Trixie Chapitre 33 - Une partie de billard... très disputée

- Par l'auteur HDS Trixie -
Récit érotique écrit par Trixie [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Récit libertin : Trixie Chapitre 33 - Une partie de billard... très disputée Histoire érotique Publiée sur HDS le 12-07-2015 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Trixie Chapitre 33 - Une partie de billard... très disputée
Alfred, ces derniers temps surement comblé par la dernière réception de ''ses vieilles relations de travail'', ne parlait plus que sauteries entre vieilles connaissances ! J'avais vaguement compris que la prochaine soirée se ferait avec quatre de ses anciens camarades de l'armée, qui comme lui, avaient eu ainsi qu'il le disait la chance de bien vieillir ! Il avait commandé chez le traiteur un repas succulent, je subodorai que j'en serai surement le dessert !! Le dîner fut largement arrosé surtout pour moi, ils n'arrêtaient de remplir mon verre. Il fut ponctué d'anecdotes, ayant trait à leur période militaire, toutes plus salace les unes que les autres.
Alfred m'avait fait revêtir une robe collante qui me cachait tout juste le sexe, des bas fumés assez fins, s'arrêtant à mi-cuisse, les longues attaches du porte-jarretelles noir en dentelles tranchaient sur ma peau. Un soutien-gorge aux bonnets complétement transparents, un mini string qui ne voilait rien de ma chatte et des talons hauts complétaient ma tenue.
Presque à chaque pas que je faisais, j'étais obligée de tirer sur le bas de la robe, car elle avait une fâcheuse tendance à remonter vers le haut. Mais je crois qu'elle avait justement été choisie pour ça.
Mon patron aimait bien que ses invités puissent fantasmer... Si ce n'est plus... En me regardant.

« Dernièrement, j'ai acheté un billard américain, Trixie est presque une championne, Victor ne se défend pas mal non plus. Voulez-vous qu'on leur fasse faire une partie... Je vous avertis, on met un enjeu... On parie ! Si elle rentre une boule, c'est vingt-cinq euros pour chacun de vous... Vous êtes quatre donc elle gagnera100 euros !! Il y a 8 boules à empocher par joueur... Je vous laisse faire le calcul... Si elle rate son coup... et bien, elle perd une pièce de ses habits, que vous pourrez ôter vous-même à tour de rôle, et elle n'en n'a pas beaucoup... des vêtements... ça devrait mettre du piment, non ?
- Ok, Ok répondirent-ils tous en chœur... Victor, vous portez tous nos espoirs... Il va falloir que vous maniiez parfaitement la queue...
- Oh, ça, il sait le faire à la perfection répondis-je en souriant.
- Et si Victor gagne...? Ce que j'espère... Le pot final c'est quoi ? demanda un invité en me jetant un regard appuyé.
- Eh bien... Trixie devra ''Payer'' de sa personne, dit Alfred en souriant. »

Pour avoir déjà joué contre Victor, je savais que je n'avais pas de grandes chances de gagner. Mais je relevais le défi. Même si je ne rentrais que 5 boules, je gagnais 500 € pas mal !

«Ok, je suis d'accord... mais à condition que Victor se déshabille lui aussi s'il fait une faute ... »

Les règles définies, la partie put commencer. Honneur aux dames, j'avais les billes de 1 à 7, lors de la casse, j'avais entré la numéro deux, Victor quitta son gilet rayé noir et jaune. Cent euros atterrirent sur la table basse. Je ratais mon second coup. Un petit gros bedonnant s'approcha pour prendre son du. Je lui tendis mon poignet.

« Vous pouvez quitter mon bracelet... »

La déception put se lire sur son visage. Victor entra trois boules et rata la quatrième. Il quitta son nœud papillon. Je fis le tour de la table sans essayer de rabaisser ma robe, annonçait le trou, frappait la bille entra, 100 euros changèrent à nouveau de main...Je renouvelais ma prouesse puis échouais lamentablement sur un coup que je croyais facile. Le gars chauve à l'abondante moustache se précipita.

