Essayage

- Par l'auteur HDS Stef -
Récit érotique écrit par Stef [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Essayage Histoire érotique Publiée sur HDS le 06-05-2015 dans la catégorie Entre-nous, les femmes
Tags : Lesbiennes Amis
Cette histoire de sexe a été affichée 3 451 fois depuis sa publication.
Note attribuée à cette histoire érotique par HDS :
(9.0 / 10)

Couleur du fond :
Essayage
10h30 précis, tu te gares devant sa maison.
Il y a bien longtemps que vous ne vous êtes pas vus et c’est avec plaisir que tu as accepté son invitation.
« Passes donc dans 2 jours pour prendre un café si tu veux, je serai chez moi vers 10h30 ! »
t’avait-elle proposée.
« Ok j’y serai » lui as-tu répondu.

Le froid glacial te saisit et c’est en courant que tu traverses la rue pour aller appuyer sur le bouton de la sonnette.
Quelques secondes d’attente et elle t’ouvre.
« - Salut Bérangère »
- Salut Laurence »
Une fois dans l’entrée tu hôtes ton grand manteau et le lui remet.
Le dialogue s’engage :
«- Fait vraiment pas chaud aujourd’hui.
-Ho oui on se croirait à Paris.
- C’est fou après cet automne clément.
- Je reviens du Japon et il faisait aussi très froid.
-Bon comment va la famille ? … »
Et de fil en aiguille la conversation passe de la famille au travail et en vient au sujet vestimentaire.
« - Au fait Bérangère, j’ai ramené quelques robes de mon dernier voyage en Indonésie, je pensais les donner à une amie, mais elles lui vont trop petites. J’ai pensé que cela pouvait t’intéresser !
- Pourquoi pas, elles ressemblent à quoi ?
- Des robes très chics et très classes. Tu veux les voir ?
- Allez, Ok! On ne sait jamais.
- Bien ne bouges pas je vais les chercher»

Laurence monte à l’étage et ne met que quelques minutes à réapparaître avec 3 robes dans ses bras.
« - Voilà les robes. » Te dit-elle en les dépliant sur le canapé du salon.
« -Dis-moi mais elles sont vraiment magnifiques, tu es sûr de vouloir t’en débarrasser ?
- oui je m’en étais déjà ramenée la dernière fois. »
Les robes sont effectivement superbes. Elles sont toutes les trois faites pour des occasions du type mariage ou soirée.
Tu en prends une et la portes devant toi.
« -Comme ça tu ne verra pas grand-chose. Il faut que tu les essais.
- Tu as raison. »
Une fois la robe reposée tu déboutonnes ton jean tout en quittant tes chaussures. Tu enlèves ton pantalon puis tu agrippes le bas de ton pull et d’un geste ample le soulèves pour le quitter.
Te voilà en sous -vêtements, soutient gorge et shorty mauves.
La première robe enfilée te va à merveille. D’un rouge éclatant, elle descend jusqu’à tes chevilles. Assez près du corps elle est sans manche et possède un beau décolleté.

« - Elle te va superbement bien. On dirait qu’elle est faite pour toi.
- C’est vrai, elle est très chouette et je me sens bien dedans.
- Bon dommage pour le raccord avec le soutif. Avec cette robe je pense que sans serait le mieux.
- Oui certainement. »

En une fraction de seconde tu quittes cette robe et prends la seconde dans tes mains.
Après quelques difficultés pour l’enfiler tu peux t’observer dans la glace de l’armoire qui te fait face.
Celle-ci est encore plus extraordinaire.
De couleur noir, elle est plus courte que la précédente et t’arrive au-dessus des genoux.
Elle épouse parfaitement l’ensemble de ton cops. Pas un millimètre ne se trouve entre elle et ta peau. Pas de décolleté.
« - Alors là tu es magnifique !
- Merci, moi qui n’aime pas être enveloppée, je trouve pour une fois que cela me va, et j’aime vraiment cette sensation de double peau.
- Et vu de derrière c’est encore plus beau, tes fesses sont ma-gni-fiques ! »
Tu te retournes alors dos à la glace et tu découvres ton fessier entièrement moulé par cette robe. Les rondeurs de tes fesses sont à tomber à la renverse et le tissu dessine et épouse parfaitement la crevasse entre les deux fesses.
Tu ne te lasses pas de te regarder et Laurence non plus, apparemment.
« - Je crois que celle-là fera quelques dégâts en soirée. Elle te va si bien.
- Oui mais je ne sais pas si j’oserai la mettre.
- Mais si ! Tu es sexy, profites-en ! Par contre ce soutient gorge est définitivement en trop, on ne voit que lui sous cette robe. Il y a des plis de partout et cela gâche vraiment l’ensemble.
- C’n’est pas flagrant. Lui réponds-tu
- Tu rigoles ! Enlève-le ! Tu verras la différence. »

