Une rencontre et une récompense inattendues

- Par l'auteur HDS Le Maître des Mots -
Auteur homme.
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Récit libertin : Une rencontre et une récompense inattendues Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-07-2015 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Une rencontre et une récompense inattendues
- Récit imaginaire -
Samedi soir, ou plutôt dimanche matin, trois heures. Je sors seul de boîte après une soirée passable. Venu avec des amis tous partis plus tôt, je suis resté un peu plus longtemps, attiré par l'alcool et les belles femmes qui se trémoussaient plus ou moins sensuellement sur la piste de danse. Mais l'argent n'est pas éternel, et mon ego s'est manifestement cru trop beau; les nombreux échecs qu'il a essuyés m'ont persuadé de partir de cet endroit.

Je sors donc, et je me dirige chez moi en essayant tant bien que mal de marcher droit. Je tourne dans une avenue déserte et entends des cris. Je m'approche, curieux, et vois une jeune femme visiblement tourmentée par deux hommes d'une quarantaine d'années, manifestement ivres. Leurs mains baladeuses se promènent sur son corps qu'elle essaie de protéger face à ces agressions. L'alcool rendant souvent les gens stupides, je veux jouer le rôle du héros et, surprise, ça marche. Ma voix, devenue grave et gutturale à force de crier et de boire à m'en brûler la gorge, a dû effrayer ou au moins inquiéter les deux individus, assez pour les pousser à s'enfuir. La jeune femme se tourne vers moi et m’aperçoit. D'abord inquiète, ce qui est compréhensible après la désagréable expérience qu'elle vient de subir, elle est rassurée en voyant le frêle et légèrement éméché étudiant que je suis. Elle pense probablement qu'elle pourrait facilement me maîtriser s'il me venait à l'esprit de tenter quelque chose.
En tout cas, nous nous rapprochons et elle m'interpelle :
- Merci beaucoup pour ton aide ! Sans ton intervention, je sais pas ce qu'ils m'auraient fait !
- Pas de problème, j'articule, ça m'a fait plaisir de t'aider ! Mais qu'est-ce qu'il s'est passé ?
- Je rentrais chez moi, mais au bout d'un certain temps j'ai senti une présence derrière moi. Je me suis retournée et les ai vus qui me suivaient. J'ai accéléré le pas, mais ils se sont mis à courir et m'ont rattrapée. Je n'ai pas eu le temps de réagir, ils m'ont saisi et ont commencé à essayer de me toucher et...oh mon Dieu !

Elle se met à trembler. Le remarquant, je l'aide à s'asseoir sur le rebord du trottoir et lui met mon gilet sur les épaules. Je m’assois à côté d'elle et tente de la rassurer :
- Ne t'inquiète pas, c'est fini. Ils sont partis, regarde ! Je suis la seule personne avec toi et, honnêtement, je pense que vu l'état dans lequel je suis, il te suffirait de me pousser pour me mettre à terre...
- C'est l'impression que j'ai eue en te voyant, dit-elle en riant. Tu n'as pas l'air très frais, en effet !

Elle s’interrompt pour s'étirer, et c'est à cet instant que je la regarde vraiment : rousse, d'environ vingt-cinq ans, des cheveux courts lui arrivant aux au-dessus des épaules et encadrant un visage presque angélique dans l'obscurité de l'avenue. Je détaille sa tenue : un simple T-Shirt qui fait légèrement ressortir sa poitrine de bonne taille, et un short en jean qui moule merveilleusement bien ses cuisses. Mes yeux remontent jusqu'à croiser ses yeux marron, fixés sur mon visage. Je rougis en comprenant qu'elle a surpris mes regards. Elle ne dit rien cependant, se contentant de me regarder.
Puis elle me dit :
- Bon, il faudrait que j'y aille. Tu veux bien m'aider à me relever ?
- Bien sûr.

Je me relève et tends mes mains vers les siennes, elle les saisit et parvient à se relever. Elle trébuche et finit collée contre mon torse. Et dire que j'avais réussi à cacher ma gêne...

Elle se décolle, et tandis que je lui demande si elle va bien, j'ai le temps de distinguer une lueur dans son regard avant de sentir ses mains pousser mon torse. Bien que faible, cette simple poussée suffit à me faire trébucher et tomber sur le dos.
Immédiatement, je sens quelque chose (ou quelqu'un...?) se poser sur ma poitrine et entends une voix dire, rieuse :
- T'avais raison, une petite poussette et t'es complètement vulnérable.
- Pourquoi t'as fait ça ? Je demande en riant nerveusement.
- Pour rien, pour rien, répond-elle avec un sourire mystérieux. Tu sais, je viens d'y penser, mais tu mérites sans doute une récompense pour m'avoir sauvée tout à l'heure.
- Peut-être, mais ne te sens pas obligée. Et puis, ce serait quoi comme récompense ?