« J'enlève quoi ?
- Eh bien ma robe... »

Je levais les bras, le fourreau glissa par-dessus ma tête. Alfred alluma à ce moment les lampes au-dessus de la table une lumière crue et blanche nous enveloppa. Je vis leurs yeux pétiller lorsqu'ils aperçurent mes aréoles brunes à travers la fine mousseline du soutien-gorge. Sous leurs regards, mes tétons commençaient à durcir et à pointer sous le tissu transparent du soutien-gorge. Face a eux, je m'asseyais au bord de la table pour qu'ils puissent apercevoir la fente de ma chatte surmontée d'un petit triangle de poils bien épilé, elle avait l'air d'être mise en valeur par la transparence du string. C'était au tour de Victor, je posais ma queue sur un angle, le gros bout tourné vers moi, et me frottait la vulve au talon de caoutchouc qui protège le fût. Victor prenait son temps, il avait remarqué mon manège et il le leur laissait mater, j'appuyais mes caresses. Je sentais le fin tissu s'insinuer entre mes lèvres, entra sa boule. Il passa à côté de moi.

« Salope, si tu continues ainsi, tu vas te faire mouiller, regarde tes mamelons...!
- Oui pour mouiller, ça commence » ! »

Il entra encore une boule, rata la suivante, quitta sa chemise. La blanche se positionna devant une des miennes, je n'eus aucun mal à empocher ma bille, l'argent tomba dans mon escarcelle, je tentais ensuite une bande et la réussis, j'en étais à 400 euros de gain ! Je fis plusieurs fois le tour de la table, faisant semblant de chercher la meilleure position en me penchant, écartant légèrement les jambes, ils avaient ainsi une vue parfaite sur mes fesses que la ficelle du string ne cachait pas. Cela dut me déconcentrer, car je manquais le coup suivant. Le plus timide de la bande se décida a approcher.

« Excusez-moi, mais c'est au tour de votre soutien-gorge non ? Me dit-il les yeux brillants allant de mes seins à mon sexe.
- Oui, allez-y »

Je lui présentais mon dos, il dégrafa la mince pièce et me fit délicatement glisser les bretelles sur les épaules et l'emporta comme un trophée. Ce déshabillage me fit frissonner, il me sembla que mes tétons offerts à leurs regards s'étaient encore étirés, l'excitation avait couverte mes aréoles de chair de poule. Une légère moiteur envahissait ma chatte. Mon string se tâchait à hauteur de mon vagin. Je recommençais à me frotter sur le gros bout de la queue de bois. Le tissu humide, pénétra plus profondément dans le sillon de ma chatte, la transparence était telle que rien n'en cachait la vue. Je commençais à être pas mal excitée, l'alcool et mon petit jeu pervers produisaient leurs effets et exacerbaient mes sens. Il me semblait aussi que les pantalons des vieux prenaient du volume a hauteur des sexes.

« Tu as raison Victor, murmurai-je, ça m'excite, je mouille... regarde, je les émoustille !
- N'importe comment, je vais gagner et te baiser avec ma grosse bite... Il ne te reste plus que ton string et tu as encore quatre boules a empocher !!»

Il joua, deux autres billes disparurent dans le ventre du billard, et souriant, il fit exprès de rater la dernière, espérant que je manque mes coups suivants et que mon string disparaisse. Je m'appliquais, ouuuaiiihhhh ! Je fis mouche deux fois de suite... plus que deux !! Je passais derrière le vieux Victor et lui frôlais lentement son dos ridé de la pointe turgescente de mes seins. Les vieux ne me lâchaient pas du regard. J'avais gagné 600 euros... Une pensée me vint à l'esprit, si Alfred me faisait jouer, c'était pour que je perde, non ? Et que ses invités se rincent l'œil, il voulait surement en échange de leur fric, leur offrir une partie de jambes en l'air. J'entendais les respirations haletantes des cinq hommes qui espéraient voir ma défaite... La virolle frappa la boule, la numéro sept roula et se cala au bord du trou... Perdu !! Je regardais Alfred qui me sourit en hochant la tête !!
Je m'asseyais sur le bord du meuble, les cinq hommes m'entourèrent...

« C'est mon tour, c'est mon tour dit l'un d'eux, il me fit basculer sur le dos, et lentement, très lentement fit glisser le mince triangle de tissu le long de mes jambes gainées de noir. Lorsqu'il eut complétement enlevé mon string, il le porta à ses narines.

« Putain, ce parfum... mais, mais elle est humide sa culotte ! Elle mouille la dame... ce petit jeu l'excite !
- Bon alors on finit la partie ? Il me reste une dernière boule à entrer...dit Victor.
- Ce n'est pas la peine, Mademoiselle Trixie a perdu, comme je l'ai promis, elle va payer ! »

L'arbitre venait de trancher, bonne perdante, j'allais leur offrir la nudité intégrale de mon corps. Cela valait bien le fric que je venais de gagner. Je me relevais et assise sur le bord de la table, posais un talon sur le rebord de la table. Leurs regards plongèrent dans ma chatte humide qui baillait largement, j'attrapais le fermoir d'une lanière du porte-jarretelles pour quitter un bas.

