Pour son plaisir (15)

- Par l'auteur HDS MAURLEO -
Récit érotique écrit par MAURLEO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Pour son plaisir (15) Histoire érotique Publiée sur HDS le 16-09-2015 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Pour son plaisir (15)
-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --
15 – Cauchemar au Maroc
Petit résumé de la situation :Je m’appelle Cédric, j’ai maintenant 21 ans. Depuis deux ans, je suis sous la coupe de Jacques avec lequel je vis. Je suis à son service tant professionnel que personnel. Il m’a fait circoncire, m’a fait suivre un stage dans une école un peu spéciale et a réussi à me dégager de mes obligations militaires. Je suis un garçon d’un mètre quatre vingt, châtain mais actuellement épilé et rasé. Depuis que je connais Jacques j’ai un anneau à l’oreille gauche. Je me retrouve aujourd’hui dans le désert marocain parce que nous étions en voyage d’affaires et que je me suis fait enlevé, sans savoir pourquoi. Nous sommes trois captifs qui devons être échangés ce matin.

Six hommes entrent dans la pièce en criant très fort. Younes se lève et nous fait signe de l’imiter. On nous retire nos chaînes et nos bracelets qui nous retenaient ensemble. Nous devons mettre les mains sur la tête et ne pas bouger. Trois des hommes sont ceux qui nous gardaient depuis notre arrivée. Les trois autres nous sont inconnus. Ils s’avancent directement vers Jimmy et l’observent : ils lui palpent les muscles des bras, regardent ses jambes. Le plus grand, un noir plutôt bien bâti, lui ouvre la bouche et met sa main à l’intérieur, sans doute pour examiner les dents. Puis il lui soulève la djellaba et tire sur sa bite, à faire crier Jimmy qui reçoit en échange une paire de claques qui l’assomme presque. Ils le retournent ensuite et sans ménagement observent ses fesses. Le grand noir lui met un doigt dans le cul et le ressort sale. Il s’essuie avec la djellaba de Jimmy. C’est à mon tour. Le même cérémonial m’attend. D’abord les bras et les mollets. Ils commentent, en plaisantant sur ma peau sans poil. Ils me prennent pour une fille ! Enfin, sans poils… Depuis une semaine la barbe et quelques poils du pubis ont repoussé ! Quand le grand noir me prend la bite, je m’efforce de ne pas crier pour ne pas avoir le même sort que Jimmy. Je reçois une petite tape sur les fesses, sans doute pour m’encourager à ne pas me rebeller. Il vient ensuite vers mon cul, ouvert depuis que je prends régulièrement les gardiens. Il y entre trois doigts qu’il ressort en s’essuyant sur la djellaba et me pousse vers Jimmy. C’est le tour de Younes. Il semble dialoguer avec chacun d’entre eux. Il ne sera pas examiné comme nous. Jimmy et moi sommes emmenés à l’extérieur. On nous fait monter dans l’arrière ouvert d’un pick-up et on met une bâche sur nous. Younes n’est pas du voyage. Jimmy semble très inquiet, il me fait part de son angoisse mais je ne peux pas le rassurer étant moi-même très anxieux.
Le Pick-up roule. Nous discutons de ce qui peut nous arriver. En fait, nous n’en avons aucune idée. La route est très accidentée et nous ressentons les secousses. La chaleur est très forte et la soif se fait ressentir. Au bout de deux heures, je pense, j’ai terriblement mal, je n’arrive pas à dormir tandis que Jimmy s’est assoupi, je ne l’entends plus.
Le Pick-up s’arrête enfin. Deux gardiens viennent nous sortir. Nous devons retirer notre vêtement et c’est tout nu qu’ils nous emmènent sous une tente où nous sommes attachés, ensemble, les mains dans le dos. Jimmy demande au gardien ce qu’il va se passer. Aucun ne répond à sa question.
On nous donne enfin quelque chose à manger et surtout à boire : du pain quelques fruits et un bol de lait au goût étrange. J’apprendrai plus tard qu’il s’agissait de lait de chamelle. L’un des gardiens, celui qui semble le plus jeune, nous regarde très souvent. Pour le moment il ne nous parle pas, mais je sens qu’il veut nous interpeler. J’aimerais bien m’en faire un allié, on ne sait jamais. Il quitte la tente un moment puis revient, avec des dattes qu’il nous fait manger chacun notre tour. Il n’oublie pas de nous essuyer la bouche avec un chiffon plutôt sale. Je fais semblant de m’étrangler. Le jeune gardien parle un mauvais français : « tu veux boire ? ». Je luis fais signe que oui. Pour le moment, ce sera notre seul échange. Il nous fait boire à une gourde, de l’eau.
Nous allons passer la nuit ici. Notre jeune gardien nous apporte une couverture et des coussins. Il nous détache les mains mais c’est pour nous attacher les pieds. Ma jambe droite est reliée à la jambe gauche de Jimmy. Il nous apporte également un seau et nous fait signe que c’est pour pisser dedans. Enfin, il dépose la gourde contenant de l’eau. Il veillera toute la nuit à l’extérieur de la tente, comme si on pouvait s’échapper ! La nuit est très fraiche et la mince couverture est visiblement insuffisante. Jimmy tremble de froid et moi-même je ne suis pas fier. On appelle. C’est notre gardien que nous avons réveillé et qui nous amène une peau qui pue mais qui nous réchauffe un peu. On finit par s’endormir, épuisés.
Le lendemain, notre jeune gardien entre dans la tente avec un pot rempli d’un produit gluant.

