Pour son plaisir (4)

- Par l'auteur HDS MAURLEO -
Récit érotique écrit par MAURLEO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Pour son plaisir (4) Histoire érotique Publiée sur HDS le 22-06-2015 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Pour son plaisir (4)
4 – Le contrat
Le contrat ! Ce mot me revenait sans cesse à la tête. Durant 2 jours, je ne pensais qu’à ça. Je fantasmais !!! Et ça me donnait des bandaisons comme jamais. Je me suis paluché en deux jours plus de fois qu’en toute ma vie… Et pourtant j’hésitais encore.

Mercredi matin… le dernier jour pour le choix. Le matin je m’engueule avec mon père. Il ne pense qu’à son boulot ! Et ma mère qu’à sa télé. Je leur annonce que je vais loger chez un ami quelque temps pour me rapprocher de l’école. Aucune réaction. Ma mère me demande simplement de l’appeler de temps en temps… En fait, j’ai l’impression qu’ils sont heureux que je les laisse tranquilles. Je leur dis que je reviendrai de temps en temps… Pas de réaction. Mon père est déjà parti ou presque. Je prends mes affaires de cours et un sac avec quelques affaires personnelles. « Salut, à plus ! » et me voilà parti, d’abord en cours où je n’ai pas trop accroché aujourd’hui. Il est 15 h. Je quitte la salle et file chez Jacques, le contrat dans mon blouson.

Arrivé à son immeuble, je prends l’ascenseur. Personne, j’en profite pour mettre le jogging de rigueur. Mon cœur bat très fort. Je bande ! Mon jogging trop large laisse la place à ma bite en pleine ascension. J’arrive à l’étage de Jacques. J’hésite encore et mon cœur bat de plus en plus vite. Finalement, je me décide et je sonne à sa porte. Il m’ouvre :
- Si tu es là c’est que tu as réfléchi ! et surtout que tu acceptes… Entre !

- Jacques, je voudrais qu’on parle de…
- Psst… Avant toute chose, pose tes affaires à l’entrée. Je vois que tu as ton jogging…
Il me tâte à travers le tissu- Hum… En forme je vois
Il m’embrasse. Je lui rends son baiser pendant plusieurs minutes.

- Bien, on va revoir ensemble les termes du contrat pour voir si tu as tout bien compris.

Il me demande de lire les différents points :La durée du contrat est fixée à 2 ans, renouvelable par accord entre les deux parties. Le stagiaire s’engage à servir son maître, qui lui, veillera à la sécurité de son apprenti. Le contrat a pour but d’amener le stagiaire à un respect total des règles fixées par son maître. En aucun cas le maître ne devra mettre la sécurité ou la vie de son stagiaire en danger.

- Bien pour un début. Maintenant explique moi ce que tu as retenu du comportement du stagiaire.

Et je lui énonce ce dont je me rappelle : le stagiaire fait confiance à son maître, il sert, honore et donne du plaisir au maître. Il respecte les ordres et décisions de son maître quel que soit le lieu où il se trouve. Le stagiaire doit immédiatement être disponible lorsque le maître le réclame. Il doit accepter de laisser son maître disposer de son corps tout entier, dans l’intimité comme dans les lieux choisis par son maître. Il accepte la punition en cas de manquements aux ordres. Le stagiaire accepte les jeux sexuels avec d’autres personnes que son maître et ceci afin de parfaire son éducation de docilité.

- Bien, jeune homme, très bien ! je vois que tu as bien appris ta leçon. Je te rappelle que le maître garde le contrôle de la situation et qu’il ne doit pas te mettre en danger. Je ne le ferai pas, tu m’es trop précieux ! Venons-en à la suite, les règles de vie ?

Je continue ma « récitation ». Le stagiaire ne s’habillera qu’avec les vêtements prévus par son maître. A l’intérieur de l’appartement, sans précision, le stagiaire vivra nu ou avec un jock strap. Il aura droit de mettre des tongs aux pieds. Le stagiaire devra s’entretenir et avoir une hygiène irréprochable.