« Non, dit Alfred, non, Trixie garde tes bas et le porte-jarretelles, c'est plus excitant... pour la suite... Victor régalez-nous... Elle est à vous ! Approchez, c'est ça plus près, Trixie sort sa queue et fait là admirer à ces messieurs. »

Mon adversaire, se mit sur le côté et commença à me sucer les mamelons, je défis un à un les boutons de sa braguette, ma main se faufila à l'intérieur, je sortis les vingt-sept centimètres de sa bite. Au vu de la grosseur et de la longueur des cris de surprise fusèrent de la bouche des quatre hommes. Je débouclais sa ceinture, son pantalon tomba le long de ses jambes maigres. Il ne portait pas de slip, s'était rasé les poils, son appendice semblait ainsi encore plus démesuré, il pendait mollement jusqu'à mi-cuisse. Victor promena un regard narquois sur les quatre copains d'Alfred. Il allait me baiser devant eux, il raffolait de se montrer en exhibition, de prouver aux spectateurs que bien que vieux et moche il pouvait faire grimper une jeune et jolie blonde au septième ciel, avec son énorme phallus. Il m'embrassa, sa langue fouilla ma bouche, je lui rendis son baiser, frottais le bout de mes tétons sur les rares poils blancs qui parsemaient ses pectoraux flasques. Il n'était pas beau, vieux, mais il avait une queue énorme et savait s'en servir et j'aimais ça ! Les amis d'Alfred allaient avoir un spectacle pour l'argent qu'ils avaient perdu.
Je lui suçai les tétons, et ma bouche descendit le long de son ventre, mes lèvres frôlant son phallus monstrueux. Je m'accroupis devant les jambes frêles, soulevait à deux mains le gigantesque rouleau de chair, et décalottait doucement le gland, je fis faire plusieurs allers et retours au prépuce avant que ma langue ne vienne le lécher.

« Putain ce qu'elle est grosse et longue... ce n'est pas possible...
- Si rappelle toi le Martiniquais qui était dans notre chambrée à l'armée, lorsqu'il partait en virée les filles lui faisait mettre un anneau pour limiter la pénétration... Mais je dois reconnaître que celle-ci n'est vraiment pas mal non plus.
- Ça y est, regardez, elle commence à le faire bander, elle ne va pas pouvoir tout avaler !!
- Vous pouvez vous mettre à l'aise, comme au bon vieux temps, nous sommes entre nous... »

Ils ne fallut pas leur dire deux fois, les sexes tendus surgirent des braguettes, les vestes, les cravates se retrouvèrent sur la moquette.
Je suçais avec application le gland de Victor, son sexe s'érigeait lentement, ma langue léchait la hampe jusqu'aux testicules, j'en pris un dans la bouche, l'aspirant entièrement. J' enfournais à nouveau le gland, mordillant la verge, la faisant entrer petit à petit dans ma bouche, mes précédentes fellations m'avaient appris à ''apprivoiser'' le mini boa qu'était la queue de Victor, je réussissais maintenant à en avaler une longueur beaucoup plus importante que les premières fois, je ne désespérai pas d'en arriver au bout. Puis je m'appliquais avec des succions rapides à lui faire bien durcir le membre. Il arriva à son érection maximale, je relevais le pieu pour en faire apprécier la longueur, le bout du gland dépassait le nombril, je lui léchais les couilles. Il se débrouilla pour défaire mon chignon, mes longs cheveux blonds tombèrent sur mes épaules. Je montais sur la table et me couchais sur le dos jambes écartées à 180 degrés.

« Suce-moi, lèche mon jus...
- Oui... il me donna un petit coup de langue... Mais dis leur que tu aimes qu'on te regarde et que ça te fait mouiller... que tu es une petite salope... Venez voir messieurs, approchez ! »

Il écarta mes lèvres pour bien leur montrer, le ruissellement de ma chatte, il prit la boule noire et commença à frotter mon sillon, les 5,7 centimètres du diamètre de la boule écartaient mes grandes lèvres, Victor appuya légèrement pour bien élargir mes petites lèvres et faire pénétrer la moitié de la bille dans mon orifice vaginal, décapuchonnant mon clitoris, il le caressa avec la boule poisseuse.

