LE MARIN. La parisienne en vacances. (13)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
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Récit libertin : LE MARIN. La parisienne en vacances. (13) Histoire érotique Publiée sur HDS le 26-02-2016 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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LE MARIN. La parisienne en vacances. (13)
La soirée chez Louise et Gaëlle bat son plein et Benoît jeune homme rencontré avec sa femme Gislène à Carnac a abusé du chouchen et du muscadet, ce qui nous a obligés à le coucher à l’étage me libérant la place dans la chatte de cette jeune femme s’étant faite passé pour une vierge le jour de ses noces alors que c’était une saute au paf de première.

En ce moment après avoir repris quelques forces je viens d’écarter les couverts sur la table, lui faire mettre ses seins dessus et de me placer pour lui pénétrer le petit.
J’entre avec autant de facilité que dans l’autre côté de son anatomie et c’est le moment que Roger choisi pour placer Véronique en pendant de la table et de la pénétrer aussitôt.
La façon dont ses seins une fraction de seconde se redresse me montre que son chevalier servant pour cette soirée la prise lui aussi par le petit trou sans plus de ménagement que moi avec ma partenaire.
Les deux jeunes femmes semblent faire le concours de celle qui jouirait le plus rapidement possible par le cul.
Le regard de Véronique vers nous en dit long sur cette envie et sur le plaisir pris car ses yeux commencent à se révulser.
La bataille est intense et c’est là que j’entends la voix de Louise venir de la cuisine qui nous prend de vitesse.
Les râles de plaisir de notre hôtesse me déconcentrent et je lâche de beaux jets de sperme dans le fondement de ma partenaire la frustrant légèrement surtout que Roger dans le même temps fait chanter Véronique.

• Excuse-moi bébé, c’est Didier qui a amené sa copine au plaisir qui m’a déconcentré.
• Pas un problème, j’aurais toujours l’occasion de baiser d’autres fois et de prendre mon pied, tu es un homme et pas un surhomme.
• Je vais monter voir mon homme, je veux être à ses côtés quand il se réveillera.

Je la suis et au moment où elle ouvre la porte de la chambre, j’ai le temps de voir Benoît dormir comme un bébé.
Louise et Gaëlle accompagnée de Didier rejoignent leur chambre et comme un con, je me retrouve sur le palier seul sans savoir ou finir la nuit.
Il y a une troisième porte, je l’ouvre et je m’écroule sur le lit.

Il est onze heures à la pendule sur la table de chevet quand je me réveille la queue tendue malgré la soirée ou je me suis occupé de l’intimité de Gislène.
Les toilettes remédient à ce problème et je descends au rez-de-chaussée.

• Christian te voilà, tu as bien dormi.

C’est Louise qui est déjà debout et qui a nettoyé la salle.

• Véronique est partie.
• Oui, chez Roger, elle t’a laissé les clefs de sa voiture pour que tu raccompagnes le cocu et sa femme à Carnac.
Un café ?
• Plutôt deux fouis qu’une qu’elle nuit.
• Oui, je vais te faire un aveu, je sais que Gaëlle va conter fleurette à quelques bougres chez certains célibataires quand ils reviennent de mer avec des bourses remplies.
Pour moi, la disparition de mon mari a été un tel choc, car nous étions unis mentalement et physiquement au point que la nuit où ils ont disparu en mer au moment où son souffle s’est éteint submergé par l’eau de mer, je me suis réveillé dans l’impossibilité de respirer.
Cette nuit, Dider ton copain a été le premier à repénétrer ma chatte, car quand je l’ai vue, j’ai revu le visage d’ange qu’avait mon mari le jour où à douze ans, il m’a pris la main pour m’éviter de tomber de la falaise lors d’une sortie scolaire à la pointe du raz.
Pendant des mois et des années, je le voyais errer comme une ame en peine autour de chez moi, mais tu sais avant la guerre pour nous les jeunes, la vie était différente, car nos parents nous tenaient fermement.
Un jour alors que nous avions 19 ans, il a eu le courage de venir affronter mon père gros patron de pêche aussi bien avec son bateau et physiquement, car il pesait plus de 130 kilos.
Je l’ai entendu lever le ton et j’étais persuadé blotti dans les bras de maman qu’il allait se faire massacrer.
J’ai même entendu mon père lui dire avec sa grosse voix qu’il avait du mal de voir sa seule fille dans les bras de cette demi-portion et qu’il lui donnerait des rejetons incapables de tirer sur un filet en mer.
La réponse cinglante de mon mari a subjugué mon père, car personne avant ce jour avait osé lui tenir tête. Il m’a appelé et il m’a dit qu’il acceptait que j’épouse l’avorton comme il l’appelait amicalement dans les temps qui a suivi.
Il lui a même donné le commandement de son bateau pour partir se reposer avec maman après des dizaines d’années de mer.
Tu connais la suite, à leur disparition de nos maris avec Gaëlle, nous avons décidé de nous associer et le temps faisant son œuvre, nous sommes devenus Amante et nous avons ouvert ce restaurant ayant toujours aimé cuisiner.
• Bonjour à tous, qui va pouvoir nous ramener à Carnac ?
• Moi Gislène regarde Véronique est parti chez Roger et m’a laissé les clefs de la Mercédès.
• Bonjour à tous, quelle cuite, je me souviendrai du chouchen et du muscadet.
Louise, un café avec trois aspirines s’il s’est possible, j’ai la tête comme un ballon de rugby.
J’espère que ma petite femme a su être plus agréable que moi et qu’elle a su se tenir jusqu’à la fin du repas.

