LE CHANTIER (32)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
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Récit libertin : LE CHANTIER (32) Histoire érotique Publiée sur HDS le 04-01-2016 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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LE CHANTIER (32)
Ayant fait la découverte de la caractéristique physique différenciant nos jumeaux à savoir que l’un a un grain de beauté bien placée sur son attribut, actuellement, il m’est impossible de le voir, car son propriétaire vient de me relever de m’asseoir sur le bureau et profiter de ma chatte, il vient de me l’enfiler.
Nadia et moi commençons par nous tenir la main placée côte à côte sur le bureau qui semble devenir un terrain de jeu habituel pour les louves.
Jumeaux jusqu’au bout des ongles, les mouvements qu’ils font en nous sont d’un synchronisme parfait.
Alors avec Nadia, nous nous mettons à l’unisson lorsque les premiers bruits de plaisir sortent de nos bouches.
Plaisir qui se termine lorsqu’ils remplissent leur capote non sans avoir attendu que nous ayons un orgasme simultané.

• Mathieu, et si nous acceptions !
• J’allais te le proposer.

C’est par ces phrases que nous apprenons que les louves ont frappé efficacement.

• Bonne décision messieurs mon secrétariat entrera en contact avec vous pour la préparation des élections.
Vous leur direz qui de Mathieu ou qui de Luc prendra l’un ou l’autre des postes peu m’importe.

Nous étant rajustés, nous quittons leur bureau.

• J’allais oublier, mettez-vous en contact avec votre collègue de Toulouse qui avait été chargée des affaires de la commune et préparez le transfert vers votre étude, je ferais voter le conseil municipal en ce sens au prochain ordre du jour, Nadia sera en contact avec vous.

Je vois le visage des deux garçons s’éclairer. Est-ce la recette supplémentaire pour leur étude où le fait que j’assigne à Nadia de rester proche deux qui motive ce changement de physionomie ?
Sans un mot et sans un regard, je recréais la distance avec eux, suis-je le maire ou non ?
De retour à mon bureau, comme prévu je téléphone au notaire pour avoir l’heure du rendez-vous pour signer l’ensemble de la succession.
Je fais valoir mes obligations et une heure après il me reçoit pendant sa pause de midi. C’était le seul créneau pour nous deux et surtout pour que je monte à Paris avec Nadia rapidement.
Je reçois les clefs et les codes des trois logements.
Il me donne officiellement la lettre énigmatique. Je signe tout ce qu’il souhaite me faire signer et riche de plusieurs millions, je retourne chez moi.

Autoroute, porte d’Orléans, périphérique sortit Parc des Princes et mon GPS me signale que nous sommes arrivés.
Immeuble presque neuf en pierre de taille blanche, parking souterrain, code fourni dans la liste remise par le notaire, ascenseur et porte seule sur le palier qui nous permet d’entrer dans mon appartement très bien exposé, mais avec un ameublement par un homme manquant de goût.
Dans une des chambres le lit défait et les traces de rouges à lèvres différents sur les draps sont les témoins de la dernière partouze que Pierre a dû organiser avant de monter vers les cieux.
Dans la salle le répondeur clignote.
Nadia toujours au parfum des techniques modernes appuis sur un bouton.

« Vous avez, quarante-huit appellent non lu. »
• Allo Pierre, c’est Chrysalide, j’espère que tu me rappelleras dans les jours prochains, je te redonne mon numéro 06 06 06 06 06.

Vous avez, quarante-sept appellent non lu.

• Allo c’est Patricia de l’agence « toutes à votre service, » votre dernière facture est toujours en attente de règlement.

Pute. Pute. Pute, principalement des putes qui s’inquiètent de la disparition de Pierre lui qui devait être un de leurs meilleurs clients.

• Nadia, descends à la boîte aux lettres, il doit y avoir du courrier en attente.

Quatre-vingt-dix pour cent des messages sont des nanas qui ressemblent de très près à des escortes vues les prénoms.
Lutécia 1, Natalielove, Sexylais, j’en passe et des meilleurs.

D’autres appels viennent de personnes qui semblent être en affaires avec Pierre dans le cadre de son mandat de sénateur. Ces appels sont sans numéro de téléphone, je les efface car inexploitable.
Un appel émane du responsable de son groupe politique au Sénat, je demande aux renseignements le numéro du secrétariat de cette institution.
Après que je leur ai expliqué qui nous étions, elle nous le passe et nous nous présentons.
Ce monsieur fort avenant avec une voix suave me signale qu’il sera dans ma commune et viendra à ma mairie la semaine prochaine pour parler avec moi du remplacement de Pierre à son poste de sénateur.