Dès la fin de ma phrase, son sourire s'élargit et s'approche dangereusement de mon visage. Ce n'est que lorsqu'à peine deux centimètres séparent nos lèvres que je comprends ce qui se passe. Lorsqu'elle m'embrasse, c'est une nuée d'intenses sensations qui se répand dans mon corps. Le désir qui m'habitait depuis le début de la soirée mais qui s'était refoulé suite à mes divers échecs refait soudain brutalement surface, surchauffant mon esprit. Je réponds avec fougue à son baiser, mes mains viennent se poser sur ses hanches tandis que les siennes caressent mon torse.
Au bout de plusieurs minutes, elle détache doucement ses lèvres et murmure à mon oreille :
- Si tu veux ta récompense, il va falloir me suivre...

Elle se relève et commence à s'éloigner à reculons, ses yeux fixés sur moi tandis que je me lève à mon tour. Pressentant comment la soirée allait se terminer, je la rattrape rapidement et l'attire vers moi pour l'embrasser à nouveau. Le trajet jusqu'à chez elle dure longtemps, probablement plus que prévu, mais n'en est pas moins plaisant : les baisers se succèdent, les mains explorent peu à peu le corps de l'autre sans s'approcher des zones sensibles, sans doute en prévision de ce qui nous attend...

Arrivés dans le hall de l'immeuble, une hésitation s'empare de nous : ascenseur ou escaliers ? Me sentant pousser des ailes, je mets fin au dilemme en la prenant dans mes bras. Nous grimpons les escaliers, elle dans mes bras, ses jambes enlaçant mes hanches et ses bras passés autour de mon cou. Nous échangeons un nouveau baiser passionné qui ne s'arrête que quand je la dépose afin qu'elle ouvre la porte de son appartement. Une fois entrés, elle se retourne face à moi et me sourit d'un air provocateur.
C'en est trop : je la reprends dans mes bras et la plaque cette fois contre le mur. Je l'embrasse avant de descendre le long de son corps, en passant d'abord par le cou et les épaules. Je relève son T-Shirt juste assez pour faire apparaître son soutien-gorge et la partie visible des sa belle poitrine. Mes baisers s'attardent à cet endroit, bientôt suivis de ma langue. Je la repose à terre et elle en profite pour se baisser et déboutonner mon pantalon. Celui-ci se retrouve rapidement à terre pendant que mon amante caresse ma queue bandée à travers mon boxer. Ce dernier mur tombe cependant à son tour; mon sexe enfin libéré de sa prison est bien vite englouti par la bouche de la jeune femme.

Et c'est ici que je vous décris la plus fabuleuse fellation que l'on m'ait jamais faite : les va-et-vient de sa bouche suivent un rythme imprévisible, tantôt lent pour qu'elle puisse savourer ma queue, tantôt si rapide que je dois que me concentrer pour ne pas jouir dans sa bouche si douée. Sa main droite me branle simultanément, augmentant mon plaisir, sa main gauche saisit mes couilles et les malaxe délicatement. Je n'en peux plus, je vais jouir : elle le sent et accélère à nouveau le rythme, me poussant au bord de la jouissance. Je tente en vain de résister. Elle avale ma semence et engloutit à nouveau mon sexe pour profiter encore quelques secondes de mon érection.

Ma queue débandée, je suis hors-service quelques minutes ; c'était sans compter sur mon amante. Un large sourire coquin aux lèvres, elle saisit ma chemise et m'attire dans la chambre. Elle déboutonne mon dernier vêtement et l'envoie valser dans un coin de la chambre. Une fois nu, elle me pousse sur le lit et reste debout en face de moi, sublime dans le peu de vêtements qu'il lui reste (son short et ses sous-vêtements).
Sous mes yeux émerveillés, elle entame alors un strip-tease d'une sensualité jamais vue : avec une frustrante lenteur, elle ôte son short et l'envoie rejoindre ma chemise. Une fois en sous-vêtements, elle se déhanche langoureusement devant moi, arborant des poses très suggestives qui me font aussitôt récupérer mon érection. Je me redresse, mais sa main me repousse sur le lit. Telle une tigresse, elle vient à quatre pattes sur le lit et se rapproche dangereusement de moi. Elle frôle exprès ma queue sans la toucher, sort sa langue et me lèche le torse : j'en deviens fou. Sentant mon excitation, elle se redresse et s'installe à califourchon sur ma poitrine et enlève lentement son haut. La vue de ses seins me fait bander plus dur encore, chose que je n'aurais pas crue possible. Elle sent mon érection et frotte son cul contre mon sexe dur, excité comme jamais, je me redresse et enfouis mon visage dans sa poitrine, léchant ses magnifiques mamelons et suçant ses tétons. Ses gémissements envahissent la pièce, puis, au bout d'un certain temps, elle me repousse une nouvelle fois et me plaque sur le lit. Elle retire cette fois son bas, dévoilant enfin le fruit de mon désir.

