La soirée d'anniversaire du Marquis d'Evans – Suite de l'épisode précédent N°527 -

- Par l'auteur HDS MAITREDOMINO -
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Récit libertin : La soirée d'anniversaire du Marquis d'Evans – Suite de l'épisode précédent N°527 - Histoire érotique Publiée sur HDS le 23-10-2015 dans la catégorie Dominants et dominés
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La soirée d'anniversaire du Marquis d'Evans – Suite de l'épisode précédent N°527 -
La soirée d'anniversaire du Marquis d'Evans – Suite de l'épisode précédent N°527 -
Le Dominant joignant le geste à la parole, du bout des pieds oblige souali à écarter les jambes au maximum, ce qui a pour effet de séparer les deux globes fessiers laissant entrevoir la raie anale étroite, la petite corolle resserrée, le périnée et les lèvres intimes soyeuses totalement recouvertes de cyprine onctueuse. La soumise imagine tous les regards tournés sur son intimité dévoilée et c’est dans une honte renouvelée mais aussi dans une excitation encore plus prégnante qu’elle attend non sans quelques inquiétudes les 6 derniers coups à venir, sachant que des parties de son anatomie plus sensibles comme l’intérieur des cuisses sont plus accessibles dans cette position. Mais, le Dominant a une autre idée en tête, car il veut achever le dessin symbolique qui lui est venu à l’esprit lorsqu’il a été contraint de recommencer la fustigation au départ. Il abat les deux premiers coups, juste au bas des deux cercles presque jointifs et il continue pour les 4 derniers en descendant, faisant comme un double trait qui se poursuit sur la courbe de chaque fesse. souali a l’impression d’avoir encore plus la chatte et l’anus en feu car les coups sont portés tout près de la raie anale et de ses parties intimes, soit dans des zones beaucoup plus sensibles que lorsque Master Bill se contentait de la frapper sur le gras des fesses bombées.

- 30 !!! C’est terminé. Bien sûr, le dessin n’est pas à l’échelle, mais j’ai fait comme j’ai pu en tenant compte des formes de la nature humaine. Tu auras pendant quelques jours un beau service 3 pièces dessiné sur ton arrière train, et si tu as un peu de mal à t’asseoir pendant quelques temps, tu pourras toujours songé, en imaginant les deux testicules et le bout de pénis qui ornent tes fesses, à celui plus réel de Maître Zain que tu n’as pas su reconnaître, mais tout autant au mien que tu as reconnu à tort.

La soumise souali sèche ses larmes à grand mal, car la punition a été bien plus douloureuse qu’elle ne l’aurait imaginée, même si elle se sent assez contente maintenant d’avoir été capable de résister jusqu’au bout. Elle voudrait tant obtenir le pardon de Maître Zain qui risque fort suivant ses propos de ne pas lui accorder de plaisirs jouissifs de si tôt, tout du moins tant qu’il n’aura pas décolérer, ce qui resterait une pénitence bien plus dure à supporter. C’est pourquoi, souali s’empresse d’ajouter avant de se faire admonester.

- Merci Monsieur, pour le mal que vous avez pris à me punir. Je vous remercie également pour le dessin dont vous avez orné mes fesses qui me permettra de repenser avec repentir à ma défaillance. Je vous présente également mes excuses pour avoir oser crier pendant la sentence vous obligeant à recommencer au début.
- soumise, tu as été punie pour cela, tes excuses sont donc acceptées.

Master Bill se retourne vers Monsieur le Marquis d’Evans et l’assemblée des autres Dominants.

- Il me semble qu’il restait une autre soumise à châtier, pour une faute plus légère certes, surtout si elle a quelques circonstances atténuantes compte tenu du manque de soumission en réel de cette jeune novice. Mais il y a malgré tout encore 10 coups de cravache en jeu.

