La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N° 420)

- Par l'auteur HDS MAITREDOMINO -
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Récit libertin : La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N° 420) Histoire érotique Publiée sur HDS le 28-04-2015 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N° 420)
Compelled au Château - Suite de l'épisode N°419 –

Le Majordome, le regarda longuement dans un lourd silence d’une intensité Dominatrice forte. Puis, daignant lui faire répéter ce que compelled venait d’affirmer :

- Redis moi ça compelled, je veux être sûr d’avoir bien compris !
- Oui Monsieur Walter, mon souhait le plus cher est de devenir l’esclave de Monsieur le Marquis d’Evans, de le servir, d’être sa chose et sa propriété.

Compelled sembla plus déterminer encore lorsqu’il prononça une seconde fois ses vœux devant Marie la cuisinière et Walter le Majordome restés debout, tous les deux près de lui. Ils restèrent ainsi à le regarder un long moment encore sans parler, avec de nouveau ce terrible silence évocateur, pour bien faire comprendre et admettre à compelled qu’une nouvelle vie s’ouvrait à lui, qu’elle n’aurait absolument plus rien à voir avec celle déjà vécue. Compelled en prenait conscience sereinement au cours de ces longues minutes silencieuses chargées de sens. Walter se posta alors derrière ce nouvel esclave à former, ses mains se posèrent sur ses épaules, glissèrent sur sa poitrine, ses doigts attrapèrent ses tétons, les pincèrent délicatement au départ puis plus sauvagement ensuite, provoquant chez compelled une irrépressible bandaison. Il ne bougea pas, réprima ses plaintes, avala un excès de salive, baissa un peu plus encore la tête. Le Majordome prit alors la parole :

- Notre volonté est de faire de toi compelled, un parfait petit esclave MDE ! Avec les pouvoirs que nous confèrent le Maître absolu, Monsieur le Marquis d’Evans, nous saurons, Marie et moi, te conduire vers l’asservissement et l’avilissement, nous te réduirons à l’abnégation et à la parfaite servilité, nous t’en faisons promesse ici. A partir de maintenant tu seras appelé compelled MDE. Soit honoré et digne de porter les Nobles Initiales du Maître Vénéré.
- Oui, notre mission prioritaire est de te faire vivre, la vie qui t’était destinée ! Reprit Marie (en attrapant avec un excès de vice, les couilles de compelled MDE) - Peut-être t’arrivera-t-il de regretter de temps à autre, d’avoir entre les cuisses ce que je tiens pour l’instant entre mes mains.

Elle exerçait une pression et torsion sur les attributs mâles de compelled MDE. Il figea sa respiration, et souffla longuement après que cette main l’ait eu relâché. Marie et Walter s’éloignèrent et discutèrent à voix basse quelques instants, ils prirent la décision de faire laver, par deux esclaves femelles, celui qui était toujours dans cette stricte posture d’offrande. Une sonnette tinta, deux soumises entrèrent, tête baissée. Elles portaient un corset bustier noir offrant une belle tenue à leur poitrine généreuse, une mise en valeur de leur croupe et un strict maintien de leur taille. Elles avaient aussi autour du cou un fin collier métallique, leurs pieds étaient chaussés dans de beaux escarpins à talons aiguilles très haut. Rien ne cachait leur sexe épilé. Elles avancèrent silencieusement et s’installèrent en posture d’attente, près de compelled MDE. L’une d’elle avait un profond tatouage sur une fesse, on pouvait y lire « soumise Phryné MDE », l’autre était celle qui avait été encagée, le matin même avec compelled MDE. C’est celle-ci qui fut choisie et attrapée par son collier avec force par le Majordome. Il la tira jusqu’à ce qu’elle soit près du bureau, la fit coucher à plat dos en lui exigeant d’écarter très largement les cuisses. La femelle obéissante s’installa selon la volonté de Walter offrant son intimité sans gêne ni retenue. Marie, avait attrapé sa cravache favorite et s’approcha avec ce regard pervers vers la soumise offerte en lui ordonnant de ne point bouger. A dix reprises, la cravache cingla cette vulve entrouverte, mais l’esclave ne bougea pas, seuls des geignements sortirent de sa bouche.

- J’ai constaté que cette chienne, mon cher Walter, se lubrifiait bien à chaque fois qu’on lui imposait ce type d’épreuve, tu vas pouvoir la prendre sans difficulté et la baiser pour ce qu’elle est, une chienne en chaleur.

Et comme pour justifier ses dires, Marie glissa sans précaution son majeur dans cette fente martyrisée, fit tourner son doigt comme pour élargir le passage et le retira.

- Tu vois, Walter, cette salope est prête, elle mouille comme je te disais, comme une chienne en chaleur !

Walter avait déjà dégrafé son pantalon, sorti son sexe déjà érigé de son boxer, le pointa et s’enfourna d’un trait jusqu’à la garde dans cette chatte à disposition. Marie regarda Walter un court instant. Il s’affairait et besognait à grands coups de reins dans cette chienne qui se cramponnait au bureau, de ses deux mains.