Tu prends quelques secondes supplémentaires pour te regarder dans la glace et t’aperçois effectivement que ce soutient gorge prend beaucoup de place sous la robe.
Ni une ni deux, tu ne te dégonfles pas et retires le haut de ta robe.
Sans t’en laisser le temps Laurence pose ses mains sur l’agrafe et la détache.
Elle attrape ensuite le haut des bretelles et libère ta poitrine.
Tes deux seins semblent fiers d’être à l’air libre et se raidissent pour se montrer.
Tu ressens alors comme une gêne. Cet épiphénomène aurait-il été perçu par Laurence ?
Tes seins se gonflent d’avantage d’orgueil et tu ne peux le cacher.
Elle ne dit mot mais tu en es persuadé : elle l’a remarqué.

Un « -Merci » tremblant sort de ta bouche.
Elle ne dit mot.
Tu remets alors le haut de ta robe, ajustes l’encolure, et te contemples de nouveau dans la glace.
L’effet est saisissant. Cette poitrine superbement gonflée est maintenant enveloppée dans ses moindres détails.
Rien de vulgaire. Au contraire, vraiment sexy !
« - Voilà qui est mieux. Te dit-elle
- Oui tu avais raison je préfère aussi.
- Avec une telle paire de fesses et tes seins ainsi mis en valeur, cette robe est vraiment celle qu’il te faut.
- Merci, c’est gentil. Je n’ai plus qu’à attendre la bonne occasion pour la porter. »
Tu ne te lasse pas de te regarder dans le miroir et fais quelques pas pour te voir bouger ainsi vêtu.
Le regard que porte Laurence sur toi te trouble. Tu y ressens beaucoup de plaisir, ce qui provoque un début de picotements sur l’ensemble de ton buste ainsi que dans ton cou.
Mais, ces picotements stoppent immédiatement lorsque la raison revient à toi, pour te dire que tout cela est certainement le fait de ton imagination.