En disant cela, il vient à sa hauteur et la prend par la taille.
Je vais pour lui répondre, mais le regard désespéré de ma maîtresse me fait taire.

• Louise merci pour ta mise au point sur ta vie mais nos amis ont besoin d’un coup de fouet avant que je les raccompagne, allé vite à table.

Nous forçons sur le café, mais au moment de partir, je constate que Benoît a encore un retard de sommeil.
Nous embrassons nos amies déjà descendues et j’avance la voiture.

• Benoît monte derrière, tu pourras t’allonger et dormir un peu.

Il m’écoute, se retourne le visage le long du cuir du siège et nous tourne le dos.
Je place le rétroviseur pour surveiller le cocu dormeur.
J’ai à peine fait passer le coin de la rue à la voiture et déjà j’ai la main dans la culotte de la jeune mariée.

• Enlève ta culotte, j’aurai plus facile à faire entrer mes doigts.

J’ai un moment de frayeur, car je vois Benoît bouger, j’ai dû parler plus fort.
Alerte plus loin il retombe dans la même position.
Gislène s’exécute et la balance, le vent malgré la vitesse l’a fait tournoyer et retomber sur l’arrière du crâne de son mari.
Elle se retourne s’agenouille pour la récupérer et de nouveau la balancer.

• Non, tu me la donne, je te mettrais dans ma collection en souvenir des bonnes baises que nous avons fait ensemble.

Elle me la donne, mais je profite de sa position prenant des risques en conduisant d’une seule main et plaçant l’autre à lui caresser l’anis et la chatte.
Sur le chemin restant, je sens son corps se cabrer une ou deux fois.

• C’est bon, mais je veux ta queue une dernière fois en moi.

Elle me dit cela au moment où j’arrive devant leur hôtel.

• Viens, montons à la chambre laissons-le dormir, tu vas m’en mettre un coup avant de repartir, je vais partir dans son trou après la fin de notre voyage de noces et cela me fera des souvenirs.

Nous sommes en chemin et arrivons devant la porte.

• Et s’il se réveille et qu’il monte au moment où je te pilonnerai ?
• Aucun problème, en me mariant j’avais pris de bonnes résolutions de devenir une femme fidèle et aimante.
Ton copain et toi, vous avez réveillé en moi mes envies de baise et nul doute qu’il prendra conscience que c’est un mec programmé pour finir cocu.
Boire comme un trou comme il la fait hier sans voir que tu le soûlais pour me baiser en toute impunité mérite ce qu’il lui arrive et que je vais répéter chaque fois qu’une bite intéressante passera à ma portée, avant de me marier, j’étais une salope après, je serais une double salope. Entre.

C’est comme cela que je l’ai sexée par la vulve très chaude, qu’elle me suce en gorge profonde et que pour finir notre séance de sexe, je l’encule déchargent à foison de grands jets de sperme.
Un dernier baisé aussi profond qu’au moment où je lui mettais mon sexe et je la quitte pantelante après lui avoir fait atteindre deux fois l’orgasme.
C’est en arrivant au bas de l’escalier que Benoît arrive.

• J’allais te réveiller, Gislène fait vos valises, je viens d’allée aux toilettes du café.
Salut, mon pote, je te souhaite bonne chance, tu as épousé la meilleure des femmes, garde là précieusement.
• Je sais qu’elle est ma chance, si tu passes dans mon bled, arrête-toi à mon garage, je te montrerais les moteurs des voitures américaines, ce sont de vrais merveilles.
Attends avant de partir, peux-tu me faire voir le moteur de la Mercédès, une voiture aussi puissance se doit être une merveille.

Nous repartons vers la voiture, je mets du temps à trouver comment ouvrir le capot et c’est un véritable enfant qui admire le moteur allant même jusqu’à le caresser aussi bien que je viens de le faire sur le corps de son épouse.

• Tu comprends toi qui es du métier, je vais te faire un aveu en voyant un beau moteur je bande autant qu’en regardant le sexe de ma femme.
As-tu déjà fantasmé en faisant l’amour à une nana ?
• Oui, sur une petite culotte, une chatte épilée ou un joli cul.
• Moi quand je suis avec Gislène, certains jours ou je suis en petite forme, je pense au dernier moteur que j’ai démonté et je la fais grimper aux rideaux.
• Bande bien et baise la bien en pensant à celui là, il faut que je reprenne la route, je dois rendre son moteur à Véronique.

Je claque le capot, je lui en serre cinq lui promettant de venir le voir et au moment où j’ai tourné la clef de contact, mon nez coule et devant le cocu sans m’en rendre contre, je sors la petite culotte de Gislène et en me mouchant je bande en sentant l’odeur de ma jolie maîtresse…

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