Lolita veut garder sa virginité

- Par l'auteur HDS Jpj -
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Récit libertin : Lolita veut garder sa virginité Histoire érotique Publiée sur HDS le 03-07-2015 dans la catégorie Pour la première fois
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Lolita veut garder sa virginité
Elle a dit, les filles sont toutes pareilles, quand elles ont pris leur pied avec un garçon, le matin, elles vont acheter des croissants.

Moi, ce qui m'interpellait, c'était sa tenue !
Elle m'avait encore fauché des habits pour se vêtir... Et fallait voir comment. Je pensais, si elle est allée dans cet accoutrement circuler dans le quartier jusqu'à la boulangerie, l'a dû déclencher l'émeute en ce samedi matin d'été.

Moi-même, j'étais bandant, assis dans le lit, la couette sur les genoux levée haut par le mat dressé des matins triomphants brutalement porté au pinacle par l'apparition de ma Lolita.
Un accoutrement à faire sauter synchro tous les bouchons de champagne de l'appart, malgré les cupules et les muselets fort serrés.

Elle m'avait fauché une tenue d'athlétisme, jogging. Le short encore ça allait, bien qu'il fût deux tailles trop grand et offrit à l'?il curieux vue sur son aine et sa pilosité débordante. D'un côté, de l'autre, selon. Mais le top, c'était le débardeur façon marcel qui couvrait tout juste ses aréoles, les tétons dressés ayant pour tâche de maintenir les bretelles bien centrées sur ses nibars.
Les seins gonflés hurlaient leur bien-être et balançaient à chacun de ses mouvements, au pas cadencé.

Et tout ça avec le sourire innocent de la fillette que l'on a chargée de rapporter des croissants pour le petit déjeuner de la sainte famille.

Elle a posé le sachet de papier sur le drap sur mes genoux et est venue fureter de sa frimousse de souris sur mon ventre, à mon nombril, descendant entre mes cuisses pour frotter sa joue fraîche au pieu de chair chaude qui concentrait toute ma conscience.
Moi je revoyais mon rêve de la nuit et j'aspirais à vivre en vrai ce que j'avais alors seulement imaginé.

Mais elle s'est relevée et m'a dit, ma bouche est trop petite pour toi, ou plutôt, tu es bien trop sévèrement monté pour mon museau de belette.
Elle a dit, debout, tu vas nous préparer le café. Merci d'utiliser l'eau déminéralisée, je ne supporte pas l'eau du robinet.

Quand j'ai été levé, ma saillie dressée devant moi, à deux mains elle a empaumé mes roupes et m'a dit, va, encore un tout petit effort et elles seront prés d'éclater comme la grenouille de la fable.


Pour aller à la plage elle a voulu une robe, une jolie robe. Elle a dit je ne vais pas m'assoir dans le baquet de ta Porsche habillée d'un de tes vieux tee-shirt.
Vu que je n'avais pas ce genre d'article dans mes tiroirs, il a fallu retourner chez tam.tam, à la rue d'à coté.
Elle était connue dans ce magasin et la vendeuse l'a gentiment bisée en bienvenue. Comme je faisais la moue, la vendeuse est montée sur ses pointes de pied et m'a bisé deux fois aussi. Pour n'être pas de reste, Lolita est venue devant moi, m'a chopé à la nuque et m'a roulé un patin de princesse. Puis elle s'est tournée vers la vendeuse et elle a dit, putain ce qu'il bise bien, Papy...

La vendeuse louchait sur le débardeur qui descendait bas sur les hanches de Lolita. Enfin ce qu'elle matait, la vendeuse ce n'étaient pas les hanches de mon sextoy mais les deux seins qui menaient sarabande au balcon.
Elle a osé, cette vendeuse, lui poser une main sur la hanche, comme qui dirait pour connaître sa taille et choisir correctement la robe appropriée.

Lolita avait des idées arrêtées.
Elle voulait de fines bretelles et un empiètement bas afin de tout juste couvrir ses aréoles sans cacher le rond du haut de ses beaux seins.
Sont beaux mes nibars, non, qu'elle a dit.
Pour le reste, tissu léger près du corps et courte, que l'on voye mes cuisses et leur galbé.

Elle a dit, on vous laisse le marcel de papy et son short de gymnastique. Il passera les chercher semaine prochaine. D'ici-là vous pourrez les fourrer sous votre oreiller, ils puent le mâle. Ça vous fera de beaux rêves... Le débardeur est imprégné de bonne sueur d'efforts athlétiques quant au short il est raide de musc de couilles. Passent jamais à la machine les frusques de mon papy...

La vendeuse a voulu se rattraper de la dernière fois et nous vendre une culotte, vous ne pouvez pas rester, mademoiselle, ainsi cul nu... Voulait augmenter le chiffre d'affaire de la boutique, la vendeuse, ou alors peut être était-elle commissionnée...
Mais Lolita se sentait bien ainsi, à l'air libre, et a décliné.