- Excellent ! il est bien entendu que tu poursuivras tes études, j’y tiens ! Tu continueras aussi le sport pour te maintenir en forme. D’ailleurs nous continuerons ensemble la piscine. Il est évident que tu rentreras à l’appartement dès la fin de la journée et le week end. Je déciderai des jours où tu pourras voir tes parents. Continuons. Il y a un point sur la douleur, si je ne m’abuse.

- Oui, le corps du stagiaire est à la disposition du maître. Il pourra être soumis à la douleur, progressivement. Le stagiaire n’a pas à se soucier de la durée des jeux sexuels que ce soit avec son maître ou avec des tiers.

- Tu oublies de préciser que le maître se réserve le droit d’utilisation de chaque trou du stagiaire. Mais bon, tu as retenu l’essentiel. Est-ce que tu as pris connaissance des dernières dispositions ?

- Oui, c’est d’ailleurs ces derniers points qui me posent problème.

- Quel problème ?

- Tu parles de circoncision et d’épilation…
- Je te veux circoncis et épilé ! c’est clair !

- Mais…
- Il n’y a pas de mais ! c’est tout ou rien ! alors ?
J’avais déjà beaucoup réfléchi, et ce cadre contraignant me plaisait assez et je lui confirmais mon accord. Malgré tout, perdre tous mes poils et surtout mon prépuce me faisait un peu peur. Mais Jacques avait tellement pris d’importance dans ma vie que je lui fis signe que c’était bon pour moi.

- Tu as vu les annexes ?

- Oui, il s’agit des punitions
- Voilà. Alors tu sais que comme punition il peut y avoir différentes choses : séquestration, coups, humiliations etc… l’humiliation faisant également partie de ta formation ! D’ailleurs, je te réserve une surprise, mais ce sera pour plus tard… beaucoup plus tard.

- Oui, j’ai vu tout ça. Ça me fait un peu peur, mais j’ai confiance en toi.

- Bien, reste les points de vie : tu t’occupes de l’appartement : nettoyage, vaisselle, etc. La cuisine on la fera ensemble. En tant que maître, je règne sur ta vie, jour et nuit ! je te garantis un sommeil réparateur tant que tu fais tes études. Je te garantis aussi du temps pour toi : études essentiellement. Je veux qu’elles me servent un jour ou l’autre. Commerce international c’est parfait pour moi ! et pour toi aussi donc !

- Oui, bien sûr. En plus je m’y plais finalement.

- Très bien Cédric. Tu signes et tu te mets en tenue !
Il me tend un stylo et je signe le contrat après avoir paraphé les pages. Je me déshabille en hésitant avant d’enlever mon caleçon. Il me le baisse vivement et je me retrouve entièrement nu. Il prend mes vêtements et les met dans un sac poubelle. Puis il me fait visiter l’appartement. Il m’emmène dans la cuisine, le cellier, les trois chambres dont une qui sera la mienne. Il m’explique comment fonctionnent les appareils… Dans la chambre, il ouvre une commode. A l’intérieur se trouvent quelques mini-slips, un jock-strap, un débardeur et une paire de tong. Dans un placard se trouvent un jean, des sweats, et un costume de style anglais (culotte courte, blaser, cravate…). Il y a aussi des chaussures vernies.

- Voilà, tout cela est à toi maintenant. Normalement c’est à ta taille, mais si ce n’est pas le cas, on ira échanger. Demain nous irons au salon pour ton épilation totale. Tu garderas simplement tes sourcils !

Je suis là un peu penaud, ne sachant comment ni où mettre mes mains.

- Bien, maintenant on va fixer la semaine qui arrive : tu vas en cours quand ?

- lundi, mardi et mercredi puis vendredi.

- Très bien, le jeudi matin ce sera sport et le jeudi après-midi ce sera études ! Samedi sport et distractions et dimanche… on verra !

- Je vais être très occupé dis-moi !