« Oooouuuui, ooooouuuuiiii.....haaaa.... C'est bon continu... Continu... »

Je me tordais de plaisir sur le tapis du billard... Je sentis trois longs doigts fripés de Victor entrer dans ma chatte, il les enduisit bien de mon foutre avec des lents mouvements de rotation qui me tirèrent des gémissements de plaisir.

« Qui veut sucer, qui veut goûter ce nectar ? »

Dit-il en les présentant ses doigts ruisselants aux amis d'Alfred. Ils voulurent tous sucer, il fut obligé de recommencer l'opération trois fois, ce qui ne fut pas pour me déplaire. Puis sa langue entra en action, léchant la longueur de ma vulve, fouillant mon méat, il la rentrait le plus profondément possible. Je sentais que le plaisir montait. Ses doigts se positionnèrent de chaque côté de mon clitoris, le décapuchonnèrent. Il appuyait doucement pour bien le faire saillir, puis il le titillait avec l'ongle de son pouce, ses lèvres aspirèrent le petit rose devenu dur comme du bois. Satisfait de lui, il se releva.

« Regardez, Messieurs, son clitoris ressemble à un petit sexe... Elle aime les caresses du vieux Victor... Vous allez voir elle va jouir, la petite salope...»

Effectivement, c'était vrai, d'une manière provocante, j'envoyais mon bassin vers l'avant... et écartais encore plus mes grandes lèvres pour bien le dégager... j'allais jouir... Victor se pencha à nouveau, il l'aspira, ses dents mordillèrent délicatement la petite framboise offerte, son index et son majeur s'insinuèrent doucement dans mon anus. Un énorme spasme de jouissance me fit arc-bouter sur la table, les quatre vieux étaient autour de moi, me ratant aucune miette du spectacle, j'attrapais au hasard deux bites tendues au-dessus de ma tête et les serrai fortement. Mes seins tressautaient à chaque tressaillement qui partait de mon ventre et me traversait le corps comme une onde de jouissance, la pièce résonnait de mes cris de plaisir. Je sentis des mains me caresser les seins et me pincer les mamelons.

« Tu as bien joui, petite salope... à mon tour ! »

Il me fit descendre de la table de billard, me conduisit vers le canapé, me fit coucher sur le côté gauche. J'écartais à nouveau les jambes au maximum, son gland énorme vint se poser sur ma chatte, il le frottait doucement dans ma raie ruisselante, attendant que les spectateurs aient trouvé leur place, avant de commencer sa pénétration. Une lampe halogène éclairait le divan, nos ébats étaient pour ainsi dire en pleine lumière.
Son énorme gland violacé écarta mes petites lèvres, le diamètre en érection atteignait la grosseur de la boule de billard.

« Eh les gars, vous avez vu la grosseur... Vous croyez que cela va entrer sans peine ? »

Victor, en me mordillant le lobe de l'oreille me murmura.

« Allez, on fait notre petit cinéma... Ça va les exciter, Alfred ne demande que ça !!
- Ok, répondis-je en lui enfournant ma langue dans la bouche
- Salope dis nous que tu aimes te faire défoncer par ma grosse queue... Dis-le... Dis leur que tu aimes te faire baiser par des vieux... dis le...
- Oui, ouiiii mais Victor s'il te plaît doucement... elle est tellement grosse... Et puis ne la fait pas entrer entièrement, elle est trop longue... s'il te plaît...
- Je ne sais pas... qu'en pense ses messieurs ? »

En disant cela, tenant fermement sa bite, il en avait fait glisser la moitié à l'intérieur de ma chatte.

« Dooouuucemeennt, c'est gros...
- Oui, mais tu aimes, non ? Allez écarte bien...
- Oui, mais, c'est beaucoup ... c'est, c'est énorme... tu vas me déchirer...»

Il ressortit le tuyau monstrueux qui poissait de mon foutre.

« Putain, vous avez vu, dit-il a s'adressant aux spectateurs, vous avez vu comment la queue du vieux Victor la fait mouiller, je fais quoi, je la lui mets toute ?
- Noooooonnnn Victor, elle est trop grosse et trop longue... nooonnnn !!!!
- Si, si continuez Victor
- Oui, mets lui toute ta queue !
- Allez Trixie, fais-nous plaisir ! »

Je les regardais à tour de rôle de mes yeux bleu-vert, leur lançant un regard suppliant... Ils se branlaient ardemment. Victor enfila à nouveau la moitié son phallus, puis à petits coups de reins s'appliqua à faire entrer le reste centimètre par centimètre. Au fur et à mesure que sa bite démesurée pénétrait en moi des encouragements fusaient. Mes cris de refus se transformaient en râle de plaisir.