Mais ma compagne d'un soir est décidée à me frustrer; écartant les jambes, elle commence à se masturber sous mes yeux ! Hypnotisé par l'image d'une sublime créature se donnant du plaisir sur mon corps, je ne pense même pas à agir. Je me contente d'observer, hébété, cette déesse m'exciter. Je reprends soudain mes esprits et me décide à renverser la situation : d'un mouvement de hanches, je la fais tomber sur le côté et me positionne au-dessus d'elle. Je maintiens ses mains contre le matelas et plonge mes yeux dans les siens. Elle semble me défier du regard, mais elle mordille ses lèvres, je saisis le message et la pénètre sans attendre, débutant directement de rapides va-et-vient qui la font gémir de plaisir.
Mes mouvements s'intensifient peu à peu, elle se met à crier. Toujours plus excité, je la pilonne désormais violemment, ses seins sont ballottés de haut en bas. Cette vision me pousse à me retirer de son antre chaleureux pour venir placer mon sexe entre ses deux globes. Je commence alors à me branler avec sa poitrine, réalisant ainsi mon plus grand fantasme; le souffle court, mon amante halète sous les coups de boutoir que j'assène à ses seins.

Je décide de changer de position. Je la retourne et la mets à quatre pattes, puis la pénètre à nouveau en la tenant par les hanches. Ses cris sont plus forts que jamais; je la baise sauvagement, je saisis ses cheveux d'une main et les tire vers l'arrière. Je me penche alors vers elle pour lui embrasser la nuque et le cou, tandis que mon autre main vient englober et malaxer un sein. Je sais qu'elle atteint l'orgasme lorsque son hurlement de plaisir emplit la chambre. Je ne suis pourtant pas encore satisfait. Je l'entraîne hors du lit, la prends dans mes bras et viens la plaquer contre le mur.

Je la pilonne dans cette position, mon visage à quelques centimètres du sien, mes yeux dans les siens. Le plaisir que je lui inflige la fait gémir, elle me griffe le dos. Mes mains soutiennent son cul, tandis que ses lèvres viennent fiévreusement embrasser les miennes. Nous restons ainsi un long moment pendant que je la laboure, ses cris étouffés par notre baiser. Celui-ci est interrompu quand elle vient mordiller mon épaule.
L'orgasme arrive, son corps tremble contre le mien. Le plaisir qu'elle ressent la fait crier continuellement, j'accélère le rythme des mouvements de bassin, son corps est agité de soubresauts contre le mur, son visage se décompose, et je me sens dans le même état.
Je commence cependant à fatiguer, j'ai le temps de lui octroyer un nouvel orgasme avant de la reposer à terre.

Mais mon amante a plus de ressources que ce que je pensais : sans que j'aie le temps de réagir, elle me pousse à terre et s'empale sur moi. Sentant qu'elle souhaite avoir le contrôle, je la laisse faire. Et je ne le regrette pas. Elle se déhanche comme une folle sur mon sexe, montant et descendant, son corps bouge dans tous les sens. Elle me procure un plaisir impossible à exprimer ici. Je crie mon plaisir tandis qu'elle continue ses mouvements sur un rythme fou. Me voyant sur le point de jouir, elle m'offre un ultime cadeau, elle s'allonge sur moi de manière à ce que mon visage se retrouve à nouveau entre ses seins. Je rends alors les armes. J'explose en elle, ma langue s'activant sur ses seins, son hurlement couvrant le bruit de nos corps se percutant.
Ses mouvement ralentissent jusqu'à s'arrêter. Elle s'écroule alors sur mon torse tandis que je débande peu à peu. Étreints, nous nous endormons à même le sol, nos corps nus enlacés.

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