LA SOIXANTAINE EN FOLIE

- Par l'auteur HDS Jh_71 -
Récit érotique écrit par Jh_71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : LA SOIXANTAINE EN FOLIE Histoire érotique Publiée sur HDS le 08-05-2007 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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LA SOIXANTAINE EN FOLIE
Episode 1.



Une de mes amies est responsable pédagogique dans un lycée de province. Son appartement est une superbe villa qui jouxte l'établissement. Âgée d'une trentaine d'années, toujours célibataire, elle est restée très proche de ses parents qui viennent souvent passer quelques jours chez elle.

Sa mère est une femme qui frise la soixantaine, mais que les années ont malgré tout laissée encore très désirable. Elle est bronzée toute l'année. Ses cheveux sont méchés et effilés et elle sait divinement se mettre en valeur. Ce jour là, elle portait une chemise orange ouverte sur un petit haut coquin en toile noire, qui laissait voir et deviner des morceaux de sa peau et le haut de sa poitrine qui dépassait d'un soutien-gorge noir lui aussi. Nous étions assis tous les quatre (son mari était présent lui aussi), lorsque le concierge a téléphoné pour annoncer qu'une fuite d'eau était à déplorer dans une des annexes du gymnase. Mon amie devait s'y rendre aussitôt et son père, bricoleur, s'est proposé de l'accompagner. J'ai annoncé que j'allais partir, mais sa mère m'a dit de rester encore un peu afin qu'elle puisse me montrer les aquarelles qu'elle avait peintes.



Alors que son mari et sa fille partaient, nous nous sommes levés pour faire le tour de l'appartement et découvrir les quelques aquarelles accrochées aux murs qu'elle voulait me commenter. Elles étaient fines et jolies, mais je dois avouer que je n'apprécie pas plus que ça les aquarelles et que je préférais à ce moment là baisser mes yeux dans son décolleté. Une fois le tour de l'appartement effectué, nous sommes revenus dans le salon où elle m'a montré des aquarelles non encore accrochées. L'eau me montait à la bouche. Je n'arrivais plus à écouter ses explications tellement elle m'excitait.



Elle a du sentir que je semblais préférer ses rondeurs aux teintes de ses aquarelles. Sans rien dire elle m'a souri, a passé son index sur ma bouche et m'a pris par la taille pour m'adosser au mur. Lorsque, gêné, je lui demandai ce qu'elle faisait, elle m'a demandé de me taire en posant à nouveau son index sur ma bouche.



Elle a immédiatement sorti la langue de sa bouche pour la passer sur ma bouche et ensuite me lécher le cou d'une manière agile et je dois l'avouer très agréable. Me caressant le sexe de son bassin, elle a ouvert l'un après l'autre les boutons de ma chemise, tout en me caressant la poitrine avec la paume de sa main. Elle a ensuite mordillé mon torse nu et titillé le bout de mes tétons avec le bout de sa langue. Sa main caressait mon entrejambe, lorsqu'elle s'est baissée pour s'agenouiller devant moi. Elle mordait mon sexe en travers la toile de mon short et commençait à le masturber à la seule force de ses mâchoires au travers l'étoffe. Je lui caressai les cheveux, mais elle m'a demandé de ne pas la décoiffer, ce qui était normal étant donné la situation.


Délicatement elle s'est mise à baisser mon short et mon slip à moitié, afin de pouvoir aspirer délicatement le bout de mon gland. N' y tenant plus, j'ai baissé complètement mon short afin qu'elle me prenne entièrement dans sa bouche. Après avoir craché sur mon sexe, elle m'a pris entièrement dans sa bouche pour une fellation qui devait durer une dizaine de minutes. J'avais envie de la déshabiller, mais je savais que nous n'aurions pas le temps. Je me suis alors laissé faire, de peur d'être surpris par sa famille.

J'ai éjaculé dans sa bouche et c'est là qu'elle s'est mise à rire et à tout recracher. Elle a du se nettoyer rapidement, puis nous avons rejoint les fauteuils pour prendre un thé, comme si de rien n'était.



Épisode 2.



Après la première expérience avec la mère de mon amie, je ne me sentais pas très bien. Pendant plusieurs mois, je traînais honte et remords, je n'osais plus regarder mon amie en face. Vous rendez-vous compte, me faire sucer par sa mère... Je m'en voulais aussi beaucoup à l'égard du mari qui est un homme très sympathique et que j'estime beaucoup. Ce n'était pourtant pas ma faute, si sa femme avait des envies extraconjugales. Mais je n'allais pas non plus me poser en victime. Cette femme m'excitait depuis plusieurs années et ce qu'elle m'avait fait avait été divin. Ma fiancée a beau être très sensuelle et très chaude, bien souvent je repensais avec envie à ma sexagénaire.



