LE MARIN. La copine de ma mère.(1/1)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
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Récit libertin : LE MARIN. La copine de ma mère.(1/1) Histoire érotique Publiée sur HDS le 25-12-2015 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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LE MARIN. La copine de ma mère.(1/1)
C’est lors d’une de mes premières permissions que cette aventure avec cette femme plus âgée que moi c’est produit.

Je venais d’arriver chez mes parents et je prenais un café avec ma mère comme chaque fois que j’arrivais en permission après mon voyage en train en provenance de Toulon où j’étais basé dans ces années-là.

Lors de ma permission précédente, j’avais eu une aventure dans le train avec une jeune fille qui revenait d’une cure de repos après des ennuis de santé.
J’avais été surpris que ma copine du moment me fasse savoir par sa mère qu’elle était absente tous le week-end alors qu’il était prévu de se voir.
Ma bite ayant été satisfaite pendant le voyage ce repos forcé a été loin de me gêner plus que cela.
Depuis la dernière permission où j’avais réussi à ce qu’elle m’offre son pucelage, je cherchais à la larguer plutôt que de lui promettre un amour éternel.
À 18 ans et un pompon sur la tête, j’étais plus enclin à chercher des filles prêtes à me prêter leur chatte que de leur promettre de passer voir monsieur le maire.

Mon bol à la main je voyais bien que ma mère était tendue. Nous avions une complicité telle que je ressentais toutes ses émotions autant qu’elle recentrait les miennes.
J’avais bien vu, car quelques minutes après elle sortait de sous son tapis ou tous les matins après son café, elle faisait des réussites une enveloppe avec mon prénom écrit dessus, trouvé dans la boîte aux lettres.

Lettre ouverte, je peux lire.
Christian, merci pour le merveilleux moment que tu m’as fait passer lors de notre rencontre à ta dernière permission.
J’espérais depuis des nuits faire l’amour avec un garçon qui serait assez doux pour que mon passage de ma vie d’adolescente à celui de femme ce fasse sans traumatisme pour moi.
La manière que tu as employé patiente et douce a été parfaite.
La façon où tu as pris mon hymen me demandant tout au long de ta pénétration si tu étais assez doux et si je n’avais pas mal, m’a été droit au cœur.
Même tes grands coups de verges donnés après que tu es parvenu au fond de ma grotte resteront gravés dans ma mémoire.
La jouissance apportée me faisant même atteindre l’orgasme pour la première fois de ma jeune vie a été bien réel.
Mais, hélas pour nous il y a ce mais.
Notre milieu est à un monde d’écart du tien et si je t’ai choisi dans la boîte de jazz où l’on s’est rencontré en plus du fait que tu étais mignon avec ton pompon c’est pour briser la ligne qui m’était imposée par les gens de mon milieu.
Il y a plusieurs années, ma famille m’a fiancé au fil d’un lord anglais afin de pérenniser les biens de nos deux familles.
Je dépose cette lettre discrètement dans ta boîte aux lettres en te remerciant de m’avoir donné ta bonne adresse, j’aurai mal pris ce petit point de détail pouvant faire tache entre nous.
Je finis d’écrire ma lettre devant chez toi avant de prendre la route de l’Angleterre ou demain je serai officiellement présenté à celui jamais-vu.
C’est pour cela que j’ai décidé que ce serait toi qui m’enlèverais mon pucelage.
Un seul regret pour moi c’est celui que nous ayons passé qu’une seule nuit toi et moi chez ma copine Agnès dans sa chambre d’étudiante prêtée au cas où.
Tu as été et tu resteras le plus merveilleux des « aux cas où ».
Au cas où, tu regardes une certaine presse, tu apprendras mon mariage qui aura lieu en Angleterre, tu sauras le nom de femme que je porte. Tu sais qu’au moment où je prononcerais le oui, c’est un petit peu pour toi que je le dirai.
Adieu.
Marie-Antoinette.

Eh oui, je suis largué avant que je largue. La nuit passée avec elle a été assez merveilleuse pour qu’il me reste en mémoire le prénom de la petite, qui je l’espère ne sera autre que prémonitoire et que son avenir sera moins sombre que son illustre aïeule.

La fenêtre de la cuisine est ouverte et fréquemment les personnes qui passent, nous apostrophes.
C’est une voisine qui vient souvent voir ma mère qui nous dit bonjour. Elle poursuit, son chemin après un bref mouvement la tête baissée et un simple bonjour.

• Elle est muette ce matin ton amie, d’habitude elle est plus causante.
• Elle est comme cela depuis ce qui lui est arrivé.

Maman m’explique ce qu’elle a subi, il y a quelques mois.
Lorsque cette dame dont je connais bien le fils est passée, j’apprends ce qui lui est arrivé.
Un jour où elle entrait inopinément chez elle, Magali joli prénom pour une femme de quarante ans a trouvé son mari en train de s’occuper de la fiancée de son fils sur le canapé.
Son mari plus vieux d’une vingtaine d’années besognait sans aucune pudeur cette jeune fille et les deux à leurs cris semblaient prendre beaucoup de plaisir.
Le fils informé a essayé de les tuer tous les deux, le père est parti avec sa maîtresse et sa mère a divorcé.
Magali a gardé son pavillon hérité de ses parents et vis de la rente que son mari lui donne dans le cadre du divorce, car il est joaillier avec de larges moyens.

Le lendemain midi, ma mère nous a fait une tarte aux pommes.

• Christian, j’ai appelé Magali et je lui ai dit que je faisais une tarte et je lui ai promis de lui donner une part, peux-tu, lui porter avant que nous passions à table.
• Je lis Tintin en Amérique, cela peut attendre.
• Tu sais que j’aime que tu me dises oui tout de suite, tu liras en revenant.

