Pour son plaisir (7)

- Par l'auteur HDS MAURLEO -
Récit érotique écrit par MAURLEO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Pour son plaisir (7) Histoire érotique Publiée sur HDS le 06-07-2015 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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(9.0 / 10)

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Pour son plaisir (7)
7 – Le domaine de Saugon
Nous arrivons à l’entrée d’un domaine assez impressionnant. Une grande grille avec une plaque « Domaine de Saugon ». Jacques sonne à l’entrée et la grille s’ouvre. Nous traversons un bois planté de pins maritimes. Je remarque qu’il y a une piste ou plutôt un parcours sportif sur les côtés. Le trajet fait près de 3km au compteur. Jacques se gare dans une cour pavée, devant une bâtisse imposante : un bâtiment central sur 3 étages, si je compte une fenêtre par étage... mais ça fait un bâtiment qui s’élève assez haut. Un escalier mène à une grande porte entourée de deux fenêtres. Chacune faisant au moins deux mètres. Le bâtiment central est complété par deux ailes comprenant le rez-de-chaussée, un étage et des petites fenêtres sous les toits. Chaque aile comporte 4 fenêtres doubles.
Jacques me demande de rester dans la voiture. Je remarque déjà deux autres voitures garées. Dans chacune d’elles il y a quelqu’un, sans doute un futur élève, comme moi.
J’attends un petit quart d’heure, pendant lequel j’observe un peu tout ce qui m’entoure. Il est environ 10 heures, et j’ai faim… Jacques revient. Il est accompagné de deux autres personnes avec lesquelles il discute, puis chacun se dirige vers sa voiture. Jacques m’invite à le suivre. Je vois deux autres garçons suivre « leur chauffeur ». Ils ont le même costume que moi et je les trouve un peu ridicule, mais je dois avoir le même aspect. En haut des marches, une double porte vitrée donne accès dans un grand hall. Très haut de plafond, un superbe lustre est au centre de la pièce. Des portes imposantes devant et sur les côtés. Le sol est fait de carreaux noir et blanc. Jacques et moi sommes en tête. Jacques ouvre une porte au fond de la pièce. Un escalier assez imposant se présente à nous. Nous montons au premier. Là, il me demande de m’asseoir sur le banc devant la fenêtre. La fenêtre donne sur un parc où je remarque des allées fleuries, une piscine, un court de tennis… Jacques se dirige vers la droite de l’escalier. Mes deux futurs collègues me rejoignent sur le banc.
Nous nous serrons la main et nous présentons.
Thierry a 27 ans. Il vient du centre de la France. Thierry est le plus petit de nous trois. Il doit faire environ 1M70. Il a des cheveux très bruns, mi longs qui tombent sur son front. Ça lui donne un air de collégien. Il fait visiblement plus jeune que son âge. Ses yeux foncés lui donnent un regard sombre mais ferme. Il nous explique que son protecteur l’a inscrit ici pour l’endurcir, mais avoue n’avoir pas trop de renseignements concernant ce lieu.
Marco, lui, a déjà 30 ans. Il vient de la région parisienne. C’est un garçon plutôt trapu, style rugbyman qui se situe au niveau taille entre Thierry et moi. Il doit faire à vue de nez 1M75. Lui aussi est brun mais ses cheveux sont coupés très courts, par contre il n’est pas rasé et sa barbe naissante lui donne un air de voyou ! Marco semble plus informé sur les lieux. Il sait que nous suivrons des séances qui nous permettront d’être plus endurants, son inquiétude porte sur le fait qu’il n’est pas très sportif ! Son « père » l’a inscrit parce qu’il le trouve trop désobéissant !
Pendant que nous nous présentions, trois autres garçons nous rejoignent.
Yves qui a 23 ans se fait remarquer par sa chevelure châtain clair et une boucle à chaque oreille. Il est, de nous tous, le plus grand. Il doit faire 1M90 mais il n’est pas très baraqué. Il dit être ici pour quelques jours… en attendant que son patron règle ses affaires. Il nous assure que c’est juste une colonie pour garçons perdus… je crois qu’il se fait des idées.
Jean-Luc, lui, a des cheveux longs qui arrivent à son cou. Il est blond presque blanc ! Il est à peine un peu plus grand que Thierry, mais plus musclé. Il a un cou carré. Je me dis qu’il doit faire de la musculation ou quelque chose dans ce genre. Il a 25 ans, a une voix très grave qui lui donne une dizaine d’années de plus !!!
Rémi semble un peu affolé. Brun, il est de la même taille que moi, soit 1M80. Il a les cheveux rasés et, comme moi, il a un anneau avec un nom à son oreille gauche. Il a 21 ans et s’interroge sur l’école à laquelle l’a inscrit son maître. Assis près de moi, il me demande si je sais ce qui nous attend. Ne connaissant pas tous les détails, je lui réponds que non, mais que nous ne devons pas nous inquiéter… Une conversation à bâtons rompus s’engagent. Jean-Luc plaisante sur les décorations de nos blazers : une bite en érection. Rémi et Thierry disent qu’ils aimeraient bien manger quelque chose, je les approuve. Nous attendons sur notre banc, observant les lieux, faisant des remarques sans intérêt. Presqu’une heure s’est écoulée quand un homme d’une cinquantaine d’années vient vers nous.