- Je veux t’entendre salope ! Lui intima le Majordome.

Alors, elle se laissa aller, ne retenant plus ni gémissements ni râles, ne maîtrisant plus son corps secoué par des longs coups de butoirs incessants. Au contraire, elle se mit à onduler du bassin, creuser ses reins, s’écarter. Les mains de Walter s’agrippèrent à ses cuisses, pour la ramoner encore, la posséder toujours plus profond. Il l’enfilait, la bourrait, la niquait avec ardeur et vigueur jusqu’à cet ultime effort où il se laissa aller. Un orgasme puissant, il déchargea par saccades successives, poussa un long râle de plaisir, tel un rugissement Il resta enfoncé en elle encore un moment en lui demandant :

- As-tu joui, la chienne ?
- Oui, Monsieur le Majordome, lui répondit-elle honteuse.
- Alors tu sais à quoi t’attendre ce soir, reprit-il
- Oui Monsieur le Majordome lui répond-elle encore, d’un ton penaud, comme apeurée.

compelled MDE ne connaissait pas encore les us et coutumes du Château, il ne compris donc pas cette dernière remarque de Monsieur Walter ni cette étrange crainte exprimée par l’esclave… Marie, pendant ce temps-là avait enfin libéré l’esclave suspendue et soumise aux pulsions électriques de ce gode. Une fois détachée, elle eut beaucoup de mal à tenir debout. Heureusement, l’esclave mâle e6934 MDE était venu à sa rescousse, l’avait charrié sur son dos pour l’emmener, selon les ordres fixés par la cuisinière, dans les oubliettes du château…

- Je pense que les deux geôliers affectés à la garde des cachots et oubliettes prendront grand soin de toi la chienne, sachant qu’ils peuvent baiser les esclaves à souhaits selon leur envie et à tous moments ! lui lança Marie, d’un sourire narquois, avant qu’elle ne quittât la pièce !

Débarrassée de cette insoumise, Marie s’approcha de compelled MDE. Il lui mit un bandeau sur les yeux, puis lui ordonna de ce coucher à plat dos sur le somptueux parquet de chêne verni.

- Relève des jambes chienne ! Pose tes genoux sur ta poitrine !

Il obéit rapidement. Marie, alors attrapa l’esclave Phryné MDE par un bras, la dirigea près de compelled MDE, la fit l’enjamber puis s’agenouiller, jambes de part et d’autre de ce corps gisant, et lui ordonna de poser son intimité au contact de la bouche de ce chien en devenir !

- Lèche lui bien sa chatte et son cul, occupe-toi d’elle, exclusivement d’elle, sans te préoccuper de ce qu’il pourrait t’arriver…. Ordonna la cuisinière à l’attention de compelled MDE.

C’était une première pour compelled MDE, lui jusqu’ici n’avait eu que des pratiques homosexuelles. Jamais sa langue n’avait servi à ce type d’exercice. Les femmes, ce n’étaient pas son truc… mais là, bizarrement, puisque l’injonction lui en avait été donnée, il y trouvait de l’envie voire une forme de plaisir, il sentit même son sexe s’ériger doucement. Sa langue glissa fébrilement sur ces chairs délicatement parfumées, elle s’égara un instant entre ces lèvres douces, chaudes et légèrement humides à la recherche de ce fruit défendu et bien gardé. compelled MDE quelques peu hésitant au départ, parvint à prendre un peu plus d’assurance et d’audace. Cette fois-ci son exploration était plus profonde, sa bouche aspirait, ventousait, sa langue dardait ces doux cylindres élastiques gonflant sous l’effet du désir. L’esclave Phryné MDE se mit à émettre des sons langoureux sinon languissants. Son bassin ondulait au rythme des titillements. Elle se cambrait, s’offrait, s’écartait, gémissait, se pâmait. Elle déplaça de quelques centimètres son bassin vers l’avant afin que la langue de compelled MDE puisse glisser sur son périnée à la recherche d’un autre orifice. Lui au bord de l’asphyxie, le souffle court constata la grande souplesse de cet anus. Sa langue glissa entre ces sphincters moelleux pour s’introduire profondément. Il en avait bouffé des culs, des culs de mecs, mais jamais, ils n’avaient été aussi tendre, suave et doux… Perdu dans cette quête de la satisfaction et du plaisir donné, il fut d’un seul coup ramené à la dure réalité. L’esclave Phryné MDE, maintenait les chevilles de compelled MDE coincées sont ses aisselles. Ces génitaux, trop bien exposés, reçurent la cravache de Marie. La surprise et la douleur le terrassait mais avant même qu’il ne reprenne ses esprits, un second coup plus fort encore claquait ses couilles. Il tenta de s’extirpé du dessous de l'esclave Phryné MDE mais celle-ci ne s’en laissa pas compter. Elle écrasait un peu plus encore son fessier contre le visage de compelled MDE jusqu’à presque l’étouffer. Et la cravache tomba encore…

- Lèche salope t’ai-je ordonné, lèche bien ce cul sans te soucier de tes couilles de chien… lança Marie excitée.