De nouveau, la jouissance montait doucement, de voir l'excitation de ses quatre vieux stimulait ma libido...
Je commençais à gémir de plaisir, mon bassin allait et venait maintenant, d'une secousse plus accentuée je fis pénétrer la totalité du mandrin qui me labourait.

« Oui, vous avez-vu, il lui a tout mis...
- La petite salope, elle aime ça...
- Visez comme elle se trémousse... »

Victor pour bien montrer que sa queue était entrée entièrement marquait des temps d'arrêt lorsque ses couilles étaient en contact avec mes fesses. Il me martela longtemps attentif a me pas me faire jouir... Il désirait autre chose.
Il s'assit sur le divan, et me mettant face à eux jambes pliées, largement écartées, talons posés sur le canapé de chaque coté de ses cuisses. Tenant sa bite d'une main, il présenta le bout de son pieu, ruisselant de mon foutre à l'entrée de mon orifice anal, un anneau de cyprine laiteuse entourait la base de sa bite. En regardant les invités d'Alfred avec un petit air de défi, j'abaissais mon bassin. Le gland bien lubrifié glissa dans mon ampoule rectale, le reste du piston suivi. Mes parois anales étaient distendues par la lente pénétration, je posais un pied par terre pour faciliter les mouvements du bassin de Victor. Comme pour la pénétration de ma chatte, les encouragements fusaient.

« Oui, oui, vas-y Victor enfonce...
- Tu es presque au bout...
- La salope, la salope... »

Sa queue était entièrement en moi, j'étais assise sur ses cuisses. Ses mains englobaient mes seins, il comprimait mes tétons entre ses phalanges pour bien les faire ressortir, il savait que j'aimais ça...
Mes deux mains appuyées sur ses genoux, je me levais et me rabaissais lentement. Les quatre copains de d'Alfred bouche bée regardaient le monstrueux tuyau poisseux sortir puis replonger dans mes entrailles. J'entendais leurs respirations s'accélérer, ils s'approchèrent, le petit ventru me présenta sa bite, j'ouvris la bouche, mes lèvres se refermèrent sur sa queue assez courte mais très large.

«  Suce moi... suce moi »

Ce que je fis avec application, les mains à l'arrière de ma tête il enfonçait entièrement sa bite dans ma gorge.
Les deux autres me prirent les mains et me firent comprendre que leurs bites n'attendaient qu'une chose une masturbation.
J'avais arrêté mes va et vient sur la colonne de Victor, la maintenant en érection par de petites rotations de mon bassin. Je jetais un coup d'œil sur le quatrième lascar, le grand moustachu chauve.
Il caressait en souriant sa bite, la calottant et la décalottant, elle n'était pas aussi grosse te longue que celle de Victor, mais elle devait avoisiner en érection les 24 cm.

« Eh, Marc... Elle ne te plait pas ? Dit Alfred
- Si, si mais j'attends qu'il ait fini leurs petites affaires... »

La respiration du petit gros s'emballa, il plaqua ma bouche sur son ventre et éjacula avec de longs jets, le sperme tiède coula dans ma gorge. Il eut tout juste le temps de se reculer que la bite de son voisin de gauche se glissa dans ma bouche et éjaculer à son tour.
.
« Tiens, tiens Salope avale, avale... Oh putain c'est bon, c'est bon.... »

Je sentis le sperme de celui de droite, gicler sur mes seins, il attendit que son copain libère ma cavité buccale, puis frottant sa bite dans sa semence, il me la fit lécher, me demandant de bien aspirer son méat. Alfred avait manœuvré une manette et le dossier du divan c'était abaissé, le transformant en une sorte de lit.

« Tu viens de gagner ton fric, me murmura Victor a l'oreille !!!!!! Ah non il en reste un ! Putain tu as vu il a une sacré queue... Je crois qu'il veut te baiser... Mais moi j'y suis j'y reste je n'ai pas joui... il se débrouille ou il attends...
- Mademoiselle Trixie, me permettez-vous de vous baiser ? Pourriez-vous  écarter vos cuisses... » 

Victor glissa sur le dos, son énorme bite s'échappa de mon trou intime...