- Debout ! et silence ! Je vais vous expliquer le fonctionnement de cette école et je ne le répèterai pas deux fois. Je suis Monsieur Thomas ou Maître Thomas…
Puis il nous explique que nous serons donc 6 garçons à suivre un enseignement durant les trois mois à venir. Il nous présente ensuite, en gros, le contenu de chaque journée : Le matin commencera par une séance sportive dès le lever, à 6 h. Puis des cours seront dispensés en fonction des choix de nos maîtres. L’après-midi sera consacrée à notre perfectionnement. Aujourd’hui, nous serons essentiellement testés sur nos capacités. La journée à l’école commencera par une visite médicale, après quoi, Monsieur Thomas nous fera visiter les lieux qui nous seront accessibles et nous donnera les dernières consignes. Yves l’interpelle
- Une visite médicale ? je suis en bonne santé ! et je pars dans moins d’une semaine !

Pour toute réponse, il reçoit une paire de gifles de Thomas qui le remet à sa place
- Tu es ici pour 3 mois et tu n’as pas à m’interrompre ! tu feras ce que je dis, tu iras où je te dis ! Tout ce que tu feras ici c’est quand je le voudrai ! Est-ce clair pour tous ?

Presqu’en chœur, tout le monde dit oui
- C’est OUI MONSIEUR !

Et nous reprenons : oui monsieur.

Monsieur Thomas nous demande de le suivre, les uns derrière les autres, du plus petit au plus grand. Je me retrouve avant dernier de la file. Nous devons marcher les uns derrière les autres, sans parler. Nous suivons un couloir.

- Voici l’infirmerie, vous vous déshabillez entièrement et vous attendez sur le banc. Posez vos affaires sur le vestiaire à votre nom, et le tout en silence, messieurs !