- Je te le confirme. Chaque matin, l’appartement est en ordre, tu t’en occupes bien sûr !

- Je pourrais appeler mes parents ?

- Oui, tu pourras même les voir… à ce rythme on tient jusqu’au printemps ! et au printemps clic clic.

- Clic clic ?

- Tu n’as pas oublié ? Circoncision. Je prends rendez-vous tout de suite à la clinique. Je connais le professeur, il te soignera bien.

Je ne sais pas quoi dire ni quoi faire. Je me trouve un peu perdu tout à coup. Je n’imaginais pas du tout cette situation. Jacques m’emmène dans ce qui sera ma chambre.

- Tu dormiras ici quand je n’aurais pas besoin de toi. Ton lit sera fait comme il l’est actuellement. Tes affaires toujours rangées. Le jour où j’ai besoin de la chambre, tu dormiras dans le salon.
La chambre n’est pas bien grande. Un lit de deux personnes, une commode, une chaise et un placard. Près du lit, une petite tablette avec un tiroir et une lampe de chevet. Aucune décoration au mur, juste un mur blanc.

- Je te laisse t’installer.

M’installer ? mais je n’ai rien sur moi. Je suis à poil dans cette pièce. Je teste le lit. Pas trop mal. J’ouvre le placard… Rien de plus que tout à l’heure. J’ouvre les trois tiroirs de la commode. L’un d’eux contient les sous-vêtements, un autre des draps, un troisième des serviettes de toilette.
J’ouvre la porte, regarde un peu autour… Je me dirige vers la salle de bain : grande baignoire, douche séparée, wc et lavabo. Encore un placard… La salle de bain est presque aussi grande que ma chambre. Jacques est derrière moi. Il m’enlace et prend ma bite. Il me branle lentement, ce qui évidemment me fait un effet immédiat.
Il me tient par la bite et m’entraîne dans le salon. Il me suce et ce qui devait arriver arriva, je lâche la purée. Il m’ordonne de tout nettoyer avec ma bouche. Puis quand c’est terminé, il m’annonce qu’il va m’empêcher de jouir en dehors de sa présence. Il me présente un objet qui ressemble à une petite cage. Quand j’ai bien débandé, il me passe un anneau puis me fixe la bite dans la cage en plastique assez ferme et y place un petit cadenas. Il vérifie qu’on ne peut pas l’enlever. C’est froid, c’est serré, ma bite est recourbée. Ça m’excite un peu mais quand je commence à bander, la cage se remplit très vite et ma bite ne peut pas grossir comme je le voudrais.

- Et comment je fais pour pisser ?

- Tu pisseras assis ! Tu verras, ça n’est pas si mal. Et surtout tu n’oublieras pas de bien nettoyer sinon l’infection te guette tant que tu n’es pas circoncis.


Voilà à peine trois heures que je suis là et me voilà déjà la merci de Jacques. Je ne peux même plus disposer de ma bite comme bon me semble… Je regarde mon sexe emprisonné dans une cage transparente modelée sur une bite au repos. Un trou au bout me permet de pisser. Au repos, ma bite n’occupe pas tout l’espace, mais dès qu’elle grossit un peu, je me sens comprimé. Il m’emmène à la cuisine pour préparer le repas. Il est presque 20 heures !

- Tu as tes affaires pour les cours ?

- Oui, bien sûr… Il me manque quelques bouquins que je passerai récupérer demain si ça ne te dérange pas…
- Non, demain on retourne au salon d’esthétique pour la totale !

On mange. Comme prévu je m’applique à tout ranger. Il a l’air satisfait. Il m’entraîne dans le salon où je me love dans ses bras pendant qu’il passe des coups de fil.
La nuit est plutôt difficile avec ce truc sur ma bite. Finalement je m’endors, épuisé nerveusement. C’est Jacques qui me réveille en me caressant le cul. Je sursaute un peu puis il m’embrasse.

- Bonjour mon petit soumis, comment vas-tu ce matin ?

