Titre de l'histoire érotique : La maîtresse de mon copain

- Par l'auteur HDS Jean-Pierre -
Auteur homme.
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Récit libertin : Titre de l'histoire érotique : La maîtresse de mon copain Histoire érotique Publiée sur HDS le 28-08-2015 dans la catégorie Plus on est
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Titre de l'histoire érotique : La maîtresse de mon copain
-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --

Il y a quelques mois, un copain, plutôt avare de confidences, m'a avoué qu'il rencontrait régulièrement la femme d’un autre copain, une joie rousse.
Je connais très bien ce copain cocu et aussi sa femme, c’est même moi qui lui ai présenté un jour le couple, c’est bien vrais qu’elle est jolie et très surveillée par son mari.
Toujours est-il que sans doute pour me remercier de lui avoir permis de se faire cette jolie femme, il m'a proposé de me joindre à lui pour faire une petite surprise à sa belle.
Ils avaient l'habitude de se retrouver dans une petite maison, c'est là qu'il m'a fixé rendez-vous deux jours plus tard, en me recommandant de garer ma voiture pas trop près de la maison car cela pourrai paraître louche à sa belle qui connait ma voiture.
Le jour dit, je gare donc ma voiture à cinq cent mètres et me dirige à pied vers la maison indiquée. Devant celle-ci, une seule voiture, celle de mon copain. J'entre, et là surprise, mon copain n'est pas seul. Trois autres types que je ne connais pas, sont avec lui. Je prends un air étonné.
- Je ne me suis peut-être tromper de jour ?

- Ah ! Non ! Entre. C'est vrai, je ne t'avais pas dit. Tiens je te présente X…, Y…, Z…" (complètement oublié les noms).
Les types me serrent la main. L'un est d'allure assez sportive, les deux autres du genre représentant de commerce, plutôt costaud avec du bide. Nous sommes cinq et ma surprise ne fait que croître lorsque qu’il me dit :
- On en attend plus que deux personnes dit mon copain.
Pas de doute, il lui a préparé un gang bang à sa belle. Je lui demande si elle est au courant et surtout, si elle est d'accord ? Il sourit en me disant :
- Non ! Mais tu la connais bien ! Je suis sûr que ça va lui plaire !
Je la connais oui, une fois une aventure, il m'est arrivé de lui faire aussi avouer qu'elle rêvait de se faire baiser par une bande de mecs, mais du fantasme à la réalité, je trouve qu’il va un peu vite mon copain. D'autant que les deux derniers mecs arrivent et que l'un d'eux est un très gros black !
Il nous reste une quinzaine de minutes avant son arriver, alors Mon copain nous serre à boire. Whisky pour tout le monde. Il y a aussi plusieurs bouteilles de Champagne, ce qui n'est pas étonnant, car je sais qu’elle adore le champagne, et son amant doit le savoir aussi bien que moi.
Soudain un bruit de voiture. Mon copain nous fait éteindre les lumières et nous nous retrouvons dans la pénombre car les volets sont fermés. Claquements de talons sur l'escalier extérieur, la porte de dehors s'ouvre nouveaux claquements de talons sur le carrelage de l'entrée. Une petite voix :
- Chéri ! Tu es là ?
- Oui, je suis au salon.
- Mais ! tu es fou, pourquoi as-tu éteint ? Ou es-tu ?
Je vois son ombre, il se glisse derrière elle pour lui couper la retraite, et rallume soudain. Stupeur ! Peur même. Elle pousse un cri et a un mouvement de recul. Elle se retrouve dans les bras de son amant, elle balbutie :
- Mais ! Qu'est-ce que tous ce monde !
Il la serre contre lui, la rassure. Il lui explique qu'il a décidé de lui faire une petite surprise.
- Non ! Tu n'aurais pas dû ! Non ! Allez ! Laisse-moi partir…
Mais lui en douceur, cherche à la rassurer, à la mettre en confiance, il assure qu'elle n'aura rien à faire qu'elle ne veuille pas. Il parle seulement d'exhibition. Elle semble se calmer un peu, accepte une coupe de Champagne. Il lui présente tous les hommes présents, aucun n'a dit un mot.
