LE CHANTIER (26) - histoire érotique

J’entends, mes amis arriver à la porte de la chambre alors que nous sommes couchés sur le lit les mains attachées avec Soso.
C’est en voulant essayer le lit fabriqué par Criss dans son entreprise que nous sommes allongés côte à côte avec mon amie toujours vêtue.

• Qui arrive ?
• Ce sont mes amis.

Criss est là aussi, il est remonté avec les autres sans avoir le temps de se baigner.

• Détaché nous, respecté la propriétaire de ces lieux.
• Propriétaire ?
• Oui, après mon mariage avec Pierre, il est normal que son épouse hérite.
• Son épouse, tu nous prends pour des imbéciles.
• Lorsque Eliane sera là, elle vous le confirmera, c’est elle qui a officié.
Détachés nous, nous sommes dans une position ridicule face à vous.
• Tu rigoles ma chérie, si vous êtes dans une position ridicule, c’est par votre faute, Maryse et Petrov, enlevez les affaires de ces dames, surtout le bas.
Messieurs, j’ai entendu dire par les filles de Valérie que vos femmes se considèrent comme de grande et belle salope, le temps et la technique est importante pour vous départager.
Christian et Criss, quand elles seront prêtes à vous de les faire jouir le plus vite et le plus fort possible, je serais le seul juge-arbitre.

Nadia comme a son habitude gère la situation.
Nos sous-vêtements nous sont enlevés, mais au niveau des seins, ce sont nos chemisiers qu’ils ont ouvert les menottes empêchant de tout enlever.
Soso voit son chevalier servant approché, écarter ses cuisses faisant admirer à tous son intimité impeccablement rasée.
Criss de son côté a ôté son polo me laissant voir sa musculature impeccable pour un homme de plus de quarante ans et surtout je peux admirer son corps ou aucune pilosité n’est visible.
Est-ce la vision de nos deux corps dénuder, mais il bande déjà suffisamment pour pénétrer son épouse, mais c’est une autre technique qu’il va employer.
Christian certainement moins habitué à être observé bande mais mollement.
Il vient à la hauteur de ma bouche et je lui suce méticuleusement la verge lui permettant d’être à égalité avec son adversaire en tout bien tout honneur.
Christian vient se coucher sur moi et me pénètre alors que Criss s’agenouille devant mon amie, lui introduit quatre doigts retournés et commence à caresser l’intérieur supérieur de la chatte de sa belle.

• Oui, Criss, fais-leur voir, comment je pars vite lorsque tu me caresses mon point G.

Les doigts dans sa chatte vont de plus en plus vite lui permettant de mouiller très fortement.
Voir mon amie commencer à prendre son pied avec simplement quatre doigts mon complètement déconcentré.
Je ferme les yeux pour essayer de recoller au peloton et le bel engin que Christian fait manœuvrer en moi commence à me faire son effet.
Je suis à portée de la boule que j’aime ressentir au fond de moi et je donne de grands coups de cul pour intensifier les pénétrations de mon amant.
C’est plus fort que moi, j’ouvre les yeux et je vois Criss prendre sa femme et de suite la limer avec efficacité.
Les bruits qui sortent de la bouche de ma concurrente me font penser que nous sommes aux portes de la jouissance et lorsqu’elle éclate, je suis sûr d’avoir gagné bien que battre Soso me laisse indifférente.

• Parfaitement ex-écot, orgasme simultané. Je refuse de vous départager.

L’orgasme a été si fort pour l’une comme pour l’autre que nous restons affalés sur le lit essayant de reprendre le sens de notre vie.
Je sens Christian continué à me pénétrer, tout à ma concurrence, j’ai complètement oublié le plaisir de mon homme.
Criss lui aussi veut que Soso ressente son sperme éclaté dans son intimité et les spectateurs peuvent voir nos deux compagnons prendre leur plaisir en même temps et nous les femmes aussi une seconde fois.