• En attendant que faite vous ce soir, j’aimerais vous inviter aux restaurants.
• Rien de spéciale, mais je suis avec mon assistante et amie Nadia.
• Je sais que vous c’est Valérie, dernièrement Pierre m’avait dit qu’il vous avait épousé.
Valérie, vous avez été forte pour le coup, car pour réussir à épouser, ce célibataire endurci, vous devez avoir une chose spéciale lorsque l’on connaît comme moi le consommateur de jolies femmes qu’il était.
Excusez-moi de vous dire cela, il a tout de même été votre mari quelques jours, j’espère que vous me pardonnerez d’avoir fait un impair en vous dévoilant le penchant de mon ami pour les jolies femmes.
• Non, nullement, je suis loin d’être une oie blanche de ce côté, vous savez, j’aime beaucoup le sexe.

Pour le coup, c’est moi qui ai l’impression d’en avoir trop dit.
Bref, nous verrons bien.
Pour le rendez-vous à ma mairie, je lui demande d’appeler mon secrétariat et pour ce soir, il me propose un restaurant à deux pas du Sénat, mais il nous donne rendez-vous au pied de l’immeuble de Pierre, son chauffeur connaissant mieux Paris que moi.
Pendant toute ma conversation, je vois Nadia tourner dans le salon semblant chercher quelque chose.

• Chérie peux-tu me relire la phrase que Pierre t’a laissée chez son notaire.
• Elle est dans mon sac à main.

« Trois lieux, trois aphrodites, trois têtes trois fois tournées. »
Elle s’approche de la table du salon en marbre sur laquelle une statue de femme dénudée est fixée.
J’ai une impression de déjà vue.
Je connecte mon téléphone et à Aphrodite, je trouve la photo de la statue par Botticelli identique dans sa coquille Saint-jacques à la statue que nous avons devant nous.

• Regarde, il y a une différence, au cou la statue à un collier, pourquoi ?
• Tourne la tête.

Elle tourne et le collier permet de cacher le trait visible entre la tête et le tronc.
Elle tourne à droite, rien.

• Attends-je tourne-à-gauche ?

La tête tourne, mais lorsqu’elle revient à son point de départ rien, ne se passe.

• Relie. Procédons point par point.
• Trois lieux ?
• Ici, sa maison dans le village près de la mairie et la maison voisine de la tienne.
• Trois aphrodites.
• Ici, nous en avons une, chez lui nous irons voir à notre retour, à la villa, je me souviens que dans l’appartement, il y a une fresque avec une aphrodite en petits carreaux de céramique dans le salon.
• Trois têtes trois fois tournées.
• Mais oui, trois fois tourné, il y a trois têtes que nous devons tourner trois fois.

Nadia prend la tête la tourne une fois, deux fois et trois fois. Rien.

• Je suis sûr qu’il y a un code, la tête tourne, il faut la tourner trois fois.
Si je tourne une fois, je reviens d’un j’ai manœuvré deux fois dans le même sens et si je reviens une fois, rien ne peut, ce passé, je suis revenu à zéro.
Attends, j’essaye autre chose.
Une fois, deux fois et je reviens d’un.

Un bruit et un système semblent se débloquer.
Rien ne bouge.

• Valérie, on a débloqué le système d’ouverture, on est à deux doigts de trouver.
Essayons de faire glisser le plateau de la table.

Nous poussons et naturellement sur des roulements le plateau roule découvrant la caverne d’Ali Baba.
Euros, livres sterling, lingots et autres, titres aux porteurs d’une valeur impossible à estimer comme cela.
Le tout accompagné d’un cahier avec les sommes et leur provenance.
Je pense tout de suite à des pots-de-vin aussi je sors le cahier de la cache pour l’emporter avec moi, j’aurais tout loisir de voir ce que je peux faire ayant déjà une petite idée.
Si les deux autres caches regorgent des mêmes trésors, je suis à la tête d’une véritable fortune.

• Nadia, allons-nous préparer le sénateur va bientôt arriver, il va falloir que nous descendions.

À l’heure prévue nous arrivons sur le trottoir au moment où une limousine arrive.
En prévision de la rencontre avec cet homme hautement placé et qui m’a parlé des décisions concernant la succession de Pierre au Scena, je fais habiller Nadia en mode louve, mon instinct me dit que ce monsieur pourra être sensible à nos charmes.
La voiture arrive lorsque nous sommes sur le trottoir, le chauffeur descend et viens nous ouvrir la porte arrière.
Heureusement qu’il arrive en même temps que nous car nous aurons risqué de nous faire arrêter par les bleus pour racolage.
Chauffeur et grosse voiture, ce sénateur doit être haut placé dans l’institution.

• Montez mesdames, bonjour à vous.

Nous nous installons Nadia à côté du monsieur qui est d’un âge certain pour éviter de dire d’un certain âge.

• Pierre m’avait vanté votre beauté, il était en dessous de la vérité, il avait oublié de me dire que vous avez une secrétaire aussi jolie que vous.

