LE CHANTIER (16)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : LE CHANTIER (16) Histoire érotique Publiée sur HDS le 01-09-2015 dans la catégorie Dans la zone rouge
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(8.0 / 10)

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LE CHANTIER (16)
J’ai suivi Pierre, les yeux fermés c’est le cas de le dire ainsi que Maryse et Nadia.
La cagoule qu’il nous a fait mettre et la boule dans nos bouches nous empêche de communiquer depuis un temps qui me semble long, voire interminable.
Il nous a conduit dans ce qui semble être une propriété, car après avoir roulé très longtemps, la voiture s’est immobilisée devant ce qui me semble être un portail pour redémarrer et s’arrêter quelques mètres plus loin.
Il m’a fait descendre dans ce qu’il semble être une cave, quoique après m’avoir mise nue et placée à genoux les seins sur une sorte de banc la chaleur que je ressens peut me faire penser que je suis simplement dans une chambre.
Après des caresses, je reçois pour la première fois des lanières qui viennent zébrer mon postérieur.
Où est la petite fille sage une fois de plus qui attendait sottement son mari travailleur expatrié ?
Où est cette femme qui ignorait qu’il est possible de recevoir des bites en même temps dans la chatte et dans le cul avec mes deux amants ?
Et pourquoi suis-je venu me placer dans les pattes de sado qui semble prendre du plaisir à ce que mes fesses soient rubicondes.
Mon cerveau entre en ébullition, car le traitement que me fait subir mon tortionnaire semble vouloir me transformer en femme soumise.
Avec moi et avec mes deux amies, nous serions maîtres de nos jeux et maîtres de nos cerveaux, s’il veut nous dominer par ces moments de plaisir physique ou sexuel, nous serions résistantes.
Étant sûr de ne rien risquer, j’attends avec envie ce qu’il a décidé de nous faire découvrir.
Après c’être occupé de mon cul, va-t-il s’occuper des autres parties de mon corps, car pendant un long moment, il me semble que rien ne se passe.
À non, il revient à la charge, sa main sur mes rondeurs arrière avec deux doigts qui titillent ma rosette me montre qu’il en veut plus.
Il me taraude doucement puis violemment plusieurs fois et lorsque ses doigts sortent, c’est sa verge qui me pénètre.
À part la grosseur du morceau qu’il m’introduit rien ne dit qu’un comparse est avec lui et le fait que mes yeux soient dans un noir complet augmente l’impression de puissance des coups de reins qu’il me fait subir.
Il sort de moi et une verge bien chaude et bien raide prend sa place.
C’est bien ce que je pensais, il a ouvert la voie et un comparse bien plus membré que lui prend le relais.
Le pilonnage est bien régulier et rapidement je jouis par le cul comme mes amants par leur pugnacité m’ont appris à le faire.
Là encore je suis frustré, j’ai envie de crier mon plaisir, mais cette maudite boule m’en empêche.
Tous ces impondérables mettent ma patience à rude épreuve.
Quand le jeu va s’arrêter, c’est moi qui vais placer Pierre dans cette posture et avec le gode que je vais acheter, c’est lui qui va sentir ce qu’enculer veut dire.

• Pierre, je te le gueule, tu es un enculé.
Tu as compris, un enculé.

Je gueule dans ma tête un enculé chaque fois qu’une décharge de plaisir irradie mon corps.
Un jus chaud perfore mon fondement lorsque l’amant inconnu que Pierre m’a donné envoi au fond de moi son sperme que j’aurais eu plaisir à avaler.
Quelques minutes et il touche à ma cagoule, mais lorsqu’il a fini, je suis toujours dans le noir complet.
Encore un temps d’attente très longue même interminable et d’un coup la lumière s’allument.
Mes yeux me font mal tellement, cette lumière est intense ou est-ce seulement l’obscurité subie pendant des heures qui vient les agresser.
Mes yeux habitués, je peux enfin voir où je suis.
Comme je le présentais, je repose sur un banc ou son équivalent en bois avec mes pieds et mes poignets attachés par des bracelets fixés au sol.
Je suis au centre d’une magnifique cave qui doit faire la totalité de la maison sous laquelle elle est implantée.
Je vois sur le côté mais pas la totalité, devant moi une colonne de marbre soutenant la voûte comme on le voit dans les églises.
De chaque côté, des croix en bois légèrement incliné vers l’arrière soutiennent deux jeunes femmes de mes connaissances.
Maryse d’un côté et de l’autre Nadia avec la cagoule les yeux obturés.
Chaqu'une d’elles ont dans la chatte un gode de belle taille raccordé par des fils à une boîte.
Pierre près de moi me fait voir ses oreilles d’un geste explicite demandes si je veux l’entendre.
Un oui de la tête et il me libère l’ouis.
Comme pour les yeux après une période d’adaptation, je l’entends me parler.