Un peu forcé, je me chausse, je me dirige sur les bords de Marne et entre dans le pavillon.
Je sonne, elle vient m’ouvrir.
J’ai souvent croisé cette femme lors de mes retours à la maison sans avoir l’idée de m’intéresser à elle.
Peu enclin à draguer les femmes mûres c’est son décolleté que je vois poindre de son peignoir qui me donne l’idée d’essayer de la séduire.

• Bonjour madame, je vous emmène la part de tarte que ma mère vous a promise.
• Entre Christian, je t’offre quelque chose à boire.

Je pénètre dans la salle où je suis déjà venu son fils ayant apporté ces devoirs lorsqu’il avait été malade.

• On doit te dire souvent que tu es beau garçon avec ton pompon, je peux le toucher, il paraît que cela porte-chance, en ce moment après ce qui m’est arrivé, j’en ai bien besoin.

Toute jeune femme ou jeune fille qui demande à toucher notre pompon on la même réponse.

• Vous pouvez toucher le pompon rouge si je peux toucher le pompon noir, brun, roux, blond, rasé.

Bien sûr, avec cette dame l’angle d’attaque que je fais aux jeunes pucelles serait déplacé.

• Touchée le plutôt deux fois qu’une afin d’avoir deux fois plus de bonheur.
Mieux même, mettez le sur votre tête, vous êtes belle et il vous ira à ravir.
Je suis impeccable sur ce coup, l’angle d’attaque est plus conforme à l’âge de Magali.
Je me surprends dans ma tête à l’appeler Magali.
Je joins le geste à la parole et lui place sur sa tête.
Elle le réajuste et va devant la glace au-dessus du meuble de la salle.

• Il me va bien, qu’en penses-tu.

Je m’approche d’elle pour être dans le même axe de vision.
Il est vrai qu’il lui va bien et c’est là que j’ose le geste de l’impossible susceptible de me valoir une paire de baffes.
Je me colle à elle et voyant que sa réaction est non violente, je passe ma main, la glisse dans le revers du peignoir et comme je l’espérais, je trouve son sein sans entraves.
Je sais que c’est gagné lorsque je sens le téton s’ériger et se durcir.
Sous mes doigts, je vois que la pointe est assez volumineuse et est très sensible.
Dans la glace nos regards se croisent et c’est elle qui tourne sa tête pour que nos bouches se rencontrent.
La position est peu facile aussi, elle prend l’initiative de se retourner et de me serrer dans ses bras.
Il lui est impossible d’ignorer que je la désir de la façon dont ma bite est tendue à faire éclater mon slip Petit Bateau grande mode dans ces années-là.
Je fais descendre ma main qui trouve sa grotte ruisselante.

• Emmène-moi à ta chambre.
• Merci, viens.

Ce merci est dû au fait qu’elle a compris que j’ai évité de la coucher sur le canapé où elle s’est vue trompée.
Mais je me trompe, c’est sur ce canapé qu’elle se laisse tomber après m’avoir sorti ma lance qui vient se planter dans sa chatte ornée d’une très fournie toison brune.

• Christian, fais-moi l’amour ici, tu vas me laver de la tromperie de mon mari et de celle qui aurait dû être ma bru, tu peux me prendre très fort, il y a des mois qu’il évitait de me toucher depuis que mon fils nous avait présenté cette petite grue non cette grande pute.

Je dois reconnaître que je me vautre lamentablement, car mon excitation monte si vite que je lui envoie des jets de sperme en grande quantité sans qu’elle ait pris du plaisir.
Elle s’aperçoit de mon désarroi et me prend tendrement dans ses bras.

• Attends-je vais t’apprendre ?

Elle me fait asseoir et s’agenouille devant moi pour me faire une fellation.
Je prends une fois encore conscience que les femmes de quarante ans sont des femmes qui baisent et qui savent baiser contrairement aux jeunes filles que j’ai connu qui si avec elle j’avais déchargé aussi vite m’aurait donné congé.
Être dans cette bouche me fait rebander rapidement.
Elle se place à quatre pattes sur le convertible les seins sur le dossier et me présente, ses fesses avec en leur centre le puits de ses plaisirs.

• Viens me sucer mon chien fou, si je te laisse me pénétrer dans trois secondes, tes jets partiraient sans que j’aie eu du plaisir.
Ta bouche va me mettre en condition et tu verras, je vais m’éclater, moi aussi.

Je fais ce qu’elle me propose et j’ai la joie de la voir jouir deux fois simplement par ma langue qui lèche son clito et ma langue qui lui fait une feuille de rose me montrant que son anus a autant de sensibilité que sa chatte.
Il est cinq heures lorsque je rejoins ma mère qui a la décence d’éviter les questions mais la figure que je lui montre, lui fait voir l’après-midi que j’ai passé.
J’ai dit que nous étions complices avec ma maman, dans les semaines qui ont suivi, trois fois j’ai dû porter une tarte, un clafouti au moment des cerises et la dernière fois une part de flan.
Dans cette période Magali m’a tout appris du sexe et surtout de la manière de m’en servir pour qu’une femme regrette que je la quitte après les bons moments que je leur fais passer.
J’ai pu constater que son anus avait beaucoup de sensibilité lorsqu’elle m’a donné l’ordre de le perforer alors qu’elle était devant ce maudit canapé en levrette.
Un jour alors que, pour une fois j’avais envie de continuer avec une femme, elle m’a donné mon indépendance trouvant qu’elle m’avait tout appris.
Six mois plus tard j’ai su qu’elle se remariait et qu’elle partait en Allemagne avec son nouveau mari qui était berlinois.
Magali restera l’une des principales femme de ma vie au même titre que quelques autres, mais là c’est une autre histoire.

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