Thermes Belges 2 - Part. 5

- Par l'auteur HDS Freredecul -
Récit érotique écrit par Freredecul [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Thermes Belges 2 - Part. 5 Histoire érotique Publiée sur HDS le 03-05-2015 dans la catégorie Plus on est
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Thermes Belges 2 - Part. 5
Petit résumé de l’épisode précédent :(Accompagné de Wilfried, je visite les lieux, tout est réuni pour un grand moment de détente et de plaisir, en entrant il y a des douches et des lavabos, avec une corbeille de fruit mise à disposition. Puis en continuant vers la grande salle, c’est le paradis sur terre ou sur mer plutôt car la décoration représente une plage avec des palmiers et tous les accessoires de détente tel que jacuzzi , sauna, matelas sont reliés par une lagune d’une profondeur de vingt centimètre environ. Nous rejoignons les filles confortablement installé dans le jacuzzi, les bulles dissimulent peut être des activités de caresse.)Ce lieu privatif est vraiment un petit coin de bien-être, mais ma compagne n’a pas l’air de vouloir prendre son temps pour profiter du repos et préfère entrainer Eline sur les matelas pour des plaisirs plus charnel. Nous préférons rester en retrait pour le moment et les observer de loin, précisons tout de même que l’endroit où nous nous trouvons avec Wilfried surplombe les matelas. Eline s’installe au milieu de l’ensemble et ma femme se couche à sa droite, elle se retourne et commence à lui caresser les seins, puis s’approche et l’embrasse tendrement. Cécile rêvait depuis longtemps de s’adonner à quelques plaisirs lesbiens et elle s’est enfin jeté à l’eau. Mon sexe commence à se réveiller car deux femmes se donnant du plaisir devant moi, cela ne m’arrive pas tous les jours, surtout que le spectacle évolue. Cécile descend lentement vers ses seins en la couvrant de baiser, elle joue avec les tétons d’Eline avec sa petite langue agile puis progresse vers son bas ventre. Cécile change de position et s’installe confortablement entre les cuisses de la compagne de Wilfried, la curiosité et l’envie de participer me donne l’envie de les rejoindre.
Je fais signe à Wilfried de me suivre et nous nous plaçons de part et d’autre d’Eline. Elle a les yeux fermés afin de profiter des coups de langue précis que Cécile lui inflige. Nous profitons de cela pour lui lécher les seins chacun de notre côté, ce changement de tournure lui fait un électrochoc. Eline se redresse afin de nous toucher, elle tends les bras et prend nos sexes en main. Elle nous branle lentement avec douceur, la vision de sa main coulissant sur mon membre tendu est déroutante, elle me décalotte tendrement par des vas et viens lent. Elle se penche vers son homme et le prends en bouche, elle aspire son sexe tout en maintenant un mouvement régulier avec sa main, il bande fort et son sexe est luisant de salive. Etant plus éloigné, elle ne peut en faire autant avec moi et je n’ose approcher sans une demande franche de sa part. La tension et le volume de mon sexe a atteint son paroxysme, la vision de la pipe qu’elle procure à Wilfried en est pleinement responsable. Ce n’est pas en tournant la tête avec le spectacle que m’inflige ma douce que cela va me calmer, elle doigte maintenant franchement Eline, tout en lui titillant les lèvres et le clitoris avec la langue. Peu de son filtre sur le plaisir d’Eline, mais le morceau de chair qu’elle a dans la bouche y est peut-être pour quelque chose.
Eline nous lâche tous les deux brusquement, elle regarde Cécile dans les yeux et lui dit sur un ton laissant que peu de choix possible que c’est son tour et qu’elle veut s’occuper d’elle maintenant. Cécile prend la place d’Eline et se couche de ce fait entre nos deux sexes dressés. La compagne de Wilfried plonge entre les cuisses de ma douce et la titille de sa langue pointue, elle virevolte en écartant ses petites lèvres à la recherche de son clitoris. Nous sommes Wilfried et moi surpris de ce changement de situation et décidons d’infliger le même traitement aux seins de ma femme qu’à ceux d’Eline tout à l’heure. Les mains de Cécile s’emparent très rapidement de nos sexes respectifs, elle a un sérieux avantage sur sa copine car nous sommes déjà franchement bandés et elle n’a plus qu’à entretenir ces belles érections. Cécile est plus expressive qu’Eline car des petits gémissements commencent à faire leurs apparitions, les petits coups de langues appuyés sur son bouton dressé ont l’air de lui faire un bien fou car elle se jette subitement sur mon sexe afin de me sucer. Les coups de langue et les allers-retours dans sa bouche me confirme son excitation, elle arrête quelques secondes cette fellation endiablée pour reprendre son souffle. J’en profite pour m’approcher de son visage afin de l’embrasser, sa langue force mes lèvres et virevolte autour de ma langue, elle est plus qu’excitée et j’en profite pour lui souffler à l’oreille que je suis toujours d’accord pour qu’elle suce Wilfried et que si elle a envie c’est le moment rêver.