• Alors ma belle, as-tu apprécié ces moments dans ma jolie cave secrète ?

Je tiens à éviter de le contrarier voulant rester dans la lumière et le son.

• Tu vois tes copines, elles doivent beaucoup cogiter. J’ai bien vu que vous rigoliez entre vous en voyant ma petite queue, mais je savais que si j’arrivais à vous amener chez moi sur mon terrain, je compenserais mon infirmité.
Tu as aimé mon copain qui t’a fait jouir tout à l’heure.
Réponds avec ta tête ma salope.

Je hoche la tête de haut en bas.

• C’est bien, je vois que tu comprends, regarde mon adjoint qui t’a sodomisé après moi tout à l’heure, je suis le seul qui connaît comment entrer dans cette cave et mieux même je suis le seul à connaître où se trouve la maison.
Regarde.

Près de moi il me met sous les yeux un gode aussi gros que la verge de Christian à croire qu’elle a été moulée sur sa bite avec sur l’arrière une poire qui semble avoir du liquide dedans.

• Quel effet cela t’a fait de recevoir du lait chaud dans ton cul.
Cela me donne une idée, je devrais avoir un chat qui lécherait le lait qui sort encore de toi.
Ma bite est petite, mais mon cerveau déborde d’idée, c’est pour cela que j’ai été choisi pour être votre maitre.
Avant de continuer à m’occuper de tes copines, je vais te faire une confidence.
Je te suis depuis le début de l’été dans tous tes débordements auprès de ta piscine, la perversité grandissante que j’ai vue en toi mon mis en évidence que tu es celle qui mérite de me succéder.
J’ai passé des examens, il y a trois mois et les docteurs m’ont certifié qu’il me restait six à huit mois à vivre. Mon cœur malade doit être remplacé ce qui me donne peu de chances de trouver un cœur compatible.

Une idée funeste me vient à l’esprit, il a bien dit qu’il est le seul à savoir ou est la cave avec un cœur malade, si je comprends bien si son cœur lâche maintenant, nous sommes bonnes pour crever avec lui à petit feu pendant des heures.

• Valérie, j’ai la faculté de lire dans les pensées, ce qui m’aide en politique.
Tu te dis et s’il mourait maintenant.
Je me trompe.

Un signe de ma tête de droite à gauche.

• Tu vois, j’ai toujours raison.
Je t’ai dit que tu serais ma remplaçante, chez mon notaire à Toulouse en plus de mon testament, je lui ai confié une lettre dans laquelle je lui parle de l’emplacement de la maison et de ce qu’elle contient donc la cave avec la manière d’y entrer.
Ma secrétaire doit le prévenir si je suis absent plus de quarante-huit heures sans l’avoir prévenu de mon absence.
Dans le plus mauvais des cas en quarante-huit heures, vous seriez délivré avec comme seul inconvénient d’avoir été aux mains de mes petits joujoux que j’ai calculés et installés moi-même avec passion.
Reconnais que je suis un grand malade, tout cela à cause d’une petite jeune fille que j’aimais follement lorsque j’avais seize ans.
Elle a rigolé au moment où j’ai baissé mon pantalon alors qu’elle s’était allongée nue les cuisses écartées pour que nous fassions l’amour.
Bon, je parle, mais il faut que je vous prépare pour la nuit.
Tes copines n’ont pas besoin de voir ou elles sont jusqu’à demain.
Regarde comme des femelles comme vous ne pouvez rien contre un homme déterminé comme moi à vous soumettre.

Sur ces paroles pleines de suffisance de son pouvoir sur nous il détache Maryse après avoir tourné un bouton sur la boîte et enlevé le gode.
Il prend à portée de main un collier avec des clous qu’il lui attache au cou.
Il lui attache une laisse et après avoir défait les bracelets à ses pieds, il l’aide à descendre et lui fait comprendre de le suivre.
Il passe près de moi et j’entends des bruits significatifs vite couverts par celui comme si de l’eau bouillonnante.
Il recommence la même opération avec Nadia.

• Attends-moi ma belle, c’est bientôt à toi.