Elle me fait la bise, alors les autres y ont droit aussi. Nouvelle coupe de Champagne. Son amant, lui propose alors de nous faire juste un petit strippe. Elle se fait un peu prier, mais le laisse quand-même lui ôter sa petite veste. Elle est comme d'habitude vêtue de façon très chic, jupe très courte, corsage en soie de couleur sombre, escarpins à talons.
Mon copain, met de la musique ! Elle finit par accepter d'onduler au rythme de la musique, et, oh surprise ! Elle commence à déboutonner son corsage en baissant les yeux d'un air gêné.
Elle prend son temps, mais le spectacle est agréable. Le dernier bouton détaché, le corsage s'ouvre et dévoile un soutien-gorge noir à balconnets. C'est un modèle plutôt sexy, mais elle porte volontiers ce genre de lingerie, et puis, elle venait là pour y retrouver son amant qui finit de lui ôter son corsage, puis comme la musique préparée par lui est un slow, il la prend dans ses bras pour danser.
Elle se laisse faire. Tout en dansant, il a mis les mains sur les hanches de sa cavalière, et fait lentement relever son étroite jupe, nous révélant ses superbes jambes gainées de noir. La jupe remonte de plus en plus haut arrivant à la lisière de la dentelle des bas. Oui, il s'agit bien de bas.
La jupe arrive au ras des fesses. Ce sont de vrais bas, avec porte jarretelles ! Sans doute une exigence de son amant.
Le derrière de la jupe dévoile le bas des fesses. Elles semblent nues. La jolie rousse, penchée sur l'épaule de son amant, cache son visage dans le cou de celui-ci. Les fesses sont bien nues mais j'aperçois quand même, la fine ficelle d'un string. L'ambiance est chaude.
Je sens bien que tous les mecs ont envie de se ruer sur elle, mais ils se contrôlent tous. Tout en dansant, les mains de son amant sont remontées dans le dos de sa maitresse. Il la serre contre lui, mais surtout, je vois qu'il s'attaque à l'attache de son soutif. Celle-ci semble lui résister. Alors, semblant soudain changer d'attitude, il se recule et tout aussi vivement, agrippe les bords des bonnets du soutif, pour les tirer brusquement vers le bas.
Les nichons de la belle jaillissent ! Des seins superbes, bien fermes, elle est surprise, et a un moment de peur qui ne fait que s'accentuer lorsque qu’au lieu de la reprendre dans ses bras, il la pousse soudain au milieu de la pièce. Elle est superbe avec son air craintif, les nichons sortis du soutif, la jupe roulée en ceinture à la taille, en bas, porte jarretelles et escarpins, et avec ce string noir qui cache à peine son pubis.
Se retrouvant face à nous, elle a mis ses mains devant ses seins, comme par réflexe, pour les cacher. C'est alors qu'un des hommes présent lui lance :
- Allez ! Retire tes mains ! Ne nous cache pas ses merveilles.
Elle cherche le regard de son amant pour se rassurer, mais il lui sourit sans intervenir. L'homme insiste :
- Retire tes mains de tes nichons, et retire le reste de tes frusques ! Parce que, si tu n'as pas encore compris, on va tous ensuite te tirer ma belle !
Je m'attends à tout, sauf à ce qui se passe sous mes yeux. Elle obéit, libère ses seins, et se met docilement à ôter les quelques vêtements qu'il lui reste. Après le soutif, la jupe qu'elle dégrafe, puis fait glisser jusqu'au sol. Enfin le string, dévoilant un pubis nu ! Elle ne porte plus que ses bas, ses portes jarretelles et ses escarpins.
Le plus gros, toujours aussi sûr de lui, lui dit alors :
- Bien ! Maintenant approche un peu. Met toi à genoux, sors la moi et pompe !
