LE REFUGE. (1/6)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : LE REFUGE. (1/6) Histoire érotique Publiée sur HDS le 11-11-2015 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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LE REFUGE. (1/6)
Cela fait cinq ans que pendant notre semaine de vacances d’été, nous partons faire une balade en haute montagne avec Albert, notre guide fidèle entre les fidèles.
La vie trépidante parisienne pour un couple de quarante ans et vingt ans de mariage ayant réussi dans la vie se trouvait régénérée par cette course de quatre jours dans notre massif alpin que nous aimons tant.
Albert préparait soigneusement notre parcours et nous le suivions les yeux fermés.
Trente ans comme guide de haute montagne forme un homme et jamais au grand jamais nous n’avons eu à nous plaindre de ses services.
Nous sommes arrivés à Courchevel dans notre hôtel habituel et surtout notre chambre réservée d’une année sur l’autre.

Le soir une tartiflette accompagnée d’un blanc et au lit de très bonnes heures car demain debout cinq heures pour retrouver notre guide à six heures devant notre hôtel.
Le vin blanc a donné du vague à l’âme à Germain qui malgré ce départ de bonne heure tient à me faire voir qu’à quarante ans, il est capable de satisfaire son épouse.
Les moments où dans notre couple depuis trois à quatre ans, nous jouons à la bête à deux dos, sont tellement rares que je le reçois sans me plaindre d’avoir mal à la tête.
Deux enfants de vingt et dix-huit ans ont été le fruit des nombreuses pénétrations qu’il m’a fait subir, car dans nos années de jeunes mariés, dès que nous étions seuls, il me faisait sentir sa virilité à n’importe quel endroit où nous nous trouvions.
Attention lorsque je dis subir, c’est le mot exact que je dois employer, car dans cette jeunesse perdue au fil des ans, ma chatte était libre de toute entrave pour qu’il m’enfile sans l’inconvénient de ce petit bout de tissu.
Quand je dis à n’importe, quel endroit, c’est là aussi la réalité, j’ai baisé avec lui dans le vestiaire du club de foot où il jouait encore à cette époque ou dans le parc près de chez nous un soir d’été où la chaleur dans notre logement nous faisait chercher la fraîcheur.
C’est dans ce parc que vers mes vingt et un ans et alors que nous promenions Louis, notre fils né huit mois plus tôt que j’ai perdu ma virginité.
Un enfant, ma virginité non je suis sobre pas de blanc, c’est dans mon anus que j’ai accepté de le recevoir pour la première fois.
J’avais toujours refusé la sodomie, mais ce soir-là alors que Louis dormait profondément dans son landau, je me suis mise à quatre pattes sur un banc et lorsqu’il a présenté son nœud à ma rosette, je l’ai laissé faire.
Quelle idiote d’avoir perdu autant de temps pour me faire défoncer dans mon petit trou car dès la première fois avec ses doigts sur mon clito, j’ai joui.
Ce soir, il me prend avec un bon missionnaire que j’apprécie ayant été sevrée de son sexe depuis plus d’un mois.

Depuis ces balades dans ce parc, le modernisme a tué notre libido car l’appartement et l’entreprise dont il a hérité de ses parents noyés en mer sur leur voilier retrouvé retourné sans personne à bord.
Les deux corps ont été retrouvés quelques jours après et depuis c’est nous qui gérons l’entreprise familiale.
Mes beaux-parents habitaient sur les bords de Marne, dans un appartement spacieux permettant aux enfants d'avoir chacun sa chambre où nous sommes installés.
Avec l’argent que nous engrangeons, nous l’avons climatisé et le soir de grande chaleur, nous restons au frais.

À six heures, nous sommes aux pieds des marches en tenue pour ces quatre jours de course en montagne lorsque nous voyons sortir de sa voiture un jeune homme avec la tenue de guide.