- C’est pour les coups de soleil, nous dit-il dans son français.

Je traduis à Jimmy. Il nous enduit le corps de cette crème, n’oubliant aucune partie, y compris notre sexe sur lequel il semble s’attarder. C’est un de ses aînés qui vient mettre fin à la séance. Il nous fait monter Jimmy et moi sur un chameau, entièrement nus, juste avec un « chapeau maison » qui nous protège la tête. C’est donc à dos de chameau que nous reprenons la route. Nous sommes attachés, nus, sur l’animal. Nos pieds sont attachés l’un à l’autre et mes bras encerclent Jimmy, mes poignets sont attachés. Jimmy, lui, a les mains attachées à un support sur le chameau. Il nous est quasiment impossible de bouger. Lorsque le chameau se relève, nous avons failli tomber et lorsqu’il a démarré, nos culs semblaient s’élargir à chaque pas. De plus mes mains frôlaient la bite de Jimmy à chaque mouvement. Il est très tôt, le soleil est encore très bas.
La chaleur grandit progressivement. Jimmy transpire, moi aussi d’ailleurs mais la crème semble bien nous protéger. Par contre, son odeur n’est pas très ragoûtante ! On doit sentir le fauve. L’un des hommes, un grand noir, qui semble être le chef, lance un regard méchant à notre jeune gardien. En effet, il se rapproche régulièrement de nous pour nous offrir de l’eau. Heureusement parce que la chaleur est maintenant intense et nous avons soif, très soif ! Lors d’une halte, près d’un oasis, deux hommes s’emparent du jeune gardien qui se retrouve très vite sur le sol, allongé sur le dos. Le grand noir s’approche alors de lui et relève la djellaba du jeune homme, faisant apparaître ses attributs masculins. Il saisit alors une baguette et pendant que deux hommes le maintiennent fermement, leur chef frappe de sa baguette la queue du pauvre garçon. Il serre les dents pour ne pas hurler et garder sa fierté mais nous voyons des larmes couler le long de joue du jeune gardien. Enfin, quand il commence à crier et à se tordre de douleur, le chef le laisse. Les couilles du jeune homme ont presque doublé de volume ce qui l’oblige à marcher en écartant les jambes, ce qui fait beaucoup rire ses compagnons. Lorsqu’il remonte sur le chameau je le vois grimacer. Jimmy a pris peur et se met à pleurer. J’essaie de le consoler en lui disant que c’est un mauvais rêve, que nous allons nous en sortir, mais je n’en mène pas large moi non plus.
Pour notre seconde nuit de captivité, les hommes ont dressé trois tentes et ont étendu des couvertures. Nous avons droit à quelques fruits et de l’eau. Un dénommé Hassan, qui était sur place à attendre la caravane, est chargé de nous. Il nous emmène un peu en retrait pour les besoins naturels. Un gardien nous surveille, un fusil à la main. Les gardiens se partagent deux tentes. Ils dorment tout habillés. Hassan, Jimmy et moi avons la dernière tente. Jimmy et moi, nus, sommes attachés par les jambes comme la veille puis nous recevons une couverture. Jimmy tremble de froid et se love, en boule, contre moi. Hassan se rapproche de nous puis nous frictionne le dos. Je sens les mains d’Hassan me frotter les fesses. J’en bande, même si mon humeur n’est pas à ça. Pendant un instant, nous oublions notre captivité et notre angoisse. Hassan vient nous embrasser chacun notre tour. Il semble désolé de la situation mais ne peut rien faire pour nous. Il nous explique que nous allons dans une grande villa, au cœur du désert. Il nous fait comprendre que c’est un lieu où séjournent de jeunes garçons comme nous.
