LA MAISON DE RETRAITE. (1/1)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : LA MAISON DE RETRAITE. (1/1) Histoire érotique Publiée sur HDS le 22-01-2016 dans la catégorie Dans la zone rouge
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LA MAISON DE RETRAITE. (1/1)
-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --

J’ai enfin trouvé un travail depuis huit jours dans une maison de retraite comme infirmier de nuit.
J’ai trois étages de pensionnaires à gérer.
Une nuit au cours de ma ronde, j’entends du bruit au 2e étage.
Je monte pensant qu’un ou qu’une pensionnaire à des problèmes et j’ai le temps de voir comme un ectoplasme entrer dans la chambre d’une femme qui m’a été présentée comme s’appelant Mamy Josiane.
Je comprends de suite que Papy Louis est parti en promenade lorsque je vois que sa porte est ouverte et qu’il en est sorti.
La directrice m’avait prévenu, Papy Louis est somnambule et va de temps en temps dans les chambres d’autres pensionnaires.
Il est inoffensif et les autres s’amusent de ses déplacements nocturnes qui égayent leur vie souvent monotone.
Mamy Josiane est une vieille dame de soixante-douze ans, très maigre et cheveu entièrement blancs restant seule au monde à ce qu’elle m’en a dit un soir de confidence, il y a deux jours.
Malgré son âge, elle reste une femme avec une classe folle à qui j’aurais volontiers conté fleurette, il y a quelques années malgré mes trente-cinq ans.
Je frappe à sa porte doucement comme il est normal lorsque j’entre dans une chambre surtout d’une dame et dans la clarté de la pleine lune, les volets étant ouverts, je vois Papy Louis couché sa tête sur l’épaule de Mamy Josiane et qui dort en suçant son pouce.
Mamy Josiane est allongée nue la climatisation étant en panne dans sa chambre et devant être changée demain par le service d’entretien.
Je prends doucement le vieil homme de près de 80 ans comme il m’a été dit de le faire et j’ai la surprise de voir qu’il se lève et me suis avant de se recoucher dans son lit.
Je retourne auprès de Mamy Josiane pour excuser la maison de ce dérangement.
La dame a tiré le drap sur elle, mais un sein en sort.
Sa vue m’attendrit, mais bien sûr je reste de marbre.

• Venez Christophe me tenir compagnie, vous savez, les nuits sont longues depuis deux ans que je suis entré ici.
• Et avant vous habitiez ou.
• À Paris ou plus précisément à Pigalle.
• Vous avez de la chance, je suis allé une fois à Montmartre et j’ai eu envie d’y rester.
• Si je vous racontais ce qu’a été ma vie, vous en partiriez en courant.
Je vais vous raconter.
• Attendez, madame Josiane, je fais finir ma ronde et je reviens passé une demi-heure avec vous pour vous tenir compagnie.

Si j’ai été engagé, c’est que mes références étaient parfaites ayant jusqu’à ce jour travaillé comme remplaçant dans de nombreuses maisons de retraite.
Comme je lui ai promis, je retourne auprès de madame Josiane où j’entre sans faire de bruit.
Elle est assise dans son lit qui m’attend.

• Asseyez-vous là vous serez mieux qu’à rester debout ?

Il est incorrect de faire cela, mais la dame semble avoir tellement besoin de compagnie que, pour la première fois je transgresse la déontologie de mon métier.

• Voilà ce qui peut arriver à une jeune fille plus que mignonne qui a un caractère trop indépendant.
Je suis issu d’une famille bourgeoise du XVIe arrondissement mon père étant responsable d’une banque.
Ma mère restait au foyer et un jeudi où elle m’avait demandé de rester dans ma chambre lorsque j’avais 13 ans, j’ai entendu des gémissements dans la salle à manger.
Pensant que maman était malade où avait eu un accident, je me suis glissé jusqu’à la porte sans bruit.
Dans ces années-là, les jeunes étaient tenus en dehors de toute sexualité aussi, j’ai eu le choc de ma vie, ma mère celle que je prenais pour l’une des saintes dont notre curé nous parlait tous les dimanches à la messe était à quatre pattes sur la moquette et le voisin lui entrait un genre de bâton dans les fesses.
Elle a crié très fort et l’homme a crié aussi.
Lorsqu’il a sorti son bâton, j’ai vu tomber des gouttes de liquide au sol.
Le voisin a traité maman de belle salope et que demain lorsqu’il viendra à la même heure, il l’enculera comme elle aime qu’il le fasse.
Maman lui a donné son accord et comme j’ai vu qu’il se relevait en s’embrassant, je suis retourné rapidement dans ma chambre.
• Madame Josiane, votre histoire est passionnante, mais je dois faire ma ronde, je reviens.