• Nos responsables m’ont appelé vers minuit pour être là ce matin, car Albert votre guide a été victime d’un début de crise cardiaque et est hospitalisé pour trois ou quatre jours.
Je m’appelle Christophe et je viens d’être reçu à mon concours de guide.
Si vous le désirez, vous pouvez annuler la course, je comprendrais, et je retournerais à Peisey-Nancroix.
• Peisey-Nancroix, j’y venais en classe de neige lorsque j’avais dix ans avec mon école parisienne.
Un jour alors que nous allions au village à pied du chalet où nous logions, j’ai fini dans une fosse à purin en marchant sur les congères au-dessus de la route sans voir cette fosse heureusement peu profonde, car j’aurais pu m’y noyer.
• Je vous promets que les chemins que nous prendrons à cette saison seront sans fosse à purin et que vous rentrerez propre dans quatre jours.
• Un garçon de Peisey-Nancroix, je vous fais confiance, nous vous confions nos vies celle d’Emmanuelle, ma femme et moi.
Pour que tout soit dit, je m’appelle Germain et nous pouvons démarrer.

Premier pas, première heure puis deux et trois, moments difficiles car nous avons bien fait un entraînement le midi en parcourant trois kilomètres pendant un mois avant de reprendre le travail, mais les chemins en montée nous forgent les mollets.

Christophe est très sympathique et ferme la route par moments.
Son regard sur mon postérieur dans mon short en jean me rassure sur l’attirance que je peux avoir sur ce jeune étalon.
J’ai l’impression que ses yeux transpercent mon bout de tissu et une certaine chaleur monte dans mes lombaires.
Germain semble ignorer les allers et retours de notre guide et avance toujours aussi fringant que les années précédentes malgré le poids des ans et des soucis au travail qui s’accumulent pour nous.
Comme tous les ans, nous atteignons le premier refuge du soir où nous retrouvons un groupe d’Allemands qui sont sur la route du retour par rapport à nous.
Le patron du lieu joue de la guitare et la soirée s’annonce très sympathique.
Je vais me doucher au moment où une femme du groupe d’outre-Rhin fait son entrer.
Sans se poser de questions, elle enlève sa serviette entourant son corps et vient me rejoindre sous la douche voisine de la mienne.
Sans le vouloir je laisse échapper ma savonnette qui vient se loger dans ses pieds.
Elle la ramasse.

• Kann ich ?

Je cause anglais mais pas allemand sauf un mot.

• Ja.

Elle s’approche et commence à me savonner.
Je manque de l’arrêter, mais cette main qui commence à parcourir le corps me fait courir des frissons partout.
C’est la première fois de ma vie depuis ma maman qu’une femme caresse mon corps.
Je suis bien savonnée sa main passant entre mes jambes et titillant avec l’ongle de son pouce mon clito.
Je fléchis sur mes jambes, certes, à cause de la fatigue mais surtout par le début de jouissance qui irradie ma chatte.
Elle me tend la savonnette et me fait comprendre que je fasse sur elle ce qu’elle venait de me faire.
Le jeu érotique me plait aussi, je commence à la nettoyer en insistant sur ses seins qui me fascinent.
Elle doit avoir des bonnets gigantesques, mais lorsque je passe la main dessus, ils sont d’une fermeté extraordinaire.
Ma main descend pendant que la deuxième reste ou elle est étant dans l’impossibilité de les lâcher complètement.
Arrivée à sa chatte couverte d’une toison comme l’on en a connu dans les années 60 et que nous revoyons de temps en temps dans les émissions sur le début de la libération sexuelle qui a trouvé son point d’orgue avec Emmanuelle.
Eh oui, lorsque Germain a dit à Christophe que je me prénommais Emmanuelle, j’aurais pu dire que mes parents avaient choisi ce prénom après avoir vu le film, mais Christophe avec ses vingt à vingt-cinq ans le connaît-il ?
Ma belle teutonne reçoit mes doigts facilement, car elle a écarté les jambes dégageant sa chatte qui apprécie ce que je lui fais.
Elle jouit et je suis étonnée de ses « Ja » intenses qui doivent retentir dans tout le refuge.
Nous nous rinçons et ma serviette entourant mes seins, je retrouve Germain et Christophe qui eux aussi sortent des douches des hommes placés juste de l’autre côté de la cloison où nous étions.
Le petit sourire que me fait voir ce jeune coq me fait comprendre que notre petit amusement a été entendu.
Conquérante et voulant lui faire voir que je suis une femme libre, je mets mon string pour le soir et je défais la serviette lui montant mes seins qui sont la propriété de mon mari.
Ils ont déjà remis leur boxer avant de sortir des douches, mais celui de Christophe me montre une virilité intéressante.
Mieux même j’ai l’impression quand me voyant il bande et que son gland cherche à s’échapper.
Je remets mon chemisier sorti de mon sac à dos la poitrine libre pour bien le faire baver.