« - Allez la troisième ! C’est ma préférée, je crois que c’est la même taille mais dans un style différent » te dit-elle d’un ton très enjoué.
En te contorsionnant tu te glisses hors de la robe et te retrouves alors uniquement en shorty.
La température de la pièce n’est pas très élevée. Tu ne t’attardes pas ainsi dénudée et attrapes la troisième robe.
Toute légère, noire également, sa souplesse te surprend.
Une fois que tes deux jambes sont passées à l’intérieur, tu la remontes, délicatement, de peur de l’abimer.
Son rebord s’arrête juste en dessous de tes genoux. Resserrée à la taille, tu découvres que le bas est très ample. Son envergure laisse le tissu prendre place où bon lui semble te laissant très libre dans tes mouvements.
Tu enfiles ensuite le haut et t’aperçois immédiatement que cette amplitude se retrouve également en haut.
Au contraire de la précédente, cette robe n’épouse pas ton corps. Elle ne dessine pas son relief mais le laisse suggérer.
2 grandes manches en voile noir recouvrent tes bras que l’on voit à travers.
En te retournant dos au miroir, tu découvres qu’un immense décolleté dénude l’ensemble de ton dos.
Découvrant une partie de tes omoplates, il s’élargit au fur et à mesure pour laisser visible toute la largeur de ton dos, puis le haut de tes fesses en laissant apparaître le début du sillon.
« - Bon là c’est limite sexe ! Remarques-tu
- Oui évidemment, je dois le reconnaître celle-ci ne peut pas se porter n’importe où.
Mais elle est vraiment superbe dans son genre et il faudra que tu me la prêtes.
- Pas de problème elle t’ira certainement très bien aussi. Lui dis-tu en te retournant vers elle.
- Et ! Mais qu’elle surprise ! Regarde un peu le devant. »
Tu baisses la tête. Et là, tu découvres que le tissu recouvrant le devant de la robe est légèrement translucide.
Sans trop devoir forcer la vue, tes seins apparaissent quelque peu à travers.
Selon la luminosité et l’angle de regard, ils peuvent être invisibles ou bien plus que devinés.
« - Alors là c’est carrément sexe ! Dis-tu en te retournant face à la glace pour te contempler.
- Très sexe !» te répond-t-elle.
A ces mots, ses deux mains viennent se poser au-dessus de tes hanches.
Tu sursautes.
« -Très, très sexe » poursuit-elle en les remontant et en les avançant pour les positionner directement sur tes seins.
Une forte et bruyante inspiration est ton unique réaction.
Laurence ne bouge plus.
Tu restes également immobile.
Pendant de longues secondes vous restez ainsi sans le moindre mouvement.
Attend-elle un geste de ta part? Dois-tu faire le second pas ? sinon quoi elle n’ira pas plus loin et s’écartera ?
Saisis par la situation tu ne bouges toujours pas et pourtant tu veux vivre cet instant et surtout l’instant d’après.
« Ça va ? » Te demande-t-elle dans le creux de l’oreille.
Un « oui » feutré et calme sort de ta bouche.
Ses mains cajolent alors ta poitrine. Elles sont douces et sensuelles.
Elles dessinent le contour et le galbe de tes seins. Ses doigts s’aventurent tantôt sur la partie inférieure, tantôt sur la partie supérieure. Elles caressent de haut en bas toute la surface de ta poitrine.
Laurence se rapproche de toi et vient se coller à ton dos.
Le contact entre vous deux déclenche une légère contraction de l’ensemble de tes muscles.
Tes seins ne sont pas en reste.
Ils se durcissent.
Elle les sert.
Cette pression est un véritable régal pour toi. Pendant plusieurs secondes elle te maintient ainsi.
Toutes les deux ainsi debout, vous ne bougez pas et semblez vouloir profiter de cet instant.
Laurence relâche alors cette poigne exercée sur tes seins et recommence à les caresser.
Une sensation de plénitude t’envahie. Ta tête se laisse lentement allez en arrière pour se poser sur son épaule.
Ses gestes deviennent plus précis. Ses deux index tournent autour de tes mamelons et passent délicatement sur tes tétons. Un fourmillement parcourt alors l’ensemble de ton corps.
Elle les attrape entre ses pouces et index et les fait rouler entre ces deux doigts.
Cette friction est extraordinaire. Les extrémités de tes seins sont en éveil total.
Elle s’arrête parfois pour resserrer d’avantage ses doigts. Cette emprise sur ta poitrine te transporte et tu profites de cet instant avec gourmandise.
Une fois que cet endroit de ton buste n’a plus de secret pour elle, Laurence retire ses mains de ta robe pour les poser sur tes épaules.
Là, elle agrippe le tissu, et, le descends de chaque côté de tes épaules pour les dénuder.
Mais elle ne s’arrête pas là et continu son geste. La robe descend le long de tes bras et découvre petit à petit ton buste.
Très rapidement elle arrive à ta taille. Te voilà à moitié nue.

Les mains de Laurence se portent sur les tiennes. Vos doigts s’entrelacent. Elle les remonte le long de ton ventre pour les déposer sur tes seins. Ses doigts quittent les tiens pour passer par-dessus.
Tu comprends et t’exécutes. Tes mains ont remplacées les siennes.
D’un geste ferme tu les ressers et commence à jouer avec ta poitrine.

Laurence se recule. Il n’y a plus de contact entre vous et tu te retrouves seule, debout, à te caresser les seins. Sans repère.
Toutefois, si tes yeux ne peuvent la voir, tu peux l’entendre.
Et très nettement tu l’entends quitter ses vêtements.
L’électricité statique d’un pull que l’on enlève, le bruit des chaussures que l’on quitte, le zip d’une fermeture éclair, le froissement d’un pantalon que l’on ôte ou le déclic d’une agrafe de soutient gorge.
Tu n’en perds pas une miette tout en n’oubliant pas de te caresser.
Lorsque le silence revient, tu la sais totalement nue, debout, derrière toi.
Elle s’approche, prend la robe qui repose sur tes hanches et la tire vers le bas.
Cette dernière tombe à tes pieds.
Deux doigts attrapent ensuite ton shorty de part et d’autre de ton bassin et descendent rejoindre la robe.
Une fois à tes chevilles, tu soulèves un de tes pieds, puis l’autre, pour faciliter à Laurence le retrait de ces deux vêtements.
Te voilà nue.