Je n'en reviens pas, car elle n'a aucun mouvement de révolte, elle obéit à l’inconnu, s'agenouille docilement devant lui, et sans hésiter, déboutonne la braguette de son pantalon, avant de glisser sa main dans l'ouverture. Je ne sais pas si l'homme porte un slip ou si la belle est particulièrement experte, mais elle en extirpe presque instantanément, une assez belle bite qu'elle engouffre dans sa bouche, sans hésiter.
Je suis sidéré ! Nous nous rapprochons tous et les entourant. Elle est à genoux au milieu de nous, alors bien sûr, nous sortons tous nos queues. Bon, ça va, ils me dépassent quasiment tous en longueur, mais pas de beaucoup, sauf le black ! Qui a une bite de cheval ! Du coup je ne me sens pas trop complexé, et j'offre aussi ma bite à sucer, comme les autres.
La belle ne sait plus où donner de la bouche et des mains, mais elle se débrouille bien. De toute évidence, on sent combien la situation l'excite. De temps en temps, son amant lui tend la coupe de Champagne.
La cochonne, elle nous suce de façon de plus en plus gourmande. Nous bandons tous ! Le plus gros maintenant qu'il bande, elle est vraiment très épaisse. Quand elle le suce, La pauvre, en a la bouche déformée, mais ça ne doit pas lui déplaire, loin de là, car c'est lui qu'elle revient le plus souvent sucer. L'homme l'a remarqué lui aussi et il lui dit :
- Elle te plaît ma bite, hein ? Je parie que tu en as envie, hein ?
Elle ne répond pas mais se met à le pomper avec encore plus d'avidité, trahissant son excitation. L'homme insiste, il ressort sa queue de sa bouche et lui dit :
- Regarde-là bien ! Dis-le que tu en as envie !

- Oui ! C’est vrai ! J’en ai envie.
Je n'en reviens pas. Mais cela ne suffit pas à l'homme :
- Dis le mieux que ça ! demande là moi avec plus d’envies.
Et avec son air gêné, elle prononce ces paroles incroyables :
- Oui ! J'ai vraiment envie que tu me la mettes !
Comment résister à une pareille invitation ? L'homme passe derrière elle et là fait se relever, puis la courbe en avant. Du coup c'est moi qui me retrouve devant elle, et sans hésiter, elle engouffre ma bite entre ses lèvres. Tandis que le gros s'est mis en devoir d'enfiler une capote, un autre mec s'est placé derrière elle et lui fourre deux doigts dans la fente, histoire de la branler.
Le résultat ne se fait pas attendre, un clapotis obscène se fait bientôt entendre. Le type paraît surpris. Il s'exclame :
- Putain la cochonne ! Elle en a tellement envie qu'elle me pisse dans la main.
Un bref instant je sens ses dents se resserrer un peu sur mon membre tant ces paroles semblent la troubler. Mon copain qui observait la scène en souriant nous dit d'un air ravi :
- Oui ! Elle fait toujours les grandes eaux

- Tu parles ! C'est même une fontaine répond l'autre.
Et comme pour prouver ses dires, il se met à doigter sa fente. J'ai aussi pratiqué ce genre de chose avec elle pour être étonné du résultat, mais les autres mecs semblent plus que surpris, car le clapotis devient de plus en plus obscène et notre jolie rousse, libère les vannes, arrosant copieusement la main de son branleur.
Celui-ci n'arrête pas pour autant et continue à lui doigter la moule ruisselante. D'ordinaire elle assume plutôt bien cette particularité, mais là en présence de tous ces mecs, je la sens très troublée. D'autant que les commentaires vont bon train :
- La cochonne ! Quelle pute ! Putain les mecs, je crois qu'on va tous bien se régaler la bite.
Le gros s'approche derrière elle, il a fini enfin d'enfiler sa capote et quand on voit le résultat, on comprend qu'il ait eu du mal, car le morceau doit faire six centimètres de diamètre. Il met deux mains sur les superbes hanches de notre invitée, et se plante énergiquement.
