Une soumission aveugle
Récit érotique écrit par Chenapan [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 14-11-2015 dans la catégorie Dominants et dominés
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Couleur du fond :
Une soumission aveugle
Le tissus de la petite culotte est très doux sur ma peau. Je suis bandé très dur depuis que je me suis réveillé ce matin. Madame m'a attaché les mains dans le dos afin que je ne puisse pas me branler, ni me défaire de la petite culotte dont elle m'a affublé. Elle commence à s'amuser à me vêtir de dentelle et de jupons. Tout ceci a commencé lorsque je lui ai demandé de réaliser un de mes fantasmes. Je ne pensais pas qu'elle se prendrait aussi bien au jeu.
Je donne des petits coups de hanche dans le matelas, à plat-ventre, tellement je suis excité. Je suis son petit jouet, sa petite soumise. Et j'adore ma nouvelle condition.
Enfin, j'entends des bruits de pas. Et puis une voix. Des rires. La lumière s'allume derrière la porte. Je vois Madame entrer. Sa démarche sévère se dirige tout de suite vers son petit tiroir de jouets. Elle ne m'accorde pas un regard. Elle fouille un peu, puis sort enfin quelque-chose et se dirige vers moi. C'est un bandeau. Elle me l'attache autour de la tête pour m'aveugler. Elle glisse une main entre mes cuisses. Je les écarte grandes pour lui offrir mon intimité. Ma queue est si sensible quand elle effleure mon gland à travers le tissus.
-Bien, je vois que tu as été sage, princesse, me glisse-t-elle. Ton éducation commence à porter ses fruits. Continue comme ça et tu auras une récompense. J'entends dans sa voix qu'elle est un peu ivre.
Elle retourne vers le tiroir. Le fouille encore un peu et se dirige vers la porte qu'elle referme. Ma queue est gonflée à bloc. Je sens dans la petite culotte froide que je l'ai un peu mouillée... Et puis je réentends les voix. Et puis des gémissements, de plus en plus forts. Enfin, j'entends une voix d'homme. Oui, il y a un homme. Et une femme que je ne connais pas.
La porte s'ouvre. J'entends le bruit des talons de madame. Elle s'approche de moi. Elle ne me dit plus rien. Elle soulève ma tête et glisse quelque-chose autour de mon cou. Un collier de cuir que je devine. Et puis le bruit métallique d'une chaînette. Elle me tire hors du lit par le collier. Je me lève maladroitement. "Clip", elle attache la laisse, puis me tire doucement. Je la suis, aveuglé. Je sens un peu de fraîcheur en marchant, mais je suis toujours très bandé.
-À genoux! J'obéis.
Je sens une main s'emparer de mes cheveux.
-Ouvre la bouche.
Je sens quelque-chose rentrer entre mes lèvres. J'ai la bouche toute humide d'excitation. C'est le sexe de l'homme. Il est très dur. Il doit avoir une tendance homosexuelle. Ou alors, c'est simplement l'effet de me dominer de la sorte. La main lâche mes cheveux et puis deux mains, plus grosses, plus fortes s'emparent de mon crâne. Elles me tiennent bien. Ma bouche ouverte s'emplit du sexe gonflé. Il la baise doucement. Il pourrait la violer. Il fait de longs mouvements des hanches d'avant en arrière. Je sens des mains de femme sur mon torse. Est-ce que ce sont celles de Madame, ou celles de son amie? Elle me pince les tétons. Ce sont celles de Madame. Et puis je sens une caresse délicate sur mes fesses. Son amie. Le sexe sort de ma bouche. Plein de bave s'écoule sur mon menton. La main sur mes fesses commence à gifler, puis s'empare de ma fesse droite et la tâte bien. Puis la gauche. Madame cesse de me pincer et continue ses caresses. Sur mon torse, elle agrippe mes pectoraux, puis sur mon ventre, très délicatement. Je sens le gland contre mes lèvres. La main de femme s'empare de mes cheveux. Une fessée.
Je donne des petits coups de hanche dans le matelas, à plat-ventre, tellement je suis excité. Je suis son petit jouet, sa petite soumise. Et j'adore ma nouvelle condition.
Enfin, j'entends des bruits de pas. Et puis une voix. Des rires. La lumière s'allume derrière la porte. Je vois Madame entrer. Sa démarche sévère se dirige tout de suite vers son petit tiroir de jouets. Elle ne m'accorde pas un regard. Elle fouille un peu, puis sort enfin quelque-chose et se dirige vers moi. C'est un bandeau. Elle me l'attache autour de la tête pour m'aveugler. Elle glisse une main entre mes cuisses. Je les écarte grandes pour lui offrir mon intimité. Ma queue est si sensible quand elle effleure mon gland à travers le tissus.
-Bien, je vois que tu as été sage, princesse, me glisse-t-elle. Ton éducation commence à porter ses fruits. Continue comme ça et tu auras une récompense. J'entends dans sa voix qu'elle est un peu ivre.
Elle retourne vers le tiroir. Le fouille encore un peu et se dirige vers la porte qu'elle referme. Ma queue est gonflée à bloc. Je sens dans la petite culotte froide que je l'ai un peu mouillée... Et puis je réentends les voix. Et puis des gémissements, de plus en plus forts. Enfin, j'entends une voix d'homme. Oui, il y a un homme. Et une femme que je ne connais pas.
La porte s'ouvre. J'entends le bruit des talons de madame. Elle s'approche de moi. Elle ne me dit plus rien. Elle soulève ma tête et glisse quelque-chose autour de mon cou. Un collier de cuir que je devine. Et puis le bruit métallique d'une chaînette. Elle me tire hors du lit par le collier. Je me lève maladroitement. "Clip", elle attache la laisse, puis me tire doucement. Je la suis, aveuglé. Je sens un peu de fraîcheur en marchant, mais je suis toujours très bandé.
-À genoux! J'obéis.
Je sens une main s'emparer de mes cheveux.
-Ouvre la bouche.
Je sens quelque-chose rentrer entre mes lèvres. J'ai la bouche toute humide d'excitation. C'est le sexe de l'homme. Il est très dur. Il doit avoir une tendance homosexuelle. Ou alors, c'est simplement l'effet de me dominer de la sorte. La main lâche mes cheveux et puis deux mains, plus grosses, plus fortes s'emparent de mon crâne. Elles me tiennent bien. Ma bouche ouverte s'emplit du sexe gonflé. Il la baise doucement. Il pourrait la violer. Il fait de longs mouvements des hanches d'avant en arrière. Je sens des mains de femme sur mon torse. Est-ce que ce sont celles de Madame, ou celles de son amie? Elle me pince les tétons. Ce sont celles de Madame. Et puis je sens une caresse délicate sur mes fesses. Son amie. Le sexe sort de ma bouche. Plein de bave s'écoule sur mon menton. La main sur mes fesses commence à gifler, puis s'empare de ma fesse droite et la tâte bien. Puis la gauche. Madame cesse de me pincer et continue ses caresses. Sur mon torse, elle agrippe mes pectoraux, puis sur mon ventre, très délicatement. Je sens le gland contre mes lèvres. La main de femme s'empare de mes cheveux. Une fessée.
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