La réflexion fut de courte durée car à peine avais-je fini ma phrase qu’elle s’inclinait de l’autre côté pour prendre en bouche le sexe dressé de Wilfried. Mon sexe est prêt à exploser et ce n’est pas le plaisir des allers-retours de sa main sur mon sexe qui en est la cause mais bien la vision du sexe bandé de mon pote dans la bouche de ma femme. Elle s’applique à donner du plaisir à Wilfried comme elle l’a fait auparavant avec moi, les coups de langue ont vite laissé place à une véritable prise en bouche avec masturbation simultanée. Son sexe apparait ponctuellement décalotté et luisant de salive et surement de plaisir, elle le branle régulièrement pour reprendre le mien en bouche. Ce spectacle est jouissif, elle quitte mon sexe en maintenant une masturbation vigoureuse et reprend Wilfried en bouche, connaissant les talents avérés de suceuse de ma compagne, je sais qu’à ce rythme nous n’allons pas tenir des heures.
Afin de me calmer, je choisis d’aller m’occuper un peu d’Eline, elle est à quatre pattes entre les cuisses de ma femme et je me place à côté de son postérieur qui m’invite à s’occuper de lui. Je m’incline afin d’embrasser ses fesses et je glisse une main jusqu’à son abricot tout lisse. Je m’applique à la caresser lentement en lui glissant un doigt de temps en temps, ma bouche ne l’embrasse plus mais lèche franchement sa petite rondelle. Je me redresse afin d’avoir plus de facilité pour la doigter et j’observe ce que fait ma femme à Wilfried. Cécile est tourné vers lui et il lui maintient la nuque pour plus de confort, cette position a l’air de lui convenir car elle ne cesse plus de le sucer, son sexe ne quitte plus sa bouche que pour tourner sa langue sur son gland. Elle le reprend en bouche mais Wilfried se retire en lui expliquant qu’il n’en peut plus et qu’il va jouir, la déception se lit sur le visage de Cécile qui j’en suis sur voulait le faire exploser. Elle n’est pas adepte d’avaler la liqueur mais adore par-dessus tout, maintenir la fellation jusqu’au dernier instant, pour se retirer en masturbant vigoureusement afin de libérer un flot de plaisir. Il n’est pas rare qu’après le dernier jet, elle reprenne en bouche le sexe ramolli afin de le nettoyer et de finir par un dernier instant de bonheur pour le chanceux. Cet acte stoppe Eline dans ses caresses buccales et elle se tourne vers moi et me dit « oh mais je ne t’ai pas sucé ». Elle se baisse et me prend en bouche quelques secondes, mais l’inactivité autour de nous l’a fait arrêté rapidement à mon plus grand regret. Les quelques coups de langue autour de mon gland tendu et les vas et vient dans sa bouche étaient plus que prometteur.
Les deux filles en ont assez des préliminaires et l’envie de pénétration se fait deviner à la position qu’elles adoptent toute les deux. Installées à quatre pattes côte à côte, Wilfried et moi prenons place derrière nos femmes respectives pour une levrette plus que sauvage. La conclusion est très sonore, la jouissance des filles entraine un concert de gémissement. Wilfried qui a été plus que préparé par ma femme ne tient pas bien longtemps et se répand rapidement sur le dos de sa douce. Moi je tiens quelques minutes supplémentaires mais l’orgasme de ma femme a raison de mon endurance et je me retire après ses spasmes pour me répandre sur son fessier.
Nous sommes exténués par ce grand moment de plaisir partagé et restons un instant couché silencieux…

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