- Bonjour Jacques, j’ai bien dormi mais j’ai un peu mal au bas ventre…
- Tu vas t’y habituer. C’est un peu pénible au début… mais c’est une habitude à prendre. Allez, il est l’heure… Un p’tit déj et on se met en route.

Avant de partir, il m’ôte la cage et me remet les vêtements à porter : un mini slip, un short un tee shirt et des baskets.
Une dame, différente de la dernière fois, mai qui semble être la patronne lui fait la bise à l’entrée.

- Bonjour Jacques, tu as avancé le rendez-vous ? aujourd’hui je n’ai que des esthéticiennes, Ludo n’est pas là…
- Pas grave. Tu connais Cédric ? C’est un bon nageur, mais il faudrait l’épiler, ça aide.

- Suivez-moi jeune homme.

Je suis la dame qui m’emmène dans une cabine. Elle me demande de me déshabiller et d’enfiler un string qu’elle me remet. Quand je serai prêt je dois aller dans la petite pièce sur ma droite. Je fais ce qu’elle me demande. Le fait d’enfiler ce string gonfle un peu ma bite, mais j’essaie de penser à autre chose pour ne pas bander. J’arrive dans la petite pièce où il y a une table avec des serviettes dessus. Un jeune fille d’environ 25 ans entre dans la pièce et me demande de m’installer sur la table. Je ne sais trop quelle position prendre. Elle me dit que nous allons commencer par le dos. Je dois donc m’allonger sur le ventre. Elle prépare ses instruments et m’annonce qu’elle va m’épiler les jambes et les fesses. Elle commence par les fesses. La cire est assez chaude. Elle me pose ensuite des tissus qu’elle retire d’un seul coup. La surprise me fait me contracter et pousser un cri. Je ne bande plus du tout ! Ça fait très mal ! Jacques apparaît.

- Ne soit pas douillet ! Allez-y mademoiselle, et faites aussi l’intérieur
L’esthéticienne continue son œuvre. La douleur est intenable lorsqu’elle fait les mollets. Heureusement elle m’enduit d’une crème lorsque la jambe est terminée. Elle me demande ensuite de me retourner. Jacques lui précise que l’épilation doit être intégrale et me recommande d’enlever le string. Je n’ose pas broncher et je retire la dernière barrière qui me protéger de ma nudité. Je vois le visage de la jeune fille qui vire au rouge. Je m’allonge maintenant sur le dos. L’esthéticienne s’occupe d’abord des quelques poils que j’ai sur le torse. Ce n’est pas le plus douloureux. Elle s’occupe ensuite de mes jambes, ce qui est une nouvelle torture. La jeune fille pose une crème dépilatoire qui brûle un peu, mais c’est mieux que la cire ! j’ai quand même les larmes aux yeux. Je peux remettre mon string. Elle s’occupe, pour terminer de mes aisselles et de mes bras. Quand elle a terminé, je suis à bout. Elle nous laisse, Jacques et moi dans la pièce.

- Tu es superbe comme ça ! le petit prépuce en moins et ce sera parfait !

Puis il me suce. Je bande très fort. J’essaie de me retenir, mais j’éjacule finalement dans sa bouche. Il m’embrasse et me rend toute ma semence. J’ai débandé, il en profite pour me remettre la cage puis m’entraîne ensuite dans le couloir pour me ramener à la cabine. Nous croisons la dame qui nous a accueillis.

- Beau travail, n’est-ce pas Jacques ?

- Oui, c’est toujours très bien ici !
La dame me regarde des pieds à la tête et fixe mon sexe emprisonné.

- Tu es mignon. Et elle me donne une petite claque sur les fesses.

Arrivé à la cabine, je me rhabille. Nous rentrons à l’appartement. Je n’ai pas l’habitude de marcher avec cette cage. Ça me frotte un peu les cuisses, mais finalement, on s’y fait.

Aux toilettes, je suis obligé de m’assoir, ce qui me manque c’est de faire tomber la dernière goutte !

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