LE MARIN. La Parisienne en vacances. (9)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
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Récit libertin : LE MARIN. La Parisienne en vacances. (9) Histoire érotique Publiée sur HDS le 14-02-2016 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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LE MARIN. La Parisienne en vacances. (9)
J’ai eu peur, le père de la petite que j’ai dépucelé dans le bal du village dans le champ derrière l’église m’annonce qu’elle s’est retrouvée enceinte.
Nous apprenons que c’est le copain qui est venu avec la petite grosse qu’elle a incriminée me sauvant d’avoir la famille sur le dos.

• Votre fille est là.
• Non, ils habitent à Ploemel avec mon petit-fils où ils ont repris la boulangerie près de l’église du village.
On les a mariés alors qu’elle était enceinte de plus de deux mois et que rien ne se voyait.
Nous avons cassé nos tirelires son père et moi pour les installer, mais la boulangerie est vétuste et ils travaillent d’arrache-pied pour remonter l’affaire.
J’ai été magnanime avec les enfants, car je suis fou de mon petit-fils, j’ai un seul regret son prénom, j’aurais espéré qu’il est un prénom bien breton, mais ma fille nous a imposé Victor, allez savoir pourquoi.
Enfin, il est en bonne santé et si vous pouviez voir ses baloches à trois mois, il va faire plaisir aux filles quand il sera en âge de s’en occuper.

Je suis liquéfié, de grosses gouttes coulent de mon front surtout quand je regarde Véronique avec mon bachi sur la tête ou en toutes lettres je vois le nom de Victor Schoelcher.

• Bien, il faut reprendre la route, on a encore des choses à aller voir.
• Où allez-vous ?
• Auray voire la basilique et Carnac voire les alignements.
• Vous passez près de Ploemel, faites le détour, vous verrez mon petit-fils avec ma fille.
Vous êtes sûr de les trouver, la boulangerie est la seule sur la place de l’église.
• Au oui, j’adore les bébés, j’aimerais le voir.
• Je pense que le temps est compté pour faire ce détour si nous voulons être à l’heure à notre rendez-vous ce soir.
Dépêchez-vous !
Je vous attends à la voiture.

Discrètement d’une façon naturelle, je pars vers la Mercédès oubliant de récupérer ma coiffe en avançant jusqu’à elle.
Assis derrière le volant, je vois Véronique payer et avec Didier enfin quitter le cafetier qui leur fait un petit signe d’amitié.
Je suis prêt à dégager rapidement, je peste de voir Véronique revenir sur ses pas et entrer dans le café toujours avec ce foutu bachi avec le prénom Victor dessus.
Quel idiot je fais d’avoir dit au père que j’avais vu sa fille au bal qui faisait banquette.
Certes, il semble qu’elle ait omis de parler de notre rencontre en échange d’une boulangerie, mais plus je mettrais de kilomètres entre moi et cet homme et plus je serais rassuré dans mon envie de rester célibataire.
Cinq à six minutes et elle arrive toujours flanquée de Didier qui semble se comporter comme son petit toutou.

• Dépêchez-vous ?
Nous allons être en retard, Véronique, donne-moi tes clefs, je vais conduire.

Elle me les donne et je démarre en trombe faisant crisser les pneus.

• Calme toi joli papa, elle est à Ploemel avec ton fils, pas la peine de bousiller ma voiture, il faut que je rentre à Paris.
• Rigole, crois-tu que c’est drôle de découvrir ce que je viens d’apprendre sans aucun moyen de faire quoi que ce soit.
Et si même je le reconnais, comment je ferais avec une paye de quartier-maître pour élever cet enfant et sa mère ?
Ils sont aussi bien là où ils sont.

Je fais plusieurs kilomètres en direction d’Auray et passant près d’un chemin avec un bouquet de buisson, je fais tourner la voiture et je l’arrête dès que la route nous est cachée.

• Descends.

L’ordre que je donne à notre amie est assez sec pour qu’elle l’exécute sans en rajouter.

Je contourne la voiture et la couchant sur le capot tout chaud, je soulève sa jupe et en écartant sa petite culotte, je lui introduis ma verge dans le vagin et je la laboure avec de grands coups de pine.

• Putain, espèce de saligaud que c’est bon, ais plus souvent de grandes frayeurs si c’est pour me prendre comme une bête fait des enfants à toutes les filles du coin derrière leur église.

C’est le moment que je sens partir un très bel orgasme traversant son corps et qu’ayant attrapé ses seins à travers son chemisier, je redouble la puissance de mes allées retour lui arrachant un immense cri de plaisir.
C’est dégoulinant de sueur que je referme mon pantalon après avoir une nouvelle fois rempli son intimité.
Je suis de retour derrière le volant voyant devant moi ma chérie toujours affalée sur son capot et semblant avoir du mal à revenir parmi nous.
Elle finit par retoucher terre et à nous rejoindre en se tortillant pour remonter son carré de dentelle et de rabaisser sa jupe.

Peu de temps après par chance, ils sont assoupis tous les deux quand sur notre droite la pancarte indique Ploemel.
Je suis à deux doigts de tourner, car j’ai beau être fière devant mes amis apprendre que du dépucelage d’une petite boulotte, je me suis reproduit m’interpelle.