« Attendez, je vais la remettre, le moustachu attrapa le sexe gluant et le remit dans mon fourreau anal, voilà poussez un peu Victor. A mon tour... »
Son gland appuya sur mon orifice vaginal, et s'enfonça lentement entre mes parois, avec son pouce il se mit à me masturber le clitoris tandis que ses lèvres aspiraient mes tétons à tour de rôle. Il se mit a me mordiller doucement les petites hampes brunes et dures, me tirant des gémissements d'extase.
Sa queue s'enfonçait doucement mais profondément dans ma vulve, il accéléra la cadence...

« Eh attends, on ne profite pas du spectacle relève ton buste, dit un de ses amis... »

Mes gémissements et mes cris de plaisirs avaient du les mettre au comble de l'excitation. Je sentis qu'ils appuyaient sur mes jambes pour les écarter au maximum et pouvoir apprécier les pénétrations des sexes monstrueux qui pourfendaient ma chatte et mon anus.

« Putain, la Salope elle à l'air de vraiment aimer ça... Alfred, on peut garder un souvenir, demanda le bedonnant... ? Oui, alors je veux ses bas... »
Je sentis ses doigts tremblants qui s'affairaient a défaire les attaches de mon porte-jarretelles puis c il quitta le bas de ma jambe droite. Il le descendait avec lenteur et léchait chaque centimètre de peau qu'il découvrait, il fit de même pour ma jambe droite. Ces douces caresses m'excitaient encore plus.

« Je vais compléter ma panoplie dit celui qui avait récupéré mon string... »

Il enjamba ma tête, se pencha sur moi, fit tourner mon porte-jarretelles autour de ma taille et le dégrafa.

« Putain, elle mouille vachement... »

Cela du lui donner une idée il se pencha encore plus, et commença a titiller mon clitoris avec sa langue, puis il se mit à lécher, le tour de ma chatte.

« Délicieux, délicieux... divin ce nectar... »

Et faisant abstraction de toute retenue, il se mit a lécher la bite de son copain chaque fois qu'elle s'extirpait de ma vulve poisseuse. Son majeur caressait en petit cercles, mon petit bouton rose.
Je voyais sa queue se balancer au dessus de moi, je l'attrapais et me mis à sucer son gland, je l'entendis gémir de contentement.

Je du perdre la notion du temps, il me semblait que mon corps transmettait à mon esprit des milliards de sensations c'était exquis,  et celui-ci en demandait toujours plus... Les muscles de parois vaginales et anales semblaient pourvus de vie propre et se contractaient tous seuls autour des deux énormes mandrins qui me martelaient. Mes neurones se surchargeaient de plaisir, mes entrailles aussi...

« Je vais jouir, je vais jouir hurlais-je.... Putain que c'est bon...
- Moi aussi dit Victor

Et d'un coup de rein puissant il enfourna son sexe monstrueux jusqu'à la garde, une série de spasmes le secoua lors de son éjaculation. Les contractions de sa vieille bite, déclenchèrent mon orgasme,
je criais de bonheur, enserrant avec force la queue qui se trouvait dans ma chatte, la chauve se raidit à son tour, et de grande giclées de sperme chaud virent buter sur le col de mon utérus.

« Ouuuuiiiiii, Ouuuuuiiii, c'est bon... c'est bon... il y a une éternité que je n'avais pas joui comme ça... je ne sais pas si je vais encore pouvoir baiser ma femme.... Alfred, Alfred tu nous inviteras encore....!!
- Si j'osais, je vous demanderai si vous vouliez bien vous retourner Trixie... me demanda celui qui était au dessus de moi, je crois que je vais jouir et ne n'ai jamais sodomisé une fille de ma vie...
et puis ma queue et toute petite en comparaison de celle de Victor...! »

Je me mis à genoux, il s'installa entre mes cuisses, sa queue glissa sans à coup dans le chemin ouvert par Victor, et effectivement au bout d'une dizaine de va et vient sa semence gicla pour aller se mélanger a celle du vieux majordome.

Je regardais Alfred, il était aux anges, il avait du se masturber, pas grave... il pouvait me baiser quand il le désirait. Ce qui lui importait c'était qu'il avait, par mon intermédiaire contenté ses vieux copains.
Ceux-ci ne tarirent d'ailleurs pas d'éloges sur moi, ma beauté, mon savoir faire, et ils n'en revenaient toujours pas d'avoir pu baiser, à leur âge, une jeune et jolie blonde aux yeux verts et au corps parfait. Alfred et Victor avaient vraiment de la chance... Ils espéraient que leur vieil ami de régiment
les convierait à nouveau à ce genre de bivouac....

A suivre ….

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Texte coquin : Trixie Chapitre 33 - Une partie de billard... très disputée
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