La belle gémit malgré le bâillon que constitue ma bite. Mais le gros ne semble pas du genre raffiner, deux ou trois va et vient et sa bedaine vient claquer sur les fesses de sa partenaire. Il lui a tout mis ! Agrippant alors fermement la croupe de la belle, il se met à la limer d'un va et vient régulier mais puissant.
Le black s'est présenté à côté de moi, et la bouche de la belle, abandonne ma bite pour absorber la sienne. Mais, le gros se met à la bourrer de plus en plus, et les coups de bite se répercutent à tout son corps, jusqu'à sa bouche, l'obligeant à absorber bien plus long de la bite du black qu'elle n'en est capable.
Je la vois même un moment suffoquer. La scène m'excite terriblement. En cessant de me sucer, elle a pris le relais en branlant ma bite de sa main, mais elle a maintenant entre les doigts un engin plus raide que l'acier. Mon désir est de plus en plus violent, de plus en plus incontrôlé. Sous mes yeux, la belle se fait défoncer par un gros type tout en pompant un black.
Elle a des gémissements étouffés que visiblement, elle ne peut réprimer. Ses nichons pendent sous sa poitrine et ballottent lourdement sous les coups de bite. La scène dure encore un moment, le gros mec résiste et bourre toujours. Tous les mecs maintenant ont tombé le pantalon et le slip. Deux s'affairent à enfiler des capotes. Sentant mes limites, j'ai voulu me reculer, céder la place à un autre, mais ma jolie rousse, n'a pas lâché ma bite. Sans doute même a-t-elle senti à quel point je suis prêt à exploser.
Toujours est-il qu'au lieu de relâcher la pression, elle se met à m'astiquer le manche d'un mouvement énergique. Le résultat ne tarde pas. Je pousse un râle, et soudain une fusée de foutre part de la base de ma bite pour gicler avec violence ! Comme je n'ai pas baisé les deux jours précédents, en prévision, de cette journée, ma belle rousse a le paquet, car non seulement moi je lui balafre le visage de trois traînées gluantes, mais deux autres mecs, excités par la scène, lui arrose à leur tour la figure.
Cela me rassure, je ne vais pas passer encore une fois pour le lapin de service ! Le subtil maquillage de la pauvre fille en a pris un coup. Mais elle s'en moque, car maintenant elle se met à gueuler sous les grands coups de bite du gros qui visiblement veut cracher à son tour. Il semble avoir du mal à venir et s'acharne à grands coups de reins, ce qui n'a pas l'air de déplaire à la Dame.
C'est alors que je m'aperçois que la capote du mec, ou du moins ce qu'il en reste, est roulé en anneau à la base de la bite. De toute évidence, le préservatif a craqué, ce qui n'a rien d'étonnant compte tenu de la largeur de l'engin et de la violence que met le mec dans ses assauts. Je manque d'intervenir car je sais qu'elle ne supporte ni la pilule, ni le stérilet, et que sa seule méthode de contraception est le préservatif, mais comment arrêter un couple sur le point de s'éclater ?
D'ailleurs il est trop tard, le type pousse un beuglement de bête et reste planté à fond, tandis qu'elle hurle comme je ne l'ai jamais entendue. Sans doute, parce qu'elle vient de sentir que le mec a vraiment atteint le fond de la chatte ! Le gros est exténué et après être resté une quinzaine de secondes plantée en elle, il se retire et va s'écrouler épuisé dans un fauteuil.
Sa bite commence à se ramollir et pend lourdement. Dans cet état, elle paraît encore plus grosse. Un autre type veut immédiatement prendre le relais, mais elle s'est redressée et l'arrête. Je la vois murmurer quelque chose aux deux mecs qui l'entourent, puis à son amant, et se diriger vers la salle de bains.