Il est une tradition avec mon amie : elle m'invite depuis presque dix ans chaque année au festival de la ville de ses parents. Ils habitent une charmante petite villa, un peu à l'écart de la ville, dans une zone résidentielle très huppée. Cette année là, j'étais à nouveau invité. J'ai l'habitude de venir le samedi soir, de dormir dans la chambre d'amis après un très bon repas bien arrosé et d'aller au festival le dimanche.


J' y allai donc comme d'habitude, pourtant je savais que cette année les choses allaient être quelque peu différentes après ce qui s'était passé quelques mois auparavant. Comment allait elle réagir ? Allais- je encore oser regarder mon amie et son père dans les yeux ? Allaient- ils soupçonner quelque chose ? Capter un regard ? Allais-je pouvoir garder mon sang-froid et éviter les erreurs, alors que j'étais si excité à l'idée de la revoir ?



C'est sa fille et elle qui m'ont accueilli lorsque je suis arrivé. Je les ai embrassées comme si de rien n'était et elle m'a souri gentiment. Quel flash pour moi pourtant ! Elle était en train de jardiner au moment où je suis arrivé, elle portait un jean transformé en short, ses jambes bronzées étaient sublimes. Sous son T-shirt, elle portait un maillot de bain qui laissait bien voir la forme de ses seins, voluptueux, un rien pendants mais quand même bandants, je dois l'avouer. A ses pieds, elle portait des chaussures en plastique à semelle compensée qui mettaient bien son bassin et sa croupe en valeur lorsqu'elle marchait. Quel régal ! Et son parfum ...



Comme j'avais voyagé et beaucoup transpiré, elle me proposa de prendre une douche, ce que j'acceptais avec plaisir. Quel plaisir, cette douche froide, et puis je vous avoue que je n'ai pas oublié de me caresser doucement en pensant à elle...



Une fois sorti de la douche, en cherchant une serviette, j'ai ouvert quelques tiroirs. Dans celui du bas, je suis tombé sur une nuisette rouge en satin ; ce n'est pas le genre de ma vieille fille de copine de porter cela. C'était la nuisette de sa mère, j'en étais sûr. J'avais envie de la frotter contre ma peau, mais j'avais peur de la froisser et surtout de trop m'exciter...

J'ai fini de m'habiller et avant de descendre les rejoindre, j'ai voulu regarder par la fenêtre car la vue est sublime... et ce fut vraiment le cas : ma sexagénaire, la croupe en l'air était en train de cueillir du persil dans son potager, là, à quelques mètres de moi. Je pouvais admirer ses fesses sublimes tendues vers moi, ses jambes brûlées par le soleil, ses hanches, tout, tout me rendait fou....et je ne résistai pas à la tentation de me caresser en la regardant s'activer dans son potager. J'avais envie d'elle plus que jamais, une deuxième douche froide m'aurait fait du bien, mais je devais descendre maintenant.



Une fois dans le salon, j'ai eu droit aux traditionnels commentaires politiques poujadistes du mari que je n'écoutais que d'une oreille d'ailleurs, puisque j'entendais ma sexagénaire qui s'activait dans la cuisine et que j'essayai de l'entr'apercevoir dans la glace de la vitrine.



Quelques minutes après, elle rentra dans le salon pour nous servir un apéritif, champagne SVP, et nous annoncer que nous pourrions manger dès qu'elle se serait douchée elle aussi. Humm, elle sous la douche et moi en bas à discuter avec son mari et sa fille, quel gâchis, pensai-je en mon for intérieur...



Lorsqu'elle redescendit, elle était maquillée discrètement si ce n'est son rouge à lèvres un peu trop rouge, mais excitant. Elle portait un petit débardeur noir décolleté, bien que pas assez à mon goût, un corsaire noir et des babouches. Nous nous sommes installés à table pendant qu'elle sortait les verres à vin de la vitrine. J'en ai profité pour jeter un regard à sa croupe, ce qu'elle n'a pas manqué de noter, puisqu'elle croisa mon regard dans la vitrine. Je n'en pouvais plus. J'avais envie de sa bouche. Le repas a commencé. J'avais envie de lui faire du pied, mais étais bien trop timide et peureux pour le faire. Nous avons parlé de choses et d'autres et en particulier, du maire de la ville. Le chef de maison a trouvé gracieux de se moquer de lui, du fait des infidélités de sa femme. Le sujet des femmes volages et des maris cocus étant lancé, je me sentais rougir de plus en plus. Et il en rajoutait le monsieur. Je ne savais plus où me mettre et quoi dire. J'avais l'impression de perdre tous mes moyens. Ma sexagénaire me regardait parfois dans les yeux sans rien dire; je me demande bien ce qu'elle devait penser à ce moment-là. Regrettait-elle ce qu'elle m'avait fait la dernière fois ou bien n'avait-elle qu'une seule envie : recommencer ?