Sir Guillaume comprend que le tour de sa soumise-novice qui est assise par terre à ses pieds, les mains enlacées autour de sa jambe, est arrivée. Spinelle est tétanisée depuis plusieurs dizaines de minutes à l’idée de voir ses fesses auréolées de la même manière, car elle se doute qu’elle ne saura pas retenir ses cris, malgré toutes les injonctions qui lui seraient faites, ce qui ne représentera donc pas 10, mais un nombre incalculable de coups de cravache. Elle n’a goûté à un instrument cinglant qu’une seule fois pour une punition méritée, et elle sait que les coups portés avaient été modérés car il n’était pas question qu’elle soit marquée devant regagner le domicile conjugal dès le lendemain. La relation D/s entre Sir Guillaume et sa jeune Spinelle est par la force des choses essentiellement virtuelle, via le net et les nombreux échanges qu’ils ont quotidiennement par mail, par téléphone ou par webcam car ils habitent très loin l’un de l’autre, et ils sont engagés tous les deux dans des vies vanilles qu’ils n’ont pas pour l’instant l’intention de remettre en cause, malgré leur désir partagé de pouvoir vivre pleinement et intensément cette relation D/s. Ils se sont rencontrés sur un forum et ont très vite été attirés comme deux aimants grâce à leurs échanges emprunts de finesse d’esprit, de sensualité, de respect, tout autant que d’une vision commune de la D/s.

Leurs rencontres physiques réelles ont été rares à ce jour, la soumise Spinelle ne pouvant pas très souvent se libérer de ses obligations professionnelles et aussi familiales car elle a des enfants en bas-âge. Mais profitant de congrès, de formations et autres déplacements professionnels impératifs sur la capitale, elle s’organise dès qu’elle le peut pour prolonger son séjour de quelques heures et même parfois d’une journée. A maintes reprises, elle aurait aimé pouvoir aborder le sujet avec son époux pour lui dévoiler ses pensées intimes et son besoin de vivre une relation en tant que soumise D/s, guidée et protégée par celui en qui elle a mis toute sa confiance, mais elle se doute que cela remettrait en cause son couple vanille et elle ne peut prendre le risque d’une séparation et encore moins de se voir privée de ses jeunes enfants si elle en perdait la garde, car son mari ne manquerait pas de faire état de ce qu’il considérerait comme la « perversité déviante » de son épouse s’il avait vent de quoique ce soit, n’étant pas du tout branché dans les pratiques BDSM, pas plus que dans tout ce qui est « hors norme » comme il le dit, car il reste très figé dans une éducation judéo-chrétienne sclérosée qui ne peut pas comprendre et tolérer ce qui relève entre autres du masochisme, du sadisme, du fétichisme, de l’échangisme, du mélangisme, du voyeurisme, de l’exhibitionnisme, …. et de tant d’autres paraphilies dont il ignore même le nom et l’existence.

La novice Spinelle était surtout attirée par la découverte d’une soumission D/s assez soft, compatible avec sa vie vanille. C’est d’ailleurs sa grande ouverture d’esprit qui l’a conduite à chercher à comprendre les émotions internes qu’elle ressentait dans certaines circonstances, face à des films, des situations, des images qu’elle trouvait excitantes et qui venaient alimenter ses fantasmes gardés en secret depuis l’adolescence et dont elle n’avait jamais parlé avant, les considérant comme honteux. Ce n’était pas sa vie sexuelle vanille qui lui avait permis de trouver des réponses à ce qu’elle ressentait à l’intérieur, même si elle considérait qu’elle avait une vie de couple normalement équilibrée bien que très moyenne, tant sur le plan sentimental que sexuel. Comme un adolescent qui découvre la vie, elle avait quand même pris sur elle pour aller fouiner sur le net, poussant de plus en plus loin ses recherches pour découvrir finalement que le BDSM existait et qu’il y avait bien d’autres personnes qui se plaisaient à s’imaginer en dominé(e) pour les uns et en Maître(sse) pour les Autres. Anonymement, elle lisait, lisait, lisait tout ce qu’elle trouvait (beaucoup de mauvais et plus rarement du meilleur qui lui plaisait), mais elle avait vite compris que cela resterait toujours superficiel si elle ne pouvait pas échanger, partager ses idées et vivre ses pulsions internes. C’est malgré tout sur la défensive qu’elle avançait, car elle était loin d’être naïve au point de ne pas se rendre compte que sur le net, se trouvaient également tous les petits « m » de la nature et toutes les personnes les plus malsaines que la société porte en son sein, de vulgaires pervers(es) à la recherche de proies faciles à « dévorer », non pas au sens cannibale du terme, mais au sens plus vicieux de la destruction volontaire de l’autre et de l’anéantissement total physique et/ou psychique.