Tu me mettras la main à la chatte, hein Papy, dans ton auto ?

Je voyais bien que cette vendeuse était subjuguée par l'attitude de Lolita et ce qu'elle en déduisait de ma virilité. J'ai pensé, quand je viendrai récupérer mon débardeur, elle sera mûre, surtout si elle a passé quelques nuits à fantasmer le nez dedans, surtout le short.

Lolita voulait aller à la plage. On a filé direct sur le Bassin. Les dunes du Cap Ferret sont un vrai bonheur en ce début d'été, avant l'arrivée des touristes.

J'avais complètement oublié que cette toute jeune fille pendue à mon bras, ses ballerines à la main, sur le caillebotis à travers les dunes n'était qu'un androïde, un sextoy. J'avais ma main à sa taille et brusquement nous avons vu la mer, l'océan, immense, courbe, bleu. Elle a couru sur la pente qui menait à la plage. Au bord de l'eau elle a fait glisser les bretelles sur ses épaules, a aidé la robe à passer l'obstacle de ses seins puis a enjambé le petit tas de tissu sur le sable pour avancer nue vers les rouleaux écumants.

Moi je pensais, un androïde sait-il nager ? Me faut veiller sur elle. Sûr qu'elle est légère mais un hubot est mécanique, cela flotte-t-il cette chose-là ?

La plage était vide ou presque. Quelques pêcheurs avec leurs lignes au loin, deux trois couples à peine visibles allongés au soleil, un gars tout nu qui jouait avec son chien dans l'eau, bite brinquebalante dans une toison épaisse sombre d'imam de pope...

Lolita s'est retournée vers moi, m'a tendu ses bras et m'a dit, viens.
J'étais nu je lui ai pris la main et nous sommes entrés dans l'eau bouillonnante de sac et ressac.


Lolita savait nager. Même elle coulait un joli crawl de danseuse, les bras hauts, sa frimousse immobile dans le prolongement de son corps. Je pensais soudain, mais, c'est vrai, les androïdes n'ont pas besoin de respirer. C'est facile pour eux dans l'eau. Je voyais ses fesses claires rebondies qui flottaient au dessus de la surface et ses cuisses qui battaient énergiquement l'eau en grand jaillissement d'écume.

Elle n'a rien dit mais à voir son sourire coquin, j'ai compris qu'elle me préparait quelque chose.
Elle a plongé devant moi, s'immergeant comme un sous-marin qui emplit ses ballasts. Puis j'ai senti ses mains à mes hanches et puis sa bouche sur ma tige amollie froide recroquevillée. Sa bouche était chaude, elle était douce, elle était profonde.
Mon bitos malingre s'est lentement épanoui développant toute sa longueur au creux de sa gorge chaude. Le bout glandulaire soulevait sa luette et jouait avec ses amygdales. Elle avalait en glutitions successives malaxantes.
Je pensais, quelle supériorité sur l'humain que ces androïdes qui n'ont pas, eux, besoin de respirer...
Elle est restée ainsi sous l'eau un temps si long que j'ai eu peur que les voisins de plage viennent s'enquérir.

Fait-elle cela en apnée ? A-t-elle un truc, un tuba, une bouteille ?

Aucun n'aurait imaginé qu'elle n'était qu'un sextoy bionique non soumis à tyrannie de respiration.

Quand elle a senti que mes neurones testiculaires étaient prêts à exploser, elle a longuement restitué la tige pinacotique, comme on pose un colombin après long temps de rétention, gardant juste un instant le gland au chaud dans ses lèvres avant de s'écarter et de remonter à la surface.

Je me sentais sacrément frustré.

On est sortis de l'eau, main dans la main et ma bite dressée malgré la froidure. Elle a dit, viens te rouler dans le sable chaud pour te sécher.

Le sable lui faisait comme un habit, comme une croute couvrant chaque morceau de son corps de sa peau. Sa touffe noire était perlée de grains de sable blond et je pensais, sa fleur doit pareil être nappée de ces fins grains de silice.
Elle m'a pris par la main et nous avons couru grimper la dune puis arrivés au faîte elle m'a pris dans ses bras et nous avons roulé enlacés jusqu'en bas. Bras et jambes mêlés emmêlés.

Comment envisager lui faire l'amour dans de telles conditions ?
Il fallait retourner à l'eau pour se nettoyer de tout ce sable collé.

Pourtant j'avais plaisir à me frotter à elle et à sentir le sable fin gratter nos peaux et exacerber les sensations du toucher. J'avais passé ma jambe entre ses cuisses et je raclais en remontant sous sa touffe les replis au creux de sa fente. Je sentais bien que le sable mouillé écartait ses lèvres et donnait à ma caresse intime une couleur de violence qui lui plaisait.
Elle, passait sa main entre mes fesses et caressait mon petit trou de deux doigts et de sable, agressive et diablement émouvante.