Le repas fut excellent et bien arrosé. Nous nous sommes tous levés de table vers minuit pour aller nous coucher. Ma chambre était au bout du couloir, à deux portes de celle de ma sexagénaire. Nous nous sommes tous souhaités une bonne nuit et sommes allés nous coucher. Je n'en pouvais plus de désir et je n'avais eu aucune occasion, je ne savais même pas si elle avait autant envie que moi de remettre ça. J'étais frustré ...et bourré. À peine dans mon lit, je n'ai pu résister à l'envie de me masturber qui était bien plus forte que moi. Tant d'images me hantaient.



Au milieu de la nuit je fus réveillé à plusieurs reprises par des bruits de pas dans le couloir. Je n'osais aller voir de peur de tomber sur le mari ou peut être bien de peur de tomber sur ma sexagénaire en rut... Quel courage !



J'ai très mal dormi cette nuit-là. Réveillé dès 5h30 par les oiseaux, je mourrais de soif du fait de mon abus d'alcool de la veille. Je suis allé dans la cuisine pour boire de l'eau, puis me suis habillé pour aller acheter des brioches en ville. Lorsque je suis revenu, elle était là, dans la cuisine, en train de lire le journal en robe de chambre, avec la petite nuisette en satin que j'avais aperçue la veille. Je voyais son décolleté généreux. Elle m'a demandé de ne rien dire et s'est levée. Elle a fait tomber sa robe de chambre et s'est approchée de moi. Elle m'a caressé l'entrejambe de manière très douce, puis en serrant de plus en plus. Je l'ai serré contre moi, je pouvais sentir ses seins contre mon torse, et je l'ai embrassée à pleine bouche. Nos langues se mêlaient à un rythme effréné, nous bavions tellement nous nous embrassions fort. Elle léchait mon visage, ma bouche, elle mordait mes lèvres, mon nez, elle serrait mon sexe dans sa main, elle essayait de le branler à travers mon pantalon en lin. Elle léchait mon cou, le mordait, elle me tirait les cheveux de rage. Elle caressait mon dos avec sa main. Je mordillais ses seins au travers de sa nuisette et cela la rendait folle. Je malaxais ses fesses tout en frottant mon sexe contre le sien. Je crois que j'aurais pu la pénétrer ainsi, sans enlever ni sa nuisette ni mon pantalon tant elle s'ouvrait à moi. Agenouillé devant elle j'ai plaqué mon visage contre sa chatte; elle a appuyé ma tête contre son sexe, tout en bougeant son bassin d'une manière impudique, la bouche grande ouverte. Tout en enlevant sa nuisette, j'enfonçai ma langue dans son sexe, je mordis son clito, je l'aspirai, je le suçai, j'enfonçai mon doigt dans sa chatte ; je la retournai, pour lui lécher les fesses, pour y entrer la pointe de ma langue coquine, pour lui lécher l'anus tout en caressant son clito avec mes doigts. Elle se mordait la main pour ne pas gémir, pour ne pas crier. Elle bougeait comme une folle.



J'ai enlevé mon pantalon vite fait. Elle m'a branlé comme une folle, des deux mains, puis a dirigé mon sexe qui n'avait jamais été aussi beau, dans sa chatte humide à souhait. En la portant par les cuisses, son derrière reposant contre la table, en lui roulant des pelles bien baveuses, j'allais en elle, au plus profond d'elle, par des allers-retours réguliers. Je mordais sa bouche, passais ma langue entre ses seins, elle mordait mon cou de plaisir et pour ne pas crier. Je me retenais afin que cet instant volé et suspendu dure le plus longtemps. Tout en allant et venant entre ses reins, je caressai ses fesses, et introduisis un doigt dans son anus. Elle souriait tout en haletant, elle tremblait. Elle secoua la tête dans tous les sens, puis elle poussa un petit cri étouffé contre ma poitrine. Elle a joui pendant deux minutes, puis a éclaté de rire en disant tout bas que c'était bon. Je n'attendais que ce moment-là pour pouvoir me lâcher en elle et ce fut exquis et très fort. Une fois que je me fus délicatement retiré d'elle, elle s'est agenouillée devant moi pour prendre mon sexe mollissant dans sa bouche et goûter mes dernières gouttes avant de le mâcher délicatement ; je sentis que je recommençais à bander, mais nous savions tous les deux que nous devions nous arrêter là au risque d'être surpris. Il n'était pas loin de 8 heures en ce dimanche matin. Je l'embrassai une dernière fois, elle me caressa les fesses une dernière fois, puis je montai doucement prendre une douche bien méritée. Tout le rez-de-chaussée sentait le sexe et son parfum capiteux.

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