En effet, à l’entrée de l’infirmerie, il y a une salle équipée de 10 casiers et quelques bancs. Six des casiers ont une étiquette. Je trouve mon casier qui est juste à côté de celui de Rémi. Je vois Thierry et Yves qui ont déjà commencé à se déshabiller. J’hésite un peu à me déshabiller. J’ai très honte de me montrer avec ma bite prisonnière dans une cage mais je n’ai pas trop le choix. Monsieur Thomas est resté dans la pièce et nous demande de nous dépêcher.
Thierry est le premier à être à poil, il est suivi très vite de Marco puis de Rémi, enfin Yves, Jean-Luc et moi terminons de nous déshabiller. Evidemment tous les yeux sont rivés sur ma bite et son engin la bloquant.
Jean-Luc a une bite énorme. Elle est au repos mais est déjà très impressionnante. Elle repose sur deux bourses imposantes bien dessinées dans leur sac. On dirait des abricots ! Sa bite circoncise est très longue et le gland est assez évasé. Je me demande ce que ça donne en érection ! Marco lui, a une petite bite qui ne couvre même pas ses couilles. Il n’est pas rasé, contrairement à Rémi, Yves Jean-Luc et moi. Sa bite se perd dans sa forêt de poils. Yves a, au bout du gland, un anneau, il en a un autre sous les couilles. Thierry n’est pas très poilu mais ses poils sont longs et couvrent au moins la moitié de sa bite. Au niveau pilosité, c’est Marco qui gagne : très poilu aux jambes et au torse il a aussi les fesses poilues. Je dois être le seul à être épilé totalement. Jean-Luc qui est blond n’est pas très poilu, mais ses jambes font des reflets dorés.
Nos maîtres nous ont rejoints. Jacques est de loin le plus distingué. Je l’implore des yeux de me retirer la cage, mais il me fait signe que non. Nous entrons dans la pièce où un infirmier ou un médecin nous demande de se mettre les uns derrière les autres. Nous nous exécutons, je suis l’avant dernier devant Yves.
Un infirmier en tablier blanc nous fait monter sur une balance puis nous mesure. Après chaque passage, nous devons nous remettre en rang. Je remarque que Thierry commence à bander légèrement Il est pour le moment le seul. Comme nous sommes proches les uns des autres, je sens la bite de Yves me frotter les fesses quand nous sommes à attendre. Son anneau me fait un drôle d’effet sur les fesses. L’infirmier vérifie ensuite les dents, les oreilles puis prend la tension. A chaque fois il note quelque chose sur ses fiches. Nous devons à nouveau attendre, debout, les uns derrière les autres, pratiquement collés les uns aux autres. Maintenant, je sens la bite de Yves qui a pris de l’ampleur. Comme nous devons garder les mains le long de nos cuisses, il ne peut pas cacher son érection. Il me colle donc. Moi aussi ça me fait de l’effet, je sens ma bite gonfler mais je ne peux pas bander librement. L’infirmier nous remet chacun un pot. Nous devons uriner. Je regarde Jacques qui ne bronche pas. Je suis le seul à avoir cette cage. Je suis obligé de m’accroupir pour viser dans ce pot, ce qui ne manque pas de faire rire les maîtres. J’ai du mal à pisser, mais j’arrive à la moitié du pot. Je secoue un maximum ma bite et je me redresse. Les autres ont déjà terminé. Yves ne bande plus, mais nous devons reprendre notre pose d’attente, les uns derrière les autres. Chacun notre tour, nous devons maintenant nous mettre sur une table d’auscultation. D’abord sur le dos, puis à quatre pattes. Chaque examen dure environ une demi-heure. Quelques questions sont posées à chacun, relativement discrètement. Nos maîtres regardent la scène avec attention. Le toucher rectal provoque à la plupart d’entre nous une érection. La mienne est très avortée par la cage que je porte. La bite de Jean-Luc est vraiment très impressionnante. Elle dépasse son nombril ! Celle de Marco prend du volume en épaisseur mais reste de loin la moins longue. L’après-midi avance à grands pas et nous n’avons toujours pas mangé ! Après chaque examen nous devions attendre debout, collé contre notre collègue. Thierry doit bien sentir la bite de Jean-Luc entre ses fesses. Quand Yves, le dernier, est passé, monsieur Thomas nous annonce que nous passons chez le coiffeur. Nous le suivons, toujours à poil. Chacun d’entre nous est rasé de très près. Jean-Luc, qui avait une belle et longue chevelure, semble désespéré quand ses cheveux tombent à terre. Je le vois même pleurer. Je suis le seul à ne pas passer sur le fauteuil du coiffeur, étant déjà rasé. Du coup, je suis chargé de balayer la pièce de tous les cheveux tombés. Quand j’ai terminé, on nous demande de nous asseoir sur les deux bancs qui sont à l’entrée de la salle. Nous nous exécutons. Voilà plus de cinq heures que nous sommes arrivés, mon ventre fait du bruit et je ne suis pas le seul !
Monsieur Thomas nous apporte une petite bouteille d’eau et un morceau de brioche. Nous avalons le tout sans broncher et assez vite ! Monsieur Thomas nous demande de nous lever, nous allons pouvoir saluer nos maîtres. Nous sommes toujours à poil mais nous avons le droit de nous isoler un peu chacun avec notre maître. J’implore Jacques de me retirer la cage. Il m’explique que c’est mieux ainsi, que chacun des autres aura une marque de son maître et que la mienne, c’est la cage. J’essaie de trouver des excuses mais il reste inflexible. Il donnera la clef à Thomas, lui seul prendra la décision. Il me donne rendez-vous fin août, me donne quelques conseils pour progresser durant ces trois mois, m’embrasse assez affectueusement. Il me remet dans le rang avec les autres. Je le vois s’éloigner sans même se retourner. Thomas nous interpelle
- Voilà, vous êtes ici pour un peu plus de 10 semaines. Je vous conduis à vos quartiers. Suivez-moi !

