LA BONNE DU CURE (5)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : LA BONNE DU CURE (5) Histoire érotique Publiée sur HDS le 27-07-2015 dans la catégorie Dans la zone rouge
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LA BONNE DU CURE (5)
-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --
De retour dans notre village, je retrouve ma chambre austère du presbytère.
Léa toujours aussi salope piège Stéphane, le curé dont je suis la bonne et l’oblige sans beaucoup le forcer à s’occuper de nos chattes alors que depuis qu’il est arrivé, il avait pris l’habitude de me sodomiser.

Au matin Stéphane a des velléités de recommencer nos jeux.
Je m’apprête à remettre sa tige dans ma bouche, Léa m’arrête.

• Assez jouer Justine, terminé les amusements gratuits, si tu veux nous baiser, tu fais comme les autres 50 € la pipe, 100 € nos chattes et 300 la sodo payable cash. Sinon, il te reste la veuve poignée.
Bien compris Stéphane, sinon les photos direction l’évêque.
• Oui !
• T’as bien compris, Justine et moi sommes des putes et nos culs se payent.
Grace à notre voyage en Hollande en passant par la Belgique, je lui ai appris le métier et elle est devenue la meilleure bonne de curé à faire la pute.
Tu veux commencer maintenant.
• Non, je dois aller voir une personne malade dans le village.

Il se lève, prend sa soutane et quitte ma chambre.
J’ai cours de code et de conduite à quatorze heures pas d’urgence dormons.
À onze heures, nous rejoignons notre table au bistro.
Dix minutes et le curé arrive.
Tiens, il a enlevé sa soutane pour le costume actuel des curés.
Devant la partie tabac, une de mes rombières préférées achète des timbres.
Son regard, s’il avait été des poignards, nous aurait trucidés. Nous, pour venir dans une tenue osée dans un café et le curé pour avoir enlevé sa soutane.
En sortant nous allons au garage du village où Gaétan nous attend.
Gaétan est un copain d’école de Léa qui vient de reprendre le garage de son père qui a une maladie qui l’empêche de continuer.
Hier, elle est passée le voir et il lui a proposé une voiture de neuf mille kilomètres à un prix raisonnable.

• J’ai regardé, d’accord pour les trois mille euros de remise. Mais tu la payes en liquide !
• Justine, si elle te plait, c’est une DS3 cabriolet gris métal.
• Montez, voyez comme on est bien dedans.

Je m’installe. Il met le contact tour un bouton et la capote s’ouvre, nous pourrons rouler cheveux au vent.

• Elle te plait.
• Une merveille !
• Reste là, j’arrive, je vais régler les papiers avec Gaétan.

Je la vois entrée dans le bureau. Vingt minutes après, je l’attends toujours.
Je sors de la voiture sans faire de bruit.
Le bureau a une vitre qui donne dans le garage.
J’approche discrètement.
J’ai compris, elle finit de monnayer les trois mille euros de remise. Son copain l’a placée ses fesses sur les factures et il lui taraude, la culasse avec son démonte pneu.
Je le regarde accélérer et d’un seul coup, il lui remplit la chatte.
Remise gagnée !
Léa se rajuste, prend son sac et sort pour me rejoindre.
Elle se met au volant manœuvre avec maestria et sort du garage.

• Chérie, c’était bon.
• Juste avant mangé cela ouvre l’appétit.
• Attention, L’auto-école, le garage et le curé, il va bientôt ce dire que deux putes sévices dans le village !
• Cela te gêne.
• Un peu, mais si nous sommes ensemble, j’assumerais.

Elle arrête la voiture et nous déjeunons rapidement.
Je suis à l’heure à mon rendez-vous. Elvis me fait prendre le volant pour la première fois et tout se passe bien. Il me regarde avec des yeux d’envie.
Au moment de partir, je lâche.

• Quatorze jours, à demain !

