Elle dansait sur les tables

- Par l'auteur HDS Epicure09 -
Récit érotique écrit par Epicure09 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Elle dansait sur les tables Histoire érotique Publiée sur HDS le 06-05-2015 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Note attribuée à cette histoire érotique par HDS :
(9.0 / 10)

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Elle dansait sur les tables
Elle était déjà sur une table, dansant lascivement accrochée à une barre, visiblement heureuse et excitée de montrer son corps aux clients du bar.

Elle, s’appelait Virginie et venait d’arriver pour une semaine de vacances, en compagnie de son mari. Lui aussi était là, admirant sa femme offerte aux regards des autres, fier de la voir tourner, soulevant sa microjupe, dévoilant son cul nu et son sexe poilu. Elle s’accrochait à une barre métallique, plantée au milieu de la table. Tantôt scotché à la barre, sa vulve ventousée à l’acier, elle montait et descendait, me semblant laisser des trainées humides sur l’acier froid. Puis elle projetait son derrière en arrière et descendant ses genoux, ouvrant les jambes, elle frôlait de son sexe les spectateurs attablés.

Ah ce pubis broussailleux …. C’est lui qui m’a attiré ; il était avec de longs poils fins, un peu comme les toisons d’asiatiques, couvrant la vulve et se répandant sur les grandes lèvres. Ici, dans le camp naturiste, pratiquement toutes les femmes se rasent, et le fait d’en voir une, exhibant sa chatte velue, m’a plongé de suite dans le désir de la posséder.

Fort de ma longue expérience de l’approche libertine, c’est vers le mari que je me suis dirigé ; il fallait le séduire lui pour avoir accès à Virginie. Il était ancien cycliste professionnel et trois bières plus tard, et plusieurs récits de tour de France, nous étions suffisamment complice pour qu’il veuille bien finir la soirée sur mon voilier.

Ce n’est que vers 2 heures du matin, le bar fermant, que j’ai enfin pu ramener mes nouveaux amis sur mon bateau. Les préambules furent courts, elle comme moi ayant soif de baise. Visiblement, je lui plaisais et elle fut la première à s’allonger dans la cabine avant, lascive, nu et me disant:
» Viens me bouffer ma chatte »
Bien qu’encore habillé, j’ai plongé entre ses cuisses, respirant son odeur de femelle. Mélange de sueur lié à la danse, de sécrétions intimes dues à son excitation, mon nez était au paradis .Ma langue n’était pas en reste, lapant tous ses sucs délicieux, lui bouffant son anus, remontant et m’enfonçant le plus loin possible dans son vagin. Mon nez collait à son clitoris imprimait un mouvement qui l’amena à l’orgasme, bruyant et humide.

Son mari nous rejoint enfin, nu, la queue bandée. Il se branlait sur son visage, Virginie happant le gland pour le téter, Adorable chienne déchainée, elle passait du gland à la hampe, lui donnant de grand coup de langue, puis descendant vers les testicules et le trou de son cul qu’elle aspira délicieusement.

Evidemment, je profitais du répit pour me mettre nu et enfiler une capote, m’enfonçant avec délices dans la moiteur vaginale de notre compagne d’un soir.

Sous les coups de butoir, elle se mit à gémir, provoquant l’orgasme de Jean. Il éjacula sur ses joues, sa bouche, son cou. Sa compagne me prit la tête et m’embrassant, me fit partager le sperme répandu. Bisexuel, j’aime bien le gout acre de ce fluide, si différent d’un homme à un autre. Avec ses doigts, elle recueillait le liquide et me le donnait à lécher.

Quand l’heure de retourner à leur appartement fut venu, Virginie émit le souhait de faire pipi. Je lui laissais le choix entre les toilettes du bateau, ou la plage arrière. Evidemment, l’idée de me pisser dessus l’amusa au plus haut point.

Allongé sur le dos, nu, j’étais le réceptacle. Elle se mit de part et d’autre de mon corps, et s’accroupissant sur ma bite, commença à déverser un flot d’urine longtemps contenu. Puis serrant ses sphincters, contrôlant son débit, elle remonta vers mon visage, arrosant mon thorax puis mon visage. Le flot tarissait doucement ; elle colla alors sa vulve sur ma bouche et je sentis son urètre qui déversait encore le contenu de sa vessie. J’avalais ce que je pouvais, mais une partie s’écoula par les commissures de mes lèvres, inondant mon cou et mes cheveux.

Bien sûr, je finis sa toilette, lapant et léchant comme un jeune chien les dernières gouttes tombant de sa chatte.

Ils finirent par partir, et moi je suis resté avec son odeur et sa pisse mêlées. J’aurais pu aller me doucher, mais j’ai préféré renifler son odeur de femelle en rut jusqu’au matin.

Ce récit n’est pas une fiction, et si vous le souhaitez, je me ferais un plaisir de continuer à écrire mes expériences Agathoises.

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Texte coquin : Elle dansait sur les tables
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