Je fais mon travail avec une certaine célérité et j’ai la chance qu’ils dorment tous alors je rejoins madame Josiane.

• Où en suis-je, assieds-toi, tu seras mieux près de moi !

Je m’assois et j’ai la surprise qu’elle me prenne la main.

• J’ai donc rejoint ma chambre et quelques heures plus tard mon père est entré et maman est partie à son cours de gymnastique où elle allait trois fois par semaine.
Papa s’est installé dans la salle et je suis venue sur ses genoux regarder la télévision avec lui.
Je faisais des envieuses à mon école où j’étais la seule à avoir la télé.
Et puérilement j’ai posé une question qui a bouleversé ma vie.

• Dis papa qu’est-ce que cela veut dire « enculera » ?
• Où as-tu entendu ce mot ?
• Tout à l’heure, lorsque maman était à quatre pattes devant le canapé et que le voisin a dû lui faire du mal avec son bâton, car ils ont crié très fort et lorsqu’il l’a sorti de maman à goûter sur la moquette, tu vois, on voit encore les petites taches, il lui a dit, « demain il l’ enculera, car maman aime beaucoup cela. »
• Ma fille, c’est un vilain mot et surtout à ton école avec les sœurs ou avec tes copines, tu te tais, cela doit rester entre nous.
• Oui, mon papa, je te promets.

• Ma promesse a été facile à tenir, car le soir alors que j’étais couché, j’ai entendu mes parents se disputer chose qu’il faisait rarement.
Le lendemain lorsque je me suis levé pour partir à l’école papa était absent et elle a dit aucun mot, mais le lendemain, on m’a appris que papa était parti rejoindre le bon dieu au ciel.
Le baiser que je lui ai donné en lui faisant la promesse de ne rien divulguer à l’école était le dernier.
• Ta mère s’est remise avec le voisin.
• Non, il était marié et a refusé de quitter sa femme.
Pendant trois ans jusqu’à mes dix-huit ans, j’ai dû déménager cinq fois, chaque fois dans des lieux de plus en plus crades.
Je voyais ma mère descendre, elle aussi à mesure que nous descendions dans l’échelle des logements.
En plus, elle s’était mise à la boisson en me traitait de trainer, car c’était de ma faute si mon père s’était suicidé.
Le jour où elle m’a dit cela la première fois, j’ai été horrifié, car j’avais toujours en mémoire son retour vers le bon Dieu.
• Josiane, je sens que tu arrive au point crucial où ta vie a entièrement basculé.
Aujourd’hui, il est déjà cinq heures et les personnes chargées de votre petit déjeuner vont arriver et vont se poser des questions si je suis absent du poste de garde.
Peux-tu me rendre la main ?

Le tutoiement, le fait qu’elle m’appelle Christophe et moi Josiane se sont faits naturellement comme ma main qui a fini sur sa poitrine serrée entre les siennes naturellement.

• Je te propose quelque chose, j’habite à deux pas sur les bords du Doubs à midi je viens te chercher où je t’aurais préparé un bon repas que nous prendrons dans mon petit jardin devant ma maison.
• Tu auras assez dormi.
• Quatre heures me suffiront, et puis tu m’aideras à faire la sieste en continuant l’histoire de ta vie.
• Merci, ce sera la première fois que j’irais manger au-dehors de l’établissement.
D’accord vient me chercher.
• Viens que je te fasse une bise, il y a si longtemps qu’un beau gosse veut m’inviter chez lui.

À douze heures tapantes au clocher de l’église, je suis devant la porte de son établissement et Josiane comme toute jolie femme qui se respecte se fait attendre une dizaine de minutes.
Sa silhouette élancée n’a d’égale que le temps qu’elle a dû passer à se pomponner, car j’ai l’impression qu’une midinette entre dans ma voiture.
Cinq cents mètres et nous sommes arrivés.
Gentleman, je l’aide à descendre.
Sur ma terrasse d’où nous voyons passer la rivière coulant très lentement le niveau de l’eau étant très bas à cause de la sécheresse, sous le store, nous déjeunons de ce que j’ai préparé avec amour pour elle, des pâtes.

• Il fait trop chaud dehors, on peut rentrer, je me sens un peu mal.
• Viens sur mon lit, la pièce est fraîche et tu vas pouvoir t’allonger.

Elle me suit et je l’installe pour qu’elle récupère.
Elle ouvre son chemisier et ses petits seins apparaissent, mais je laisse, mes mains bien posées sur mes genoux, m’étant assis à ses côtés.