Moi qui depuis des mois a perdu mon pucelage moral, je rougis de plaisir sous le compliment d’un homme semblant comme mon défunt mari était où avait été un grand consommateur de femmes.
Nous roulons vers le restaurant où Paul semble avoir une table presque permanente, je trouve les mets succulents et j’en fais part au maître d’hôtel qui s’occupe presque exclusivement de notre table.
Notre nouvel ami homme dans la soixantaine à une taille d’une sveltesse frisant l’indécence dans son costume coupé sur mesure.
Avec ses cheveux poivre et sel, il doit encore être capable de faire tourner bien des têtes.
Le seul point noir là où nous apprécions ce qui nous est servi, c’est que j’ai l’impression qu’il mange comme s’il était dans une simple cantine d’entreprise.

• Cette coupe de champagne m’a mis en joie où pourrions-nous aller continuer la soirée.
Avec Pierre, la décision aurait été rapide et facile, un célèbre club près de la place Clichy aurait eu ses faveurs.
Mesdames, il me faut trouver quelque chose de plus soft.

Je dresse l’oreille, Paul est en train de me donner l’adresse de l’endroit où mon mari allait me tromper lorsqu’il était à Paris.
Un regard avec Nadia et nous avons compris pourquoi tous ces coups de fil d’escorte se voyant largués par leur mentor sans savoir qu’il nous avait quitté à jamais.
Nadia passe en mode Louve, avec nos tenues, c’est très facile.

• Paul, contrairement à ce que vous pouvez penser, nous les provinciales que nous sommes, nous avons depuis bien longtemps arrêté d’être des oies blanches, un peu de libertinage est loin de nous déplaire surtout que depuis que Valérie a perdu Pierre, les occasions de s’amuser ont été rares.
• Albert, mon chauffeur va nous y conduire, pourquoi nous refuser d’aller prendre une coupe dans notre club, cela fait, moi aussi bien longtemps que je suis resté loin de certains plaisirs.

À cette heure Paris est fluide et nous arrivons devant le club qui va me permettre et d’assouvir ma chatte bien calme toutes ces heures malgré les jumeaux et de voir, comment je pourrais sur les conseils de Criss prendre les bonnes décisions pour que nos futurs clients et amis trouvent notre club à leur goût si je décide de transformer ma maison héritée de Pierre en club libertin.
Dès que nous entrons, notre chevalier servant semble vouloir retarder le moment où nous allons passer derrière un grand rideau ou il semble que se passe la partie intéressante de la soirée.

• Valérie, je pars en exploration, je te laisse avec notre ami.

C’est de nouveau une coupe de champagne à la main que je vois Nadia parler à un homme qui l’entraîne dans une pièce d’où ils ressortent aussi nu qu’au jour de leur naissance.
Je les vois franchir le rideau, je suis bien décidée à les suivre de près.
Comment faire comprendre à Paul que le champagne, c’est bon, mais que ma curiosité est exacerbée surtout que depuis quelques minutes mon amie doit déjà se faire occuper de son intimité ?

• Paul faite moi visité.

Ces mots sortis de ma bouche, je pose ma coupe et je fonce vers la pièce ou sans le regarder, je me mets nue.

• Je savais que vous étiez très jolie derrière vos vêtements. Valérie, vous avez la beauté des femmes qui ont atteint la plénitude de la quarantaine ou le corps de la femme perd sa candeur pour arriver à la beauté que j’ai devant les yeux.

Dans son élan sur ma beauté, à poil, il me prend la main pour effleurer dans un baisemain plus coquin l’intérieur du poignet.
La tête bien droite et très fière Paul quittent la pièce, lorsqu’il me prend par la main, il m’entraîne vers le lieu dont j’ai hâte de découvrir ce que l’on peut y trouver lorsque je suis arrivée, je le suis presque fébrile.
Derrière le rideau, c’est un couloir où l’on se trouve.

• Paul toi qui connaît les lieux y a-t-il un Jacuzzi ?
• J’allais t’y conduire, tu sais à mon âge, tendre le bras, excuse ma vulgarité, mais comment dire autrement, bandé commence à devenir de plus en plus difficile.

Le Jacuzzi ressemble plus à une petite piscine que celui que Pierre a installé dans notre cave.
L’eau est chaude juste à la température pour faire plaisir à mon corps.
Nous nous assaillons et un court moment timide, je profite de l’eau qui cache ma main pour lui saisir la verge.

• Ho, Valérie, merci.

Je pourrai lui répondre mais pourquoi parler dans ces moments si privilégiés.
Je le masturbe et contrairement à ce qu’il vient de me dire sa tige très fine réagie à mes sollicitations.
Mon sénateur bande.
J’ai un moment d’hésitation, car comme l’oie blanche que je suis dans ce genre de lieu, j’ignore si la bienséance voire le règlement autorise les hommes à décharger du sperme dans ce lieu confiné.
Pour éviter de prendre des risques, je me penche, et c’est la tête sous l’eau que sentant qu’il arrive au point de non-retour, je l’engame et prenant soin que rien ne sorte, j’avale le petit jet de sperme que son corps est encore capable de fabriquer…

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