Sa bouche était la seule partie d'elle restée vierge de sable. Mes lèvres l'ont happée pour un long et tendre baiser.
Elle en a profité pour prendre ma bite entre ses deux mains, dégager mon gland et le masturber doucement dans un nid de sable sec et chaud au creux de ses paumes.

C'en était trop pour ma résistance et la jouissance est venue à longues lancées de liquide laiteux mêlé au sable dans ses mains qu'elle a pris plaisir à ganguer tout autour de ma tige amollie.

Après long temps d'apaisement sous le soleil, protégés de nos peaux de sable, nous sommes retournés à l'eau pour nous rincer, puis nous sécher dans la grande serviette et grimper au haut de la dune pour un peu de solitude, sous le soleil exactement.

Elle a dit, je vais t'oindre d'ambre solaire sinon tu vas choper le coup de soleil surtout sur tes fesses. Lolita était agenouillée derrière moi, à cheval sur mes cuisses et massait amoureusement mes épaules, mon cou, ma nuque, mes flancs, mes bras. Mon dos n'était plus qu'un loukoum brillant de l'onction protectrice des UV. Elle s'attardait sur mes fesses, passant et repassant sur l'anus, entre elles, qu'elle avait copieusement arrosé d'une longue giclée de produit et qu'elle s'appliquait à enduire en profondeur.

Ses mains remontaient sur mes cuisses, cherchant à bien protéger leur face interne qui est si fragile.

Elle a voulu changer de position et s'agenouiller dorénavant entre mes deux cuisses qu'elle a écartées d'autorité. C'était plus commode assurément pour oindre, des genoux au périnée, le tendre à peine velu pour lequel ses mains avaient attrayance.
Et à chaque retour elle passait ses mains en dessous pour empaumer mes roupes et badigeonner leur sac de sa lotion odorante.

Manifestement, cet androïde avait été programmé kinésithérapeute, ostéopathe ou même pire. Elle savait très exactement où poser ses doigts pour déclencher bandaison même chez le mec entièrement vidé par sa prestation précédente.
J'étais si bien que quand elle m'a dit, côté pile terminé, va tourne moi le côté face, j'ai aussitôt obtempéré, bite fière haut dressée.

C'est par là qu'elle a attaqué. Grosse coulée beigeasse du flacon de polyéthylène sur mon prépuce à peine entrebâillé. Puis elle a tiré sur la hampe les peaux vers le bas pour bien tout dégager, tendant le frein en extrême limite puis, par de multiples gestes descendants elle s'est efforcée de bien faire pénétrer la crème protectrice dans le gland et dans le corps caverneux tendu dégagé de sa peau protectrice, abandonné confiant à sa caresse aimante.

Le reste fut du même acabit. Et à la fin de sa prestation, j'étais à nouveau sur le point de m'éclater. Je serrais les couilles pour ne pas m'épancher en vain et garder un peu d'énergie pour lui faire l'amour comme elle avait suggéré que nous le fissions. Dans les dunes ... et nous y étions, non ?

Mais je n'avais pas bien saisi sa malignité !

L'amour qu'elle m'avait promis n'était que préliminaire.
Elle était vierge et prétendait le rester encore quelque temps.
Elle m'a expliqué cela, ses lèvres à mon oreille en murmure alors que nous rôtissions de concert sur la grande serviette, ma bite dans le creux de sa main et ma main empaumant son sein droit, téton dressé, gai, juvénile.

Elle m'a dit, as-tu touché mon hymen de ta langue tantôt quand tu me faisais minette ?
Tu sais aucun autre garçon n'est jamais venu visiter cet endroit que toi.

Moi aussitôt, j'ai pensé, mais les filles alors ?
Transmission de pensée, empathie, elle a ajouté, aucune fille non plus.

Elle se serrait contre moi sur la grande serviette sous le soleil au creux d'une dune du Truc Vert, appellation locale, les connaisseurs comprendront. Et moi je bandais sans discontinuer, je n'étais que ça, bandaison...

Je pensais, j'ai acheté ce sextoy et puis me voilà pris épris, tout coincé dans ma tête, amoureux de cette machine qui a pris sa liberté et à jeté la zapette aux chiottes.
La zapette avec laquelle je devais la gérer.
En fait, c'est exactement ça, cet androïde s'est affranchi.
Et c'est moi qui en fais les frais.
Peut être est-ce la première fois qu'un hubot sort de son rôle pour vivre sa propre vie.

Mais je la comprends, la virginité, c'est important, surtout pour une fille avec ce truc, l'hymen, cet espèce d'opercule de garantie...

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
avec du sable c'est moins bien mais patience c'est bien mais dans des limites raisonnables.............



Texte coquin : Lolita veut garder sa virginité
Histoire sexe : Une rose rouge
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