Marco lui demande si nous nous rhabillons. Thomas répond que nous n’avons pas à réfléchir. Il nous demande de le suivre, nous le suivons, comme nous sommes ! C’est donc à poil et les uns derrière les autres que nous suivons Thomas. Il nous fait passer plusieurs portes puis un escalier qui mène sous les toits de l’aile droite du bâtiment. Il ouvre à sa droite une pièce comportant dix lits répartis de part et d’autres des fenêtres qui se trouvent face à la porte. Sur six lits, il y a un trousseau qui sera le nôtre durant notre séjour. Draps, couverture, linge de toilette, savon, crème à raser, et des vêtements : tee shirt, short, mais aussi slips kangourou, jock strap, mini-slip chaussettes, une paire de baskets, une paire de toiles et une paire de tongs. Thomas nous montre ensuite, dans la pièce à côté, directement accessible par la chambre les toilettes et les douches. Les douches sont collectives prévues pour 10 personnes. Les toilettes sont des petites cabines, sans portes. Il y a cinq urinoirs et cinq WC. Enfin au face à la chambre, il y a une pièce avec une table et des tabourets.

- C’est ici que vous prendrez vos repas. Cette pièce est également à votre disposition si vous avez des devoirs à faire. L’entretien sera assuré par vous-mêmes. Un gars par jour. Après chaque repas, il faudra rassembler les couverts, assiettes et déchets et mettre le tout dans le monte-charge. Il faut ensuite balayer et laver la pièce. Il y aura normalement 3 repas par jour, servis à heures fixes. Si vous le ratez, vous n’avez rien jusqu’au suivant. Pour les toilettes, c’est à heure fixe également. Si vous êtes malade, on verra. Enfin, douche obligatoire le matin après le sport et le soir avant le coucher, quelle que soit l’heure. Les cours sont suivis en tenue de collégien, celle que vous portiez à votre arrivée. Les cours de sport en tee shirt, jock et short. A l’extérieur avec baskets et à l’intérieur avec toiles. Chaque soir, vous mettez la totalité des affaires que vous avez portées dans la boîte au pied de votre lit, à l’exception de la cravate, du blazer et des chaussures qui seront rangés dans le placard à l’entrée de la chambre.

Nous retournons ensuite dans la chambre. Chaque élément du trousseau est identifié à notre nom. Thomas nous demande de mettre un tee shirt, un short et les tongs. Ce que nous faisons. Il nous invite ensuite à ranger le reste de nos affaires puis à faire les lits.
Les lits sont espacés de moins d’un mètre. Nous sommes regroupés au plus près de la fenêtre. Thierry, moi et Rémi d’un côté, Marco Jean-Luc et Yves de l’autre. Il reste donc 4 lits inoccupés près de l’entrée.
Thomas est sorti de la pièce pendant que nous rangeons nos affaires. Chacun y va de son petit commentaire. Rémi s’intéresse beaucoup à ma bite. Et comment je fais pour bander ? pour juter ? Est-ce que ça me gêne, comme je me lave etc etc… Je lui réponds que ça me gêne vraiment, que j’aurais envie de me branler mais que je ne peux pas. Les autres discutent de la bite de Jean-Luc, qui semble assez fier. Il se vante d’avoir eu beaucoup d’aventures avec des filles et des garçons. Il a 30 ans et il est maintenant au service d’un maître qui l’entretient. Son maître n’est pas brutal, il aime simplement exhiber son « apprenti » dans des soirées.
Thomas entre dans la salle. Nous ne savons pas trop comment réagir. Nous le regardons fixement. Il nous donne les dernières consignes : lits faits au carré, habits rangés dans les placards, tenue à respecter et surtout hygiène à respecter. Il s’approche de moi.