J’ai perdu la notion du temps, mais lorsque nos hommes nous détachent, en plus de leur donner un baiser de remerciement pour le plaisir donné, je me tourne vers Soso et nos lèvres se rencontrent pour une première et certainement pas dernière fois.

• Qui m’aime me suis.

Nadia nous quitte en courant et dévalant les escaliers rapidement et plonge la tête en avant dans la piscine.
Je descends, moi aussi nue avec Soso car les menottes enlevées, nous avons tout laissé à l’étage.
En bonne ménagère ou plus sûrement me rappelant le temps pas si lointain ou je rangeais les affaires des enfants et de mon mari qui pouvaient laisser traîner, je ramasse un part un le vêtement de la petite.
Arrivé sur le bord de la piscine, je les dépose sur un des fauteuils qui sont disposés autour.
Un portable sonne dans la poche de ses Jeans.

• Valérie répond.

Je récupère le phone et je décroche.

• Allo Nadia, c’est Eliane, tu es ou.
• Elle est dans ma piscine et je t’attends, je crois que nous avons une explication à avoir.
• Vous êtes à la villa de Pierre.
• Non, la mienne, tu dois savoir.

Un léger blanc, sur la ligne me, montre l’embarras de notre amie.

• Rejoins-nous dans la maison à droite de la mienne, la porte sera ouverte, Nadia est dans la piscine.
Je t’ouvre et je rentre, je suis nue.

Je récupère la télécommande du portail et je sors dans le froid au risque d’attraper la mort, j’attends quelques minutes et j’ouvre à notre entremetteuse.

• Entre il fait froid.

La porte étant refermée, Eliane fait un signe à Nadia.

• Qui est cette femme qui tourne autour de Nadia en nageant ?
• Tu es jalouse.
• Un peu bien que je sache qu’avec elle je devrais toujours la partager.
• Oui, ma grande, tu la partages déjà avec moi, la petite, tu sais, ce sera toujours une jeune femme libre et c’est mieux ainsi.
Celle que tu vois si intéresser ces Soso, tu te souviens, mes jumelles nous en ont parlé, elles les ont connus dans un club libertin à Bordeaux, je l’ai invité avec son mari que tu vois en train de parler à Petrov et Maryse tout en nageant.
• Bel homme.
• Bien, ma grande, je préfère te voir réaliste et je te promets qu’avant la fin de la soirée ce bel étalon te fera l’amour.
Avec son accord et celui de sa femme bien sûr tu vas éviter de le violer.
En attendant, déshabille-toi, te parler alors que je suis nue me mets mal à l’aise.

Elle enlève ses affaires et si je m’écoutais, je la coucherais sur le transat à côté de nous pour lui brouter sa jolie chatte si souvent caressée par Nadia.

• Assieds-toi et explique-toi ?
• Je vais tout te dire sans rien te cacher, je pourrais comme l’autre fois lorsque j’ai donné une explication à Nadia biaisé, là, il est normal de te dire toute la vérité.
Il y a quelques années, j’ai eu une aventure avec une jeune fille du lycée ayant presque dix-huit ans.
Ce que je vous ai dit concernant, ma propre jeunesse est entièrement vraie et j’ai tourné ma sexualité vers les femmes mais surtout pas les jeunes filles.
Flavie était très jolie et elle était très entreprenante envers moi.
Chaque fois qu’elle pouvait m’aborder seule, elle le faisait et me disait qu’elle était comme moi, qu’elle préférait les femmes et qu’elle flachait sur moi.
Ce petit jeu a duré des mois jusqu’à une sortie de fin d’année où elle est venue s’asseoir à mes côtés dans le car.

• C’est aujourd’hui où nous allons sceller notre amour, je suis sûr que nous arriverons à nous isoler et je te promets de te donner tout le bonheur du monde.