J’entre dans ma chambre, je change de vêtement et je ressors.
Je me dirige vers une maison que je connais bien. J’y suis allée souvent du temps de la mort du mari de Berthe. Mon frère voulait que je lui apporte notre réconfort.
Lorsque je sonne, Berthe est surprise de me voir. Elle me fait entrer.
Dans la salle à manger, très polie, elle me demande.

• Que me veux-tu ?

J’enlève mon imper !
Ses yeux lui sortent de la tête.
J’ai mis mon ensemble rouge que j’avais à Amsterdam lorsqu’elle m’a vue dans la vitrine.

• C’était toi !
• Oui, Berthe et si tu avais regardé la vitrine à côté de celle où je tapinais, tu aurais vu Léa qui travaillait avec moi.
• Vous n’avez pas honte, on a oublié de vous apprendre à vous respecter !
• Es-tu sûr que ton mari te respectait ?
• Jamais j’ai été trompé !
• Tu en es sûr.
• Pourquoi ? Tu as appris quelque chose.
• La bigote que tu fréquentes et qui a fait partir mon frère en le dénonçant était sa maîtresse. Il te trompait ignominieusement derrière ton dos. Le soir après son travail, il entrait discrètement dans sa quincaillerie et sur la porte, elle plaçait le panneau fermé.

Je suis tout près d’elle lorsqu’elle tombe en larmes.
Je l’appuie sur mon épaule.

• Dire que depuis sa mort, je respecte son deuil. Quelle conne !

Sur le meuble a porté de ma main une boîte de mouchoirs en papier me permet de lui essuyer le nez.
Nous sommes si proches que l’inévitable se produit, je lui prends la bouche qu’elle me donne avec fougue. Ma main se porte sur son sein qui se laisse attraper. J’ouvre son chemisier et j’enlève son soutien gorges avec des armatures pouvant supporter trois fois la masse de ses seins.

• Viens !

Elle m’entraîne dans sa chambre et avant que j’aie le temps d’enlever le peu que j’ai sur le dos, je la reçois nue dans mes bras.
Avant de l’allonger, je détache ses cheveux qui sont magnifiques. J’ai beaucoup de plaisir à passer mes mains dans sa chevelure. Elle est d’une finesse qui les fait couler dans mes doigts.
Nos mains se trouvent et s’est-elle qui me fait tomber sur le lit.
Nos corps se mêlent, s’emmêlent, s’entremêlent, se démêlent pour mieux se re-emmêler.
Nos chattes ont le plaisir de se trouver de se frôler. Nos clitoris coulent sous nos langues lorsque nous nous plaçons en position du soixante-neuf.
Je sens que sous mes doigts ce ventre qu’aucun sexe n’a labouré depuis des années alors qu’il le mérite commence à se réveiller. J’accélère la pénétration de mes doigts et en lui reprenant la bouche, je sens sa jouissance éclater sur mes lèvres.

Nous restons enlacées et nos jeux repartent une seconde fois. Elle a remarqué qu’au moment où je l’ai fait jouir, j’avais privilégié son plaisir. Elle le fait éclater sans problème, mon sentiment pour elle grandit de plus en plus comme notre plaisir.

• Berthe, je peux te demander quelque chose.
• Bien sûr !
• Tu aimes ton prénom.
• Je m’y suis habitué.
• Tu as un deuxième prénom.
• Oui, Marie !

Je suis poursuivie…
• Tu veux venir passer la nuit avec moi.
• Au presbytère ?
• Oui, mais dans ma chambre !
• Alors d’accord, je serai là à vingt et une heures.
• Tu passes par le jardin et j’ouvrirais la porte qui donne directement dans ma chambre.

Je me lève, je m’habile et je repars.
Je passe chez Léa la mettre au courant des derniers événements. Elle est enchantée et tient à être présente ce soir. Je suis d’accord, nous mettons un plan en place.
Ses parents veulent que je reste dîner. Je me vois mal enlever mon imper et apparaître au couple en tenue de salope.
Alain essayait de me faire comprendre qu’il attendait son cadeau. Je lui avais promis sans donner de date.