Laurence se redresse, pose ses mains sur les tiennes et, se colle à toi.
Sa peau entre alors en contact avec la tienne. Ses seins se plaquent sur ton dos. Son bas ventre vient épouser tes fesses. Sa peau est chaude, lisse et douce.
Elle sert ses doigts sur la paume de tes mains de façon à ce que tu empoignes d’avantage ta poitrine. Puis, rompt le contact pour les poser sur tes hanches.
Ses mains deviennent baladeuses. Elles passent sur ton ventre, caressent le haut de tes cuisses, reviennent sous tes seins et redescendent sur ton bassin. Elles s’aventurent parfois sur le bord de tes fesses à côté de tes hanches.
Ses doigts glissent à merveille sur ta peau. Chaque partie concernée est en éveil et ces caresses accentuent d’avantage ton excitation.
Au fur et à mesure, ses mains s’attardent sur le haut de tes cuisses et ont tendance à glisser vers l’intérieur.
Petit à petit, ils se rapprochent de l’endroit où tes cuisses se touchent, pour remonter vers ton entre-jambe.
Ils glissent dans le sillon de tes haines et redescendent de nouveau.
Une des mains quitte cet endroit et vient se plaquer sur ton ventre pendant que l’autre continue.
La zone de caresses se réduit. Ce doigt qui délimite à merveille ton intimité se déplace inéluctablement en son centre.
Il se pose alors sur ta petite lèvre. Et se remet en mouvement pour en deviner le contour.

A cet instant, tu te sens déjà faillir. Tes jambes deviennent cotonneuses. La main sur ton ventre exerce alors une pression pour te maintenir collée à son corps. Elle a dû le sentir.
Profitant de ce contrôle, ce doigt en profite pour se positionner entre tes deux petites lèvres.
C’est d’une bruyante inspiration que tu accompagnes ce geste.
Il descend maintenant vers le bas puis remonte délicatement et fini par effleurer ton clitoris.
Tu ne peux résister et laisses échapper un gémissement.
Tu ne sais combien de fois il fait cet aller-retour, mais tu gémis dès qu’il se trouve au point le plus haut.
Ton sexe s’ouvre de plus en plus et devient humide. Ce doigt glisse de mieux en mieux.
Il se place alors à l’entrée de ton vagin, et, s’y introduit.
Il s’y enfonce sans s’arrêter. Il te pénètre millimètre par millimètre pour y rentrer toute sa longueur.
De ta bouche entrouverte sort un long râle feutré.

Laurence te plaque d’avantage sur elle. Tu peux sentir sa poitrine gonflée tout contre ton dos et ses cuisses collées à l’arrière des tiennes.
Tu entends sa respiration. Elle est calme et contrôlée. La tienne s’est accélérée depuis un bon moment.
Sa main entre tes jambes devient plus entreprenante. Elle fouille ton vagin. Se baladant dans tous les sens, d’un bord à l’autre, de gauche à droite et de bas en haut.
Tu rentres dans un état second. Tout semble t’échapper : tes sensations ; tes envies ; ton plaisir.
Tu te mords les lèvres pour ne pas exprimer cette jouissance. Tu n’oses te libérer, sans savoir pourquoi d’ailleurs !
Laurence, elle, maitrise. Ses gestes sont ceux d’une personne sûr d’elle, sachant où aller et déterminée.
Son doigt en toi sait où il va, il connait son but. Il se déplace et atteint les endroits les plus sensibles.
Il reste un petit instant et insiste sur ces zones pour te rendre plus vulnérable et dépendante.

