Femme BCBG, escorte, non, pute… (34)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Femme BCBG, escorte, non, pute… (34) Histoire érotique Publiée sur HDS le 09-10-2015 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Note attribuée à cette histoire érotique par HDS :
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Femme BCBG, escorte, non, pute… (34)
Nous sommes sur le chemin des vacances lorsque j’obtiens de Marie-Ange, ma nouvelle amie aussi black que mon godemiché en ébène qu’elle accepte de travailler pour notre organisation.
Elle a failli tuer un homme en enlevant sa culotte que j’ai envoyée par la fenêtre et qui est allée se coller sur le pare-brise de la voiture qui nous suivait.
Plus pour voir si elle était capable de donner son corps à un inconnu que pour dédommager l’homme en lui donnant son nom d’escorte, je lui ai fait comprendre de satisfaire cet homme dans les toilettes.
Elle vient de terminer sa première passe même si aucune transaction financière n’a ponctué cet acte sexuel.
Je la récupère dès qu’elle est sortie et je la félicite.
Elle se blottit dans mes bras, rapidement je l’embrasse.

La porte s’ouvre, Véronique apparaît nous regardant avec un grand sourire.

• Je vais être jalouse.

Marie-Ange retourne avec Véronique dans une cabine faire ce qu’il faut afin que notre amie nous pardonne.
Je quitte les toilettes et je rejoins le groupe qui sauf nos deux amies est reconstitué.
Serge toujours l’œil affûté.

• Virginie risque de nous retarder si tous les dix kilomètres, elle se trouve une nouvelle copine même si c’est une jolie Martiniquaise.
• Guadeloupe, Serge, je t’ai dit Guadeloupéenne.

J’avale un autre café chaud celui-là.
Les filles reviennent avec l’air ravi de celles qui se sont faite éclater les chattes.
Nous rejoignons les voitures.
Celle du mâle premier client de Maryline est partie. Cet arrêt sur une aire d’autoroute sera pour lui un bon souvenir pour ses vieux jours.
Il est rare de baisser une noire dans la vie d’un homme mais qui plus est dans les chiotes d’une aire d’autoroute, cela doit marquer.
Tout le monde est à bord, nous repartons.
Dès que nous sommes seules, j’essaye d’avoir les impressions de celle qui vient de se faire baiser sur mon ordre. C’est elle qui attaque la première.

• Merci mon cœur, j’ignorais que l’on pût prendre autant de plaisir à se faire baiser par un inconnu.
• C’est la grande leçon que je tire de ma nouvelle vie, se faire tirer oui, mais le plus possible dans des situations insolites et en sachant improviser.

Dès que j’ai placé la voiture dans le flot, je glisse mes doigts sous sa jupe.
Sa chatte est nue.

• Où est ta culotte ?
• Je l’ai glissé dans la poche du monsieur…J’espère qu’il la trouvera rapidement, car s’il est marié et que sa femme tombe dessus, il aura beaucoup de mal à expliquer comment et pourquoi elle a atterri à cet endroit.
• En plus d’être une belle cochonne, tu es une briseuse de couple.
• J’ai hâte d’être à mercredi soir pour découvrir des aventures comme celles-ci avec toi participant.
• Et surtout gagner de l’argent.
C’est une leçon de ma nouvelle vie, même si j’avais demandé du fric à cet homme pour te baiser, je suis sûr qu’il aurait ouvert son portefeuille et qu’il t’aurait payé.
J’y ai pensé, mais j’ai décidé que Maryline pour sa première passe serait généreuse et offrirait à cet homme qui préalablement avait rien demandé son corps pour des berniques.
• Des berniques, c’est normal, nous allons au bord de mer.
• C’est bien d’avoir de l’humour, mais écoute la suite de ma vie si passionnante.

Après que, je t’ai raconté ma soirée à Chantilly, mon voyage avec Virginie en Russie et celui que j’ai fait avec Véronique en Espagne, tu auras encore plus envie d’être à mercredi à Bayonne.