La rencontre avec Sir Guillaume avait été une véritable aubaine, car il s’agissait d’un vrai Maître Dominant avec un grand « M », respectueux de sa soumise, désirant la guider pour lui permettre de vivre une saine soumission à ses pieds et sous son Joug. De son côté, il était dans une vie de couple vanille qui s’étiolait et il avait fini par repousser à nouveau la porte du monde BDSM dans lequel plus jeune, il avait fait ses premières armes avant de devenir Maître avéré. Il se sentait à nouveau renaître d’avoir pris en charge l’éducation à la soumission de Spinelle qui se posait au début tant de questions. La complicité entre eux était vraiment devenue forte en peu de temps. Et même si au départ, ils avaient décidé d’un commun accord de rester dans le cadre d’un échange plus épistolaire ou par téléphone, l’envie de passer à l’étape supérieure était vite devenue indispensable pour l’un comme pour l’autre. Comme des amants complices, ils se retrouvaient sur le net dès qu’ils pouvaient tant l’un que l’autre brancher leur webcam en toute discrétion. Il lui avait donné le surnom de « spinelle » car ses joues devenaient vite d’un rose soutenu translucide (comme la pierre précieuse du même nom) dès qu’elle se sentait si heureuse de l’apercevoir, émue bien plus que honteuse, elle s’empourprait pour un rien et cela faisait étinceler son visage. Sir Guillaume avait fait la promesse qu’il ne mettrait jamais en porte-à-faux sa soumise vis-à-vis de ses enfants avant tout, de son mari et de toute sa famille, tout autant que de son environnement professionnel. C’est donc dans ce contexte qu’il décide qu’il doit intervenir.

- Cher Master Bill, vous avez raison, il est temps de punir ma soumise-novice Spinelle, conformément à la règle du jeu que j’ai acceptée tout comme elle, bien que je reconnaisse qu’elle avait un sérieux handicap puisqu’elle n’a pas eu si souvent l’opportunité de pouvoir toucher et sucer mon sexe en réel, dans le cadre de notre relation malheureusement trop virtuelle à mon goût. Mais si cela ne vous dérange pas, il m’appartient dans mon cas de cravacher moi-même ma soumise pour son erreur. Non seulement, elle n’a pas encore l’habitude de ce genre de pratiques et je dois en tenir compte dans la cadence et la force de mes coups, mais en outre, il n’est pas question de lui laisser des marques qui n’auront pas disparu demain soir, car elle doit rejoindre son mari qui ne manquerait pas de poser des questions embarrassantes, s’il la découvrait en sautant dans le lit conjugal avec un curieux dessin de votre composition sur les fesses. Ceci dit, je suis admiratif de votre dextérité à manier l’instrument pour créer une toile de main de Maître en ayant doublement auréolé le postérieur de la soumise de Maître Zain.
- Cher Sir Guillaume, dans ces circonstances particulières, je ne peux m’opposer à votre requête. Et ceci, d’autant plus que chaque Dominant reste toujours le seul et unique Maître de celui ou celle qu’il a pris sous son joug, le seul à même de savoir ce qu’il peut et doit exiger dans le cadre de la relation D/s et de la consensualité convenue entre Dominant et dominé.

