LE MARIN. La Parisienne en vacances. (12)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
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Récit libertin : LE MARIN. La Parisienne en vacances. (12) Histoire érotique Publiée sur HDS le 22-02-2016 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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LE MARIN. La Parisienne en vacances. (12)
Une nouvelle fois depuis que nous avons rencontré Véronique, le 4.2.1 est prépondérant pour orienter la vie de nos amis.
C’est ainsi qu’avec Gaëlle, nous réussissons à ce que Roger son frère soit le chevalier servant de Véronique tout au long de la soirée.
C’est le moment que choisit Louise pour sortir de ses cuisines.

• Bonjour à tous, la bise, on verra plus tard, à table, on va commencer à servir.
• Bonsoir, madame avant je voudrais un chouchen, je veux noyer ma défaite au 4.2.1 dans l’alcool.
• Toi, le grand couillon, tu t’assieds là et tu la fermes, tu as assez bu du chouchen, occupes-toi de la jolie jeune fille qui doit être ta femme si j’ai bien entendu depuis ma cuisine.
• Bien madame, à vos ordres, je me pose là.
Oh ! du muscadet, j’en raffole.

Benoît déjà placé, nous nous disposons au gré des couples et des amitiés.
Louise et Gaëlle encadrent Didier. Bien sûr, Roger est placé à côté de Véronique et je suis à côté de Gaëlle face à Gislène.

• Mes amis, je vous ai préparé un repas du cru, j’espère que vous apprécierez.
Pour commencer, langoustines.
• J’adore les langoustines surtout avec du muscadet, Christian parle-moi encore des gros moteurs de ton bateau, Gislène leurs moteurs sont aussi gros que mon sexe, tu sais celui que tu as rencontré entre les cailloux à Carnac.
C’est bien, toi seule peut me comprendre.

Je vois sa main partir sous la table et toucher l’intimité de sa femme.
L’effet chouchen marié aux deux verres de muscadet ingurgités entraîne l’effet Véronique et là retenu qui s’impose entre amis saute.

• Oh ! la salope, ma femme est une salope, messieurs-dames ma femme est la reine des salopes, elle a oublié sa culotte, mes doigts viennent de rentrer dans sa chatte qui est toute mouillée.

Un grand blanc, une nouvelle fois Benoît doit se croire dans une troisième mi-temps dans son club de rugby de Bègles.
Gislène est rouge de honte et je comprends que le couple, avec d’un côté un grand bof et de l’autre une chaude du cul auront du mal à résister à la suite du temps.
Le mari fier de sa litanie ressort sa main et se ressert un verre de muscadet.
Je profite de ce que la place soit libre et pour faire voir à ma suceuse qu’elle a un allié de tout cœur avec elle, j’enlève ma chaussure et soulevant mon pied, je caresse sa chatte avec mes doigts.
La fraction de seconde de stupeur passée, mon amie me regarde avec intérêt.
Discrètement je profite de servir les personnes près de moi pour resservir un verre à mon rival du soir.
Il va sans dire que je tiens à rester sobre afin de trouver une occasion pour honorer cette femme qui au rythme ou il ingurgite les verres, nous allons rapidement en être débarrassé.
Les langoustines sont succulentes surtout par leur fraîcheur.

• Pour continuer dans les crustacés, je vous propose des Homards attrapés par Roger dans ces casiers et qu’il vient de mettre à cuire tout à l’heure.
Âme sensible bouchez-vous les oreilles, ils étaient opposés à entrer dans la cocotte.
• Gaëlle, pourquoi m’as-tu attaché à un assassin pour toute la soirée, je vais aller dès demain porter plainte contre lui à la ligue de protection des homards.
• Quand tu en auras mangé un bout après que je les ai découpés, tu feras une grosse bise à celui qui prend des risques pour que nous nous régalions.
• C’est comme moi lorsque je sors un gros moteur des voitures américaines que je répare, je prends des risques pour mes doigts.

J’ai envie de lui dire, ferme ta gueule, mais comme mes parents mon donné de l’éducation, je me contente de lui resservir un verre et de caresser plus fortement sa femme.
Louise et Gaëlle partent en cuisine découper les homards que Didier a récupérés sur la table.

• Je vais vous aider, j’avais un grand-père qui était écaillé.

La famille qu’est-ce que c’est intéressant lorsque cela permet un rapprochement dans une cuisine car connaissant maintenant la rapidité du petit mousse, je suis sûr qu’il va en profiter pour se rapprocher des deux belles que je le sais maintenant ont été mariés leurs maris ayant disparu trop vite avant de devenir des lécheuses de chattes.

• Et si l’on chantait !

C’est d’une voie de plus en plus incertaine que j’arrive à assommer Benoît.
Je sais que le procédé est immoral puis que j’ai pour but de sauter son épouse, mais ce qu’elle m’a dit tout à l’heure et la sucette faite dans son dos me montre que si je laisse la place inoccupée le vide demandant toujours d’être rempli et c’est un autre qui lui remplira sa chatte.
De plus, je suis moi-même délaissé par ma belle Véro semblant avoir pardonné au tueur de homards car elle lui prends la bouche à la limite de l’attentat à la pudeur.
C’est le moment que choisit Benoît pour plonger son nez dans son assiette.
Je me lève, remets ma chaussure et je vais à la cuisine.
Là encore, les homards semblent attendre, car Didier est appuyé au piano de cuisine la queue dans la bouche de Louise et la langue de Gaëlle au même endroit que celle de Véronique avec Roger.
Une différence, c’est que son chemisier est ouvert et que le mousse lui pelote les seins qui semblent apprécier tellement ses tétons en forme de poire sont tendus.