Je sens la main d’Hassan s’attarder sur la bite de Jimmy. Il joue avec le prépuce ce qui a pour effet de faire bander Jimmy, qui semble-t-il s’est réchauffé. La situation dégénère un peu. Jimmy semble maintenant excité se branle ou plutôt guide la main d’Hassan. Hassan remonte sa djellaba pour montrer qu’il bande lui aussi. Sa queue est courte mais très épaisse. Son gland est volumineux. Il veut que je lui présente mon cul. Comme nous sommes attachés je ne peux que m’allonger et relever une jambe. Hassan approche alors son gland de mon cul. Il y rentre péniblement, mais y arrive. Lorsqu’il est enfin en moi, ses couilles cognent sur mes fesses. Il se retire pour éjaculer, m’embrasse et nous laisse Jimmy et moi. Jimmy n’en pouvant plus, me demande de le sucer. Nous finissons par jouir presque en même temps. Hassan rejoint l’entrée de la tente et nous nous endormons, presque réchauffés.
A l’aube, nous sommes réveillés par les gardiens. Nous allons reprendre la route, cette fois en Pick-up. Ce sera moins douloureux que le chameau. Nous sommes à l’air libre, à l’arrière du véhicule. Nous pouvons voir le paysage : le désert à perte de vue. Le ciel blanchit à vue d’œil et la chaleur est de plus en plus intense. Le chef a l’air de mauvaise humeur. Je l’entends discuter d’une tempête de sable et demande à deux autres de nous attacher à plat ventre dans le coffre.
Une heure plus tard, la caravane reprend sa route. La tempête de sable est bien au rendez-vous. Nous sommes piqués par le sable quand on nous extirpe du pick-up. Le chef décide d’attendre. Nous sommes à l’abri du vent, nus, derrière le véhicule. J’ai l’impression de sentir très mauvais, ce que me confirme Jimmy.
Enfin, deux jours après, la caravane atteint son but : un « palais » construit en plein désert, au milieu d’une oasis. Nous entrons dans le parc entourant le palais. Il y a des arbustes et un parterre fleuri, arrosé en permanence. Nous avons les mains attachées dans le dos, et sommes tenus en respect par deux gardiens qui nous guident. Ils nous emmènent dans une cour et nous passent au jet d’eau. L’eau froide nous surprend tout d’abord, mais c’est finalement assez agréable. Ils nous emmènent ensuite dans un somptueux salon rempli de tapis, de canapés couverts de dizaines de coussins. Un jeune homme vêtu d’un pantalon blanc très large et resserré aux chevilles, torse nu, nous fait attendre, debout, nus, devant l’un des canapés. A chaque porte de la pièce je remarque un jeune homme avec juste un pagne, très court. Après une vingtaine de minutes d’attente interminable, le maître de maison fait son entrée. C’est un homme d’une quarantaine d’années, vêtu d’une longue djellaba d’un blanc immaculé. Il porte un collier sans doute en or et un bracelet à chaque poignet. Il a aussi plusieurs bagues. Il s’approche, puis prend place face à nous. Il commence à nous tripoter, regarde nos dents, décalotte le sexe de Jimmy, tâte nos fesses et nos muscles. Il semble satisfait. Dans un arabe que je comprends, il dit que l’affaire est faite. Nous venons d’être vendus ! Les gardiens nous laissent alors seuls dans la pièce avec le valet et le maître des lieux qui les remercie et leur dit de passer à son secrétariat récupérer leur dû. Il indique ensuite au valet qu’il faut nous laver parce que nous puons le chameau ! Le valet nous emmène alors, toujours les mains attachées dans le dos. Le palais est d’un luxe inouï avec tout le confort contemporain, des caméras de surveillance partout. Nous sommes emmenés dans une grande salle de bain où nous devons nous mettre dans une baignoire, à deux. La baignoire peut contenir au moins quatre personnes. Le valet se met en caleçon et vient nous laver comme l’a demandé son maître. Il insiste sur le cul, en entrant ses doigts. Une fois lavés, il nous a délivré de nos liens et nous a emmené dans une autre pièce : le harem du prince.

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