• Il faut que je t’explique pour les trois dernières filles du groupe.
• Pour les deux sœurs jumelles, je t’ai expliqué, comment nous les avions fait venir travailler à l’institut.
Anne pendant des années a entretenu le pavillon de Virginie.
Il ne sait rien passer de sexuelle entre elles, même si chacune en avait envie.
Très discrète, elle a entendu sans le vouloir des conversations avec l’organisation.
Elle a compris que Virginie avait une vie parallèle car après chaque coup de fil, elle disparaissait d’un à plusieurs jours.
Lorsque je l’ai séduite, elle m’a demandé de lui dire la vérité sur ce que je fais avec ma marraine lorsque nous partons.
Pour éviter de lui mentir et perdre son amour si un jour elle s’aperçoit que j’ai travesti la vérité, je lui ai tout dit. Elle a souhaité entrer dans l’organisation.
J’en ai parlé avec Virginie qui y pensait aussi.
Les deux sœurs sont très complices allant même jusqu'à avoir des gestes intimes l’une l’autre.
Elle vont-elles aussi travailler pour l’organisation.
À ce titre à l’arrêt d’Orléans Virginie m’a dit qu’elle venait de recevoir un appel pour comme nous elles partent toutes les trois à Saint-Tropez pour un contrat.
Virginie va les initier. Leur prénom dans l’organisation est « Arum pour Anne » et « Ayu pour Aline ».
Maintenant, je vais te raconter l’aventure que j’ai eue avec Virginie et un couple qui a comme prénoms Frédéric et Frédéric.

Le temps de lui rapporter ce que j’ai vécu avec ce couple et le plaisir qu’ils m’ont donné et que nous leur avons donné, pleinement consciente que j’étais une putain, nous sortons de l’autoroute et nous suivons Alain vers le restaurant.
La table est réservée et nous pouvons rapidement, nous installer.
Je m’installe à côté de Véronique afin discrètement de lui dire que Marie-Ange nous rejoint au sein de notre réseau.
Elle est très contente d’avoir une nouvelle collègue de jeux.
Surtout qu’a l’arrêt sur l’autoroute, elle a pu tester le degré de perversité de la demoiselle lorsque je les ai laissés en tête à tête dans les toilettes.

• J’aurais aimé que tu sois là lorsqu’elle m’a léché la chatte m’amenant un orgasme démesuré.
• Je sais, nous nous sommes un peu léchés chez elle lorsque je suis allé nous l’attacher.
• En mission, elle va s’appeler Marilyne.
D’ailleurs lorsque tu es entrée dans les toilettes tout à l’heure, Marilyne venait de faire sa première mission comme pute avec un automobiliste à qui elle avait failli ôter la vie.
• Elle venait de se faire sauter par l’homme que j’ai croisé partant en courant.
• Oui, à ma demande.
• Tu as toujours le chic pour nous trouver de belles salopes et bandantes de surcroît, vivement que je sois en tête à tête avec elle !
• Tu as me tromper.
• Oui, mais je sais que tu adores que nous te cocufiions entre amies.

Comme d’habitude, un grand fou rire nous prend faisant se retourner l’ensemble de la tablée.
Nous mangeons un plat très fin.
Véronique et Mari- Ange ont une discussion à bâtons rompus.
Le dessert fini, elles se lèvent pour descendre aux toilettes.
C’est reparti, il y a de la chatte qui va se faire ramoner.
Épanouis, elles remontent dix minutes plus tard.
Nous repartons, destination finale, Saint-Palais sur mer.

Dès que nous sommes reparties, je mets ma main sur la chatte de ma jolie amie black.
Elle est toute mouillée.

• Qu’est-ce que tu as fait, ma cochonne, pour être dans cet état ?
• J’ai vu que vous discutiez à messe basse, j’ignore ce que vous vous êtes dit, mais c’est une vraie furie qui a attrapé ma chatte, je l’ai léchée comme tu sais que j’aime le faire.
Après elle m’a rendu le plaisir que je lui avais donné.
• D’accord, arrêtons de nous raconter des cochonneries que nous aimons tant.
Maintenant, je vais te raconter mon voyage avec Virginie à Moscou.

Tout y passe, les jeux, les baises, la visite d’un musée avec Vladimir un prof de français à la faculté de Moscou et surtout l’histoire de mon dépucelage de l’anus en un mot ma sodomisation qui ma rapporter dix mille euros cash.
Elle écarquille les yeux à ces confidences, elle répète inlassablement. Dix mille euros pour une sodomie. Dix mille euros pour une sodomie.
Et elle finit par ajouter et dire que j’ai accepté cela pour pas un rond. Dix mille euros…Je pense que mon récit là renforcé dans ses convictions de devenir comme nous escorte girl.
Pour finir, car on vient de passer Saintes, je lui raconte la journée d’anniversaire où les personnes invitées m’ont offert en cadeau, « Tof » hardeur de son état.