Deux mecs ne tardent pas à lui emboîter le pas et à vouloir entrer avec elle dans la salle de bains. Je m'attends à les voir se faire refouler gentiment, mais non. Ils sont entrés derrière elle et ne ressortent pas. J'hésite à les rejoindre, je résiste un moment, puis je n'en peux plus. Je me glisse dans le couloir jusqu'à la porte de la salle de bains mais je n'entre pas. J'ai plus envie de voir que de participer.
Le spectacle auquel j'assiste vaut le coup. Elle est assise nue sur le bidet, les cuisses écartées, face à la porte, et elle pratique d'une main ses ablutions, tandis que son autre main et sa bouche, s'occupent des bites que les deux mecs lui tendent. L'un des deux types semble avoir du mal à bander, pourtant la scène ferait bander même un impuissant. Je ne tarde pas à en comprendre la raison, quand celui-ci se recule, saisit son sexe de sa main, et se met à pisser ! Notre jolie rousse, sursaute mais en fait, sa surprise ne semble pas aussi grande que cela.
Le jet d'urine lui éclabousse les seins et dégouline le long de son corps. Je la vois fermer les yeux, non d'horreur, mais visiblement de honte, sans doute trop troublée du plaisir qu'elle ressent à sentir le chaud liquide ruisseler sur son corps. Les trois complices finissent par se retrouver sous la douche. Je regagne le salon. Mon copain vient vers moi et me dit :
- Cela a l'air de lui plaire hein ?

- Oui ! Plutôt ! Tu ne lui avais vraiment rien dit ?

- Pour aujourd'hui ? Non rien, c'était une surprise. Bien sûr on avait déjà parlé de ça comme ça, dans le vague, en baisant avec toi aussi je suppose ?

- Oui ! J'avais aussi remarqué que ça l'excitait vachement quand je lui disais de baiser en groupe.
Mon copain n'eut pas le temps de répondre, car sa maitresse revenait vers lui. Elle souriait, mais avec un air gêné, mais, elle ne tarda pas à être entourée de nouveau mais cette fois je l'entendis dire :
- Je préfère qu'on aille dans une chambre, ce sera quand même plus confortable.
Alors débuta une sacré séance de baise, notre jolie rousse dans une chambre au premier étage de la maison, tandis que les mecs se relayaient, à deux, parfois à trois, pour aller la baiser. Dans le salon, l'ambiance n'était pas moins chaude car nous commentions en riant le tempérament de la belle, et par moments nous parvenaient du premier, ses cris de cris de jouissance.
Les deux gros et le plus jeune, ayant tous trois tiré leur coup, prirent congé. Les deux autres voulurent s'esquiver à leur tour, mais mon copain leur dit :
- Non ! Attendez ! vous pouvez encore rester un moment.
Il se tourna vers le black et ajouta :
- Toi avec l'engin que tu as-tu ne doit pas avoir beaucoup d’occasion reste aussi, tu passeras le dernier, ça ne te gêne pas ?
Les types approuvèrent et je suis donc monté avec mon copain la rejoindre. Elle reposait nue sur le lit, dans la pénombre, visiblement épuisée parce qu'elle avait déjà subi. Nous nous sommes mis nus, comme elle, et nous sommes nous aussi allongés sur le lit. De baiser en baiser, de caresse en caresse, la belle voit son désir renaître. Nous avons envie d'elle, nos queues le démontrent parfaitement.
La bouche de son amant vient prendre possession d'un de ses seins qu'il gobe littéralement et ma main vient s'insinuer entre les cuisses. Son entre-jambe est tellement juteux que j'ai un moment la tentation d'aller m'abreuver à cette source, mais le fait de ne pas savoir si les autres ont utilisé un préservatif, et si sa mouille n'est pas mêlée de sperme me fait hésiter.