- Cédric, je connais bien ton maître. Il m’a demandé de conserver la clef de ta cage. Je te l’enlève et je te la rendrai à ton départ.

Et Thomas décadenasse la cage, la retire. Il me laisse l’anneau autour des couilles, mais je me sens déjà plus libre de mes mouvements. Les autres ont bien observé. Machinalement, je me détends la queue avec la main…Il se dirige ensuite vers Yves et lui retire également les anneaux qu’il avait.

- Voilà jeunes gens, vous êtes maintenant à égalité ! Cédric, tu retires ton anneau quand tu veux.

Thomas nous emmène maintenant au premier étage de l’aile droite : ce sont les salles de cours. Certaines ressemblent à des salles de classes de n’importe quelle école, d’autres semblent plus « spécialisées » : il y a des paillasses, des matelas à terre. Une autre semble être une salle de cinéma, sans tables ni chaises.
Au rez-de-chaussée, des cuisines, une salle avec des tables à repasser, des machines à laver….. Enfin, au sous-sol de cette aile, il y a dans une première partie une salle de sport avec quelques instruments et au fond une salle que Thomas qualifie de donjon ou de salle des tortures. Rien de bon pour nous certainement.
Il nous emmène ensuite dans le bâtiment central du côté opposé où nous sommes entrés : un parc avec une piscine et un court de tennis.

- Quand vous aurez un moment de libre, vous pourrez aller dans le parc. La tenue sera toujours short, torse nu, pieds nus. Vous aurez accès à la piscine, mais à poil. Le court de tennis est réservé aux « gens de la maison », ceux qui s’occuperont de vous. Ils sont une dizaine entre professeurs, cuisinier, femmes de chambre. L’autre aile n’est pas accessible. Vous ne pourrez y aller que si vous y êtes invité. Si je vous y trouve, vous serez puni ! Bien, messieurs, il est quasiment 20 h. Il est temps pour vous de dîner. Vous vous rendez seul à votre réfectoire. Je ne veux pas entendre de bruit sinon la correction sera sévère.

Nous allons en silence au réfectoire où des plateaux sont disposés sur la table. Un homme qui se présente comme cuisinier est présent et nous surveillera durant le repas. Il oblige chacun à finir l’assiette. Le repas n’est pas mauvais et assez copieux. Rémi est désigné pour ranger le réfectoire. Nous sommes autorisés à nous allonger sur nos lits. Je découvre que Thierry a un tatouage qui marque son appartenance à un certain Bruno. Marco et Yves ont une brulure de cigarette en haut de la fesse gauche. Jean-Luc lui n’a rien de particulier. S’il est maintenant avec un maître c’est parce qu’il n’avait nulle part où aller après avoir révélé son homosexualité. Il est un peu inquiet sur la suite des évènements. Lorsque Rémi revient, il nous dit que nous devons rejoindre Thomas dans la salle de cours numéro 1. Nous descendons donc à cette salle.
Thomas est assez bien foutu. Il fait environ 1M75 ce qui le classe dans notre moyenne, même si à côté de Yves il reste tout petit… mais il est bien musclé et son marcel met en évidence des bras très musclé. Il a de très beaux yeux clairs et ses cheveux grisonnants lui donnent un aspect à la fois de maturité et de responsabilité. Sa voix grave est toujours autoritaire, comme un militaire. Il a de grandes mains assez épaisses. Il ne porte ni tatouage ni piercing. Son seul « bijou » est un bracelet noir et argent. Nous arrivons dans la salle désignée. Il s’agit d’une des salles de classes comprenant une dizaine de tables et autant de tabouret. Thomas nous demande de rester debout devant la table. Il passe entre nous et vérifie notre tenue : short, tong et tee shirt. Il regarde à l’intérieur des short pour contrôler que nous n’avons rien dessous. Seul Thierry se fait reprendre : il a mis un jock strap. La punition est immédiate. Il doit aller devant nous tous et baisser son short. Il reçoit 20 claques délivrées par Thomas, à mains nues.

