce » qui m’appartient. Je préfère me contenter d’objets plus basiques pour asservir celui qui rampe à mes pieds dès que je l’y autorise et qui doit apprendre à mériter les autres divins plaisirs charnels que je lui octroie lorsque je lui permets de rejoindre ma couche pour me faire jouir et encore mieux de venir s’abreuver à ma source profonde….

(A suivre…)

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