Finalement je me contente de la doigter à coups de poignet énergique. Je sais trop bien combien elle aime ça. Je semble n'être d'ailleurs pas le seul à le savoir car le lit sous elle, est absolument trempé. Je vois que la belle a du se laisser aller comme elle en a l'habitude. On se demande comment elle peut avoir autant de ressource. Il faut dire que son amant a pensé à tout, et qu'une bouteille de Champagne, avec deux coupes, se trouvent sur la table de chevet. La bouteille est d'ailleurs déjà presque vide. Son amant continu à lui sucer les seins et ses mains caressent la pointe érigée. Elle gémit bruyamment et se tord de plaisir.
Quand même, un copain si discret, il a quelque chose d'extraordinaire, il n'est ni beau ni laid, il a une bite ordinaire, ni petite ni grosse, il a une endurance normale, mais pourtant il les fait toutes craquer. Il collectionne les filles. Elles adorent baiser avec lui. C'est le cas ici aujourd’hui. Notre jolie rousse, gémit très fort et bientôt je l'entends le supplier de la baiser une nouvelle fois :
- Viens ! Je veux que tu me prennes ! Je veux te sentir en moi ! Je veux que tu me défonces.
Son amant ne se fait pas prier. Il glisse sur elle, lui saisit une jambe, une seule, et la remonte jusque sur son épaule, avant de la pénétrer sans hésitation. Le temps n'est plus aux fantaisies et il se met à la baiser égoïstement, violemment, en ne se souciant que de son seul plaisir !
La belle jouit très vite, et bien que son partenaire ne cherche nullement à se contrôler, je devine qu'elle jouit à plusieurs reprises avant qu'il ne se déverse en elle.
C'est alors seulement que je réalise qu'il l'a prise sans capote. Je suis plutôt surpris, car jusqu'alors, notre jolie rousse en a toujours exigé même de moi.
Ils sont en sueur mais heureux. Mon copain allume une cigarette, elle se tourne vers moi, prend mon sexe dans sa bouche. J'ai envie de la voir. J'allume la lampe de chevet et l'oblige à me regarder dans les yeux tandis qu'elle me suce. C'est étrange, j'ai l'impression qu'elle me suce plus vicieusement que d'habitude. Elle m'a décalotté à fond et sa langue joue avec mon gland tandis que sa main me malaxe les boules. Soudain elle m'attire sur elle et écarte largement les cuisses. Je tends la main vers le chevet où se trouvent des préservatifs, mais elle me murmure d'une voix pleine de désir :
- Non viens vite, sans capote.
Je ne me le fais pas dire deux fois, et je l'enfile d'un coup, jusqu'à la garde, bien profondément, lui arrachant un gémissement d'enfer ! Ce n'est pas un gémissement de douleur, car il n'est pas besoin de le dire, la belle qui a la moule béante ! Après les mecs qui s'y sont succédés, cela n'a rien d'étonnant. Moi ça ne me gêne pas.
Rendu plus endurant par ma première éjaculation, je la baise plutôt bien et je résiste à ses supplications qui d'ordinaire me font jouir trop vite. Mon copain, voyant que je tiens le coup, me mets la main sur l'épaule, et me dit :
- Attend ! Mets-toi sur le dos.
Stoppé dans mon élan, je manque de l'engueuler mais me ravise, car notre jolie rousse n'a rien dit. Je roule sur le côté et me retrouve bite dressée. Elle a une légère hésitation puis se redresse, m'enjambe, et saisissant mon sexe de la main, se le place elle-même avant de s'empaler dessus.
Son amant, vient se placer derrière elle, et la pousse pour la faire se courber en avant de façon à bien offrir son cul. Je ne peux y croire, car, elle ne m'a jamais offert son cul, d'ailleurs dès nos premières rencontres, elle m'avait prévenu qu'elle ne l'acceptait pas. Mais aujourd’hui, elle est penchée sur moi, sa bouche contre mon oreille, ma bouche contre la sienne. Elle pousse un gémissement. Je lui demande d'un ton ferme:
- Mais ! Qu'est-ce qu'il fait ?
Elle murmure :
- Il… il me met un doigt dans le cul maintenant.
Un nouveau gémissement, plus fort, et je sens son corps se contracter contre le mien.