- Ceci est un simple avertissement. Les punitions doubleront à chaque fois que vous serez repris. Vous devez exécuter exactement ce que l’on vous demande ! aucun écart ne sera toléré.

Ceci étant dit, Thierry regagne sa place, après avoir ôté son jock strap. Nous pouvons alors nous asseoir sur les tabourets. Thomas nous explique alors comment se passeront les journées, en détail, les soirées et les nuits. Il nous informe également qu’il pourra y avoir des réceptions de clients dans l’aile gauche. C’est à cette occasion que nous pourrons nous y rendre. Pour la nuit, nous serons seuls dans la chambre. Le couvre-feu est fixé à 22h30, mais il pourra y avoir des exceptions les jours de réception notamment. Nous devons rester en forme, une sieste sera donc imposée en début d’après-midi. A chacun de la gérer. La nourriture qui nous sera donnée ne devra pas être gaspillée. Enfin, nous devrons respecter chaque employé du domaine et répondre à ses attentes. Il y a à la fois des hommes et des femmes mais chacun connaît son travail et ce qu’il peut exiger des stagiaires. La nuit doit être le moment de récupération. Il nous conseille de ne pas nous éparpiller parce que les journées seront dures ! il s’agit d’un stage intensif, tous les jours de la semaine.
Quand Thomas a terminé son exposé, il nous remet à chacun un collier qui ressemble à celui que l’on met à un chien. Le collier est muni de 4 anneaux. Il nous remet également 4 bracelets en nous précisant qu’il y en a 2 pour les poignets et 2 pour les chevilles. Ces instruments seront à porter à chaque cours « d’endurance » qui auront lieu régulièrement l’après-midi. Ce sera la seule tenue autorisée. Un autre homme entre dans la salle. Thomas nous demande de nous lever en signe de salut. C’est Karim. Celui-ci s’occupera également de nous quand Thomas ne sera pas là. Karim est un homme d’une quarantaine d’années. Il est très costaud ! Très brun, aux yeux très sombres, il a un visage assez dur. Il se présente à nous en short de cuir avec des rangers et chaussettes blanches. Ses jambes, épilées sont très musclées. Ses cuisses remplissent le short. Il a, attaché à sa ceinture, un martinet. Il nous parle pour nous expliquer qu’il est le double de Thomas, qu’il faudra l’appeler Monsieur ou Maître Karim.
C’est monsieur Karim qui nous ramène à notre chambre. Nos costumes sont revenus et installés sur nos lits. Nous devons nous déshabiller, mettre l’ensemble de nos vêtements dans un panier à notre nom. C’est ensuite la douche ou chacun s’observe ! Marco demande à Jean-Luc de lui frotter le dos. Karim laisse faire… A la fin de la douche, lorsque nous nous sommes séchés, nous devons mettre notre serviette dans le panier et, juste en tongs, nous devons amener notre panier à la lingerie. C’est donc à poil, en file indienne que nous arrivons à la lingerie. Il n’y a personne à cette heure. Nous déposons notre panier sur un comptoir et remontons dans la chambre. C’est donc à poil que chacun entre dans son lit.
La journée a été longue ! Chaque stagiaire fait part de ses impressions. Yves semble maintenant le plus inquiet. Il croyait être ici pour quelques jours… Marco, lui est maintenant très excité et son membre bandé l’atteste. Il propose à Rémi de venir le soulager, mais Rémi ne veut pas ce soir. Il se dit fatigué et voudrait dormir. Thierry lui aussi est excité et va vers Marco pour le branler. Marco ne tarde pas à jouir, sur ses draps… Thierry en fait autant puis retourne dans son lit. Il est environ 23 h quand la chambrée se calme et que les premiers ronflements se font entendre.

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