Nous passons une nuit bien réparatrice et je reprends notre chemin forte d’une première fois avec une femme même si notre jeu a été assez soft et rapide.
Les Allemands sont déjà partis lorsque je me lève.
Christophe est à la table regardant sa carte du massif.

• Emmanuelle, la petite est partie et m’a dit de vous remercier pour la douche hier au soir.
Pourquoi a-t-elle dit cela, il s’est passé quelque chose ?

Son sourire légèrement ironique me donne envie de lui donner des baffes, mais il est trop beau pour que je lui fasse du mal.
La deuxième journée se passe bien malgré l’impression de toujours monter.
Le soir au refuge, il y a énormément d’étrangers mais aucune allemande souhaitant que je lui passe le savon.
Pire même, seuls des hommes m’entourent.
Les deux miens.
Deux groupes de quatre étrangers dont des Italiens très volubiles et parlant avec leurs mains et un autre semblant venir d’Autriche car à table, ils ont parlé de Vienne.
Je compte le responsable de ce refuge, cela fait 11 hommes pour moi seule.
Après avoir mangé, nous nous installons sur la terrasse dans des fauteuils en toile bleu et jaune et nous profitons quelque temps de la fraîcheur tombante.

Dans la nuit, je fais un rêve autre que prémonitoire, je l’espère.
Je suis à genoux au milieu de la salle commune et un nombre incalculable de verges sont tournées vers mon visage.
À tout seigneur tout honneur, c’est à Germain mon homme que revient l’honneur d’entrer dans ma bouche et comme je suis placée à quatre pattes, je relève une main et en même temps que je suce, je lui caresse les couilles.
Il m’emplit la bouche avec de longs jets et tout de suite il est remplacé par le gardien.
Dans le même temps je sens que l’on m’empoigne par les reins et entre deux léchages, je regarde Christophe me sodomiser avec une queue aussi grosse que celle du cheval que j’ai eu le temps d’apercevoir dans ce champ et qui était prêt à s’occuper de la jument à ses côtés.
J’ai déjà vidé quatre bites lorsque, hélas, un bruit de chasse d’eau me ramène sur terre et que je reprends mes esprits. Pantelante d’envie, je reprends ma nuit sans reprendre mon rêve.
Les derniers moments de lucidité avant de me rendormir, c’est que Christophe qui me sodomisait avec sa bite gigantesque allait m’arroser l’intérieur de mon anus.
Je finis par dormir comme un bébé et au matin, c’est une bonne odeur de café qui me fait mettre un pied au sol.
Pendant le petit déjeuner, je n’ose regarder les quatre hommes que j’ai clairement identifiés comme ayant réellement arrosé ma glotte.
Dans le futur, la situation avait tellement l’air vraie que mon cerveau pourrait retenir cette nuit de rêve comme une nuit réellement vécut.

Le chemin repris nous avançons allègrement Christophe pouvant profiter d’un seul secteur pour me replacer sa main là où cela me fait du bien.
De temps en temps un détail ou une vue magnifique au détour du sentier me donne le sentiment d’être déjà passée sur ces chemins parcourus depuis cinq ans.

• Germain, on est déjà passé par ici, ce devait être la deuxième année.
• Non, impossible, j’ai suivi les instructions qu’Albert a laissées et j’ai respecté scrupuleusement le parcours qu'il souhaitait vous faire prendre cette année.
• Tu sais chérie, un chemin de montagne ressemble toujours à un chemin de montagne…

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