- Qu'est-ce qu'il te fait encore ?

- Il… il m'a mis un autre doigt…
Cette fois je vis mon copain se mettre en place derrière elle. Sans doute commençait il à pousser sur la rondelle, car cette fois elle redressa sa tête et supplia:
- Oh ! Oui ! Mais ! Attention ! Doucement ! Oui, tout doucement mon amour.
Bien que ne le voyant pas, je sentis que le gland était passé. D'ailleurs il resta un moment immobile, le temps que l'anus s'habitue à la présence de ce gros suppositoire. Quant à notre jolie rousse, sans doute pour résister un peu à cette pénétration, se poussait en avant et ainsi s'empalait à fond. Elle poussa un râle. Sans nul doute, son amant venait de lui mettre le reste de sa bite. J'avais le visage de notre jolie rousse à quelques centimètres du mien, et cela m'excitait. Nous l'avons alors baisée et enculée en cadence, en un sandwich. Nous avons finis par jouir comme des fous.
Moi je n'en revenais pas, mais je tenais le coup, je bandais toujours raide. Notre jolie rousse a fini par se dégager et s'affaler épuisée, à plat ventre, sur le lit. Moi, j'étais bien décidé à profiter de la forme qui était la mienne. J'ai enjambé son corps et je me suis retrouvé à califourchon sur ses cuisses. Cette fois, il n'était pas question qu'elle dise : Non ! Je dirige mon barreau encore bien raide entre ses fesses rondes et me plante ! Peu de résistance. Ma bite s'engouffre entre ses fesses. Il faut dire qu'elle vient de se faire enculer par son amant. C'est à mon tour, je me plante à fond, je la ramone, je la pilonne, je l'encule en ne me souciant que de mon seul plaisir.
Ah la cochonne ! Je lui en mets vraiment plein le cul, et elle ne tarde pas à chanter, à gueuler ! Elle prend un pied d'enfer. Moi je résiste encore mais je suis crevé. C'est trop con, mais je n'en peux plus.
Je bascule sur le côté et me retrouve à nouveau la bite dressée. Stupeur ! La belle ne semble pas en avoir encore assez et m'enjambe à son tour. Elle retient mes cuisses entre ses jambes et se place à genoux au-dessus de ma bite dressée. Elle se laisse descendre sur ma queue et s'empale par le cul !
Elle se déchaîne alors, monte, descend, s'empale avec une superbe énergie. Ses seins montent et descendent lourdement au rythme de ses empalements. Cela doit lui faire mal car je la vois les retenir de ses mains, mais c'est pour s'empaler avec plus de violence encore sur ma bite. Elle semble hystérique. Je bande toujours un max et des frissons parcourent mon corps. Je ne résiste plus lorsque je sens son anus se contracter des spasmes du plaisir. Je me déverse en elle, hurlant ma jouissance.
Nous restons un bon moment affalés l'un sur l'autre. Lorsque j'émerge, maintenant, elle est encore étendue inerte, épuisée. Son amant et moi la laissons récupérer et redescendons en bas. L'un des deux types est parti mais le black est toujours là. Il nous dit que le type n'a pas voulu attendre. Mon copain lui dit :
- Bon écoute, tu lui laisse un quart d'heure pour récupérer, et puis tu vas la rejoindre. Mais tu te la prend quand même rapidement, parce qu'il faut qu'elle soit rentrée chez elle avant le retour de son mari. Alors le temps pour elle de récupérer, de prendre une douche, de se remaquiller, ça te laisse quand même une bonne demi- heure.
Le black souriait largement. Apparemment cela lui convenait parfaitement. Il semblait d'un milieu assez populaire et n'avait pas du souvent baiser de bourgeoise !
C'est la mort dans l'âme que je pris congé. Tout le long du chemin du retour, je ne pus m'empêcher de penser à notre superbe rousse qui était en train de se faire défoncer la chatte et probablement aussi le cul par une grosse et longue bite de black.

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