C’est mon tour et ce que je pressentais après qu’il me redresse, j’ai du mal à tenir debout. Il me conduit comme les autres dans un wc installé dans un coin et que je ne pouvais voir.
Il m’a mis un collier et une laisse, il me fait rejoindre les filles qui barbotent dans un Jacuzzi les mains attachées par des bracelets à mi-hauteur de leur corps.
J’entre dans l’eau et il m’attache comme les autres.
Sans un mot, je le vois remonter l’escalier taper un code, j’entends une porte s’ouvrir et il disparaît.
L’eau a un effet bénéfique sur mon arrière fouetté tout à l’heure.
Comme tout ce que nous propose Pierre tout semble calculé, c’est encore le cas avec ce simple bain, nos bras en l’air et l’eau qui bouillonne commencent à nous peser.
Ce salop nous a placés l’une l’autre au tiers de ce Jacuzzi qui contient dix places.
Comment a-t-il fait pour faire entrer cet immense Jacuzzi ?
Question sans réponse mais question sur la méthode car j’ai les bras qui me pèsent et l’eau malgré la chaleur a tendance à donner à mon corps une sensation de froid.
Mieux même, ma bouche voudrait me faire claquer des dents, mais il m’est impossible de le faire.
Je commence à comprendre comment une fois de plus il prend son pied, car la température de l’eau remonte devenant même brûlante.
J’ai bien tenté de toucher mes sœurs de plaisir et de souffrance avec mon pied, car je pense qu’elles ressentent les mêmes impressions que les miennes, mais avec la notion d’isolement complet par rapport à moi qui les voit et qui entend les borborygmes qu’elles émettent.
Cinq à six fois, avant qu’il redescende ce supplice digne de Tantale, nous aient infligé.
À croire même qu’il l’a amélioré, car pour Tantale, les dieux mécontents se sont contentés de lui refuser le même plat à manger alors que pour nous les cycles froids chauds ou chauds-froids semblent complètement aléatoires.
Lorsqu’il arrive près de moi, un large sourire illumine son regard.
Il est frétillant comme un jeune garçon ayant réussi une bonne blague en classe.

• Valérie, ma belle, que penses-tu de mon Jacuzzi à température variable, je parie, pertinente comme tu l’ais, que tu te poses la question, comment un si grand appareil construit à la mesure de ma frustration est entré dans cette cave par une si petite porte.
C’est tout simple, ma maison de tous les plaisirs est construite autour de cet appareil.
J’ai fait construire la maison, il y a dix ans environ par des ouvriers que j’ai supprimés chacun leur tour afin qu’ils soient dans l’impossibilité comme en Égypte de divulguer l’entrée et l’emplacement de mon chef-d’œuvre, conçu contre et surtout pour les femmes.
Je vois que tu es indignée. Je rigole, ce sont des ouvriers venus du sud de l’Italie qui ont juré au chef de chantier l’un de mes amis décédés d’une mort depuis dont je suis complètement étranger car relevant d’une vieille rivalité familiale avec leurs voisins qui l’on bâtit avant de retourner chez eux nanti d’une paye en rapport du travail qu’ils ont effectué.
Assez parlé, je suis épuisé de m’occuper de vous trois. Je vais vous placer pour la nuit.

Il commence par moi, il me détache les poignets et les muscles incapables de soutenir mes bras les font tomber dans l’eau.

• Je sais, toutes les femmes que j’ai fait venir ici dont la jeune fille qui m’a humilié et qui est à la base de mon projet fou, mariée et mère de six enfants. Elle est battue par un mari alcoolique et m’a dit que dans ce lieu de plaisir le plus dur qu’elle a eu à supporter, ce sont les bras en l’air.
Pour toi et parce que tu es, mon digne successeur, tu as passé moins de deux heures dans cette position alors que celles qui viennent ici peuvent y rester la nuit.

Avec ma laisse, il m’entraîne vers les toilettes.
Lorsque je ressors, il a dans les mains un fouet qu’il fait claquer.

• Agenouille-toi, chienne, prosterne-toi devant ton maître et suis-moi à quatre pattes !

Je suis tellement subjugué par ces mots prononcés avec virulence que je m’exécute.
Le fouet claque deux fois sur ma croupe avant d’arriver devant une cage d’un mètre cube environ entraînant un cri de douleur par moi seule entendu.
J’entre dans la cage où il a eu la décence de placer un tapis au sol.
Les deux autres louves suivent bien plus fouettées que moi car ses ordres ont du mal à parvenir à leur cerveau.
Il est sympa le copain, il nous place dans trois des quatre cages placées le long d’un mur alors qu’il y en a quatre autres de l’autre côté.
C’est replié sur moi-même que je le vois remonter.

• Bonne nuit Valérie à toi et tes copines, à demain matin.

Lumière éteinte, je finis par me demander si mon poste de responsable du centre sportif valait bien autant voir plus de vexation que de souffrance.
À demain…

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
Certes très chaud. Le vrai plaisir d'une relation hard est quand elle est également appréciée par la receveuse. Ca semble bien le cas ici.
Quelques incohérences de français rendent le récit un peu obscure.



Texte coquin : LE CHANTIER (16)
Histoire sexe : Une rose rouge
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