• C’est ce qu’elle m’a déclaré.
• Et tu as flanché.
• Oui, nous avions donné quartier libre pendant deux heures aux jeunes filles au bord de l’eau où elles pouvaient se baigner.
Nous étions toutes en maillot de bain et à un moment, je me suis rendu dans une petite maison mise à disposition pour que les filles puissent manger sur des tables et satisfaire leurs besoins.
Je venais de rentrer dans une toilette et au moment de sortir Flavie ai entré et ma prise dans ses bras sans que je l’aie voulu même si je l’espérais.
Sa bouche a dévasté la mienne, son baiser avait une telle douceur que je lui ai rendu son baiser.
Sa jolie petite-main déjà bien experte est entrée dans mon Bikini et as pénétrer mes grandes lèvres.
Je mouille facilement sous les caresses d’une femme, mais sous ses doigts ma chatte s’est mise à ruisseler.
Elle a ressorti ses doigts les a portés à ma bouche et me les a fait sucer.
C’était moi l’adulte, mais c’était moi qui étais complètement soumise à ses envies.
L’appel de la professeur en charge du voyage m’a permis de la fuir.
Les vacances commençant trois jours plus tard, j’étais dans mon appartement lorsque j’ai entendu sonné.
J’ai ouvert et Flavie était là, elle m’a pris par la main et m’a demandé que je l’emmène dans notre chambre.
Je dis bien notre chambre, car elle a tout accaparé en moi et chez moi en quelques minutes.
Nous avons roulé sur mon lit et nous nous sommes aimés jusqu’à faire éclater nos corps comme jamais je m’étais éclaté.
Elle trouvait des jeux de plus en plus érotique pour commencer et de plus en plus pervers pour terminer.
Et comme tous bonheurs trop grands ont une fin, un jour j’ai été convoqué à la mairie, car les parents de Flavie faisant partie de la vieille école avaient eu vent de la relation de leur fille avec moi et sont venu demander que je sois sanctionné.
• Qu’est-ce que Pierre a fait ?
• Je peux seulement dire qu’il a demandé au père de le voir en tête à tête et qu’au retour les parents sont partis sans insister sur une sanction pour moi.
• Que lui avait-il dit ?
• C’est dans cette maison qu’il m’a tout apprise. Pierre m’y a conduit un jour les yeux bandés et je me suis retrouvé allongé sur un lit à l’étage intégralement nu.

• Eliane, je t’ai incité à accepter de me suivre après ce qu’il t’est arrivé avec la petite Flavie et tu as respecté notre accord puisque te voilà les pieds et les poings liés.
Tu as eu la chance que je sache que le père de ta jeune élève sous des couverts rigoristes était un queutard qui trompait son épouse avec Madeleine, la droguiste qui s’avère être aussi ma maîtresse et qui me l’avait dit, sachant que j’allais la punir ce qu’elle adore.
Lorsque je lui ai dit les ravages qui se passeraient dans son couple, tu les as vus partir en courant.
Eliane, tu es une très bonne adjointe alors lorsque j’aurai besoin de toi tu seras à mon service sans poser de questions.
En attendant, régulièrement je t’amènerais dans ma maison des plaisirs et je disposerais de ton corps sans jamais te faire l’amour avec ma verge, car je respecte ton amour des femmes.

• Et un jour il t’a appelé.
• Oui, il y a quelques semaines, il m’a téléphoné pour que je vienne à la mairie et m’a présenté le registre des mariages.
Il m’a expliqué qu’il allait mourir d’une maladie incurable, qu’il souhaitait te laisser ses biens et qu’il avait réussi à te convaincre de l’épouser afin que l’État prenne un minimum sur sa fortune.
Il m’a fait signer comme si nous avions fait la cérémonie en me montrant où tu avais déjà mis ton paraphes.
• Et c’est comme cela que je me retrouve avec cette maison ou j’ai invité les amis de mes filles.
Tu veux que je te les présente.
• Oui, bien sûr, il faut que je commence mon éducation sexuelle comme tu as commencé la tienne après la trahison de ton mari.
• Soso, Criss, vous pouvez venir me voir, j’ai une amie à vous présenter…