• Tu as baisé avec Tof, le hardeur à une couille.
• Tu le connais.
• Pas physiquement, mais j’ai eu pendant un an un copain qui était accro au film de cul.
Pendant des jours, je l’ai vu troncher des nanas dans tous les sens et dans tous les trous.
Le plus beau et ce qui a été pénible à la fin, je devais répéter les scènes qu’il avait vues pour qu’il puisse éjaculer.
• Il reste cinquante kilomètres, juste le temps de te raconter notre voyage en Espagne à Ronda avec Séverine. Je te rappelle Véronique alias Séverine.

Je fini, le temps a passé rapidement.
Les trois voitures s’immobilisent devant le vieux portail en bois que mon cher Papa aimait tant peindre lorsqu’il venait se reposer.
C’est avec un pincement au cœur que je retrouve ma maison.
Maison entièrement peinte en blanc.
Devant le portail la personne de l’agence qui s’occupe de la gestion de mon bien, avec elle la voisine Lison qui l’entretient, nous attendes.
Elle a tout préparé, les fenêtres sont ouvertes.
Une jeune fille l’accompagne, c’est la fille de Lison qui viendra le soir, garder Sindy afin qu’Anne puisse, elle aussi profiter de ses vacances tout en passant un maximum de temps avec elle.
Nous entrons dans le séjour. Puis nous passons sur la terrasse.
Comme je l’ai demandé depuis Paris, une table avec des rafraîchissements est servie.
Tout le monde se sert.
Anne fait connaissance de Katia jeune brune qui promet de devenir une belle plante.
Elle a pris Sindy dans ses bras.
La petite gazouille. Le courant semble passer entre elles.
J’entends Katia demander à Anne de pouvoir la garder chez elle le soir. Pour Anne, aucun problème si elle peut la voir quand elle le veut !

• Je vais beaucoup sur Internet discuter avec mes copines et j’ai un ordinateur fixe.
Nous avons un lit d’enfant pliant. Celui de ma sœur qui a eu un garçon, il y a deux ans et qui me le prête. Mon père a installé un paravent afin que la lumière lui soit cachée.

Anne lui donne son accord.
Un verre à la main, ils s’approchent de la rambarde de la terrasse et sont en admiration devant la carte postale qu’ils ont devant eux.
D’un côté la mer, avec au loin le phare de Cordouan.
À notre gauche la villa où le film de Pierre Granier-Deferre « Noyade Interdite » avec Philippe Noiret, Suzanne Flon, Élisabeth Bourgine et Guy Marchand, a été tournée.
Je leur montre la petite crique sur notre droite où les cadavres arrivaient chaque matin.
Alain toujours humoristique.

• J’irai vous chercher celui de demain matin…
Et enfin cette magnifique plage de sable fin avec la promenade qui la surplombe.
Les transats sont installées ce qui va nous permettre de bronzer sans être vus des voisins.
Dans le coin, le barbecue est prêt comme il était prévu.
Une porte donne accès à la mer par un escalier taillé dans les rochers. Alain l’ouvre et descend se mettre les pieds dans l’eau.
Chouette, je pourrai aller directement nager le matin sans faire le tour par la plage.
Je remercie la dame de l’agence et Lison.
Lison est mariée à Guy et habite en face de chez moi deux maison plus loin à l’angle de la rue.