Ton sexe se gorge de plaisir. Tu ne peux rester inerte. Ton corps accompagne alors chaque mouvement pour en multiplier les effets. Ton bassin danse au rythme de ce poignet, dont le majeur qui en toi devient subitement plus viril.
Ton corps ne t’appartient plus. Tu ne le contrôles plus.
Afin de ne pas t’écrouler et dans un geste réflexe, tu passes tes mains derrière toi et agrippes Laurence. Tes deux mains se posent sur le bas de ses fesses et tu sers tes doigts pour ne pas lâcher prise.
Ton bassin se cambre et tes cuisses se contractent. Un fourmillement envahit la pointe de tes seins pour se répandre dans ton ventre, ton dos et tes jambes.
Tes doigts s’enfoncent dans la peau de Laurence. Elle comprend.
Elle pousse alors son majeur au plus profond de ton sexe, et appui avec sa paume sur sa partie haute pour entrer en contact avec ton clitoris.
Une explosion en toi surgit. Chaque muscle se contracte, d’un coup !
Tu montes sur la pointe des pieds et laisses tomber ta tête en arrière.
« - Lâches toi ! »
Ces mots te libèrent.
" - Hooooo ! Ouiiiiiiiiii ! "
Ton orgasme est fulgurant.
" - Ouiiiiiiiiiii ! Ouiiiiiiiiiiiiii! Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii! "
Tu es secoué de toutes parts. Laurence te maintient pour t'éviter de tomber au sol.
Son doigt insiste encore en poussant plus profondément, ce qui déclenche chez toi une dernière vague de jouissance.








Tu restes là, inerte, sous le coup de ce violent orgasme.
Tes jambes sont figées et tu as du mal à calmer ton rythme cardiaque. Ta respiration est encore forte et rapide.
Tes mains sous ses fesses se relâchent lentement.
Elle, dégage sa main de ton entre jambe et la pose avec l’aute sur tes hanches.
"- Embrasse-moi !" te demande t’elle d’une voix calme et douce.
Tes pieds pivotent en une fraction de seconde et vous vous retrouvez face à face.
Ton regard se pose dans le sien. Tu remarques immédiatement que brillent, dans ses yeux marrons, le plaisir et l'envie.
Sa tête est placée juste en face de la tienne et tu regrettes de ne pas pouvoir la découvrir entièrement nue. Tu aimerai poser tes yeux sur son corps mais tu ne peux voir à cet instant que le haut de ses épaules.
Tu fais le premier pas. Tout en glissant tes bras sous les siens et en faisant remonter tes mains dans son dos, tu approches ton visage au plus près du sien.
Ta bouche vient effleurer ses lèvres et tu y déposes les tiennes.
Ce premier baiser dure de délicieuses secondes. Elle aussi passe ses bras dans ton dos et pose ses mains sur tes omoplates.
Vos lèvres se séparent pour se recoller à nouveau. C'est avec douceur que vous vous échangez tour à tour de longs et de courts baisers. Votre étreinte se fait à présent de plus en plus pressante. Chacune d'entre vous deux recherchant un contact plus fort.
Subitement, tu entrouvres ta bouche et glisses ta langue entre ses lèvres. Ces dernières, dans un mimétisme parfait, s'écartent et laissent avancer cette langue que tu touches à présent.
Ce contact va libérer en toi, mais aussi chez Laurence, une adrénaline et une pulsion torrides.
En une fraction de secondes, c'est avec générosité et gourmandise que vous vous embrassez.
Vos langues se découvrent et se mélangent sans retenu. Vos têtes basculent d'un côté puis de l'autre. Chacune d'entre vous deux met la fougue nécessaire pour rendre cet instant torride.
Vos bouches se dévorent mutuellement, vos lèvres se tordent sous les assauts.
Ce baiser devient fou et incontrôlable. Vous vous mangez littéralement.
Sa langue épaisse et lourde attaque la tienne. Elle glisse dessus, dessous, avance dans ta bouche puis recule. La tienne la contourne, la repousse puis la suit dans sa bouche.
Vos regards par moment se croisent ce qui décuple votre frénésie.
Ta bouche dévore la sienne. Ses lèvres engloutissent les tiennes.
Une main attrape tes cheveux et tire.
Ta tête bascule en arrière.
Laurence dépose alors sa langue sous ton menton et la fait glisser en remontant. Elle passe sur tes lèvres, lentement, et la retire.
Elle redresse ensuite ta tête et vos visages se font de nouveau face.
Son regard planté dans le tient, elle te sourit.
Sa main relâche délicatement tes cheveux.
Elle se retourne puis prends la direction du canapé juste derrière elle.
Tes yeux se portent à cet instant, et pour la première fois, sur son corps.
Tu découvres son dos, avec ses épaules carrées et ses bras légèrement musclés.
Ses fesses sont rondes, charnues et généreuses. Elles paraissent ferment et sont blanches, ce qui détonne en comparaison à la peau mate du reste de son corps.
Ses jambes ne sont pas très grandes mais elles laissent une impression de force de par ses cuisses et ses mollets musclés. De petits pieds fins stabilisent ce corps très harmonieux et très sexy par ses formes assez généreuses et bien dessinées.
Arrivée au canapé, Laurence se retourne et s'assoie. Elle allonge ses jambes en les écartant légèrement, se couche en arrière en déposant son dos contre le dossier.
Ses mains se posent de chaque côté de ses cuisses.
" - Viens ! "
La face de son corps nu est enfin devant toi. Ses épaules te paraissent un peu moins carrées que vu de dos mais tes yeux sont attirés immédiatement sur sa poitrine. Ses seins sont comme tu les aimes, ni trop gros, ni trop petits. Un bon 90 tout de même, avec un maintient certain et une belle fermeté.
Ses mamelons sont larges et bruns et ses tétons pointent fièrement en avant.
Au contraire de ses fesses, ses seins ont pris le soleil et ont une jolie couleur mate.
Son ventre n'est pas des plus musclé mais sa peau brillante le rend plutôt attirant.
Tes yeux qui ont bien remarqué les jambes bronzées et musclées se portent à présent sur son entre jambe.
Une petite toison brune recouvre son sexe. Taillée très courte et très rectiligne, elle dessine à merveille l'endroit que tu aimerai découvrir.
Ce corps te plait, il t'attire et tu ne peux résister.