Et ce sont dix coups qu’il reçut… Premier dur moment pour compelled MDE ! Sitôt cette séquence douloureuse terminée, Walter le Majordome, reprit les commandes. Il intima l’ordre à compelled MDE de se mettre à quatre pattes, lui attacha une laisse à son collier et exigea aux deux esclaves femelles de le conduire à la salle de bain, et de le laver. Toujours avec son bandeau sur les yeux, compelled MDE sentit la laisse se tendre, il avança hésitant dans un dédale de couloirs, parfois gravissant quelques marches, parfois en descendant d’autres. Une chose était sûre, il avait perdu tout repère…Ce n’est qu’une fois allongé dans une baignoire remplie d’eau tiède, doucement parfumée contenant sans doute quelques huiles essentielles qu’une des esclaves, lui ôta son bandeau. Elle lui sourit gentiment. La salle de bain était somptueuse, digne d’un grand hôtel cinq étoiles, du marbre rose du sol au plafond via chaque mur, des robinetteries en or, de vastes miroirs ciselés accrochés, ici ou là, deux vasques immenses, une douche italienne dans un coin et puis cette baignoire immense dans un seul bloc de marbre … Les deux esclaves femelles prirent des éponges douces et savonnèrent compelled MDE : Le visage, les bras, les aisselles, la poitrine. La soumise, Phryné MDE demanda à compelled MDE de se relever et sitôt debout, il fut savonné sur tout le reste du corps. Son sexe fut décalotté puis nettoyé, sa raie anale soigneusement lavée et abondamment rincée. Les interstices de ces doigts et orteils furent scrupuleusement frottés, inspectés et vérifiés, puis l’une des deux esclaves lui fit un champoing, tandis que l’autre lui coupait les ongles. Les ablutions terminées, compelled MDE se sécha et une fois sec, d’emblée, il prit la posture d’attente.

- C’est bien compelled MDE, tu acquières de bons réflexes, lui souffla Phryné MDE avant de quitter la salle de bain avec son autre congénère.

Il resta ainsi de longues minutes avant que n’arrive e6934 MDE.

- Ca va compelled MDE ?, lui lança-t-il
- Oui très bien merci.
- Parfait alors. Je dois te conduire près du médecin pour ta visite médicale d’incorporation au Château. Comme tous les dominants ici, lui aussi est un vicieux. Ses prescriptions médicales sont bien souvent perverses, ses auscultations le sont tout autant. Je t’invite à te laisser faire gentiment. Allez viens suis-moi !

e6934 MDE emmena compelled MDE dans une pièce jouxtant la salle de bain. La sobriété du lieu tranchait, des murs blancs, un bureau quelconque ou était assis derrière celui qui devait être le médecin. Il portait une blouse blanche manche courte, un stéthoscope accroché au coup. Sur son bout de nez, des lunettes en demi-lune. Ses cheveux foisonnant mi- longs grisonnants lui donnaient une allure débonnaire. Il se redressa d’un coup, montra d’un index à e6934 MDE, le lieu où il devait installer compelled MDE, rien d’autre qu’une table gynécologique.

- Sangle-le ! ordonna-t-il.

Les bras, le torse, la taille, les jambes et les pieds pris dans les étriers furent solidement attachés par des ceintures de cuir larges et épaisses. Pendant ce temps, le médecin mit un bandeau sur les yeux de compelled MDE, puis enfila une paire de gants latex.

- Pourquoi ces chiennes ne l’ont-elles pas encore tondu ?… maugréait-il
- Simplement parce qu’elles n’en avaient pas reçu l’ordre lui répondit Walter venant tout juste de rentrer dans la pièce.
- Ah, bonjour Walter, voilà un beau sujet à dompter.
- Nous nous y emploierons, lui répondit le Majordome, d’un ton sobre. (Walter tendit au soumis mâle e6934 MDE une tondeuse électrique) - Puisque Monsieur le Médecin ne semble pas disposé, c’est toi chien qui va être préposé à raser, épiler, et mettre à blanc le corps de ton nouveau congénère.

La tondeuse entra vite en action, d’abord les aisselles, puis la poitrine, l’abdomen, le pubis, la raie anale, les jambes, les bras… Une fois le corps grossièrement rasé, Walter demanda à e6934 MDE de de poursuivre son travail avec un rasoir mécanique Les zones à traiter du corps de compelled MDE furent humidifiées et reçurent de la mousse à raser. e6934 MDE prit beaucoup de temps pour assurer un travail parfait, il s’attarda plus particulièrement sur le pubis, le sexe, les couilles et la raie anale de compelled MDE. Une crème hydratante lui fut ensuite appliquée…

- Demain je vous enverrai compelled MDE pour commencer avec lui des séances d’épilation laser.
- Très bien répondit simplement le médecin.
- Vous pouvez maintenant entreprendre votre examen… approfondi… !

(A suivre …)

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