Voulant rattraper le retard que mon coup de phallus a engendré, je zap sur notre droite la basilique Sainte-Anne-d’Auray que nous longeons sans nous arrêter, car depuis que nous sommes reparties la tension reste palpable entre nous.
C’est à Carnac que Didier réussit à détendre l’atmosphère en nous faisant jouer à cache-cache au milieu des pierres pleines de mystère.
Dans ces années de fin 60, les alignements sont peu fréquentés et c’est tout naturellement qu’à ce petit jeu d’où est tu, tient, tu es là non, c’est moi qui repasse par là immanquablement Véronique est obligé de se faire attraper et que nous pouvons nous vanter de la prendre en double pénétration avec mon compagnon de jeu sous un gros dolmen semblant protéger notre copulation.
Baiser derrière l’église de Languidic était déjà un exploit l’an passé, baiser cette femme belle et bandante qu’est Véronique au milieu de ces pierres mégalithiques reste un moment d’exception.
C’est le bruit de voix semblant venir dans notre direction qui nous fait nous enfoncer plus profondément sous le dolmen.
C’est un couple d’amoureux qui nous apparaît sans pour autant nous voir.
La jeune femme est pendue au bras de son homme.
Lui est une baraque avec qui j’éviterais de me quereller, car je suis sûr de ramasser une rouste.
Nous avons confirmation qu’ils sont mariés quand nous les voyons s’arrêter et se prendre la bouche dans un baiser passionné, le garçon retourne, sa compagne lui remonte son débardeur d’une main la plaque sur un menhir légèrement incliné et lui ayant relevé sa jupe se présente pour lui planter sa dague.

• Chérie, attends que nous soyons à l’hôtel, je sais bien que c’est notre voyage de noces.
Non, arrête.

Comme de bien entendu il continue sa besogne et rapidement prise par la chatte les roberts rappant sur la pierre, elle bouge son cul pour qu’il la pénètre plus profondément.
C’est à ce moment que nous manquons d’éclater de rire, risquant qu’ils nous découvrent au risque d’arrêter notre couple dans leur moment de bonheur.

• Oui met moi là bien à fond comme tu sais si bien le faire depuis hier après la cérémonie ou tu m’as dépucelé, vas-y, j’aimerais que notre première enfant soit conçue parmi ces pierres millénaires et que la force que je sens se propager en moi par les seins et mon ventre qui frottent déçus nous donne un magnifique bébé.

Voilà pourquoi nous manquons d’éclater de rire, c’est le jour des bébés déjà conçu et à concevoir.
C’est comme cela se croyant seul au monde que nous jouons les voyeurs pendant que nos amoureux s’envoient en l’air.
Un dernier baisé et nous les voyons repartir.
La terre est ronde et le monde est petit, il faut moins que le tour de la terre alors que nous sommes répartis dans deux directions opposées pour que nous nous retrouvions avec les jeunes mariés à côté de nos voitures.

• Bonsoir, messieurs et madame pouvons-nous vous demander un service ?
• Bien sûr.
• Pouvez-vous nous prendre en photo devant ces magnifiques alignements ?
• Prenez la pose, je vais faire plusieurs photos.

Je les mitraille trois fois au cas où une photo soit loupée.

• Benoît prend l’appareil pour que nous facions une photo avec ces marins, nous espérions en voir à Brest la semaine prochaine, c’est la providence qui nous envoie ces deux beaux jeunes hommes.
Vous me prêtez votre chapeau, mes copines m’ont dit que si j’avais la chance de toucher un pompon pendant notre voyage de noces, notre couple serait chanceux et fécond jusqu’à la fin de notre vie.

Comment refuser de faire cette photo entourée de deux jolies femmes qui chacune ont mis notre bachi ?
Le marié Benoît pose son appareil sur le toit de leurs 2 chevaux et vient rapidement nous rejoindre.
Le marié, la mariée, Didier Véronique et moi, les trois garçons entourant les deux femmes.
La première photo prise, il propose que nous changions de place.
Lui, Véronique, Didier, Gislène, c’est du moins le nom qu’il lui donne et moi.
Le temps de cadrer, enclencher l’automatique et il nous rejoint.
Je fais un mouvement pour reculer manquant de tomber et ce que je vois me sidère.
Didier caresse le cul de Gislène qui ne dit mot.
Quand je disais que d’avoir dessalé Didier en avait fait une bombe sexuelle sur pattes, j’étais loin du compte.

• Nous sommes dans le centre de Carnac à l’hôtel, pouvons-nous vous inviter à boire un verre ?
• Nous avons rendez-vous au port de pêche de Lorient chez des amies qui ont un restaurant et qui nous ont invitées, mais nous pouvons vous suivre, nous avons une heure devant nous.

Nous reprenons les voitures et il est drôle de voir une Mercédès coupée sport suivre une, 2 chevaux.
Nous nous garons et nous nous installons à la terrasse de leur hôtel, Benoît semble intéressé par notre travail à bord.

• Je vois que votre jeune collègue à une inscription sur son chapeau différent dû tient, Victor Schoelcher sur le tien et École des mécaniciens pour le jeune.
• Pour commencer, Gislène notre béret s’appelle un bachi…

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