Son bras se tend vers toi et sa main entrouverte attend la tienne.
Tu y déposes tes doigts et te laisses attirer.
En une traction rapide Laurence te ramène à elle. Tu t'allonges alors sur son corps.
Ses jambes serrées se calent entre les siennes, ton sexe se pose sur le sien. Ton ventre est sur son ventre puis tes seins viennent écraser les siens.
Tu déposes sur ses lèvres ta bouche fiévreuse et mêles immédiatement ta langue autour de sa langue.
Ses mains ne tardent pas à rentrer en action. Ils se posent sur ton dos et te caressent, puis, remontent sur tes épaules.
Tu sens alors une forte poussée vers le bas. Tu comprends. Ta bouche quitte la sienne et descends.
Elle s'arrête à la hauteur de sa poitrine. Ses seins gonflés par le plaisir sont irrésistibles et tu te jettes littéralement dessus. Tu ne prends pas le temps de les découvrir avec patience, tu ne peux attendre et tu ne veux attendre. Tu veux les manger et les dévorer immédiatement.
Ta bouche ouverte attrape le premier qui se présente, elle le gobe comme elle peu.
Tu rentres entre tes lèvres une partie de ce globe merveilleux. Puis, tu le ressors pour le sucer avidement. Tu passes ta langue sur l'ensemble de sa surface en voulant en couvrir le moindre centimètre carré.
Tes mains agrippent maintenant cette poitrine et tu y enfonces tes doigts. Tu t'y accroches de toutes tes forces pour réaliser que tu ne rêves pas.
Tu te jettes frénétiquement sur ses mamelons dont tu enserres les tétons de tes lèvres, passant de celui de gauche à celui de droite.
Laurence pose ces deux mains sur ta tête et faufilent de nouveau ses doigts dans tes cheveux. Par petites pressions sur ton cuir chevelu elle accompagne les assauts de ta bouche.
Sa pression soudain se fait plus forte et elle repousse ta tête encore plus bas. Ta langue reste sur sa peau et glisse sur son ventre, arrive sur son nombril. La pression exercée sur ta tête ne s'arrête pas. Ta langue descend sur son bas ventre. Ton visage se retrouve alors face à son sexe.
La poussée s'arrête là et ses doigts reprennent leur balade au milieu de tes cheveux en appuyant très légèrement de façon à pousser ta tête vers l’avant.
Tes lèvres se posent sur sa toison. Tu y déposes de petits baisers.
Tu t’aventures tout autour de cette région pour embrasser également son bas ventre, ses cuisses et ses aines.
Elle en profite pour écarter d’avantage ses jambes.
Tu places tes deux mains aux bords de ses petites lèvres et écartes légèrement son sexe.
Ta langue vient alors caresser l’une d’entre elles, remonte et redescends sur l’autre.
Tu contournes ainsi durant quelques secondes sont petit triangle de ta langue appliquée.
Laurence semble apprécier. Elle gémit doucement et augmente la pression exercée par ses doigts sur ta tête.
Ta langue glisse ensuite au milieu de ses deux lèvres et s’y enfonce lentement.
Ses jambes s’écartent encore plus pour te laisser avancer.
Un gémissement moins feutré sort de sa bouche.
Tu t’enfonces en elle jusqu’à coller ton visage sur son entre jambes.
Puis, tu ressorts, avec la même lenteur, pour te renfoncer de plus belle.
Ta pénétration va se faire de plus en plus vite. Ta langue remonte très lentement mais y retourne à chaque fois avec plus d’envie, plus de puissance, et plus de profondeur.
