Amour des cités

- Par l'auteur HDS Le Matou libertin -
Auteur homme.
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Récit libertin : Amour des cités Histoire érotique Publiée sur HDS le 30-11-2015 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Amour des cités
Je m’appelle Kamel. J’habite avec mes parents et mes frères et sœurs plus jeunes dans une grande cité HLM au nord de Paris. A20 ans passés, malgré un bac Pro de maintenance de systèmes de climatisation, je n’enchaîne que des petits boulots, tantôt officiellement, tantôt au noir pour faire rentrer un peu d’argent à la maison.

Mon père travaille de nuit et ma mère est gardienne d’un groupe d’immeubles de la cité. J’ai quelques copains de mon âge mais je n’ai pas vraiment d’atomes crochus avec eux car plutôt que de chercher du travail, ils glandent à longueur de journée, traficotent à droite et à gauche. Lorsque je suis à la maison, je veille à ce que mes frères et sœurs ne traînent pas dans la cité comme le font leurs camarades de collège.

Quand j’étais au lycée, j’ai eu quelques aventures avec des filles de mon âge mais ça n’allait jamais bien loin, c’est des coups « vite faits » juste pour soulager la pression par contre depuis que j’ai terminé mes études, je fais des footings prolongés chaque fois que je peux et je vais à la salle de sports du quartier pour faire de la musculation et du judo.



Depuis quelques semaines cependant, j’ai une fille qui me prend la tête… Je l’ai croisée quand elle est venue apporter son chèque de loyer alors que j’aidais ma mère à la loge. Elle habite un studio dans une des entrées de notre immeuble. C’est aussi une fille du pays. Grande brune au teint mat, elle a toujours les cheveux pris dans un foulard. Ce qui m’a attiré, c’est son regard profond avec des yeux ourlés de long cils et sa bouche aux lèvres carminées…

Ce soir là, je n’ai retenu que cela d’elle… Depuis, je me suis arrangé pour la croiser quand, en revenant de son travail, elle regagnait son domicile… Je la saluais et nous échangions quelques mots rapides. Elle devait avoir un bon job car elle était bien habillée avec des vêtements chics qui lui allaient bien mais qui ne laissait rien voir de ses formes !

Le mois suivant, je me suis arrangé pour être à la loge quand elle a amené son chèque mensuel. Avant qu’elle ne ressorte, je suis allé dans le hall où je l’ai attendue… Je voulais parler un peu plus longuement avec elle. C’est ainsi que j’ai appris qu’elle vivait seule depuis qu’elle était arrivée sur la région parisienne après avoir trouvé un emploi sur la plate-forme de Roissy. Nous avons bavardé une bonne demie heure… Elle faisait preuve d’humour et le temps a passé trop vite…

Lorsque les beaux jours sont arrivés, elle portait toujours ces vêtements qui masquaient ses formes : des chemisiers ou des sweat-shirts au ras du cou avec une veste descendant sur les hanches, un pantalon large et des chaussures à petits talons… Elle était certes élégante mais son habillage restait très conforme à celui des femmes évoluées du Maghreb.

C’est à peu près à la même époque que j’ai enfin décroché un contrat dans ma branche… J’étais heureux pour moi et mes parents… J’allais enfin avoir une situation stable avec un salaire fixe ! Ce soir là, je l’ai croisée sans la chercher et elle m’a dit :
• Tu sembles bien gai ce soir… Qu’y a-t-il ? Aurais-tu enfin décroché un boulot stable ?
• Oh oui, tu ne peux pas savoir comment cela me fait plaisir… Si tu veux on peut aller arroser ça au bistrot du coin ?
• D’accord… mais pas très longtemps !
• On y va !

Nous sommes entrés dans le troquet car Amina n’a pas voulu s’afficher en terrasse. Après avoir commandé un thé à la menthe pour elle et une bière sans alcool pour moi, nous avons commencé à bavarder… Nous n’avons pas vu passer le temps tant nous étions bien ensemble… Ce n’est qu’une heure plus tard que nous nous sommes quittés au pied de son immeuble.

Chaque fois que je rencontrais Amina, c’étaient de longues discussions où nous refaisions le monde à notre idée… Puis nous sommes allés ensemble au cinéma des un multiplexe près de Bercy. Peu à peu nous nous sommes mis à flirter gentiment en faisant allusion à des copines et copains éventuels que l’un et l’autre n’avions pas… J’étais bien en compagnie d’Amina et je pense que cela était réciproque.