Au travail, décharger les valises, répartir les chambres et prendre une douche.
Vu le nombre, cinq minutes et tout est à l’intérieur.
Nous montons jusqu’au dernier étage.
La pièce fait la totalité de la surface et est mansardée par quatre fenêtres.
Deux lits de deux personnes avec le coin de la douche et une table ainsi qu’une vieille armoire normande.
Armoire héritée de ma grand-mère.
Anne et Aline souhaitent s’installer là, Sindy pourra s’ébattre sans risque, car la pièce est spacieuse. Elles prendront un lit pour les deux. Madeleine se verrait bien dans l’autre lit et ainsi aider les sœurs avec le bébé.
Elles sont d’accord.
Trois filles plus le bébé de caser.
Alain est chargé de monter le lit de bébé que j’ai demandé de préparer et que j’ai vu dans la salle à manger.
Aline part l’aider à le transporter dans l’escalier.
Deux minutes et le lit est là.
Souvenir, ce lit était le mieux lorsque j’étais bébé et que nous venions passer les mois d’été.
Nous descendons.
Au-dessous quatre chambres avec salle de bain et WC pour deux chambres. Dans ces salles de bains, j’ai fait remplacer les baignoires par des douches à l’Italienne qui font la largeur de la pièce. Chaque douche est équipée de quatre jets d’eau à commande individuelle.
Deux pièces donnant sur la mer, deux sur la route mais ou presque personnes ne passent la nuit car au bout, vous trouvez les rochers qui surplombent la mer.
Alain et Odile choisissent l’une des chambres sur la mer.
Véronique et Marie-Ange prennent celle d’à côté.
Virginie et moi dans la troisième sur la rue.
Une chambre de libre.
Impeccable, la chambre pourrait servir si nous avons des visites.
Je ne dis rien, mais intérieurement je pense que les nuits, les chambres seront certainement remplies de façon différente suivante les envies des uns et des autres.
Alain se déshabille récupère son maillot de bain et part à l’eau.
Si je comprends bien, c’est à moi de ranger les affaires.
Rien à craindre, nous allons t’aider.
Nous, nous déshabillons, la douche prise ensemble nous remet en forme.
Nous regardons Alain par la fenêtre nager jusqu’au plongeoir.
La marée est haute et il est possible de plonger.
Il grimpe à l’échelle et plonge comme un champion. Odile nous dit qu’il a pratiqué le plongeon de haut vol et son record est de vingt-cinq mètres.
Nous, nous préparons comme je leur ai demandé. Nous allons aller sur la promenade le long de la plage.
Je monte voir les petites, elles se préparent, elles aussi.
Elle me saute toutes au cou afin de me monter leur gratitude.
Quand je redescends, Alain est revenu et est sous la douche le rideau tirez.
Je prends une vieille cruche en céramique, pièce de musée de la famille et lui jette un broc d’eau froide.
Il pousse un cri. Il a beau faire très chaud, ça saisit toujours.
À mon rire, il sait que c’est moi.

• Tu ne perds rien pour attendre, ma belle garce…
Tout le monde se retrouve dans la salle a mangé, je les invite à venir faire un tour dans le centre de la ville.
Cent mètres et nous sommes sur la promenade. Nous passons devant le restaurant « Le Nausicana » très célèbre aux estivants.
Michelle, la gérante m’aperçoit et vient me saluer.
Depuis que mes parents venaient en vacances, j’ai toujours connu ce restaurant et depuis que je venais avec Pierre, la petite…, nous avons toujours été clients de l’établissement.
Peut-on avoir une table pour neuf d’ici une heure en terrasse si possible ?
Neuf, je vais essayer, mais je vais voir, cela dépendra de la rotation.
Nous remontons la promenade trois mètres au-dessus de la plage.
Nous descendons jusqu’au bord de l’eau et nous nous trempons les pieds.
Promenade jusqu’au centre-ville, je leur montre, la place dut marcher qui a lieu sept jours sur sept.

• Madeleine, je viendrais avec toi demain pour te présenter aux commerçants que je connais.
Anne et Aline viendront avec nous avec la poussette et la pépette.

Ces dames flânent devant les boutiques de vêtements.
Nous passons devant des confiseries dont nous parlerons plus tard.
De retour a Nausicana la table nous attend. Apéritif pour tout le monde.
Les couples se forment deux même. Véronique et Marie-Ange semblent vouloir rester ensemble.
Madeleine, Anne et Aline, restent proches. Est-ce que l’âge aide au rapprochement.
Au bout d’une heure, nous saluons notre hôtesse en la remerciant d’avoir fait diligence pour que nous ayons une table. Je lui téléphonerai pour réserver pour manger un jour prochain.
Retour à la villa.
Tout sur ma terrasse, Alain seul homme au milieu de huit femmes, est le préposé au barbecue.
Nous passons une soirée agréable, Anne a couché sa fille après l’avoir fait dîner.
Marie-Ange tient sa promesse et fait les ongles de toutes les filles.
Vers vingt-deux heures nous prenons le chemin, des chambres étant bien fatiguées après cette longue journée.
Les portes des chambres restent ouvertes ainsi que les fenêtres. Seul le bruit des vagues se fait entendre.
À demain tous dorme.

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