Laurence se cambre pour t’aider à atteindre les profondeurs de son intimité.
Chaque coup de langue est maintenant donné avec vigueur.
Et, tout en remontant, tu glisses cette langue sur son clitoris en y appuyant de façon marquée.
« - Oui c’est bon, c’est trop bon ! »
Ces mots augmentent ton plaisir et ton envie.
Ta bouche s’écarte de son sexe et tu y plonges un de tes doigts, le majeur.
« - Ouuuuuuuuuuuu !! »
Ton doigt vient se placer au fond de son vagin.
Tu le ressorts et le renfonces.
« - Ouuuuuuuu Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii !!! »
D’un rythme calme tu la pénètres, puis, retires ce doigt. Laurence cambre ses reins d’avantage.
Son sexe s’ouvre de plus en plus et ton doigt nage maintenant dans cet orifice.
Tu y rentres alors un deuxième doigt, ton index.
« -Hooooooooo ! Bérangèèèèère »
Tu remontes ton corps pour la regarder.
Tes pieds sont sur le sol et tu poses tes genoux sur l’assise du canapé, entre ses jambes. Ta main gauche prend appui sur le dossier et tu la surplomb ainsi.
Tes deux doigts enfouis dans son sexe reprennent leur mouvement.
Tes yeux sont plantés dans les siens. Son regard ne trompe pas, elle est sur le point de jouir.
Tu continues lentement à la pénétrer mais tu appuis de plus en plus.
Son sexe devient subitement humide et brûlant. Tu continues.
Ses yeux se dilatent. Tu continues.
Laurence attrape ses seins et les empoignent fermement.
Sa bouche s’entrouvre : « -Je vais jouir »
« -oui » lui réponds-tu.
Une dernière fois tu enfonces tes doigts en elle. Le plus profondément possible.
« - ouiiiiiiiiiiiiiiiiiii, ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii, hooo OUÏÏÏÏÏÏÏÏÏÏÏÏÏÏÏÏÏÏÏÏÏÏÏÏÏÏÏ »
Ses cris traversent la pièce et la remplissent.
Ses yeux ne te quittent pas. Tu lui souris.
Elle se relâche alors et s’enfonce dans le canapé. Tu te couches sur son corps et profites avec délice de ce contact peau contre peau.
Laurence approche son visage près du tien et te glisse alors à l’oreille.
« - C’était merveilleux. Si tu veux, la prochaine fois, je te montrerai quelques jouets coquins ramenés de voyages.
- Oui ».

Les avis des lecteurs

Peut être un peu long, mais cela augmente le suspense. J'ai beaucoup aimé et mon doigt et parti caresser ma fente.....

Histoire Libertine
belle histoire ,mais trop longue.J'ai mon amie mariée comme moi.Nous sommes retraitées et nous faisons souvent les boutiques de vêtements.Les hommes préfères jouer aux boules.nous sommes amies depuis l'école primaire.Un jour Amélie avait achetée un ensemble de sous-vêtement super,de couleur mauve en satin et très doux au touché.En rentrant chez elle je lui dis tu devrais essayer tes affaires,d'accord tu viens dans ma chambre et tu me donneras ton avis.Elle se déshabille et une fois nue je lui passe le soutien gorge et je l'aide a mettre les bretelles et en passant je passe ma main sur un sein et lui dit touche comme c'est doux,
oui mais ta main me donne des frissons comme elle n'avait pas de culotte
sa chatte m'attirait,ma main descendit sur son ventre tout en la caressant et une fois sur ses lèvres mon doigt masturba son clito,Amélie
m'embrassa et je me suis retrouvée a poile moi aussi ,nous avons fait l'amour.Amélie me dit Céline tu me fais mieux l'amour que Jean!



Texte coquin : Essayage
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