Ta meilleure amie 2

- Par l'auteur HDS Accent -
Récit érotique écrit par Accent [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Ta meilleure amie 2 Histoire érotique Publiée sur HDS le 08-05-2015 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Ta meilleure amie 2
Et tes mains, à quoi servent-elles ? Reprit Angèle impatiente
Joignant le geste à la parole, elle plaqua mes mains sous ses globes et m’ordonna de les soupeser puis de les caresser, de les presser et enfin de jouer au nourrisson. Je pris en bouche, léchai, suçai doucement, tendrement et je me figurais ainsi tétant tes tétons de Mireille, l‘amie attendue. Angèle soupirait d’aise, m’encourageait à m’appliquer, à m’entraîner en pensant à toi. Tu avais, disait-elle, des seins moins volumineux mais je saurais m’adapter. Douceur et persévérance te rendraient folle de moi si je suivais ses conseils d’amie de notre couple. Elle me reprenait, demandait des frictions ou des pressions moins retenues, plus d’appétit pour la chair tendre. La voix geignait son plaisir. Ainsi geindrait Mireille si j’étais habile. Mireille, Angèle ou Angèle, Mireille, je suçais, savourais, m’enivrais. Je fantasmais : Vous me remerciiez, vous me disiez que c’était merveilleux :
— Encore, encore !

Le sein échappa à ma bouche. Une bouche s’empara de mes lèvres. Angèle, Angèle, je perdais la boule. Elle était assise sur mes genoux, le peignoir était tombé. Deux bras serraient ma tête, des doigts s’enfonçaient dans mes cheveux. Mes mains s’accrochaient à ses seins, bouées de sauvetage dans le naufrage de mon innocence. Entre mes lèvres serrées Angèle poussait une pointe de langue aussi dure que ses tétons, ses lèvres travaillaient les miennes. Qui aurait pu résister ? J’aurais dû, me diras-tu. Hélas, la chair est faible, tu étais en retard, Angèle m’initiait et mon corps me trahissait, j’avais une terrible envie de me laisser instruire. Mon esprit avait quitté mon cerveau, passait l’estomac et continuait son périple vers le bas, dans ma verge, où s’accumulait tout mon sang.

La langue franchit mes lèvres énervées, heurta mes dents. Une pression extérieure d’une main aux ongles acérés sur mes mâchoires les décolla. La place se rendit, l’envahisseur s’y engouffra. Je subis ? Je subis pour apprendre ? Je subis surtout avec curiosité et bonheur. Cette langue enfouie dans ma bouche, ce corps chaud collé au mien éveillèrent une réaction instinctive. Je trouvais ce baiser délicieux, notre étreinte divine. Je nageais dans un bonheur diffus, je rendis le baiser et serrais contre moi ces muscles chauds qui m’affolaient. Ma réplique me valut un assaut encore plus fervent.

Ivre de volupté, je fus entraîné sur l’ample canapé. Des mains fébriles me dénudèrent, je fus aussi nu que mon initiatrice dévouée. Grand idiot, je subissais encore sans opposition l’audace de cette fille. J’emplissais mes yeux de l’image de ce corps de femme de mon âge, si belle dans sa nudité étalée, scandalisé puis ravi des caresses hardies de ses mains habiles sur mon pénis. Comme ses tétons dans mes mains, ma verge durcie, pieu gorgé de sang, fut envahie par des milliers de fourmis. Je devins curieux de savoir où me menaient ces sensations. Une main parcourait mon membre de haut en bas, tirait sur le prépuce, le faisait coulisser en tirant sur le frein. C’était à la fois un peu douloureux et si bon.

Inutile d’en redemander, Angèle m’astiquait sans fatiguer. J’étais allongé sur le dos, elle s’était agenouillée devant le canapé, couvrait la peau de mon ventre de baisers ventouses, y laissait avec la langue de larges traînées de salive, me mordillait en riant et continuait sa masturbation affolante. Ses mains se relayaient sur la hampe dressée qu’elle calmait d’un souffle tiède. Des picotements naissaient dans mon gland, filaient par ma colonne vertébrale et embrumaient mon cerveau, des frissons me secouaient des pieds à la tête. D’une main je caressais une épaule, reprenais le coussin moelleux d’un sein, taquinais un téton pointu. Je fermais les yeux sur le plaisir, je me demandais s’il y aurait un après, je me sentais au bout de quelque chose. Soudain une chaleur humide enveloppa mon gland. Je regardai. Était-ce possible, était-ce concevable, était-ce convenable ?