• Cela va mieux, c’est mon cœur qui m’a encore joué des tours, c’est pour cela que j’ai quitté Paris pour venir ici afin de trouver l’air pur.
Ou j’en étais cette nuit.
Oui.

• J’avais appris que mon père s’était suicidé après les traces de sperme laissées sur la moquette que je lui avais fait voir et que je lui avais d’y que maman se faisait enculer par le voisin.
Maman est tombé très bas et au fure et à mesure qu’elle buvait, ses amants toujours plus nombreux devenaient de plus en plus ignobles.
C’est comme cela qu’elle a amené Adamo bel italien qui en plus de baiser, maman, m’a pris mon pucelage dans ma 18e année.
Trois jours plus tard il m’emmenait en Italie où tu te doutes, je me suis retrouvé dans un bordel transalpin où j’ai dû subir des hommes qui m’ont pris mon corps en m’apprenant ce qu’ « enculera » veut dire.
Enculée je l’ai été, car les clients adoraient cette Française aussi maigre qu’une liane.
Un jour Adamo m’a dit de faire ma valise que nous retournions à Paris et plus spécialement à Pigalle.
Plus tard j’ai su qu’il fuyait la mafia, car ils les avaient grugés.
C’est huit jours plus tard alors que nous venions d’aménager dans un logement proche des derniers où j’ai vécu avec ma mère où j’ai atterri qu’il a pris trois balles de revolver en pleine tête alors qu’il était attablé à un bar de la place Clichy avec la dernière pute qu’il avait réussi à mettre sur le trottoir.
Nous avons été récupérés par un mac corse avec lequel il avait une ardoise.
Adamo ou Enzo, même si officiellement la prostitution est interdite en France, j’avais toujours tous les soirs même le dimanche des bites à satisfaire.
• J’ai honte pour tous ces hommes qui ont abusé de toi et de ta candeur de jeune fille.

En disant ces mots sans aucun calcul, j’avance ma tête et nos bouches se trouvent.

• Christophe qu’est-ce que tu fais, je pourrais être ta mère.
• Même ma grand-mère, je te veux.

C’est comme cela qu’elle sait laisser faire et que je l’ai déshabillée, lui mangeant sa chatte avec sa toison blanche, la faisant jouir après quelques petits coups de dents sur son clitoris.

• Tu es fou, mais c’est bon, c’est la première fois depuis mon dépucelage et les deux ou trois premiers jours que je jouis.
Tu crois que tu vas aimer venir dans cette vieille femme devenue.
• Je vais être grivois, ma belle salope écarte, tes cuisses, je vais te rentrer ma verge bien en profondeur.

J’entre dans son sexe tout chaud et bien humidifié par l’envie de faire l’amour que son corps réclame.
L’orgasme que je déclenche en elle et les jets de sperme qu’elle tire de moi sont sans aucune mesure avec ce que j’ai connu avec d’autres femmes.
Je suis conquise, dans les heures qui ont suivi, elle souhaite me donner son anus et me faire une fellation non pas comme une pute avec son client, mais entre deux êtres qui s’aiment et qui pratiquent le plaisir des corps pour concrétiser leur amour et leurs envies.
Le soir, elle veut rentrer, je l’en dissuade et après une nuit dormant dans les bras, l’un de l’autre, je vais porter ma démission à la maison de retraite ainsi qu’une lettre demandant le compte et la libération de la chambre de Josiane.
J’ai pris le poste à pourvoir dans le centre médical d’infirmier libéral avec mon cabinet dans ce centre installé par la mairie.

Six mois sont passés et après bien des combats, j’arrive à ce qu’elle accepte de m’épouser.
Nous allons à la mairie publiée les bans. La secrétaire lorsqu’elle transcrit les dates de la carte d’identité comprend que la mariée est la dame au cheveu blanc qui m’accompagne croyant certainement que ma maman m’accompagnait.
Le samedi à la date prévue le maire nous unis et nous nous payons un bon restaurant non loin de notre domicile.
Dans la nuit Josiane après avoir fait son devoir conjugal s’endort dans mes bras rejoignant le bon Dieu…

Les avis des lecteurs

aucun problème pour la rénovation à écrire la suite mais j'ai beaucoup de texte en attente de publication.
CHRIST71

Histoire Erotique
une belle histoire mais la fin est un peu rapide.

Histoire Erotique
Voiçi une histoire courte comme d'habitude

Serait t'il possible d'ecrire un texte plus élaboré sur l'épilogue de la serie "renovation (la fin numero 1 Ainsi qu'un texte expliquant ce que sont devenus le couple adultère de "ma vengeance

D'avance merçi
Jean-Mi



Texte coquin : LA MAISON DE RETRAITE. (1/1)
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