Cette fille me prenait la tête… je ne cessais pas de penser à elle. Je la pensais inaccessible et je la respectais. Mais un samedi soir récent, tout à basculé… En sortant du métro, Amina a glissé son bras sous le mien pour regagner notre cité… Pour la première fois je sentais sa hanche heurter la mienne et la chaleur de son corps contre le mien. Arrivés au pied de son immeuble, elle s’est tournée vers moi au moment de nous souhaiter une bonne nuit et m’a surpris en disant :
• Viens ! Montons ensemble chez moi pour finir la soirée…

Dès que la porte de l’appartement a été fermée Amina s’est blottie dans mes bras en me disant :
• Je suis bien avec toi… Merci pour ces belles soirées… Je ne connaissais personne et je m’ennuyais seule ici.
• Moi aussi, je suis bien avec toi…Viens, allons dans la grande pièce…
• Je te suis…

Nous nous sommes enlacés et pour la première fois, nous nous sommes embrassés, d’abord un peu timidement puis, nos baisers ont été de plus en plus chauds… Amina pressait son corps contre le mien et je sentais ses petits seins se presser contre ma poitrine pendant que son bassin se frottait contre le mien… Je n’ai pas tardé à bander comme un cerf en rut puis nous nous sommes déshabillés mutuellement.

J’ai découvert le corps d’Amina, une jolie petite poitrine avec des seins pointus aux larges aréoles bistre, sa taille étroite et des hanches bien marquées. Elle gardait sur elle son soutien gorge en dentelle transparente et un tanga assorti au travers duquel je pouvais distinguer un buisson de poils touffus. Je ne portais plus que mon boxer et mon sexe s’y trouvait à l’étroit tant mon désir pour Amina était fort.

Maintenant nous étions allongés sur son lit et nous nous caressions… Je passais mes mains dans l’abondante chevelure qui s’était dénouée, je frôlais la poitrine, descendant jusqu’au nombril puis dans la fourche intime… Au travers de la dentelle, je sentais la chaleur du sexe que je palpais au dessus du mont de Vénus. Amina griffait mes seins de ses ongles longs et pointus… J’aimais ! Puis elle s’est enhardie, venant palper mon sexe dans le gland dépassait de la ceinture élastiquée qu’elle a abaissée pour gober mon sexe...

Je ne voulais pas être en reste… aussi je l’ai tournée de manière à nous mettre en position de 6 9 pour lui rendre la caresse qu’elle me prodiguait… Le tanga s’est retrouvé sur le sol où mon boxer l’a rejoint… Nous nous sommes caressés ainsi de longues minutes faisant monter notre plaisir pour le laisser refluer ensuite ! Je ne voulais pas souiller Amina par une éjaculation inopportune :
• J’ai envie de te faire l’amour…
• Moi aussi… mais tu connais nos traditions ! La femme doit arriver vierge à son mariage ! Nous allons faire comme d’habitude !
• D’accord… Je te comprends… On ne sait pas ce que l’avenir donnera !

Aussitôt Amina s’est relevée, elle s’est mise en position de levrette et en prenant ses fesses entre ses mains elle m’a dit :
• Viens, je suis prête !

J’ai récupéré un préservatif dans la poche de mon pantalon et après m’être couvert, j’ai présenté mon sexe face à cet anneau froncé, l’antre secret, dans lequel je me suis introduit lentement… Bientôt mon pubis a été en contact avec les fesses fermes et rebondies d’Amina. J’étais entré assez facilement… j’en étais étonné car c’était la première fois que j’avais un rapport anal…
• Merci… Même si je suis habituée, tu as été doux…
• Oh… que c’est bon !

Nous avons pris notre plaisir deux fois au cours de cette nuit mais je ne suis jamais entré dans le vagin d’Amina… qui n’acceptait que des caresses superficielles…

Depuis, nous nous voyons tous les samedis soirs pour parler mais aussi pour baiser…

Les avis des lecteurs

Histoire Libertine
C'est mignon!
Sauf qu'Amina est habituée est habituée à la sodomie, ce qui m'a surprise...
Cacherait elle son jeu?
La suite nous le dira peut être...



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