La bouche d’Angèle s’était refermée sur l’extrémité de ma verge brandie, mon gland venait de disparaître entre ses lèvres. Ma main s’abattit dans ses cheveux défaits pour retirer la tête. Angèle insista, avala un peu plus de chair. J’étais honteux, mais c’était si chaud, si doux, si extraordinaire : ma main appuya sur la tête. Vaincu par le plaisir, je laissai la bouche monter et descendre sur ma colonne et me mis à haleter. La bouche et les mains se livraient à un jeu de yoyo inédit. Ma surprise surmontée, je jouissais des pulsations qui troublaient mon bassin et j’attendais. Mon initiatrice s’activait, je m’abandonnais.

Elle se releva, vint m’embrasser. Son baiser avait pris une étrange saveur. Bouches collées, je sentis ses seins venir s’écraser sur ma poitrine, une jambe passa en les frôlant au-dessus des miennes, le ventre duveteux et chaud épousa le mien, les genoux remontèrent le long de mes cuisses, une main se glissa entre nos ventres, s’empara de ma virilité en émoi et reprit la masturbation. Des poils énervaient mon gland décapuchonné, la main me tirait vers la chaleur humide, m’appliquait contre un bourrelet de chair. Un doigt en voltigeur ouvrait l’arrondi, la main me promenait dans une crevasse mouillée, il y faisait chaud, j’y glissais, je m’y enlisais.

— Ça va, tu es bien ? Tu me sens ? Viens en moi, je t’aime !

L’annonce s’accompagna d’une poussée du ventre d’Angèle, un manchon brûlant enveloppa ma verge. Le gland entré, par à-coups, la fille s’empara, en glissant vers le bas, de la totalité de mon membre viril, vint buter contre mon pubis, mélangea sa toison brune à la mienne et s’immobilisa. J’étais au paradis, paralysé par la surprise, incapable de bouger, trop bien logé, fou de bonheur, juste bon à répondre, essoufflé, au baiser qui me dévorait la bouche. Elle avait dit "je t’aime" et m’avait pris. J’étais bouleversé par la double révélation. Au-dessus de moi, elle menait le bal à sa guise.

Vint le moment où elle fut dépassée par les sensations. À vitesse folle, avec des cris de tenniswomen des pays de l’est dans une finale de Roland Garos, elle s’élança dans une course folle, suant, rubiconde, les yeux révulsés. Mon ventre fut secoué, j’eus l’impression de partir, de lancer des jets à intervalles réguliers et rapprochés puis je me sentis apaisé alors qu’Angèle continuait ses efforts bruyants et comme désespérés. Elle poussa un cri plus fort, se raidit un instant et retomba de tout son poids sur mon corps, le front couvert de perles, le souffle court, bouche ouverte comme une noyée.

— Eh ! Bien, il était grand temps, tu en avais besoin ! commenta-t-elle.

Elle se releva et recueillit, sur ses doigts, le liquide gluant qui fuyait un sexe que je découvrais enfin, moustaches retroussées, ouverture rose entre des cuisses ouvertes. Elle se leva, partit en courant, me pria de la suivre. Assise sur le bidet de la salle de bain, elle enfonçait ses doigts dans son sexe avec un naturel déconcertant pour le novice que j’étais.

— Toi, alors ! Qu’est-ce que tu m’as mis ! La prochaine fois, il faudra penser à te retirer !

Il y aurait une prochaine fois, Angèle le décrétait. On en venait à des considérations, sans doute rationnelles, mais si peu romantiques : il faudra te retirer. Je ressentis un gros malaise.

— Bon, ne t’inquiète pas, je ne risque rien aujourd’hui ! Et surtout, pas un mot à Mimi ! Elle n’a pas besoin de savoir, je ne voudrais pas perdre ma meilleure amie ! Dans le fond, elle bénéficiera de ton initiation, c’est un service que je vous rends bien volontiers ! Tu es un amour ! Mais si tu veux, on pourra recommencer ! Ça t’a plu ?

– Oui, merci Angèle…
J’étais jeune, sans expérience de cette situation, j’ai baragouiné vaguement que j’avais aimé, beaucoup. À ce moment, je compris que la chair peut être triste. Angèle supposa que tu avais eu un empêchement. Par la suite, j’ai supposé que tu ne m’avais pas fixé de rendez-vous et que j’étais tombé dans une embuscade préparée par ta chère amie. Ainsi j’ai connu mieux que tu ne le crois celle que tu nommes « ma meilleure amie ». Quand tu liras mon récit, quand tu découvriras sa façon de t’utiliser pour satisfaire ses envies, que penseras-tu ? La considéreras-tu toujours comme une amie ?

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Texte coquin : Ta meilleure amie 2
Histoire sexe : Une rose rouge
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