Nous sommes parties retrouver ma chambre et attendre Berthe.

• Léa, tu aimes le prénom de ma nouvelle amie.
• Ces vieux jeux. Comment pourrions-nous l’appeler ?
• Elle a Marie comme deuxième prénom…• Je comprends que tu hésites.
• Trouvons-lui un prénom sympa.
• Élodie ?
• Trop jeune.
• Patricia ?
• C’est super, cela cadre avec ce que nous envisageons.

Arrivé au presbytère, le curé fait sa messe du soir, va-t-il remarquer que Patricia a séché ?
J’en profite pour aller chercher de quoi manger, en évitant de tomber sur Stéphane.

Comme prévu, je fais entrer Patricia qui est à l’heure !
Elle voit Léa et semble étonnée.

• Patricia, heureuse de te, voir !
• Non, Berthe !
• Justine et moi avons décidé que Berthe était une injure à ta beauté et nous te rebâtissons Patricia. Cela te plait.
• Vous avez raison, je dois recommencer à vivre. Va pour Patricia !
• Tu as bien fait de laisser tes cheveux sans ce chignon. Demain, je t’emmènerai à Vannes refaire ta garde-robe et changer tes lunettes.

Les choses vont toujours aussi vite avec Léa, je décide de prendre les choses en main.

• Léa voudrait t’embrasser.

Alors que j’ai craint qu’elle ne se cabre, Patricia accepte les lèvres de Léa qui lui enlève rapidement ses effets. Elle a ôté son soutien-gorge et surtout sous sa jupe aucune culotte. Sa vulve brune attire Léa qui rapidement enflamme notre amie.
Nous roulons toutes les trois sur le lit. Nos cris de plaisir doivent s’entendre dans toute la maison.
Stéphane doit penser que je suis avec Léa et que nous nous amusons avec nos sexes.
Il entre déjà nu.
Patricia se cache dans mon cou.

• Entre Stéphane, tu as apporté de quoi nous baiser.
• Oui, voilà deux cents euros, je savais que Léa était là mais pas Berthe.
• Évite Berthe, nous l’appelons Patricia.
• Elle te plait !
• Qu’elle est belle nue.

Patricia est contente d’entendre Stéphane faire son éloge.

• Tu veux qu’il te fasse l’amour !
• J’ai honte, mais quand je regarde son sexe déjà bander, oui.
• C’est normal après toutes ces années, ton corps a faim depuis que tu le punis.

Stéphane s’avance et tant les billets vers Patricia.

• Non pas d’argent, juste son sexe.
• Avec nous, on prend l’argent, tu es notre gagneuse ce soir.
• Gagneuse ?
• Notre pute si tu préfères.
• Ah !
• Suce-le !
• Ce sera la première fois.
• Tu en as envie !
• Je veux bien essayer, car je suis payé pour cela.

Elle a tout compris, Stéphane profite de son accord et rapidement lui place son membre là où elle le désire.

• Maintenant que tu l’as en bouche, vide tes joues, cela fera augmenter son désir. Puis tu le fais ressortir et tu le suces sur toute sa longueur. Et tu recommences.

Stéphane, tu es son client, tu peux la prendre comme tu le veux, attention, tu as payé pour lui enfiler la chatte et non sa rondelle !

• Patricia met toi en position de levrette.
• Jamais je me suis mise dans cette position, je vais aimer.

Dès qu’elle est en place, il la pénètre.

• Pas si fort !
• Tu dois recevoir ton client sans le contrarier. Il veut te la mettre sans ménagement, serre les dents et laisse faire.

C’est comme cela, en levrette que Patricia rejoint notre monde de femmes émancipées et fières de l’argent que l’on reçoit des hommes qui nous trouvent à leur goût…

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