• Excuse-moi Louise, tu finiras ton repas tout à l’heure, on a besoin de toi, il va falloir trouver un lit à notre mécanicien d’opérette.
• Ces gens du Sud, tous des demi-portions comparées à nos hommes qui sont burinés par la mer.
Viens, on va le monter à l’étage.

Avec Roger, pardon Roger l’empoigne comme un vulgaire sac à patates et le fait monter à l’étage.

• Mets-le dans la chambre du fond, le matelas à l’habitude d’en voir passer régulièrement et je le nettoie au jet d’eau dehors lorsqu’il en a besoin.
Je ferme la porte à clef que ce grand couillon si l’idée lui vient de redescendre se ramasse dans les escaliers, cela m’est arrivé une fois avec le pépé qui travaille sur le chalutier de Roger, son nez s’en souvient depuis, il est de travers.
Je viendrai le voir régulièrement.

En redescendant je profite de la place que j’ai libéré pour venir à côté de celle que je convoite quoique je sois sûr de mon avantage et qu’à un moment où un autre nos sexes vont se rejoindre.

• On est pas sympa avec Benoît, c’est un lourdingue, mais il a de bons côtés qui me permettent pour le moment de rester avec lui.

Parmi l’assistance aucun des présents ne doute que nous ayons envie l’un de l’autre et aucun semble troublé quand nos bouches se trouvent.
Le repas se poursuit avec à peu près partout le long de la table entre deux bouchés des mains qui viennent insidieusement caresser un sein, une verge ou une chatte qui semble être toujours consentante.
Lorsque nous arrivons au dessert qui sont des crêpes flambés au calvados agrémenté d’un cidre brut breton seul trouvant grace chez nos amis comparés au cidre de Normandie qui pour les Bretons est un cidre usurpateur.
C’est limite que Gislène trouve une position assise sur ma verge, mais nous sommes respectueux de la cuisinière et nous faisons honneur aux crêpes qu’elle fait flamber devant nous.

Au moment de préparer le café Gaëlle en profite pour mettre en marche une sono avec des slows langoureux. Les filles lorsqu’elles ont préparé les tables ont pris soin de laisser une place pour que nous puissions nous frotter les pubis aussi j’entraîne Gislène qui me prend par le cou et qui est la première des filles à tendre son intimité vers ma verge qui apprécie et qui est tendue au maximum de ce qu’elle est capable.
J’ai appris au fil des jours qu’il suffit que l’une de ces dames se montre impudique pour que toutes les libidos se déchaînent aussi à la fin du deuxième slow, j’ouvre, le pont sort ma verge et je conduis ma maîtresse sur une table pour lui poser les fesses et la pénétrer d’un seul coup tellement sa chatte dégouline d’envie.

• Je savais qu’elle serait bonne, vas-y laboure-moi, je rêve de ta verge depuis que je l’ai eue dans ma bouche et que ton sperme a rempli ma gorge.

Comme je l’espérais notre exemple est suivi par Véronique et Roger qui comme nous a dansé le slow mais contrairement à Gislène qui m’avait sucé dans la voiture pendant que je fais grincer la table où nous sommes appuyés, je la vois défaire la ceinture de celui qui lui est attaché pour la soirée et rapidement le sexe de mon copain disparaît dans sa bouche.
J’ai la chance de bien connaître le fond de la gorge de mon amie et je suis content qu’à son tour, il profite de la belle cochonne que j’ai découverte grace à une petite histoire de tonneau.
Je suis trop engagé pour amener ma partenaire au plaisir, mais en tournant la tête j’ai la chance de voir Didier placé derrière Gaëlle et s’activer soit dans sa chatte ou son cul sans que je puisse voir ce que fait Louise qui doit assister sa copine dans son plaisir.
Du côté du couple que nous avons artificiellement créé grace au 4.2.1, les choses évoluent et après avoir enlevé sa petite culotte, Véronique fait s’asseoir son partenaire sur une chaise et je la vois s’empaler sur le sexe noueux de son partenaire.
Véronique susurre à l’oreille de Roger comme si elle était seule.

• Je t’aime.

Ces trois mots nous en disent long sur ce qu’avec sa sœur, nous avons déclenché, mais rien d’anormal si l’on analyse ce qui s’est passé lorsque j’ai conduit ma belle esclave dans le poste de ses hommes, Roger est resté sagement dans le poste de contrôle de son chalutier semblant vouloir protéger l’avenir avec cette femme.
Roger répond aux trois mots, je suis frustré de sa réponse, mais le baiser qu’ils s’échangent me donne la réponse.

• Continu Christian, je vais éclater, Véronique, j’espère que tu en prends autant que moi et j’ai la boule qui monte en moi.

Véro est concentrée, mais les deux femmes chantent leur jouissance lorsque leur orgasme éclate en parfaite osmose.
J’entraîne Gislène vers notre chaise à table et après l’avoir faite asseoir sur mes genoux, je nous sers un grand verre d’eau pour récupérer, car la chaleur de ses vacances nous fait ruisseler.
Quand je pensais, il y a un instant que Louise qui m’était cachée devait être active dans le trio qui baisait dans la cuisine, elle sort très belle dans sa nudité et passe derrière le bar pour resservir des cafés.
C’est à poil que nous nous attablons et m’apercevant que nos deux maîtresses de maison semblent voilà garder Didier auprès d’elles et que j’ai encore des choses à explorer avec ma queue qui commence à rebander par la chaleur que dégage le cul de Gislène, je sens qu’une petite sodomie lui fasse très plaisir…

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