Spinelle en entendant l’échange est déjà un peu plus rassurée, même si elle avait gardé confiance en Sir Guillaume. Peu encore habituée aux règles qui ont cours dans cette saine communauté D/s, elle craignait qu’il ne soit contraint de céder sous la pression du groupe des autres Dominants et se demandait bien comment elle allait pouvoir supporter à la fois la dureté du gage cinglant mais aussi les conséquences à moyen terme de retour chez elle. Elle ne lui en est que plus reconnaissante et admirative de son savoir-faire tant dans la Guidance que dans la Dominance. Plus apaisée, elle se rend compte en réalité que l’idée de devoir être fustigée devant tous l’excite terriblement, par sa nouveauté d’une part, mais aussi parce que cela correspond à la réalisation d’un fantasme qui lui est venu souvent à l’esprit. Sir Guillaume place un mors en caoutchouc entre les dents de Spinelle, lui permettant de mordre à pleine dents dedans et de pouvoir plus facilement retenir ses cris sous les 10 coups qu’il lui dispense sur la partie la plus charnue des fesses, veillant bien à ne jamais taper deux fois au même endroit. La jeune Spinelle découvre de nouvelles sensations, partagée entre la douleur modérée des impacts et le plaisir de se sentir encore plus soumise ayant franchi un nouveau cap dans son assujettissement volontaire.

- Merci, Sir Guillaume, pour la punition que vous avez daigné prendre le temps de m’infliger vous-même. Merci, de me permettre de m’améliorer comme votre soumise en devenir à vos pieds que je baise respectueusement et humblement en signe de la Dévotion que je porte à celui qui me permet d’être moi tout en étant votre. Merci beaucoup aussi, Sir Guillaume, de prendre la peine de respecter mes contraintes vanille. Je suis bien consciente que cela a faussé un peu la rigueur de la correction que j’aurai dû subir à la suite de mon échec dans le jeu des devinettes. C’est pourquoi, je prie humblement Monsieur le Marquis d’Evans et les autres Dominants ici présents, mais également la soumise souali qui n’a pas été épargnée, de ne pas m’en tenir rigueur.

Sir Guillaume apprécie grandement l’intervention de sa novice Spinelle qui a fait preuve de courage, d’acceptation, de confiance en lui, de reconnaissance, mais aussi d’humilité et de respect vis-à-vis des autres Maîtres et du Maître des Lieux en personne. Le Marquis d’Evans regarde cette soumise en devenir avec intérêt ayant bien compris combien sa prédisposition à la soumission semble fondée, mais qui a encore bien du chemin à accomplir avant de pouvoir s’arguer du titre de soumise accomplie, une évolution qui l’obligera également à savoir gérer avec acuité l’interférence entre sa vie vanille et sa vie D/s. Le Châtelain détourne le regard pour s’apercevoir qu’il a toujours juste derrière lui, sa chienne Holly MDE qui avait repris sa place, attendant sagement, à quatre pattes avec la laisse entre les dents, de pouvoir le suivre lorsqu’IL s’éloignerait, à défaut d’ordre contraire. Aux pieds du Châtelain se trouve l’esclave N°17MDE qui est restée prosternée sans oser bouger le petit doigt, la tête contre le sol, attendant de savoir qu’elle sera la sanction infligée par Le Maître Vénéré. Juste à côté, se tient la soubrette, toujours agenouillée, les bras tendus largement ankylosés et dans ses paumes les 3 précieux godes, répliques exactes du Noble phallus du Marquis Edouard d’Evans qu’elle porte avec précaution comme s’il s’était agi de saintes reliques, mais avant tout avec excitation de voir ces trois bels attributs sous son nez, ayant presque du mal à ne pas être envieuse de celles qui auront droit de profiter de l’une de ces merveilleuses queues dans l’un de leurs orifices, à défaut de pouvoir être autorisée à approcher le modèle véritable en chair (et en os). Le Maître des lieux, vers qui tous les regards se tournent, précise sans attendre.

- Il me semble maintenant qu’il est temps que je m’occupe de sanctionner Ma chienne-soumise N°17MDE et de reprendre son éducation à la fellation avec un calibre qu’elle ne risquera plus d’oublier à l’avenir même les yeux bandés...

(A suivre ….)

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