Souvenirs..encore

- Par l'auteur HDS Derniers outrages -
Auteur homme.
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Récit libertin : Souvenirs..encore Histoire érotique Publiée sur HDS le 23-06-2015 dans la catégorie A dormir debout
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(8.0 / 10)

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Souvenirs..encore
Le temps sembla s'arrêter comme pour figer à jamais dans ma mémoire cet instant. Bien que j'avais déjà pu voir son corps dévêtu, je découvrais pour la première fois son intimité qu'elle caressait à en gémir d'un plaisir non contenu. Il m'a fallu quelques dizaines de secondes pour reprendre mon esprit. Je me devais de poser cette photo comme je l'avais prévu et de repartir comme si de rien n'était. J'étais rentré sans y être convié et cela me mettait dans tous les cas dans une situation ou je ne devais pas y être. Je m'apprêtais à partir quand je sursautais à cause d'un bruit provenant de la porte. Mon sang ne fit qu'un et je bondissais dehors par la baie vitrée et ,tout juste sorti, me cachait dos contre le mur . Mon souffle était haletant comme si je venais de courir un cent mètre. J'essayais de me calmer encore éprouvé par ces dernières minutes quand j'entendis la voix de David. C'était donc lui qui venait de rentrer. Dans mon moment d'égarement je ne l'avais pas entendu se garer dans l'allée. Je distinguais à peine ses paroles mais je compris vite qu'il venait de surprendre sa mère dans la même situation que moi quelques minutes plus tôt. Pendant une à deux minutes je n'entendais rien et caché je ne voyais rien. Il était plus sage de rentrer mais je décidais d'attendre que la lumière s'éteigne pour m'assurer qu'ils soient montés à l'étage. Les minutes s'écoulaient et celle ci était toujours allumée. Je ne savais pas quoi faire surtout que je percevais que David parlait. Dans ces moment là, on a l'impression que le moindre bruit résonne comme un bruit de tambour et ma tentative de m'esquisser me donnait l'impression que chaque pas sur le gravier pouvait leur donner un gage de ma présence. Je restais figé dans le noir en espérant que mon immobilisme ne durerait pas trop longtemps. La voix de David se rapprocha de la baie vitrée et plus il approchait, plus je distinguais ce qu'il disait, plus une certaine peur nourri de honte montait en moi. Il entreprit d'ouvrir un peu plus la baie vitrée. Je l'entendis distinctement dire à sa mère qu'il faisait chaud dans la pièce et que cela ne serait que d'autant mieux ? Je me sentais pris au piège. Combien de temps allaient ils rester dans le salon ? Au moins avec la baie vitrée un peu plus ouverte je cernais mieux les paroles. David dit à sa mère qu'elle pouvait continuer. Continuer ? Etrange, était il en train de dire à sa mère de continuer à se caresser ? Je souriais. Après tout, pourquoi pas ? C'est alors que contre toute attente, je l'entendis à son tour gémir. Mon étonnement était à la hauteur de mon envie de jeter un œil et de constater visuellement ce qui se passait dans la pièce. Mais il y avait toujours cette peur de se faire prendre comme voyeur. Ses gémissement montait en intensité. Que faisait il ? ou plutôt que faisaient ils, sa mère et lui ? Se masturbaient ils tous les deux ? On appelle cela le plaisir solitaire, je voyais mal sa mère et lui se caressaient cote à cote comme on partage un film. je devais savoir. La curiosité l'emporta sur la peur. Ma regard se porta sur l'intérieur de la pièce et le début de mon champ de vision me permit de voir David debout. le canapé cachait le bas de son corps à partir de la taille. Je ne voyais pas sa mère. Peut être était elle montée et ce coquin de David se masturbait, sa mère l'ayant inspiré. Une parole de sa part vint cependant troubler mon raisonnement. " Tu suces bien" disait il. Je reprenais place caché de dos à nouveau. Se pouvait il ? Non, il avait peut être ramené quelqu'un et après que sa mère soit montée honteuse de s'être fait surprendre, ils étaient en train d'engager les préliminaires. Il fallait que je parte. J'avais trop attendu. Peu importe le bruit des graviers, après tout il était surement concentré sur un autre sujet et il n'entendrait rien. J'engageais ma retraite par un premier pas en m'esquivant latéralement et en regardant bien ou je mettais mon pied quand une phrase me glaça et me figea dans ma courte progression. "Petit voyeur, tu pars déjà?"

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Histoire sexe : Une rose rouge
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